Jesrad Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 Une autre est que tout ce qui peut em….er Bush est bon à prendre. D'où les couronnements de Pinter, Carter, etc. D'où aussi la Palme d'Or pour "Farenheit 9/11".
Ronnie Hayek Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 ex-terroriste ayant entamé des négociations avec Israël serait tout de même plus neutre Et puis, après Begin, ma foi…
Salim32 Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 Cette nomination s'associe tres bien avec la couverture du nouvel obs de cette semaine: Au dessus de "Nicolas Hulot" il y a ecrit: Taxes à la pompe Vitesse automobile OGM Pesticides Nucleaire… Il se prend pour qui pour dire "je veux", un prophete des temps moderne ? Il faudrait lui rabatre son caquet un peu … Les plus modestes d'entre nous te remerssion, grace a toi notre pouvoir d'achat vas en prendre un coup
Taranne Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 Cette nomination s'associe tres bien avec la couverture du nouvel obs de cette semaine: L'écologisme - couplé avec l'hygiénisme et l'antiterrorisme - va peut-être bien réussir là où le totalitarisme avait échoué.
Jesrad Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 On rééduque bien les jeunes turbulents, alors pourquoi pas les adultes "inciviques" ?
Salim32 Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 L'écologisme - couplé avec l'hygiénisme et l'antiterrorisme - va peut-être bien réussir là où le totalitarisme avait échoué. Quelle belle citation !! Pas impossible qu'elle se retrouve dans les bouquins d'histoire de l'an 2500 quand ils parlerons ,avec du recul, de notre epoque… On rééduque bien les jeunes turbulents On les gave des le plus jeune age avec Sir Al Gore: http://tf1.lci.fr/infos/sciences/environne…i-derange-.html
Jess Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 Quelle belle citation !! Pas impossible qu'elle se retrouve dans les bouquins d'histoire de l'an 2500 quand ils parlerons ,avec du recul, de notre epoque… Y'aura plus personne en 2500 …. Vous êtes rigolos avec votre théorie du complot qui ressort quel que soit le sujet, même si à la longue ça devient lassant.
Salim32 Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 A oui c'est vrai j'avais oublié de regarder une verite qui derange avant d'ecrire 2500 Vous êtes rigolos avec votre théorie du complot qui ressort quel que soit le sujet, même si à la longue ça devient lassant. Je parlerais plus de "buzz" (au sens internet du therme) que de complot
Taranne Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 Vous êtes rigolos avec votre théorie du complot qui ressort quel que soit le sujet, même si à la longue ça devient lassant. On se demande qui t'oblige à nous lire.
h16 Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 On se demande qui t'oblige à nous lire. C'est un autre complot. Pauvre Jess. Il est pris au milieu d'une affaire d'état l'obligeant à lire lib.org. Quelle torture abominable !
DoM P Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 ex-terroriste ayant entamé des négociations avec Israël serait tout de même plus neutre Plus neutre, certes. Mais faux. Arafat, chef du groupement terroriste Fatah, puis de l'OLP n'a jamais entamé de négociation de paix avec Israël. Il a signé les accords d'Oslo, suite à des négociations entamées par les Etats-Unis à la demande d'Israël. On notera une légère différence, hein On n'oubliera pas non plus qu'il est à l'origine de l'échec des négociations de Camp David II, et propablement partiellement à l'origine de la seconde intifada qui s'ensuivit.
ts69 Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 Y'aura plus personne en 2500 ….Vous êtes rigolos avec votre théorie du complot qui ressort quel que soit le sujet, même si à la longue ça devient lassant. Toutes conséquences n'est pas forcément le fruit de volontés conscientes. Elles n'en sont pas moins réelles. L'écologisme - couplé avec l'hygiénisme et l'antiterrorisme - va peut-être bien réussir là où le totalitarisme avait échoué. +1. ça pue vraiment du cul sur le monde entier en ce moment.
Rincevent Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 The meaning of peace is the absence of opposition to socialism- Karl Marx Je crois que je vais la reprendre - quand j'aurai fait le ménage parmi mes citations actuelles.
Coldstar Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 A partir de ce jour, gageons que le "négationnisme climatique" deviendra punissable par la Loi. Ca a déjà été réclamé…
Invité jabial Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 Bon, ça y est, c'est sûr, l'écologisme sera le futur grand idéal totalitaire venu en remplacement du marxisme quelque peu passé de mode. Et les copains, pour rappel, les populations locales ont remercié les communistes du Vietnam de les avoir débarassés des Khmers Rouges, des proto-écolos "back to the trees". Ca vous donne une idée d'à quel point RonnieHayek avait raison - pire que le communisme, c'est possible. La surprise, c'est que ça a déjà été inventé.
Punu Posté 12 octobre 2007 Signaler Posté 12 octobre 2007 Je ne pense pas. Je vois plutôt le truc comme un revival du syndicalisme des années 60 et 70 : pendant 20 à 30 ans, tout le monde va en baver, puis on remettra les mesures à plat. D'ici-là, je conseille de ne pas investir dans les transporteurs routiers et les constructeurs automobiles. Par contre, y a bon Suez.
alex6 Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 Bon, ça y est, c'est sûr, l'écologisme sera le futur grand idéal totalitaire venu en remplacement du marxisme quelque peu passé de mode. C'est ce que je me dis aussi, la bête n'est pas morte.
0100011 Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 C'est ce que je me dis aussi, la bête n'est pas morte. Le pire est que nous avons à faire à une bête mutante issue de manipulations idéologiques génétiques douteuses.
Ronnie Hayek Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 C'est ce que je me dis aussi, la bête n'est pas morte. Ta phrase me rappelle cette vieille bande dessinée :
Librekom Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 L'écologisme - couplé avec l'hygiénisme et l'antiterrorisme - va peut-être bien réussir là où le totalitarisme avait échoué. je plussoie
calypso Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 Hallucinant, et complètement hors sujet! Et pas une voix médiatique pour dénoncer l'imposture, à part cette vieille ronchon d'Elisabeth Lévy, avec qui cette vieille ronchon de Calypso est souvent en phase, du moins sur les sujets en "isme" relevant du "politiquement correct" ( écologisme, anti-racisme, nationalisme etc..) Ils auraient du nobelliser Cecilia pour la libération des infirmières bulgares, au moins on aurait bien rigolé.
Patrick Smets Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 Ils auraient du nobelliser Cecilia pour la libération des infirmières bulgares,
Taranne Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 Hallucinant, et complètement hors sujet!Et pas une voix médiatique pour dénoncer l'imposture, à part cette vieille ronchon d'Elisabeth Lévy, avec qui cette vieille ronchon de Calypso est souvent en phase, du moins sur les sujets en "isme" relevant du "politiquement correct" ( écologisme, anti-racisme, nationalisme etc..) Ils auraient du nobelliser Cecilia pour la libération des infirmières bulgares, au moins on aurait bien rigolé. Ben au moins on l'aurait donné à quelqu'un qui a FAIT quelque chose, ce qui n'est le cas ni de Gore ni du GIEC. Qu'est-ce qu'elle a dit, la lizette, au juste?
Cochon Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 Hallucinant, et complètement hors sujet!Et pas une voix médiatique pour dénoncer l'imposture, à part cette vieille ronchon d'Elisabeth Lévy, avec qui cette vieille ronchon de Calypso est souvent en phase, du moins sur les sujets en "isme" relevant du "politiquement correct" ( écologisme, anti-racisme, nationalisme etc..) Ils auraient du nobelliser Cecilia pour la libération des infirmières bulgares, au moins on aurait bien rigolé. La justification. En gros, Bush a été élu et réélu sur des idées de droite, ça ne passe pas chez une certaine gôche caviar internationale.
Quartier-maître Quentin Posté 13 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 13 octobre 2007 Ainsi, pour le Washington Post, l'honneur fait vendredi à Al Gore, conjointement avec le Groupe de l'ONU sur le climat (Giec), est "perçu comme une rebuffade de plus infligée à l'impopulaire président" Bush, dont "l'inaction sur le changement climatique est un des principaux ratages de sa présidence". C'est un point positif pour le bilan de Bush.
calypso Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 Qu'est-ce qu'elle a dit, la lizette, au juste? Au juste, je ne me souviens plus, je l'ai entendue sur Europe 1 hier midi et elle semblait bien "remontée". En gros qu'elle en a marre de devoir se prosterner sans arrêt devant les "sauveteurs" de la planète, marre de cette nouvelle religion et du terrorisme intellectuel qui gravite autour. Tout à fait dans la ligne des "Maîtres censeurs"
Taranne Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 Le Monde in love with Al: Al Gore, un révolutionnaire très convenableLE MONDE | 13.10.07 | 14h02 • Mis à jour le 13.10.07 | 14h02 l Gore n'a plus besoin de se présenter à la présidence des Etats-Unis. Sa revanche est accomplie. En sept ans, l'ancien perdant de l'élection de novembre 2000 aura connu un retournement de fortune extraordinaire. Les honneurs s'accumulent : un Oscar pour son film Une vérité qui dérange, la tête des meilleures ventes pour son livre The Assault on Reason, un Emmy (la principale récompense du petit écran) pour sa chaîne de télévision Current TV… Et maintenant le Nobel de la paix. Une situation inverse à celle du gagnant de 2000, George Bush - plus le temps passe, plus les louanges se font rares… Sept ans exactement après l'élection qui a vu le sort des Etats-Unis suspendu à une décision de la Cour suprême, Albert Arnold Gore, 59 ans, "l'ex-futur président", selon son expression favorite, est couronné pour son engagement à "éveiller les consciences sur les risques que présentent les changements climatiques", une cause qui le préoccupe depuis plus de vingt ans et qui lui avait déjà valu d'être surnommé "Ozone Man" par George Bush père en 1992. Quand il est revenu au Congrès en mars, pour la première fois depuis décembre 2000, plusieurs de ses anciens collègues avaient quasiment la larme à l'oeil : vingt ans déjà depuis la première audition organisée par Al Gore sur le changement climatique. A entendre Davis Guggenheim, le réalisateur de Une vérité qui dérange, Al Gore est doué d'une sorte de "prescience" des phénomènes de demain. Il n'y paraît pas. L'homme a l'allure balourde et une biographie de notable : huit ans à la Chambre des représentants, huit ans au Sénat, huit ans à la vice-présidence. Il a grandi à Carthage, une localité de 2 500 habitants dans le Tennessee, et à Washington, à Saint Albans, une école huppée à l'ombre de la cathédrale nationale, où l'on commence l'office par une injonction aux "hommes du futur" à prendre leur part dans le "service de Dieu et de la nation". En 2000, le cinéaste Woody Allen le décrivait comme "falot", "empoté", "verbeux" et "guindé" (tout en expliquant qu'il voterait bien évidemment pour lui). Les journalistes politiques le jugeaient emphatique, pompeux. Rien du portrait d'un agitateur d'avant-garde. Al Gore a pourtant été aux avant-postes des innovations des vingt dernières années. En 1991, il a attaché son nom à une loi qui a abouti au développement des réseaux sur le Net (contrairement à un sarcasme répandu, il n'a pas affirmé avoir "inventé l'Internet" mais avoir "pris l'initiative dans la création de l'Internet"). En 2005, il a créé une télévision alternative, Current TV, censée pratiquer la démocratie tous azimuts. Fini les émissions imposées d'en-haut, le diktat des annonceurs. Sur la télé d'Al Gore - qui n'y paraît personnellement jamais -, la base crée le contenu. La chaîne a 38 millions d'abonnés. L'homme qui n'osait pas, quand il était candidat, désavouer trop rudement les créationnistes, a publié cette année un brûlot, où il explique que les médias mettent en danger la démocratie en ignorant les débats d'idées - et les faits - au profit du bagout et du divertissement. Comme on s'en doute, la presse n'a pas beaucoup apprécié le livre. "Beaucoup d'ouvrages d'hommes politiques sont en fait écrits par d'autres. Nous avons au moins la certitude que ce n'est pas le cas de celui-ci. Seul Al Gore aurait pu écrire un tel livre", a résumé le Washington Post. Dans le magazine Reason, le critique Michael Moynihan a de son côté reproché à M. Gore de dénoncer les politiciens qui jouent sur les peurs de l'électeur "tout en affirmant que Manhattan va bientôt être engloutie par l'Atlantique". The Assault on Reason (L'Assaut contre la raison) n'en est pas moins devenu un best-seller. Al Gore a toujours été un personnage à part. Etudiant à Harvard, il s'est engagé au Vietnam, à un moment où la jeunesse était plutôt pacifiste. Il est vrai que son père, le sénateur Albert Gore Senior - quatorze ans à la Chambre, dix-huit ans au Sénat -, avait pris position contre la guerre et qu'il était en passe d'être battu aux élections de 1970. Gore junior n'a passé que six mois au front, et comme journaliste. Mais quand il est revenu, il s'est inscrit en théologie à l'université Vanderbilt. Des années plus tard, un journaliste du New York Times a tenté de comprendre le parcours religieux d'un homme qui était baptiste dans le Sud et méthodiste à Washington. "Vous considérez-vous comme born-again (chrétien re-né> ?, a-t-il demandé. - Je n'en parle jamais sauf si on me pose directement une question qui contient cette expression, a répondu le vice-président, parce que les gens attachent de nombreuses significations à ce mot." Silence. Le journaliste a reposé la question. "Born-again ? Al Gore a répondu d'un mot : - Oui", et l'affaire en est restée là. Dans un milieu très moutonnier, Al Gore a pris des positions singulières. En 1990, il a été l'un des seuls sénateurs démocrates à voter pour la guerre du Golfe après l'invasion du Koweït par Saddam Hussein. Il a été l'une des rares figures à s'opposer à l'intervention en Irak. Son discours, le 23 septembre 2002 à San Francisco, a été mis au compte d'une aigreur restée vive à l'encontre de George Bush. A la relecture, le texte prend un autre sens. Il y met en garde contre le danger de bondir "d'une mission inachevée (l'Afghanistan> à une autre (l'Irak>" et le "chaos" qui pourrait éventuellement succéder à une victoire militaire, ce qui "présenterait pour les Etats-Unis un danger plus grand que celui que constitue Saddam Hussein actuellement". Après sa défaite, Gore s'est reconverti dans les affaires. Il a considérablement augmenté sa fortune, en devenant membre du conseil d'administration d'Apple, conseiller de Google, et en créant sa firme d'investissements. Il aura réussi tout, sauf la présidence. Peut-être est-ce justement parce qu'il était promis dès l'enfance à devenir président, presque programmé ? Dès 1988, il a cherché à obtenir la nomination démocrate. Il a remporté la victoire dans sept Etats mais il n'avait pas le soutien de Hollywood qui reprochait à sa femme, Tipper, sa campagne contre la violence et le sexe dans le monde du spectacle. Il avait été devancé par Michael Dukakis. Al Gore comptait faire une nouvelle tentative lorsque son fils, Albert III, le dernier de ses quatre enfants, a été renversé par une voiture à l'âge de 6 ans. Le petit garçon est resté des mois entre la vie et la mort. Al Gore a pris ses distances avec la politique. Et c'est au chevet de son fils qu'il a commencé son premier livre sur l'environnement Sauver la planète Terre (Albin Michel), sorti en 1992. Un best-seller, déjà, traduit en 33 langues. Depuis la sortie du film Une vérité qui dérange, Al Gore parcourt la planète en VRP de l'urgence écologique. Il l'a montré à Tony Blair, à Sir Richard Branson, le PDG de Virgin, qu'il espère faire renoncer à envoyer des navettes hautement consommatrices de carburant dans l'espace. Al Gore fréquente les stars mais n'est jamais passé à la rubrique "people", à l'exception d'une petite incursion cet été lorsque son fils, âgé désormais de 25 ans, a été arrêté pour excès de vitesse avec de la marijuana dans sa voiture. Sur les tapis rouges, l'ancien vice-président a toujours l'air emprunté. Après le passage de l'ouragan Katrina, en septembre 2005, il a affrété personnellement un avion pour aller chercher 270 patients immobilisés sans électricité à l'hôpital de la Charité à La Nouvelle-Orléans. Le docteur David Kline, désespéré, avait fait appel à lui, ne sachant plus vers qui se tourner. Le Dr Kline était le chirurgien qui avait soigné le fils d'Al Gore après son accident. L'ancien vice-président a payé la location de l'avion. Deux groupes de 140 et 130 malades ont été transportés dans le Tennessee. Al Gore n'en a jamais parlé. Corine Lesnes Article paru dans l'édition du 14.10.07 On parie combien que Al sera candidat en 2008?
Cochon Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 Le Monde in love with Al:On parie combien que Al sera candidat en 2008? En plus de faire de la désinformation et de l'anti-américanisme, les médias français sont tout de même amnésiques. Il y a tout juste 8 ans, ils dénonçaient Clinton et Gore comme des libéraux, des traîtres au Welfare, des bombardeurs du Soudan, de la Serbie et de l'Irak, des impérialistes séides de l'OMC et on en passe. Faut croire que Gore a sacrément changé
Hakill Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 On parie combien que Al sera candidat en 2008? Ca pourrait être marrant de le voir re-perdre. Il était mentionné dans les sondages il n'y a pas si longtemps que ça, et il se positionnait en 4ème ou 5ème position (parmi les démocrates). Sinon, voila la réaction de Claude Allègre, entre autres Le prix Nobel de la Paixne fait pas l'unanimité NOUVELOBS.COM | 13.10.2007 | 12:05 Quelques personnalités qui continuent à douter de la gravité du réchauffement climatique ironisent sur le prix remis à Al Gore. Alors qu'il vient tout juste de se voir attribuer le prix Nobel de la Paix, le vendredi 12 octobre, Al Gore est sévèrement critiqué. Ses détracteurs estiment qu'il ne mérite pas ce prix. Pour certains comme Bjoern Lomborg, la distinction du prix Nobel de la Paix, au GIEC est une "bonne chose", mais pour Al Gore, c'est un problème. L'auteur de "l'écologie sceptique" met en doute sa légitimité étant donné qu'Al Gore "a ignoré les recherches de ce panel". Claude Allègre, ancien ministre socialiste et médaille d'or du CNRS, remet en cause l'attribution de ce prix à des personnalités qui luttent contre le réchauffement climatique car, selon lui, "la climatologie n'est pas une discipline, ça n'existe pas". Il s'attaque farouchement à Al Gore et à son film "une vérité qui dérange" : "le nombre de conneries qui sont racontées dans le film d'Al Gore ! Ca c'est de la politique, c'est pour intervenir dans la politique américaine, c'est scandaleux!" précise-t-il. Le président tchèque, Vaclav Klaus, ne comprend pas la relation entre la paix dans le monde et le réchauffement climatique. "Il semble plutôt que le fait qu'Al Gore mette en doute les piliers de la civilisation actuelle n'apporte pas trop à la paix" a-t-il expliqué. Aucun changement L'ancien conseiller économique du président russe, Vladimir Poutine, Andreï Illarionov, a estimé de son côté qu'il s'agissait du "pire choix de toute l'histoire" des Nobel. Selon Andreï Illarionov, opposé à la ratification par la Russie du protocole de Kyoto, "le prix Nobel est décerné pour la déformation et la falsification des connaissances sur l'environnement et pour un appel à un règlement, non pas pacifique, mais violent de problèmes inexistants". Washington a souligné que l'attribution du Nobel à Al Gore ne modifierait pas la politique de George W. Bush en matière d'environnement, même s'il s'agit d'une "reconnaissance importante". Le prix Nobel de la Paix a été décerné conjointement à Al Gore et au panel de l'Onu sur le climat (GIEC) pour leurs effots visant à accroitre les connaissances sur le changement climatique. http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/…lunanimite.html
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