yiggles Posté 8 juin 2008 Signaler Posté 8 juin 2008 Non. Le fait monopolistique n'a pas attendu l'intervention de l'Etat pour se constituer. concernant l'éducation, ça me semble évident, non? Dire de façon catégorique, que dans les sociétés occidentales la seule source de monopole c'est l'Etat, c'est vraiment crétin C'est ce que dit Hayek, notamment tu as des exemples pour étayer ce que tu dis?
Wallace Posté 8 juin 2008 Signaler Posté 8 juin 2008 concernant l'éducation, ça me semble évident, non? Non. L'éducation n'est pas apparue pour la première fois sous la forme d'un monopole d'Etat. Les premières formes d'écoles étaient libres certainement. Et quand bien même ce serait pas le cas, on peut pas partir d'un fait sectoriel pour tirer une conlusion générale sur les comportements économiques. C'est ce que dit Hayek, notammenttu as des exemples pour étayer ce que tu dis? Hayek réfute effectivement l'idée d'un monopole naturel, et dit qu'il n'y a pas d'exemple. A mon humble avis il ne faut pas interpréter de façon trop primaire cette idée d'Hayek, il faut percevoir ce qu'il y a derrière. Un homme intelligent comme lui, ne peut pas affirmer que le monopole peut être seul causé par l'Etat. Mais sinon il se trompe, il est bien évident qu'à beaucoup d'égard le marché est une course au monopole, Shumpeter fait de l'innovation l'outil principal pour atteindre le monopole. L'entrepreneur peut alors bénéficier d'une rente de monopole. Les exemples de monopoles sont extrèmement nombreux dans l'histoire, par exemple le concorde (avant que les russes réussissent un avion de ligne tupolev supersonic). Bref la recherche du monopole est par essence ce qui anime l'acteur économique, comment pouvoir prétendre que cette chose qui par substance découle de l'initiative privée ne pourrait pas se réaliser sans…l'Etat. Je maintiens donc ce que j'ai soutenu plus haut, à savoir que cette idée me semble un peu crétine.
Apollon Posté 8 juin 2008 Signaler Posté 8 juin 2008 Non. L'éducation n'est pas apparue pour la première fois sous la forme d'un monopole d'Etat. Les premières formes d'écoles étaient libres certainement. Et quand bien même ce serait pas le cas, on peut pas partir d'un fait sectoriel pour tirer une conlusion générale sur les comportements économiques.Hayek réfute effectivement l'idée d'un monopole naturel, et dit qu'il n'y a pas d'exemple. A mon humble avis il ne faut pas interpréter de façon trop primaire cette idée d'Hayek, il faut percevoir ce qu'il y a derrière. Un homme intelligent comme lui, ne peut pas affirmer que le monopole peut être seul causé par l'Etat. Mais sinon il se trompe, il est bien évident qu'à beaucoup d'égard le marché est une course au monopole, Shumpeter fait de l'innovation l'outil principal pour atteindre le monopole. L'entrepreneur peut alors bénéficier d'une rente de monopole. Les exemples de monopoles sont extrèmement nombreux dans l'histoire, par exemple le concorde (avant que les russes réussissent un avion de ligne tupolev supersonic). Bref la recherche du monopole est par essence ce qui anime l'acteur économique, comment pouvoir prétendre que cette chose qui par substance découle de l'initiative privée ne pourrait pas se réaliser sans…l'Etat. Je maintiens donc ce que j'ai soutenu plus haut, à savoir que cette idée me semble un peu crétine. Le marché n'est pas une course au monopole, tout au plus une course au profit. Et la stimulation due à la concurrence peut déboucher sur davantage de profits qu'un monopole.
Boz Posté 8 juin 2008 Signaler Posté 8 juin 2008 Ils le font déjà, en douce, dans leur cours ; c'est pire que d'écrire sur un bulletin. Tiens l'autre fois je demandais à une collègue d'histoire-géo ce qu'elle faisait avec ses élèves (c'était une classe spéciale pour les cas difficiles, effectifs réduits et tout et tout) elle m'a dit qu'il fallait aller à l'essentiel dans ce genre de situation : donc les salauds de bourgeois…je l'ai regardé un petit peu interloqué mais elle était très sérieuse. Elle m'a quand même précisé que ce n'était pas en employant ce terme là qu'elle avait présenté la notion…
Hidalgo Posté 8 juin 2008 Signaler Posté 8 juin 2008 Depuis quand monsieur Hidalgo est devenu un spécialiste reconnu du rôle des profs ? C'est du bon sens applicable à toute organisation humaine: "Chacun sa place, concentré sur ce qu'il doit faire". C'est comme ça que ça tourne. Sinon, il y a des profs qui cherchent à transmettre des valeurs aux dépends de leur matière, des employés qui court-circuitent des ordres etc… Pour les allusions à Eichmann : .
yiggles Posté 8 juin 2008 Signaler Posté 8 juin 2008 Non. L'éducation n'est pas apparue pour la première fois sous la forme d'un monopole d'Etat. Les premières formes d'écoles étaient libres certainement. Et quand bien même ce serait pas le cas, on peut pas partir d'un fait sectoriel pour tirer une conlusion générale sur les comportements économiques. mais je n'ai jamais dit ça. je disais justement que l'éducation actuelle était un exemple de monopole d'Etat, je n'ai pas dit que l'éducation était née avec ce monopole, au contraire.
MMorateur Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 Et pourquoi ce malandrin adopte cette attitude ? Ce doit être parce ce type de monopole n'entraîne pas de conséquences néfastes. A l'inverse des monopoles légaux. Bref la recherche du monopole est par essence ce qui anime l'acteur économique, comment pouvoir prétendre que cette chose qui par substance découle de l'initiative privée ne pourrait pas se réaliser sans…l'Etat. Je maintiens donc ce que j'ai soutenu plus haut, à savoir que cette idée me semble un peu crétine. Ta définition de monopole est beaucoup trop large. Ce que tu nommes ici monopole est un avantage concurrentiel de différenciation. Si cela devient un monopole (cas typique de la molécule du médicament), alors il y a intervention étatique.
jmserigny Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 Bref la recherche du monopole est par essence ce qui anime l'acteur économique, comment pouvoir prétendre que cette chose qui par substance découle de l'initiative privée ne pourrait pas se réaliser sans…l'Etat. Je maintiens donc ce que j'ai soutenu plus haut, à savoir que cette idée me semble un peu crétine. C'est bien pour ca que les indutriels pressent les politiciens de voter des lois restricitves à l'entrée de produits concurrents. Les libéraux ne défendent pas les producteurs mais le choix des consommateurs. Il est évident que les producteurs défendent leurs interéts et que l'Etat intervient dans ce sens.
azerty Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 En même temps, je ne pense pas que la solution soit de punir, mais plutôt de se demander pourquoi il y a autant d'absentéisme. Absences devant les élèves très souvent pour raisons professionnelles (stages, concours, voyages scolaires, actions pédagogiques diverses). Sinon on a assez souvent les absences pour s'occuper d'un enfant malade en bas âge (beaucoup de femmes parmi les enseignants). Les absences bidon sont en fait très rares.
azerty Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 Depuis quand monsieur Hidalgo est devenu un spécialiste reconnu du rôle des profs ? Hidalgo a raison : le rôle d'un fonctionnaire est d'appliquer les textes, pas de les contester. (Du moins, il peut les contester comme citoyen, mais pas comme professionnel. Et si les textes ne lui conviennent pas, il peut toujours démissionner. Certes, en pratique, ce n'est pas toujours comme ça que ça se passe, mais sur le fond Hidalgo a raison. Parole de spécialiste reconnu de professeurs!)
Largo Winch Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 Depuis quand le rôle d'un prof, c'est de contester ses supérieurs? Voilà pourquoi, parmi les "fonctionnaires", j'ai un peu plus de respect pour les militaires. Hidalgo a raison : le rôle d'un fonctionnaire est d'appliquer les textes, pas de les contester.(Du moins, il peut les contester comme citoyen, mais pas comme professionnel. Et si les textes ne lui conviennent pas, il peut toujours démissionner. Certes, en pratique, ce n'est pas toujours comme ça que ça se passe, mais sur le fond Hidalgo a raison. Parole de spécialiste reconnu de professeurs!) Eh ben… Si c'est ça la conception du rôle d'un prof de la part de libéraux, il n'est pas étonnant que l'enseignement soit si médiocre en France.
john_ross Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 Un fonctionnaire c'est comme ministre ça ferme sa gueule ou ça démissionne.
Largo Winch Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 … comme tout bon "citoyen", j'imagine. Un joli rêve libéral en somme.
alex6 Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 Eh ben… Si c'est ça la conception du rôle d'un prof de la part de libéraux, il n'est pas étonnant que l'enseignement soit si médiocre en France. Les liberaux ont une influence sur la qualite de l'enseignement en France?
Largo Winch Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 Non, mais si les quelques rares libéraux encensent la standardisation et la bureaucratie militaire en tant que modèle d'organisation des établissements d'enseignement, on est mal barré.
alex6 Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 Il me semble que nous sommes deja mal barre… enfin je vois ce que tu veux dire.
0100011 Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 Il me semble que nous sommes deja mal barre… enfin je vois ce que tu veux dire. On m'aurait menti ? Ce pays serait-il foutu ? ©
h16 Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 Non, mais si les quelques rares libéraux encensent la standardisation et la bureaucratie militaire en tant que modèle d'organisation des établissements d'enseignement, on est mal barré. Que ces profs fassent passer des messages politiques sur les carnets de notes alors qu'ils pratiquent déjà l'endoctrinement et multiplient le nombre de jours de grève, ça commence surtout à faire beaucoup. Accessoirement, dans une entreprise privée traditionnelle, ça reviendrait à saboter les relations clients-fournisseurs sous le nez du patron, ce qui se terminerait mal. Pour le reste, ils peuvent bien écrire ce qu'ils veulent. Ils vont simplement faire croître le rang des inscrits dans les écoles privées.
Skit Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 Dans un système libre, je n'aurai aucun problème avec le fait qu'il y aie des grèves dans des établissements pour contester la direction. La direction est humaine et donc perfectible, il va du rôle de l'enseignant de faire comprendre les torts de la direction car leurs salaires sont en jeux. La direction ayant les mains libres saura pondérer les grèves abusives. Mais clairement je ne peux pas admettre ce que le système public fait; endoctrinement, grèves "émotionnelles" et "de soutien", bloquage des réformes, usage trop important des jours de congés, et maintenant CA… C'est une honte! J'espère voir poindre rapidement un enseignement privé en Belgique pour que mes futurs enfants n'aient jamais à vivre le dictatoriat des fonctionnaires de l'éducation. (de toute façon, on garde l'espoir à liberté chérie belgique )
Apollon Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 Non, mais si les quelques rares libéraux encensent la standardisation et la bureaucratie militaire en tant que modèle d'organisation des établissements d'enseignement, on est mal barré. +1
azerty Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 Eh ben… Si c'est ça la conception du rôle d'un prof de la part de libéraux, il n'est pas étonnant que l'enseignement soit si médiocre en France. Ce n'est pas ma conception du rôle des professeurs. Je ne faisais que décrire. C'est tout ce que je voulais dire : les citoyens élisent des députés qui votent des lois, et le rôle du fonctionnaire est de mettre en œuvre ces lois, qu'elle que soit sa sensibilité personnelle. C'est le principe du fonctionnariat et du service public (et non une opinion personnelle). (Au passage, il suffit de discuter avec un IGAEN ou un IADSDEN pour comprendre en dix minutes ce qui est attendu en terme de servilité et de renoncement pour réussir dans l'EN.)
Skit Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 Ton idée ne me plait pas. Dans un système libre, le travailleur offre une force de travail à son patron; il s'attend donc à un retour de sa part. Si son emploi est menacé par l'incompétence patronale, et donc le retour en échange de sa force de travail, il y va de son droit et de son devoir de le faire remarquer au patron et, éventuellement, de cesser toute collaboration avec celui-ci. La raison me semble légitime mais l'action me semble illégitime. Le client n'a pas à être pris au piège ou à recevoir une pression quelconque. (Un licenciement c'est différent; la personne est payée pour son travail et c'est simplement le souhait du patron de ne plus collaborer avec la personne)
azerty Posté 9 juin 2008 Signaler Posté 9 juin 2008 Ton idée ne me plait pas.[…] Décidément, il vaut mieux que j'aille prendre l'air en compagnie d'un verre de vin sur la terrasse… (Mais bon sang de bois ! Où donc ai-je écrit que j'exprimais la moindre idée ?! Je ne fais que rappeler à la suite de Hidalgo la réalité de ce qu'est la Fonction publique hic et nunc. Je ne comprends pas que l'on puisse être à ce point incapable de lire quelqu'un. Si je dis que le ciel est bleu, y en a qui vont me dire que c'est une idée à la con. Eh bien mince, c'est pas une idée. Il est bleu ce putain de ciel. C'est pas compliqué, y a pas besoin d'avoir fait Polytechnique, c'est simplement que le ciel n'est ni vert, ni jaune, mais qu'il est bêtement bleu tout seul comme un grand et qu'il n'a pas attendu pour être bleu que j'ai des idées. Et de la même manière un bon fonctionnaire est un fonctionnaire qui met en œuvre les textes, c'est comme ça, par définition, on n'y peut rien. C'est pas une idée, pas une opinion, c'est un fait, insupportable peut-être, mais c'est un fait. Et désolé, Skit, d'avoir passé ma colère sur toi. Mais merde quoi.)
MMorateur Posté 10 juin 2008 Signaler Posté 10 juin 2008 Si je dis que le ciel est bleu, y en a qui vont me dire que c'est une idée à la con. Malheureux… Tout le monde ne perçoit pas le ciel comme étant bleu
Silhouette Posté 10 juin 2008 Signaler Posté 10 juin 2008 Décidément, il vaut mieux que j'aille prendre l'air en compagnie d'un verre de vin sur la terrasse…(Mais bon sang de bois ! Où donc ai-je écrit que j'exprimais la moindre idée ?! Je ne fais que rappeler à la suite de Hidalgo la réalité de ce qu'est la Fonction publique hic et nunc. Je ne comprends pas que l'on puisse être à ce point incapable de lire quelqu'un. Si je dis que le ciel est bleu, y en a qui vont me dire que c'est une idée à la con. Eh bien mince, c'est pas une idée. Il est bleu ce putain de ciel. C'est pas compliqué, y a pas besoin d'avoir fait Polytechnique, c'est simplement que le ciel n'est ni vert, ni jaune, mais qu'il est bêtement bleu tout seul comme un grand et qu'il n'a pas attendu pour être bleu que j'ai des idées. Et de la même manière un bon fonctionnaire est un fonctionnaire qui met en œuvre les textes, c'est comme ça, par définition, on n'y peut rien. C'est pas une idée, pas une opinion, c'est un fait, insupportable peut-être, mais c'est un fait. Et désolé, Skit, d'avoir passé ma colère sur toi. Mais merde quoi.) Alors précisément je te conseille au contraire d'arrêter le vin parce que le ciel n'est pas bleu du tout ces temps-ci ! Il est plutôt gris. Dire que le ciel est bleu alors qu'il pleut depuis deux semaines, mais quelle idée à la con !
azerty Posté 10 juin 2008 Signaler Posté 10 juin 2008 Alors précisément je te conseille au contraire d'arrêter le vin parce que le ciel n'est pas bleu du tout ces temps-ci ! Il est plutôt gris. Dire que le ciel est bleu alors qu'il pleut depuis deux semaines, mais quelle idée à la con ! Mais le ciel est magnifiquement bleu sur la Défense ce matin ! Ah ! Une belle et grande journée de fonctionnaire qui m'attend !
Skit Posté 10 juin 2008 Signaler Posté 10 juin 2008 Le ciel est bleu à condition que tu sois un humain non-daltonien possédant des yeux et que le ciel soit dégagé. Si tu es une mouche à merde daltonienne et qu'il pleut; tu ne verras pas les mêmes couleurs. Tout dépend du point de vue. Y en a marre de ces gens qui ont des préjugés sur le ciel…
Largo Winch Posté 10 juin 2008 Signaler Posté 10 juin 2008 Que ces profs fassent passer des messages politiques sur les carnets de notes alors qu'ils pratiquent déjà l'endoctrinement et multiplient le nombre de jours de grève, ça commence surtout à faire beaucoup.Accessoirement, dans une entreprise privée traditionnelle, ça reviendrait à saboter les relations clients-fournisseurs sous le nez du patron, ce qui se terminerait mal. Pour le reste, ils peuvent bien écrire ce qu'ils veulent. Ils vont simplement faire croître le rang des inscrits dans les écoles privées. Mon propos ne portait pas du tout là-dessus. Ce n'est pas ma conception du rôle des professeurs. Je ne faisais que décrire.C'est tout ce que je voulais dire : les citoyens élisent des députés qui votent des lois, et le rôle du fonctionnaire est de mettre en œuvre ces lois, qu'elle que soit sa sensibilité personnelle. C'est le principe du fonctionnariat et du service public (et non une opinion personnelle). Ce que tu décris, c'est une représentation bien particulière de la fonction publique. Donc une opinion. Il suffit par exemple de comparer les modes d'organisation de l'enseignement public de la France et de la Finlande pour constater qu'il existe des conceptions différentes du rôle des profs. Et, comme par hasard, c'est justement l'organisation qui s'écarte le plus de la standardisation et de la centralisation bureaucratique qui obtient les meilleurs résultats (cf. enquête PISA de l'OCDE).
Silhouette Posté 10 juin 2008 Signaler Posté 10 juin 2008 Mais le ciel est magnifiquement bleu sur la Défense ce matin ! Ah ! Une belle et grande journée de fonctionnaire qui m'attend ! Hey attention les mecs, c'est un agent à la solde de l'empire !
teabag Posté 10 juin 2008 Signaler Posté 10 juin 2008 Une question me vient à l'esprit. Est-ce que l'herbe est plus verte ailleurs ? Le rôle d'un prof devrait-être de former des élèves en fonctions d'objectifs précis. Point. Et ce n'est pas le boulot de la direction de décider des méthodes ni des techniques d'enseignement.
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