chatborgne Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 Pour la première fois, Le Cri du Contribuable publie l’argus parlementaire des cinq ans de la mandature. Récapitulatif des cinq argus annuels, il permet, d’un seul coup d’oeil, de se faire une idée de l’activité législative des députés qui se sont engagés sur les réductions des dépenses publiques ; et, plus généralement, sur leur proximité avec les thèmes qui nous sont chers [note :Contribuables Associes]. Au moment où l’on s’apprête à renouveler l’Assemblée nationale, Contribuables Associés apporte sa pierre au débat politique en cours. L'article complet : http://www.lecri.fr/L-argus-des-577-deputes.html Le palmares :
Jesrad Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 Ils ont presque tous une tête à être invités à dîner Mercredi soir (Non pas que je vaille mieux)
Roniberal Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 En tout cas, cette élection législative sera marquée par le départ de l'Assemblée Nationale du seul authentique libéral qui s'y trouvait.
WALDGANGER Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 Ils sont tous membre du courant réformateur de l'UMP.
Rincevent Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 En tout cas, cette élection législative sera marquée par le départ de l'Assemblée Nationale du seul authentique libéral qui s'y trouvait. Ah ? Lequel ?
Etienne Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 Ah ? Lequel ? Madelin. Il ne se représente pas.
Rincevent Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 Madelin. Il ne se représente pas. (Et il va vivre de quoi, désormais ?)
A.B. Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 (Et il va vivre de quoi, désormais ?) Desormais il va vivre honnetement
Cochon Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 (Et il va vivre de quoi, désormais ?) Des subsides du grand capital international
bugs Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 (Et il va vivre de quoi, désormais ?) ça fait déjà un bout de temps qu'il pantoufle a l'OCDE … et apparamment, la soupe est bonne …
Cochon Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 ça fait déjà un bout de temps qu'il pantoufle a l'OCDE … et apparamment, la soupe est bonne … C'est bien ce que je dis, stipendié par le capitalisme sioniste international
Roniberal Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 Bockel n'est pas député ? Il n'est ni député, ni libéral.
Harald Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 Il n'est ni député, ni libéral. C'est moins net que cela. " Oui, nous sommes des socialistes libéraux. Socialistes, car nous devons opposer aux rapports de force et à l’injustice, la nécessité d’une émancipation partagée. Car nous nous donnons pour fin la justice et la protection sociale, la réduction des inégalités et la promotion des solidarités. Car nous travaillons au partage des biens et des droits à l’échelle du continent et du monde. Socialistes, car nous défendons l’esprit public, ce qui fait société. Car nous soutenons le principe d’une action collective et volontariste.Libéraux, car nous comprenons l’émancipation comme accès à la liberté. Nous défendons la liberté et la responsabilité individuelle, l’autonomie de la société civile, la délimitation de la souveraineté de l’État. L’émancipation doit être le fruit des libertés mises en commun : réunies par le débat et la négociation contractuelle, réglées par les normes du droit et l’exercice de la justice."
Roniberal Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 C'est moins net que cela. http://www.jm-bockel.com/Le-Blog/Le-Blog/TRIBUNE-JDD-5.html ""Ségolène et Dominique, unissez-vous" Il y a dix ans, en 1997, à quelques mois d'intervalle, Tony Blair et Lionel Jospin accédaient au pouvoir. En 2007, le premier ministre travailliste rend son tablier après avoir été élu trois fois de suite. De son côté, la gauche française essuie une nouvelle défaite. Elle sait déjà qu'au mieux, de Chirac à Sarkozy, l'alternance prendra dix-sept ans. Bien sûr, Tony Blair part en ayant été usé par le pouvoir. Un destin que la gauche française, volontiers distante ou critique, n'aura jamais vraiment eu le temps de connaître : il aurait pour cela fallu qu'elle soit capable de prendre le pouvoir efficacement et de gouverner durablement. Le blairisme, c'est d'abord cela : la rénovation à marche forcée de la gauche et la conduite d'une politique progressiste adaptée au monde d'aujourd'hui. Pendant que nous gouvernions, brièvement, à rebours de nos discours, les travaillistes osaient dire ce qu'ils allaient faire et procédaient en amont du pouvoir à leur aggiornamento idéologique. Ils renouvelaient ainsi leurs outils et inventaient de nouveaux leviers pour l'action politique. Pendant que nous passions (et passerons peut-être) nos longues années d'opposition à des affrontements stériles de clans et de personnes, cherchant le plus petit dénominateur commun, récitant des dogmes et maniant les solutions du passé, les travaillistes gouvernaient et changeaient la société. Ils réconciliaient l'efficacité économique et le progrès social. Ils rendaient possible une forte croissance, atteignaient le plein-emploi, organisaient une meilleure redistribution sociale (salaire minimum et lutte contre la pauvreté) et réalisaient un investissement sans précédent dans les services publics. Voilà le visage du travaillisme moderne, de la gauche, lorsque, sans renoncer à ses ambitions de justice et de cohésion sociale, elle affronte les réalités d'une économie ouverte et d'un monde d'échanges. Les ingrédients de la réforme, du succès économique et social, sont connus : réconcilier les libertés et les solidarités, responsabiliser, allier la production et la redistribution, mettre en mouvement la société et les territoires, assumer la nécessité des règles, n'accorder les droits qu'au regard des devoirs. Combien de défaites nous faudra-t-il pour en faire le coeur de notre doctrine et de notre pratique ? Combien de temps seront tenus pour hérétiques ceux qui portent les couleurs de cette gauche décomplexée car moderne ? Valait-il mieux perdre, et reperdre, sans toucher à ses certitudes, ou plutôt gagner en osant un peu de cette troisième voie que nous étions quelques-uns à porter depuis… dix ans ! Les nombreux électeurs de gauche qui se sont portés sur François Bayrou, voire sur Nicolas Sarkozy, ne disent rien d'autre : nous voulons un socialisme du temps présent, attentif à la production des richesses, réformateur et pragmatique. Il y a urgence, camarades, à laisser souffler un peu de blairisme en nous ! A Ségolène et à Dominique, à tous ceux qui portent la gauche nouvelle, j'ai envie de dire: lâchez-vous, allez au bout de vos audaces, unissez-vous et travaillons ensemble ! Sortons une fois pour toutes des ambiguïtés doctrinales, des luttes de factions, de l'éternel retour des mêmes, toujours perdants. Soyons un parti de masse, ouvert sur la société, force de travail et de proposition, professionnalisé et rénové dans son expression. Un parti capable de décider d'une ligne politique claire et se donnant tous les moyens de la rénovation et du succès. Un peu de Blair, pour que les socialistes français en finissent avec leur masochisme et conjuguent à nouveau la politique avec l'exercice des responsabilités et la transformation sociale. Un peu de Blair, pour transformer notre chant du cygne en chant d'espérance." http://www.jm-bockel.com/Le-Blog/Le-Blog-3.html "Le socialisme libéral : une voix pour la gauche, une voie pour la France " Nous sommes en crise, c’est entendu. Crise économique : chômage de masse, lourd endettement et croissance anémiée, dessinent les contours d’un échec durable. Crise sociale : exclusion et précarité, inégalités de situation et de destin, fragmentations des territoires, discriminations multiples, dysfonctionnement de la puissance publique, remettent en cause notre pacte social. Crise politique enfin : abstention chronique, vote protestataire, faiblesse de la délibération commune et de la culture de compromis, sclérose des partis, menacent l’exercice d’une démocratie partagée. Les symptômes sont là mais pour ne pas nous tromper d’action, ne nous trompons pas ici d’analyse. Nombreux sont ceux qui à gauche, et singulièrement au parti socialiste, appellent à un tournant anticapitaliste et antilibéral. Ajoutant le rejet du traité constitutionnel à la crise, ils attendent le sursaut d’une gauche radicale et alternative. Ils refusent l’accompagnement social-libéral du marché et défendent une forme canonique de l’Etat-providence, seul garant de l’intérêt général. Ce faisant, ils confondent les symptômes et la prescription des remèdes. Car si le non est bien le dernier avatar de l’insatisfaction générale, il ne contient pas en lui-même le choix d’une ligne politique : il n’implique en rien un « coup de barre à gauche ». Sans surprise, c’est dans la bouche du pragmatique Tony Blair que nous trouvons la description la plus fidèle de la crise : le non à l’Europe témoigne de l’insatisfaction des peuples et de l’échec des politiques conduites. Or le Danemark, la Suède, la Finlande, comme l’Angleterre, montrent à rebours que la réussite économique, le progrès social et la vitalité démocratique sont possibles et interdépendants. Sans qu’aucun de ces pays n’ait fait le choix d’un Etat-providence centralisateur, dirigiste et égalitaire. Tous, au contraire, me paraissent constituer des variantes possibles de ce socialisme libéral, qu’avec d’autres, j’appelle de mes vœux. En prenant au mot ce libellé. Socialisme, car nous devons opposer aux rapports de force et à l’injustice, la nécessité d’une émancipation partagée. Car nous devons chercher à défendre l’esprit public, ce qui fait société, à réduire les inégalités et à garantir les droits et les solidarités. Car nous devons soutenir le principe d’une action collective et volontariste. Libéral, car nous comprenons l’émancipation comme accès à la liberté. Nous défendons la délimitation de la souveraineté de l’Etat, la liberté et la responsabilité individuelle, l’autonomie de la société civile. L’émancipation doit être le fruit des libertés mises en commun ; réunies par le débat et la négociation contractuelle, réglées par les normes du droit et l’exercice de la justice. Reconnaissons, en conséquence, le rôle du marché, créateur de biens et d’échanges. Assumons la concurrence, source d’innovation, de mobilité sociale lorsqu’elle s’oppose aux avantages hérités et aux monopoles constitués. Mais soyons tout autant attentifs à leur régulation afin d’en corriger les injustices, afin de nous opposer à la seule logique de la production et de la rentabilité maximale. Oui, construire aujourd’hui une société solidaire suppose, tout en la dépassant, une économie de marché. Ce socialisme libéral est à la fois fort de son histoire et en prise sur le monde contemporain. Il porte avec lui le socialisme utopique de Fourier, le socialisme libertaire et non-marxiste de Proudhon, l’humanisme de Jaurès, l’inspiration autogestionnaire, politique et syndicale, de la deuxième gauche. Il entre en résonance avec nos sociétés modernes, ouvertes et plurielles. Conduites par l’individualisation, la multiplicité des activités et des appartenances. Sociétés dans lesquelles la liberté est un droit chéri et la justice une demande perpétuelle. Ce socialisme libéral, décliné selon des traditions différentes, je le vois à l’œuvre dans les pays d’Europe qui savent aujourd’hui inventer de nouveaux contrats de société en prise sur le monde tel qu’il va. Soit le Danemark dont le taux de chômage est passé de 10% à 5% entre 1994 et 2000. L’inspiration libérale s’exprime dans l’absence d’une législation contraignante sur la protection de l’emploi. L’inspiration socialiste s’y lit à travers le fort investissement de l’Etat dans les politiques de l’emploi (5% du PIB pour 6% de chômage contre 3% du PIB en France pour 10% de chômage) : indemnisation élevée du chômage (90% du salaire pendant 4 ans), et dispositif ambitieux de responsabilisation et d’accompagnement vers une nouvelle activité. Ce qui se traduit par un niveau élevé des prélèvements obligatoires (57,3% du PIB en 2004 contre 50,4% en France). La mobilité professionnelle ne s’oppose donc pas à la défense des intérêts des salariés et à l’action volontariste de la puissance publique. Apprenons qu’il est désormais préférable de protéger les travailleurs (en garantissant, par exemple, pour chacun des droits à la formation tout au long de la vie professionnelle) plutôt que les emplois existants. Soit l’Angleterre du nouveau travaillisme, trop souvent vue comme symbole d’une économie de marché où l’on écraserait les pauvres. Alors que la santé de l’économie anglaise (croissance soutenue, inflation contenue, déficit limité et taux d’intérêt réduits) se conjugue avec le progrès social. La tradition libérale y est forte et s’exprime économiquement dans la libéralisation du marché du travail, la responsabilisation individuelle, l’encouragement de l’esprit d’entreprise et d’innovation. Mais le volontarisme, d’essence socialiste, est tout aussi déterminant : la continuité de l’emploi naît autant de la fluidité du marché que de l’action publique (création des « maisons de l’emploi » organisant au mieux la rencontre entre l’offre et la demande). Parce qu’ils sont socialistes, les travaillistes font du plein emploi un défi social et redistribuent les richesses créées : instauration d’un salaire minimum (augmenté de 40% en 6 ans), hausse du pouvoir d’achat, lutte efficace contre la pauvreté (le nombre d’enfants pauvres a diminué de 25% en huit ans), augmentation volontariste des dépenses publiques permettant des investissements sans précédent en matière de recherche, d’éducation (avec un budget en hausse de 5,75% par an), de santé (+7,25%), de transport et de justice. L’Etat providence renaît en Angleterre, rénovant les services publics démantelés par les conservateurs, mais son action et ses méthodes sont nouvelles. Décentralisé, il détermine les besoins au plus près des réalités, déclinant son action en objectifs pragmatiques et évaluant régulièrement les résultats de services publics dont il n’a pas le monopole. Oui, le travaillisme met l’économie au service du social. Il nous apprend que c’est en créant des richesses que nous sommes ensuite capables de les redistribuer, que le succès économique, sans être suffisant, est nécessaire à toute politique progressiste réelle. Alors bien sûr, il serait vain de vouloir transposer à la France des solutions toutes faites : nous connaissons les conditions spécifiques qui donnent sens aux « modèles » danois ou anglais : forte représentation syndicale et culture du compromis, adaptation de la formation aux emplois innovants d’un côté, valorisation des libertés et délimitation du rôle de l’Etat de l’autre côté. Mais puisons dans ces exemples le désir d’inventer une expression française du socialisme libéral. Socialistes, nous devons oser un discours de vérité liant sens des réalités, responsabilité et ambition transformatrice. Soyons capables d’un réformisme résolu. Réunissons le pragmatisme et l’idéalisme, rénovons notre modèle social afin d’incarner nos ambitions, non dans les discours, mais au cœur du monde tel qu’il est. " C'est un authentique admirateur de Blair. Je l'ai été à un certain moment mais plus j'étudie sa politique, plus je me dis qu'en fait, celle-ci a peut-être aussi catastrophique que celle de Chirac. Par ailleurs, Bockel semble plus intéressé par la "modernisation" du service public que par sa privatisation. En bon social-démocrate qui se respecte, il prône un Etat "plus efficace.
Harald Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 C'est un authentique admirateur de Blair.Je l'ai été à un certain moment mais plus j'étudie sa politique, plus je me dis qu'en fait, celle-ci a peut-être aussi catastrophique que celle de Chirac. Par ailleurs, Bockel semble plus intéressé par la "modernisation" du service public que par sa privatisation. En bon social-démocrate qui se respecte, il prône un Etat "plus efficace. J'en ai bien conscience, mais à tout prendre je préfère un barril de Bockel à deux de Fabius, par exemple.
Roniberal Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 J'en ai bien conscience, mais à tout prendre je préfère un barril de Bockel à deux de Fabius, par exemple. Je réagissais juste à la remarque de l'ami Messer qui semblait considérer Bockel comme un libéral. C'est incontestablement un type très courageux, je ne dis pas le contraire, mais il demeure un étatiste avant tout qui nous ressort le traditionnel discours du "public-privé": économie de marché couplée avec la justice sociale…
Toast Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 Rhôlala… "étatiste"… Un peu de nuance, moussaillon !
Roniberal Posted May 25, 2007 Report Posted May 25, 2007 Rhôlala… "étatiste"… Un peu de nuance, moussaillon ! Ben quoi? C'est vrai, non? Un type qui idôlatre Blair pour avoir augmenté le salaire minimum de 40% en 6 ans, fait exploser les budgets de l'éducation, des transports…, être revenu sur le "démantèlement" des transports publics par les conservateurs me semble être un authentique étatiste.
Cochon Posted May 26, 2007 Report Posted May 26, 2007 Je réagissais juste à la remarque de l'ami Messer qui semblait considérer Bockel comme un libéral.C'est incontestablement un type très courageux, je ne dis pas le contraire, mais il demeure un étatiste avant tout qui nous ressort le traditionnel discours du "public-privé": économie de marché couplée avec la justice sociale… Sauf qu'en France ce discours est déjà (nettement) plus libéral que la moyenne… Il faut prendre ce qu'il y a de moins pire
Messer Posted May 26, 2007 Report Posted May 26, 2007 Je réagissais juste à la remarque de l'ami Messer qui semblait considérer Bockel comme un libéral.C'est incontestablement un type très courageux, je ne dis pas le contraire, mais il demeure un étatiste avant tout qui nous ressort le traditionnel discours du "public-privé": économie de marché couplée avec la justice sociale… Libéral par rapport à ce qu'on a hein C'est pas Jefferson non plus j'en ai bien conscience. Et en plus il est de gauche.. (OK il est Sénateur, au temps pour moi).
Roniberal Posted May 26, 2007 Report Posted May 26, 2007 Sauf qu'en France ce discours est déjà (nettement) plus libéral que la moyenne… Je n'ai pas dit le contraire. Mais il n'est pas libéral pour autant.
Général Stugy Posted May 26, 2007 Report Posted May 26, 2007 Je n'ai pas dit le contraire.Mais il n'est pas libéral pour autant. Bah, je passe mes journées à dire "c'est bien mon petit, continue" à chaque fois qu'un des dadets qu'on me confie fait un pas, même modeste, vers la connaissance. Sinon je suis désespéré ! Ma députée a obtenu 0/29 ! Il faut dire qu'elle est PS. C'est plein de bobos à Nantes.
labbekak Posted May 26, 2007 Report Posted May 26, 2007 Sauf qu'en France ce discours est déjà (nettement) plus libéral que la moyenne… Il faut prendre ce qu'il y a de moins pire Discours pas plus libéral que celui de JMLP, voire moins … Puisque personne n'aurait le toupet de qualifier JMLP de libéral, faut-il entendre que le socialisme a désormais bonne presse, même ici ?
Cochon Posted May 26, 2007 Report Posted May 26, 2007 Discours pas plus libéral que celui de JMLP, voire moins … Puisque personne n'aurait le toupet de qualifier JMLP de libéral, faut-il entendre que le socialisme a désormais bonne presse, même ici ? Sauf à réduire le libéralisme à l'économie, et encore, je vois mal comment on peut qualifier le borgne de St Cloud de "plus libéral" que Bockel…
Messer Posted May 26, 2007 Report Posted May 26, 2007 Bah, je passe mes journées à dire "c'est bien mon petit, continue" à chaque fois qu'un des dadets qu'on me confie fait un pas, même modeste, vers la connaissance.Sinon je suis désespéré ! Ma députée a obtenu 0/29 ! Il faut dire qu'elle est PS. C'est plein de bobos à Nantes. Ville de merde J'ai rarement eu l'impression d'être entouré autant de rouges que là bas :S
labbekak Posted May 26, 2007 Report Posted May 26, 2007 Sauf à réduire le libéralisme à l'économie, et encore, je vois mal comment on peut qualifier le borgne de St Cloud de "plus libéral" que Bockel… Je ne comprends pas comment certains osent envisager un instant qu'un activiste du parti de Karl Marx ne puisse se qualifier de libéral pour une autre raison que de faire voter les libéraux pour lui. (Je n'ai pas plus de respect pour les adeptes belges du libéralisme social)
Cochon Posted May 26, 2007 Report Posted May 26, 2007 Je ne comprends pas comment certains osent envisager un instant qu'un activiste du parti de Karl Marx ne puisse se qualifier de libéral pour une autre raison que de faire voter les libéraux pour lui. (Je n'ai pas plus de respect pour les adeptes belges du libéralisme social) Vu le formidable poids électoral des libéraux en France, ça montrerait que l'activiste en question a un certain courage ou aime prendre des risques
labbekak Posted May 26, 2007 Report Posted May 26, 2007 Vu le formidable poids électoral des libéraux en France, ça montrerait que l'activiste en question a un certain courage ou aime prendre des risques Je ne sais pas en quoi leur poids peut faire pencher la balance dans sa circonscription (ou si le manque de concurrence à sa gauche lui permet d'aller piocher en appoint des voix libérales). Je ne comprends pas le libéral qui irait donner son vote au PS, quelle hérésie ! (J'aime pas ton pseudo, en plus !)
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