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Nouvelles du monde sans intérêt


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http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/12/10/01016-20121210ARTFIG00514-elle-se-prostitue-pour-payer-le-traitement-de-son-fils-autiste.php

 

 

 

Muriel parvient à amasser 7000 euros en se prostituant cinq fois, sans que son mari ne le sache. Jusqu'au jour où, enfermée dans la chambre d'un grand hôtel, un client menace de la tuer. «Je me suis rendu compte que je pouvais perdre la vie (…) à cause de l'État», accuse-t-elle.

 

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Respect.

Elle est doublement victime de l'État : la sécurité sociale sans concurrence peut décider de rembourser que ce qu'elle veut (tout ce qui est rare, rien à foutre, ça fait pas assez de voix), et pratique un métier interdit.

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Respect.

Elle est doublement victime de l'État : la sécurité sociale sans concurrence peut décider de rembourser que ce qu'elle veut (tout ce qui est rare, rien à foutre, ça fait pas assez de voix), et pratique un métier interdit.

 

+1.

 

On en revient toujours au thème du salaire complet et de l'épargne de précaution en cas de coup dur.

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Pas forcément ; quand on prévoit de faire un enfant, en plus d'acheter un landau, on regarde si son assurance prévoit l'assistance en cas de handicap. C'est un truc rare mais coûteux, c'est typiquement là où ils sont forts.

Enfin nul doute que si elle n'avait pas filé autant d'argent pour financer des antidépresseurs et de l'homéopathie, elle serait déjà moins dans la merde.

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Pas forcément ; quand on prévoit de faire un enfant, en plus d'acheter un landau, on regarde si son assurance prévoit l'assistance en cas de handicap. C'est un truc rare mais coûteux, c'est typiquement là où ils sont forts.

Enfin nul doute que si elle n'avait pas filé autant d'argent pour financer des antidépresseurs et de l'homéopathie, elle serait déjà moins dans la merde.

 

J'ai tendance à penser que la limite du marché c'est les maladies lourdes. Un financement privé + public me semble être la solution. A condition, que le marché soit privatisé en grande partie ce qui diminuerait le gaspillage des ressources.

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J'ai tendance à penser que la limite du marché c'est les maladies lourdes. Un financement privé + public me semble être la solution. A condition, que le marché soit privatisé en grande partie ce qui diminuerait le gaspillage des ressources.

 

 

Non, les maladies rares et lourdes, c'est typiquement un truc qui se couvre parfaitement avec l'assurance, ce qui dépends de la prévoyance personnelle et non de l'assurance, c'est ce qui est probable, comme les maladies cardio-vasculaires, le cancer ou la vieillesse.

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Exactement ce que craignait toute la communauté BDSM du monde entier: les kikoolol débarquent.

Par ailleurs les boules de geisha ont toujours été le sex toy le plus vendu si je ne m'abuse.

C'est en raison de leur intérêt médical (rééducation périnéale après l'accouchement).
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J'avais traduit un article un peu trollesque sur 50 shades pour Contrepoints il y a quelques mois (donc avant que ça sorte en France), ça vaudrait peut-être le coup de le réchauffer si ça se met à buzzer, surfer sur la vague, tout ça.

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Non, les maladies rares et lourdes, c'est typiquement un truc qui se couvre parfaitement avec l'assurance, ce qui dépends de la prévoyance personnelle et non de l'assurance, c'est ce qui est probable, comme les maladies cardio-vasculaires, le cancer ou la vieillesse.

Je le répète : le rôle de l'assurance est aussi d'envoyer les bons signaux, pas seulement de passer à la caisse quand le sinistre arrive. En particulier, ne pas fumer, faire du sport, manger ceci ou cela, pour limiter la probabilité des maladies cardio et compagnie.
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