christophe Posté 7 décembre 2006 Signaler Posté 7 décembre 2006 Hier soir, nous avons obtenu 3 passages simultanés dans les médias: - le comité Liberté Chérie Aix Marseille et Gérard Bramoullé étaient sur France 5 à l'émission C dans l'air sur le thème de la fiscalité locale (Benoite Taffin de Contribuables Associés était également invitée) - Vincent Ginocchio, Président, a été pendant 40 minutes sur Europe 1 sur le thème "l'impôt à la source" - J'étais moi même sur Direct 8 sur le thème "y a t-il trop de médias publics?". Quelqu'un a vu quelque chose? Le tout sera prochainement sur notre site internet. Christophe
Rincevent Posté 7 décembre 2006 Signaler Posté 7 décembre 2006 J'ai vu le reportage sur Bramoullé que j'ai trouvé pas mal mais un peu court ; on n'y a vu à peu près que Bramoullé. L'émission était plutôt pas mal, sauf quand un des invités a déliré sur l'impôt-comme-choix-de-société. Il faut bien que le vernis cède de temps en temps pour que respire le socialisme de certains.
Aurel Posté 7 décembre 2006 Signaler Posté 7 décembre 2006 Bravo à LC, tout ceci est bon signe. Le vent tourne ! [enfin, il commence à tourner]
Calembredaine Posté 7 décembre 2006 Signaler Posté 7 décembre 2006 Hier soir, nous avons obtenu 3 passages simultanés dans les médias:- le comité Liberté Chérie Aix Marseille et Gérard Bramoullé étaient sur France 5 à l'émission C dans l'air sur le thème de la fiscalité locale (Benoite Taffin de Contribuables Associés était également invitée) J'ai vu celui-ci, pas mal du tout, bravo!
Rincevent Posté 7 décembre 2006 Signaler Posté 7 décembre 2006 En plus, il semblerait que, dans Le Point de cette semaine, Jacques Marseille (qui était invité dans l'émission susmentionnée) ait écrit une tribune libre appelant à doubler le salaire des Français en diminuant les dépenses publiques… Je vous laisse deviner dans quelle mare taboue il a sauté à pieds joints !
ULYSSE Posté 7 décembre 2006 Signaler Posté 7 décembre 2006 A propos de vent qui tourne, il y en a un qui s'est laché, c'est Frank Tapiro, conseiller en com de Sarko, qui dit : "on a besoin de thatchériser la France"
melt_core Posté 7 décembre 2006 Signaler Posté 7 décembre 2006 J'ai vu le reportage sur Bramoullé que j'ai trouvé pas mal mais un peu court C'est un peu décevant, mais on s'y attendait. C'est dommage, Gérard a été interviewé pendant presque 1 heure et il a été, comme toujours,absolument brillant. Ils ont filmé notre table-ronde après, où Pierre Garello de l'IREF et Valentin Petkantchin de l'Institut Molinari ont fait des interventions très pertinentes, et ils en ont gardé quoi… 10 secondes chrono?
Rincevent Posté 7 décembre 2006 Signaler Posté 7 décembre 2006 "on a besoin de thatchériser la France" Mouais. Je crains fort que tout ce que Sarko, son équipe, et l'UMP admirent chez Thatcher, c'est l'autorité, et non la liberté ; le moyen, non la fin.
ULYSSE Posté 7 décembre 2006 Signaler Posté 7 décembre 2006 Disons surtout que Tapiro fout en l'air la force de son propos, quand il ajoute "il y a une dimension sacrificielle chez Sarkozy". Là on n'y croit plus une seconde, et on voit le spectre de la mégalomanie et du pouvoir personnel s'emparer des idées libérales, ici comme ailleurs. Sinon cette analyse est intéressante aussi : Dans l’univers du président de l’UMP, précisent-ils, le collectifn’existe pas. Seul l’individu est valorisé à travers la notion de « libre choix » : il y a ceux qui veulent réussir et les autres, ceux qui se lèvent tôt le matin et les autres… La société sarkozienne est clivée, conflictuelle ; elle valorise la volonté mais s’accommode mal des règles collectives et a parfois du mal à coller à la réalité. Exemple type : la question du temps de travail : à entendre Nicolas Sarkozy, nul besoin de remettre en cause les 35 heures. Il suffit que le salarié veuille travailler plus (pour gagner plus) pour que son voeu soit exaucé, comme si c’est lui qui, individuellement, allait déterminer dans l’entreprise sa quantité de travail. Quid de la négociation collective ? des syndicats ? du rapport de force patronat-syndicats ? Cette réalité-là est niée. Les deux historiens socialistes en concluent qu’il y a bien dans la vision sarkozienne une rupture avec le modèle français et que son « libéralisme autoritaire » ne ressemble ni à l’héritage de la droite orléaniste, qui était davantage une « droite d’héritiers », ni à la tradition gaulliste, qui faisait beaucoup plus appel au rassemblement. Elle s’apparente davantage à la démarche du self-made-man américain, ce qui rejoint d’ailleurs le propre parcours de Nicolas Sarkozy.
vincponcet Posté 7 décembre 2006 Signaler Posté 7 décembre 2006 C'est un peu décevant, mais on s'y attendait. C'est dommage, Gérard a été interviewé pendant presque 1 heure et il a été, comme toujours,absolument brillant. Ils ont filmé notre table-ronde après, où Pierre Garello de l'IREF et Valentin Petkantchin de l'Institut Molinari ont fait des interventions très pertinentes, et ils en ont gardé quoi… 10 secondes chrono? Il ne faut pas rêver, on n'est pas prêt d'avoir une émission d'une heure rien que sur nous. quoique ? on pourrait monter nous-mêmes un reportage sur le monde libéral français et le proposer aux chaînes de télé ?
Rincevent Posté 7 décembre 2006 Signaler Posté 7 décembre 2006 Là on n'y croit plus une seconde, et on voit le spectre de la mégalomanie et du pouvoir personnel s'emparer des idées libérales, ici comme ailleurs. Bon, je crois que le message est passé, et ce n'est pas en le rabâchant que tu convaincras qui que ce soit d'autres. Ca fait un peu obsessionnel, non ?
melt_core Posté 7 décembre 2006 Signaler Posté 7 décembre 2006 Il ne faut pas rêver, on n'est pas prêt d'avoir une émission d'une heure rien que sur nous. Je demandais pas une heure, mais là ils ont perdu plus de temps à nous montrer des adjoints au maire bidon qui n'ont rien à dire qu'à nous présenter les arguments de Gérard Bramoullé… quoique ? on pourrait monter nous-mêmes un reportage sur le monde libéral français et le proposer aux chaînes de télé ? Faut proposer à Endemole de monter un projet d'adaptation Française de Penn & Teller: Bullshit. J'suis certain qu'Arthur dirait pas non à une émission humoristique sur la politique qui adopte une ligne éditoriale à l'opposée totale de celle des Guignols.
Rincevent Posté 7 décembre 2006 Signaler Posté 7 décembre 2006 Faut proposer à Endemole de monter un projet d'adaptation Française de Penn & Teller: Bullshit. J'suis certain qu'Arthur dirait pas non à une émission humoristique sur la politique qui adopte une ligne éditoriale à l'opposée totale de celle des Guignols. On se ferait bien traiter de poujadistes, mais je suis certain que ça marcherait… Si les télévisions n'étaient pas inféodées au pouvoir.
christophe Posté 7 décembre 2006 Auteur Signaler Posté 7 décembre 2006 On se ferait bien traiter de poujadistes, mais je suis certain que ça marcherait… Si les télévisions n'étaient pas inféodées au pouvoir. Et là tu rejoins le thème de mon intervention sur Direct 8. Cela dit comme tout le monde était contre moi j'ai vraiment eu du mal à m'en sortir.
Rincevent Posté 7 décembre 2006 Signaler Posté 7 décembre 2006 Et là tu rejoins le thème de mon intervention sur Direct 8. Cela dit comme tout le monde était contre moi j'ai vraiment eu du mal à m'en sortir. Alors j'ai hâte de pouvoir la voir sur le site de LC.
christophe Posté 7 décembre 2006 Auteur Signaler Posté 7 décembre 2006 Alors j'ai hâte de pouvoir la voir sur le site de LC. Je vous tiens au courant.
John Loque Posté 7 décembre 2006 Signaler Posté 7 décembre 2006 Je vous tiens au courant. Je profite d'un fil "LC" pour vous signaler une erreur sur le site. Dans la page média, une interview de Vincent Ginocchio est intitulée Pour le vote à "main levée" lors des grèves! alors que vous défendez (à raison) le vote secret.
Calembredaine Posté 8 décembre 2006 Signaler Posté 8 décembre 2006 Je profite d'un fil "LC" pour vous signaler une erreur sur le site. Dans la page média, une interview de Vincent Ginocchio est intitulée Pour le vote à "main levée" lors des grèves! alors que vous défendez (à raison) le vote secret. C'est vrai? Et vous trouvez cela libéral? C'est libéral de s'ingérer dans des affaires privées?
christophe Posté 8 décembre 2006 Auteur Signaler Posté 8 décembre 2006 C'est vrai? Et vous trouvez cela libéral? C'est libéral de s'ingérer dans des affaires privées? On est pas dans une situation libérale. Pas de concurrence entre les syndicats, fonds financés par l'Etat. Une fois que cette situation aura disparu, évidemment qu'on sera contre interdire quoique ce soit. Mais là c'est un passage obligé. La modif a été faite. Merci.
Calembredaine Posté 8 décembre 2006 Signaler Posté 8 décembre 2006 On est pas dans une situation libérale. Pas de concurrence entre les syndicats, fonds financés par l'Etat.Une fois que cette situation aura disparu, évidemment qu'on sera contre interdire quoique ce soit. Mais là c'est un passage obligé. La modif a été faite. Merci. Je ne comprends pas. Pourquoi exiger un vote à bulletin secret, exigence liberticide alors que la logique voudrait que vous exigiez, en tant que libéraux, la fin de ce que tu dénonces à juste titre? (Financement public, pas de réelle liberté syndicale, etc.) Vous proposez une mesure de droite et rien d'autre.
WALDGANGER Posté 8 décembre 2006 Signaler Posté 8 décembre 2006 j'imagine que cela concerne surtout les entreprises publiques, ce ne sont donc pas des affaires privées
melt_core Posté 8 décembre 2006 Signaler Posté 8 décembre 2006 Je ne comprends pas. Pourquoi exiger un vote à bulletin secret, exigence liberticide alors que la logique voudrait que vous exigiez, en tant que libéraux, la fin de ce que tu dénonces à juste titre? (Financement public, pas de réelle liberté syndicale, etc.)Vous proposez une mesure de droite et rien d'autre. Je te propose cette note économique; http://www.iedm.org/uploaded/pdf/sept05_fr.pdf Bon, c'est pas à propos de la France, mais la situation est comparable. Regarde en particulier le tableau de comparaison entre vote à main levée et vote secret vs taux de syndicalisation. Si pour arriver à une fin libertarienne faut passer par un moyen conservateur moi ça me gêne pas…
vincponcet Posté 8 décembre 2006 Signaler Posté 8 décembre 2006 Je ne comprends pas. Pourquoi exiger un vote à bulletin secret, exigence liberticide alors que la logique voudrait que vous exigiez, en tant que libéraux, la fin de ce que tu dénonces à juste titre? (Financement public, pas de réelle liberté syndicale, etc.)Vous proposez une mesure de droite et rien d'autre. Parce que la liberté syndicale, même si on la clame, nous ne sommes pas prêt de l'avoir. http://www.liberte-cherie.com/a2608-Mandat…_syndicats.html Il est plus facile de demander ce genre de demi-mesure qui effectivement bloqueront les syndicats illégitimes. on ne renonce pas à l'objectif de long terme, mais on pose des choses à court terme aussi pour réduire la nuisance. L'objectif de long terme annihilant la demi-mesure court terme, l'objectif n'est pas perdu. Par ex, nous sommes pour des conventions collectives qui ne s'appliquent qu'aux membres du syndicat qui l'a signé. Du fait, cela annihile tous les trucs pseudo-démocratiques comme les votes. De même pour le financement, la suppression totale des subventions publiques, on ne l'aura pas demain. C'est pour cela que nous demandons la certification des comptes des syndicats, au motif qu'ils perçoivent de l'argent public. http://www.liberte-cherie.com/a2609-Le_fin…orme_juste.html Sur l'avis du CES : http://www.liberte-cherie.com/a2607-Avis_d…_syndicale.html
christophe Posté 8 décembre 2006 Auteur Signaler Posté 8 décembre 2006 Je ne comprends pas. Pourquoi exiger un vote à bulletin secret, exigence liberticide alors que la logique voudrait que vous exigiez, en tant que libéraux, la fin de ce que tu dénonces à juste titre? (Financement public, pas de réelle liberté syndicale, etc.)Vous proposez une mesure de droite et rien d'autre. Va voir sur le site: on ne fait que ça demander la suppression du financement public syndical, la liberté syndicale etc. Cela dit, en attendant que cela soit fait, on dit qu'on préfère que le vote se fasse à bulletin secret. Car demain si on essaie de supprimer le financement public des syndicats, il y aura des grèves avec une minorité de gens mais les grèves seront reconduites à cause des intimidations.
Calembredaine Posté 8 décembre 2006 Signaler Posté 8 décembre 2006 Parce que la liberté syndicale, même si on la clame, nous ne sommes pas prêt de l'avoir.Il est plus facile de demander ce genre de demi-mesure qui effectivement bloqueront les syndicats illégitimes. on ne renonce pas à l'objectif de long terme, mais on pose des choses à court terme aussi pour réduire la nuisance. L'objectif de long terme annihilant la demi-mesure court terme, l'objectif n'est pas perdu. Et bien je ne suis pas d'accord. Bien que conscient des réalités que tu évoques, je trouve dangereux de dénaturer le message libéral: on n'y comprend plus rien. La fin ne justifie pas les moyens. Que dirais-tu si tu montais une association et que des individu fassent pression et utilisent la force pour t'obliger à en changer les statuts? C'est le moment de ruer dans les brancards, alors que l'on parle de plus en plus de l'illégitimité des syndicats. Il est absurde de demander moins de réglementation dans le monde du travail tout en s'ingérant dans des affaires privées. J'entendais ce matin sur Europe 1, un responsable politique (oublié son nom) dire que les accords décrochés par un syndicat ne devraient concerner que ses adhérents. Le but étant de prouver l'efficacité des syndicats et d'inciter les gens à y adhérer. Comme c'est ce que je répète depuis des années, j'étais plutôt content mais c'est la preuve que cette période pré-électorale est propice aux idées neuves et que l'on peut se permettre de briser les tabous. Alors quand je vois LC défendre "l'idée" de l'UMP consistant à imposer le vote à bulletin secret, je trouve cela d'une nullité affligeante. Alors, oui, cela sera probablement efficace contre les blocages mais cela ne sert ni la cause du libéralisme, ni le syndicalisme.
christophe Posté 8 décembre 2006 Auteur Signaler Posté 8 décembre 2006 Et bien je ne suis pas d'accord. Bien que conscient des réalités que tu évoques, je trouve dangereux de dénaturer le message libéral: on n'y comprend plus rien.La fin ne justifie pas les moyens. Que dirais-tu si tu montais une association et que des individu fassent pression et utilisent la force pour t'obliger à en changer les statuts? C'est le moment de ruer dans les brancards, alors que l'on parle de plus en plus de l'illégitimité des syndicats. Il est absurde de demander moins de réglementation dans le monde du travail tout en s'ingérant dans des affaires privées. J'entendais ce matin sur Europe 1, un responsable politique (oublié son nom) dire que les accords décrochés par un syndicat ne devraient concerner que ses adhérents. Le but étant de prouver l'efficacité des syndicats et d'inciter les gens à y adhérer. Comme c'est ce que je répète depuis des années, j'étais plutôt content mais c'est la preuve que cette période pré-électorale est propice aux idées neuves et que l'on peut se permettre de briser les tabous. Alors quand je vois LC défendre "l'idée" de l'UMP consistant à imposer le vote à bulletin secret, je trouve cela d'une nullité affligeante. Alors, oui, cela sera probablement efficace contre les blocages mais cela ne sert ni la cause du libéralisme, ni le syndicalisme. Il s'agit donc de dire que cette mesure n'est que temporaire et qu'elle n'est pas un objectif final, celui-ci étant la fin des subventions aux syndicats et leur libéralisation.
vincponcet Posté 8 décembre 2006 Signaler Posté 8 décembre 2006 Et bien je ne suis pas d'accord. Bien que conscient des réalités que tu évoques, je trouve dangereux de dénaturer le message libéral: on n'y comprend plus rien.La fin ne justifie pas les moyens. Que dirais-tu si tu montais une association et que des individu fassent pression et utilisent la force pour t'obliger à en changer les statuts? C'est le moment de ruer dans les brancards, alors que l'on parle de plus en plus de l'illégitimité des syndicats. Il est absurde de demander moins de réglementation dans le monde du travail tout en s'ingérant dans des affaires privées. J'entendais ce matin sur Europe 1, un responsable politique (oublié son nom) dire que les accords décrochés par un syndicat ne devraient concerner que ses adhérents. Le but étant de prouver l'efficacité des syndicats et d'inciter les gens à y adhérer. Comme c'est ce que je répète depuis des années, j'étais plutôt content mais c'est la preuve que cette période pré-électorale est propice aux idées neuves et que l'on peut se permettre de briser les tabous. Alors quand je vois LC défendre "l'idée" de l'UMP consistant à imposer le vote à bulletin secret, je trouve cela d'une nullité affligeante. Alors, oui, cela sera probablement efficace contre les blocages mais cela ne sert ni la cause du libéralisme, ni le syndicalisme. Tu sais très bien que les syndicats font violence à ceux qui ne les soutiennent pas en période de grève. Normalement, dans un monde libre, une personne qui fait violence à autrui est condamné, mais là, les syndicats ont une exemption du droit. Donc c'est quoi ta solution ? Si la réponse est supprimer le code du travail et les droits syndicaux qui vont avec, je doute que tu passes à la télé avec ça. En plus, il y a la question du statut syndical dans la constitution. Aussi, il faut savoir que quand tu es invité à une émission débat, la plupart du temps, il y a une question posée, et tu dois dire si tu es pour ou contre. Il n'y a pas d'autre réponse possible. Donc tu dis pour ou contre la proposition, et ensuite, quand tu as la parole, tu peux dire que le pb n'est pas là blablabla. mais bon, tu n'as pas non plus toujours le temps de parole voulu. Si tu ne dis pas si tu es pour ou contre la question, et bien, tu n'es pas invité. Donc que faire ? Passer un message dans les médias, c'est très difficile, alors s'il te plait, n'ai pas trop la critique facile. Au fait, le passage média date du 1er septembre. La remise en cause de la représentativité syndicale, ça date médiatiquement d'il y a 2 semaines. Si on avait un passage média tout de suite, on pourrait dire des trucs plus trash et même avoir des questions trash de la part des journalistes. Pour passer dans les médias, il faut quand même être un petit peu dans le sens du vent.
Calembredaine Posté 9 décembre 2006 Signaler Posté 9 décembre 2006 Tu sais très bien que les syndicats font violence à ceux qui ne les soutiennent pas en période de grève. Normalement, dans un monde libre, une personne qui fait violence à autrui est condamné, mais là, les syndicats ont une exemption du droit. Donc c'est quoi ta solution ? La suppression de l'exemption. Si la réponse est supprimer le code du travail et les droits syndicaux qui vont avec, je doute que tu passes à la télé avec ça. En plus, il y a la question du statut syndical dans la constitution. Je ne vois pas l'intérêt de passer à la télé pour défendre son petit confort avant ses idées libérales. Aussi, il faut savoir que quand tu es invité à une émission débat, la plupart du temps, il y a une question posée, et tu dois dire si tu es pour ou contre. Il n'y a pas d'autre réponse possible. La réponse est pourtant simple: les libéraux sont contre. Donc tu dis pour ou contre la proposition, et ensuite, quand tu as la parole, tu peux dire que le pb n'est pas là blablabla. Voilà. Passer un message dans les médias, c'est très difficile, alors s'il te plait, n'ai pas trop la critique facile. Ha, ça c'est sûr, je n'ai ni le courage, ni le talent pour cela. Dois-je la boucler pour autant? Je pense qu'il est bon de multiplier les passages TV mais il ne faut pas que cela devienne une obsession au point d'en oublier ce que l'on défend. Au fait, le passage média date du 1er septembre.La remise en cause de la représentativité syndicale, ça date médiatiquement d'il y a 2 semaines. Si on avait un passage média tout de suite, on pourrait dire des trucs plus trash et même avoir des questions trash de la part des journalistes. Pour passer dans les médias, il faut quand même être un petit peu dans le sens du vent. Ok.
Invité jabial Posté 9 décembre 2006 Signaler Posté 9 décembre 2006 Je ne comprends pas. Pourquoi exiger un vote à bulletin secret, exigence liberticide alors que la logique voudrait que vous exigiez, en tant que libéraux, la fin de ce que tu dénonces à juste titre? (Financement public, pas de réelle liberté syndicale, etc.)Vous proposez une mesure de droite et rien d'autre. C'est quoi ce délire? Depuis quand c'est une affaire privée une association de malfaiteurs? Depuis quand c'est de droit de permettre aux gens de voter en secret pour ne pas se faire intimider au lieu de laisser des aristocrates pendre une décision en leur nom? Si ça doit être latéralisé, c'est une mesure de gauche, monsieur.
christophe Posté 9 décembre 2006 Auteur Signaler Posté 9 décembre 2006 C'est quoi ce délire? Depuis quand c'est une affaire privée une association de malfaiteurs? Depuis quand c'est de droit de permettre aux gens de voter en secret pour ne pas se faire intimider au lieu de laisser des aristocrates pendre une décision en leur nom?Si ça doit être latéralisé, c'est une mesure de gauche, monsieur. Une chose: on ne peut effectivement pas parler d'affaire privée en l'état actuel des choses. Tout est financé avec notre pognon. C'est donc en l'état une affaire publique. Tant que c'est public, on a le droit de mettre notre nez dedans (réclamer le vote à bulletin secret) et en profiter pour exiger que les syndicats deviennent privés (autre moyen de dire qu'on veut supprimer les subventions).
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