neuneu2k Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 C'est troller que dire que les parents ne sont en rien légalement responsables de l'enfant (bien que moralement responsables) ? C'est a dire que "légalement" par définition, c'est selon la loi, donc c'est pas troller, c'est juste complètement faux.
NoName Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Encore une fois ce n'est pas une faute, c'est une responsabilité naturelle en tant que géniteur. Comment deux personnes pourraient prendre une décision pareille ? S'ils ont le même avis il n'y a aucun problème, s'ils divergent impossible de trancher. Ah bah si, je vois mal comment ça peut-être autre chose qu'une faute. Si les avis divergent, je pense que c'est à la fille d'avoir le dernier mot, parce que c'est elle qui aura le môme dans elle pendant neuf mois. La deuxième phrase contredit la première, si la fille a le dernier mot le choix du père compte pour moins que rien du tout (ce qui est la situation présente). Ah, j'aimerais bien savoir en quoi: elle décide si elle garde l'enfant ou pas, ça je comprends. Mais si elle décide contre l'avis du père, il est logique que le père soit exclu de facto de la vie du môme. Bla bla prout, si y'a gamin, c'est que de facto, les précautions n'ont pas été suffisantes. Quand on saute d'un avion, la situation normale, c'est de faire une flaque sur le sol, ce n'est pas parce que tu a vérifié trois fois ton parachute que si il ne s'ouvre pas quand meme et que tu fait PLAF, c'est pas toi qui est responsable sous prétexte que le sol n'était pas aussi mou que prévu. Quand on baise, la situation normale, c'est que y'a un chiard. Abstinence ad vitam aeternam donc si tu veux pas avoir de problème, c'est plutôt une bonne solution. Mais alors est-ce qu'on doit condamner les gens qui baisent pour autre chose que faire des enfants ?
Nofreedom Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 La voilà, la vieille technique des hebdos accroche cons, lèche-malades et branle-minus. On vous titre sur huit colonnes, en lettres grasses et graisseuses, quelque chose de bien cradingue, qui vous accroche la bête au plus bas de son cortex ou de son caleçon, on lui développe l'affaire sur cinquante lignes, avec force détails salaces ou crapuleux, et on lui dit : lecteur chéri, regarde, on voit les poils, renifle, ça pue la merde, et à la fin on s'indigne, avec élégance et bon goût, s'il vous plaît.
neuneu2k Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Abstinence ad vitam aeternam donc si tu veux pas avoir de problème, c'est plutôt une bonne solution. A condition de considérer les enfants comme un problème, oui, c'est sensé être une démonstration par l'absurde ? Mais alors est-ce qu'on doit condamner les gens qui baisent pour autre chose que faire des enfants ? Que veut tu dire par "condamner" ?
Elphyr Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 La voilà, la vieille technique des hebdos accroche cons, lèche-malades et branle-minus. On vous titre sur huit colonnes, en lettres grasses et graisseuses, quelque chose de bien cradingue, qui vous accroche la bête au plus bas de son cortex ou de son caleçon, on lui développe l'affaire sur cinquante lignes, avec force détails salaces ou crapuleux, et on lui dit : lecteur chéri, regarde, on voit les poils, renifle, ça pue la merde, et à la fin on s'indigne, avec élégance et bon goût, s'il vous plaît. C'est la définition de Libération ?
Melkion Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Encens et bougies parfumées les plus "polluants" bientôt interdits Entre les produits d'entretien, le tabac, les moisissures, les revêtements de sol, les peintures..., les sources de la pollution de l'air intérieure sont multiples. Mais encens et bougies sont particulièrement épinglés car leur pollution est massive - ils émettent des gaz qui remplissent des pièces entières -, mais aussi parce que certains sont vendus avec l'argument de "purifier" l'air, précise-t-on au ministère de l'Ecologie. Et les Français aiment ces "parfums d'ambiance". Une étude du Crédoc en 2009 montrait que près de la moitié d'entre eux les utilisaient (parfums et/ou bougies parfumées), au moins une fois par jour pour 9% des personnes interrogées, à moins d'une fois par mois pour 15% d'entre elles. Mais entre bougies et encens, ce sont ces derniers qui semblent les plus mauvais pour la santé. Ils "sont beaucoup plus émissifs que les bougies et leur utilisation semble présenter des risques même dans le cas d'un usage mensuel", indique un récent rapport de l'Institut national de l'environnement industriel et des risques (Ineris). "L'utilisation d'encens pourrait présenter des risques aigus, chroniques et cancérogènes", précise-t-il.
NoName Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 A condition de considérer les enfants comme un problème, oui, c'est sensé être une démonstration par l'absurde ? Oh non c'était juste un truc balancé pour voir ce que tu allais répondre. Et oui, je considère que c'est un problème si ils ne sont pas désirés. Que veut tu dire par "condamner" ? Moralement ou légalement, peu importe. Leur reprocher, les faire culpabiliser de préférer batifoler pour le plaisir plutôt que pour procréer. Si Le résultat normal du coït c'est d'avoir un môme neuf mois plus tard, alors je suppose que ne pas en avoir c'est une situation anormale. Et encore, cette situation ne prends même pas en compte les personne de même sexe et les infertiles.
neuneu2k Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Bon, c'est l'heure de faire un stock de papier d'arménie...
Miss Liberty Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Encore une fois ce n'est pas une faute, c'est une responsabilité naturelle en tant que géniteur. Comment deux personnes pourraient prendre une décision pareille ? S'ils ont le même avis il n'y a aucun problème, s'ils divergent impossible de trancher. . Le choix n'a pas les mêmes conséquences sur chacun. Si la femme refuse sa maternité, il n'y aura pas d'enfant. Si l'homme refuse sa paternité et peut le signaler dès la naissance, pourquoi ne pourrait-on pas le considérer comme délié de toute obligation, comme une femme qui avorte? Décision définitive par contre, aucun droit sur l'enfant. Le seul cas problématique et triste, c'est si l'homme veut garder l'enfant et la femme non. Je sais bien que la loi ne pourrait jamais la contraindre à garder l'enfant et à renoncer à sa maternité tout en donnant au père la possibilité de reconnaître son enfant, de la même façon que dans le cas symétrique. Mais c'est ce que je trouverais le plus décent de la part de la mère vis à vis du père. Entendons nous bien, je suis contre l'avortement, je préférerais que les deux doivent faire face à leurs responsabilités. Tout simplement parce que la seule façon d'éviter de concevoir de façon sûre, c'est l'abstinence. Mais je ne vois pas pourquoi l'une aurait un passe-droit et l'autre non.
free jazz Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Nop, à moins de considérer - à l'instar des féministes - l'enfant comme un banal prolongement du corps de la femme dont elle peut de toute façon se débarrasser quand elle veux, force est de considérer que le père, volontaire ou pas, est responsable du gosse tout autant que la mère. Les féministes considèrent le fœtus comme un étranger clandestin, voire un parasite expulsable par une mesure d'éloignement coercitif. Au fond elles ont un raisonnement propriétariste de type anarcap : not in my garden. L'ironie c'est que ce sont les mêmes gauchos pro choix (comme les hystériques d'EELV) qui hurlent au nazisme à la moindre expulsion d'un sans-papier venu d'un pays lointain.
Lancelot Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Je suis un grand défenseur de la possibilité d'abandonner ses enfants à la naissance. Ça règlerait des tas de problèmes dont celui-ci.
sans Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Ah bah si, je vois mal comment ça peut-être autre chose qu'une faute. Si les avis divergent, je pense que c'est à la fille d'avoir le dernier mot, parce que c'est elle qui aura le môme dans elle pendant neuf mois. Donc, l'avis du père n'est pas du tout pris en compte dans la situation que tu décris. Non, pouvoir décider uniquement si on est d'accord avec le vrai décisionnaire, ce n'est pas décider de quoi que ce soit. Ah, j'aimerais bien savoir en quoi: elle décide si elle garde l'enfant ou pas, ça je comprends. Mais si elle décide contre l'avis du père, il est logique que le père soit exclu de facto de la vie du môme. Je parle de l'avortement, pas de la garde. Et soit dit en passant, que des hommes puissent être en situation de "contraindre" une femme qu'ils ont mis enceinte à l'avortement en refusant d'assumer leur responsabilité, ça me parait extrêmement malsain. Mais je ne vois pas pourquoi l'une aurait un passe-droit et l'autre non. Dans une situation où les deux parents doivent prendre en charge l'enfant, il n'y a pas de passe-droit. Là où il y a passe-droit, c'est quand on considère que le père peut très bien reprendre sa petite vie comme si de rien était, tandis que la femme a le choix entre tuer la chaire de sa chaire avorter ou élever seule un enfant.
NoName Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Le choix n'a pas les mêmes conséquences sur chacun. Si la femme refuse sa maternité, il n'y aura pas d'enfant. Si l'homme refuse sa paternité et peut le signaler dès la naissance, pourquoi ne pourrait-on pas le considérer comme délié de toute obligation, comme une femme qui avorte? Décision définitive par contre, aucun droit sur l'enfant. Voilà, c'est ce que je considère comme la moins pire des solutions.
neuneu2k Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Oh non c'était juste un truc balancé pour voir ce que tu allais répondre. Et oui, je considère que c'est un problème si ils ne sont pas désirés. Faut pas déconner, de nos jours, l'immense majorité n'a pas d'excuses en terme de connaissances des mécanismes de base de la reproduction, on ne peut pas d'un coté commettre un acte et ensuite dire que son résultat prévisible et naturel n'est "pas désiré", c'est tout simplement une fumisterie déresponsabilisante (j'exclue bien entendu les viols). C'est comme si tu me disait "mais j'ai pris cette route à virages givrée a fond les ballons, la chute dans le ravin n'était pas désirée !" Moralement ou légalement, peu importe. Ah si, ça importe vachement, désolé, mais y'a une différence fondamentale entre les deux, je suis plus que surpris de devoir le rappeler en ces lieux. Leur reprocher, les faire culpabiliser de préférer batifoler pour le plaisir plutôt que pour procréer. Non, de leur reprocher de faire semblant qu'il n'y a pas de rapport, qu'on peut avoir un enfant "non désiré" (hors viol) pour se déresponsabiliser, alors que la responsabilité est évidente quand on ignore les débilités idéologiques inventées les 50 dernières années, et on peut les ignorer pour une raison simple, elles n'ont strictement rien changé à la réalité de l'humain, elle permettent juste à des gens de faire semblant. Et encore, cette situation ne prends même pas en compte les personne de même sexe et les infertiles. Pourquoi, pour eux la situation normale est de ne pas avoir de chiards en sortie, ne ne vois pas en quoi ils ne sont pas "pris en compte", leur responsabilité est naturellement plus limitée, par leurs précautions qui ridiculisent celles des hétérosexuels par leur efficacité pour les premiers, indépendamment de leur volonté pour les deuxièmes
Miss Liberty Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Oh non c'était juste un truc balancé pour voir ce que tu allais répondre. Et oui, je considère que c'est un problème si ils ne sont pas désirés. Moralement ou légalement, peu importe. Leur reprocher, les faire culpabiliser de préférer batifoler pour le plaisir plutôt que pour procréer. Si Le résultat normal du coït c'est d'avoir un môme neuf mois plus tard, alors je suppose que ne pas en avoir c'est une situation anormale. Et encore, cette situation ne prends même pas en compte les personne de même sexe et les infertiles. On peut reconnaître que c'est la conséquence directe et ne pas condamner ceux qui essayent de contourner la nature. Quel rapport? On ne parle pas de les condamner, on dit que si leurs actions ont pour conséquence une conséquence prévisible, on ne voit pas trop pourquoi ils font les étonnés. La question de condamner ou non les rapports non ouverts à la fécondité est une autre question : il s' agit de savoir s'il est important de vivre conformément à la nature, ça relève de la philosophie ou de la religion. Pour l'Église catholique par exemple, tout rapport non ouvert à la fécondité est un péché, en effet. Mais ça n'est pas une interdiction politique, et ça n'a aucun rapport avec la conversation initiale.
Chitah Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Je suis un grand défenseur de la possibilité d'abandonner ses enfants à la naissance. Ça règlerait des tas de problèmes dont celui-ci. http://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_d%27abandon
neuneu2k Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 On peut reconnaître que c'est la conséquence directe et ne pas condamner ceux qui essayent de contourner la nature. Quel rapport? On ne parle pas de les condamner, on dit que si leurs actions ont pour conséquence une conséquence prévisible, on ne voit pas trop pourquoi ils font les étonnés. Voila, c'est la pseudo-innocence du terme "non désiré" que je condamne, pas la contraception. La question de condamner ou non les rapports non ouverts à la fécondité est une autre question : il s' agit de savoir s'il est important de vivre conformément à la nature, ça relève de la philosophie ou de la religion. Pour l'Église catholique par exemple, tout rapport non ouvert à la fécondité est un péché, en effet. Mais ça n'est pas une interdiction politique, et ça n'a aucun rapport avec la conversation initiale. De fait, tout rapport non ouvert à la fécondité est tout simplement un rejet de la réalité de l'homme, même d'un point de vue objectiviste c'est un péché (combo !)
Melkion Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Je suis un grand défenseur de la possibilité d'abandonner ses enfants à la naissance. Ça règlerait des tas de problèmes dont celui-ci. C'est horrible, pire que l'avortement.
Invité Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 http://www.huffingtonpost.fr/2013/10/21/pourquoi-les-japonais-ne-font-plus-lamour_n_4134827.html Ha ha, la mode du futur c'est l'assexualité. Et on aura des micro machines dans le sang pour nous envoyer des doses de dopamine. Parler d'avortement et de rapports sexuels en 2013 vous êtes périmés.
neuneu2k Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 C'est horrible, pire que l'avortement. Tout le monde est libre de se suicider si il trouve ça pire, qui est tu pour décider pour autrui ?
Melkion Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Tout le monde est libre de se suicider si il trouve ça pire, qui est tu pour décider pour autrui ? Le bébé qui ne trouve pas "preneur" (car difforme ou que ce n'était pas la saison) a-t-il été libre de suicider ?
Voy Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Tout le monde est libre de se suicider si il trouve ça pire, qui est tu pour décider pour autrui ? Argument absolument non-valable : on parle là de la responsabilité d'un être humain qui a des droits et auquel on a contracté des responsabilités en le concevant et en le considérant comme un futur tout. De plus, le rapport non-ouvert à la fécondité n'a rien d'un "pêché" (lol) objectiviste. Ca ne nie pas la réalité de l'homme, étant donné que la réalité est elle-même largement modifiable, et qu'avoir un rapport basé sur une non-fécondité (contraception) n'a rien de détâché de la réalité.
Nofreedom Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 C'est la définition de Libération ? Non, juste un petit réquisitoire de Desproges sur un journaliste. Le plus "hard" que je lui connais d'ailleurs.
Lancelot Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 http://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_d%27abandon Au pire des cas oui. On peut aussi imaginer que seule le père ou la mère renonce à ses droits. D'ailleurs j'imagine que les deux familles pourraient aussi avoir leur mot à dire. C'est horrible, pire que l'avortement. Non.
sans Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Le bébé qui ne trouve pas "preneur" (car difforme ou que ce n'était pas la saison) a-t-il été libre de suicider ? Tant que ceux qui abandonnent leur chair prennent d'abord le soin de lui trouver un foyer de remplacement (quitte à choisir l'orphelinat), ça ne me choque qu'à moitié. Evidemment, abandonner un bébé dans la nature sans personne pour en prendre soin, c'est un meurtre.
Voy Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Tant que ceux qui abandonnent leur chair prennent d'abord le soin de lui trouver un foyer de remplacement (quitte à choisir l'orphelinat), ça ne me choque qu'à moitié. Evidemment, abandonner un bébé dans la nature sans personne pour en prendre soin, c'est un meurtre. Voilà. Je tends à penser que les responsabilités "obligatoires" et fondamentales de la maternalité sont réellement minimales et relèvent du non-abus et du maintien en vie. On peut y rajouter des responsabilités purement subjectives (payer une éducation, payer son permis de conduire, garantir l'éducation sexuelle de ses enfants). Ces responsabilités subjectives vont de pair avec l'acceptation du statut de mère et d'enfant. Plus on ajoute des responsabilités subjectives, plus on s'éloigne de l'abandon.
neuneu2k Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Argument absolument non-valable : on parle là de la responsabilité d'un être humain qui a des droits et auquel on a contracté des responsabilités en le concevant et en le considérant comme un futur tout. Je ne suis pas sur de voir en quoi c'est une réponse à ma phrase... De plus, le rapport non-ouvert à la fécondité n'a rien d'un "pêché" (lol) objectiviste. Ca ne nie pas la réalité de l'homme, étant donné que la réalité est elle-même largement modifiable, et qu'avoir un rapport basé sur une non-fécondité (contraception) n'a rien de détâché de la réalité. La réalité, c'est que la contraception, ce n'est pas la "non-fécondité" c'est juste un risque de fécondité diminué, donc par définition, si on respecte la réalité du rapport sexuel (hétérosexuel entre personnes fertiles), on est dans un rapport ouvert à la fécondité. Ouvert à la fécondité, ça ne signifie en rien que tout rapport mène à une conception (y'a vraiment des gens qui l'ont pigé comme ça ?!?), mais qu'il peut y mener et qu'on accepte les conséquences de ses actes. Révise ton objectivisme en enlevant les délires progressistes et c'est d'une clarté limpide, prendre un risque non nul et se comporter comme si il était nul, c'est nier le réel. Quand tu creuse un peu l'objectivisme avec une anthropologie un peu plus réaliste que l'homme nouveau soviétique importé par Ayn Rand à l'insu de son plein gré, tu te rends vite compte qu'il n'est pas si éloigné du catholicisme que ça. Accessoirement, l'objectivisme étant une éthique de la vertu, le concept de pêché y est central, même si pour des raisons de faiblesse culturelle la mère Rand n'a pas voulu utiliser le mot (qu'elle ne comprenait pas ?) (Ahh, troller du randroide avec la vérité, ça me manquait !)
neuneu2k Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Je tends à penser que les responsabilités "obligatoires" et fondamentales de la maternalité sont réellement minimales et relèvent du non-abus et du maintien en vie. On peut y rajouter des responsabilités purement subjectives (payer une éducation, payer son permis de conduire, garantir l'éducation sexuelle de ses enfants). Ces responsabilités subjectives vont de pair avec l'acceptation du statut de mère et d'enfant. Plus on ajoute des responsabilités subjectives, plus on s'éloigne de l'abandon. Pour info, je suis tout à fait d'accord avec ça, et ça n'a aucune raison d’être asymétrique.
sans Posté 24 octobre 2013 Signaler Posté 24 octobre 2013 Voilà. Je tends à penser que les responsabilités "obligatoires" et fondamentales de la maternalité sont réellement minimales et relèvent du non-abus et du maintien en vie. On peut y rajouter des responsabilités purement subjectives (payer une éducation, payer son permis de conduire, garantir l'éducation sexuelle de ses enfants). Ces responsabilités subjectives vont de pair avec l'acceptation du statut de mère et d'enfant. Plus on ajoute des responsabilités subjectives, plus on s'éloigne de l'abandon. Tu dis des choses très simples de façon compliquées, mais oui.
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