RedGhost Posté 20 juin 2008 Signaler Posté 20 juin 2008 J'aborde aujourd'hui un sujet qui me taraude depuis assez longtemps et qui,sans doûte,présente une continuité avec les articles précédents,qui portaient sur la critique théorique du ClassicalLiberalism,dont continuent à se revendiquer un certain nombre de blogueurs à travers le monde,une partie des économistes et un certain nombre de citoyens qui se disent exasperés par une fiscalité personnelle confiscatoire,un Etat jugé omniprésent dans la vie économique et sociale,un assistanat jugé "désincitatif"… Cette tarte à la crème du débat public,depuis une trentaine d'années,non seulement ne séduit plus de nouveaux adeptes mais,en outre,régresse en tant que pratique politique et n'est plus,depuis la vague altermondialiste,l'horizon indépassable et l'avenir radieux de la planète. Comme nous l'avons vu dans l'article précédent,le mouvement de reflux à débuté à la fin des années 90 (contestation altermondialiste,crises systémiques,dégonflement des "bulles spéculatives",incapacité à réguler le marché de l'énergie,moindre attrait global pour les schémas individualistes,effondrement aux Etats-Unis du mythe de l'entrepreneur,incapacité surtout des gouvernements à augmenter la demande globale faute d'avoir su relancer l'investissement productif,faute d'avoir su convaincre les acteurs financiers d'enclencher des "cercles vertueux" dans l'économie réelle,faute d'avoir su baisser le chômage uniformément par la simple action des politiques d'offres ou monétaristes… Un des effets de cette impuissance est le recul des partis libéraux et la moindre visibilité universitaire du libéralisme,par exemple,qui est aujourd'hui un phénomène quasiment résiduel,qui s'est replié sur certains "bastions" et s'est surtout radicalisé d'un point de vue doctrinal,à défaut de trouver des correspondances et schèmes d'application dans la vie économique réelle. Le libéralisme d'aujourd'hui est prédictif,agressif,intégriste…Ou bien alors il passe de douloureux compromis avec le réel,comme on le voit avec le programme d'Alternative libérale,petite formation politique en France,qui prône un revenu garanti universel,le développement durable et diverses autres compromissions avec des idées de gauche…. Nous ne nous préoccuperons dans cet article que du libéralisme "ultra",qui prend diverses appellations,a ses chapelles,ses points de ralliements et surtout,de grands "inspirateurs",peu connus du public en France,et pour cause:ils sont inutilisables et intransposables dans le contexte français. Parmi ceux-ci, Ayn Rand(1905-1982),une intellectuelle new-yorkaise,auteure de romans à succès et théoricienne de l'Objectivisme-une doctrine de philosophie morale qui prône l'égoisme comme moteur de toutes les actions humaines et considère comme fondamental la maîtrise par chacun de la "direction de sa propre vie". Ayant fait avant tout le monde et dans l'Amérique du New-Deal l'apologie d'un capitalisme libéral (laisser-faire capitalism),Ayn Rand est une des figures les plus importantes de la scène libérale au XXème siècle-au moins dans le cas des Etats-Unis-et je regrette que son nom soit si méconnu en France,en tant qu'elle a joué un rôle très important dans l'animation du libéralisme des années de forte croîssance d'Après-Guerre. A bien des égards,Rand est la "maman" de tous les libertariens,celle à laquelle tous se réfèrent le plus volontiers en ce qui concerne leurs ascendants récents,au XXème siècle.Nous verrons également qu'une école de disciples a été enfantée par Rand:les Objectivistes… Rand,américaine d'adoption,qui participa au Maccarthysme en tant que "témoin"(consentant) devant les commissions chargées de traquer l'ennemi intérieur et d'épurer l'administration américaine de toute soviétophilie (elle était une juive russe de Saint-Pétersbourg,née sous le nom d'Alissa Zinovievna Rosenbaum,émigrée aux Etats-Unis dans les années 1930),se trouve ensuite au centre de toute une vie mondaine manhatanienne où l'on retrouve de jeunes espoirs de Wall-Street,de futurs banquiers centraux(Alan Greenspan y a fait ses classes et y apprit,selon ses dires,que "le capitalisme n'est pas seulement efficace:il est aussi moral")et tout le gratin libéral-conservateur,qui ne supportait pas le climat niveleur et les idées keynésiennes qui gagnait les Etats-Unis au début des années 1960. Cependant,le Salon d'Ayn Rand n'a jamais été un endroit où se recyclait de vieilles antiennes d'extrême-droite,où des intégristes conservateurs y avaient leurs entrée:Ayn Rand était elle-même agnostique,très modérément féministe et hostile à toute idée de discrimination. C'était une libre-penseuse,aux convictions fortes et qu'on pourrait qualifier en tout anachronisme d'ancêtre des "libertaux-libertaires" d'aujourd'hui,difficile à ranger sur une échelle droite/gauche,quoique foncièrement anticommunistes et procapitalistes.,darwinistes sociaux… Sa vie privée en témoigne:mariée,elle entretenait des amants de 25 ans plus jeunes qu'elle avec l'accord de son mari… Si Rand a fini sa vie dans un certain isolement(Greenspan fait partie de ses derniers fidèles) et que ses romans ne sont plus tellement lus aujourd'hui (le plus connu ayant été Atlas Shrugged),sa figure demeure fondatrice pour les mouvements,qu'on appelle tantôt minarchistes,tantôt libertariens,qui ont connu leur essor après 1978,dans la foulée de la fameuse Proposition 13,par laquelle un groupe de contribuables avaient imposé(c'était en 1978)à l'Etat de californie une baisse drastique de l'impôt sur le revenu,quitte à ce que celui-ci ne puisse plus boucler les fins de mois de ses fonctionnaires ou de certains services publics(ce qui arriva).Alan Greenspan a longtemps fréquenté Ayn Rand et expliquait qu'il lui devait sa vision d'un capitalisme qui n'est pas uniquement le plus efficace des systmèes économiques,mais égalementle plus moral…Pourtant,Alan Greenspan n'était pas un économiste ultralibéral…Il a été lui-même "objectiviste" et contribua à l'ouvrage deRand:Capitalisme:l'idéal inconnu(1966).Rand assista à sa cérémonie d'entrée au "Conseil d'analyse économique'"et elle eut la consécration suprême de rencontrer à cette occasion le président Ford.Cependant,certains autres disciples de Rand (Objectivistes orthodoxes)lui reprochèrent fortement son action,et notamment en matière de politique monétaire(il était favorable auGold Standard)…On lui reprochait surtout de travailler pour leGovernment,et donc de commettre un "renoncement" par rapport aux voeux de chasteté des Libertariens qui considèrent le service public comme le Diable… Leonard Peikoff(c.1970) est l'héritier des biens immobiliers d'Ayn Rand,a crée subséquemment l'Ayn Rand Institute et est aujourd'hui le chef de file de ses héritiers.Fondamentalement partisan du capitalisme libéral,Peikoff défend le droit à l'avortement,a soutenu John Kerry contre GeorgeW.Bush en 2004(comparant la période actuelle à la période pré-nazie,s'opposant à la guerre en Irak),est athée,animateur de radio…Une personnalité "libérale-libertaire",à l'image de ce qu'était Ayn Rand… On date de cette époque l'émergence de partis libertariens aux Etats-Unis et ailleurs dans le monde,mais principalement dans les pays anglo-saxons et d'Amérique du Sud. Il nous importe peu d'expliquer dans cet article s'il y a un terreau,social ou non,explicatif de ce phénomène.Sans doûte,si l'on considère que la plupart des membres des partis libertariens sont de petits chefs d'entreprise,des cadres du privé,des rentiers et même…des milliardaires,qui apportent leur soutien moral à cette grande cause qui est le reflux de l'Etat. D'autre part,il nous importe peu de dire quel impact exact les courants minarchistes ont eu sur les gouvernements qu'on a dit "libéraux",à partir du début des années 1980(Reagan,Kohl,Thatcher,Chirac après 1986,Nakasone au Japon,Bryan Mulroney au Canada,Shimon Pérès en Israel…):en théorie fort,puisqu'il était de bon ton,dixit Reagan,d'en appeler à un Small Government,c'est-à-dire un Etat réduit à ses fonctions strictement régaliennes. C'était dans l'air du temps et cela faisait bien à l'époque… Reagan a baissé les impôts à partir de 1982,mais les dépenses publiques de l'Etat fédéral américain n'ont cessé de s'accroître,le déficit public de se creuser,le déficit de la balance commerciale de s'aggraver,les OPA japonaises ou européennes de se multiplier,obligeant à de nouvelles contorsions protectionnistes:à ce titre,des économistes comme Friedman ou comme ceux qui avaient directement "inspiré" Reagan dans son action(Arthur Laffer) ont été déçus et ont quitté les sphères gouvernementales.Eux-mêmes n'étaient pas d'ailleurs des Libertariens mais de des "Nouveaux Classiques",qui ne sont pas arrivés aux mêmes conclusions que les Monétaristes et autres économistes de l'offre…et pour cause:les Minarchistes se situent avant tout dans la sphère des principes philosophiques et du sens à donner à l'action publique(parmi eux,Robert Nozick,1938-2002).Récemment décedé,Robert Nozick est la figure la plus illustre du courant minarchiste.Il était également un universitaire reconnu( à Harvard) et brillant,oecuménique,dont l'oeuvre est comparable en portée à celle d'un John Rawls ou d'un Michael Walzer.Bien moins controversé et discuté qu'Ayn Rand,Nozick avait cependant théorisédes thèses libertariennes dures dans un opus déjà ancien,intitulé Anarchy, State, and Utopia En discontinuité de cet article-et pour ne pas me limiter aux aspects théoriques du sujet,j'aborde les développements contemporains du libertarianisme américain et notamment,loin d'un conte de fée qui se limiterait à de gentils écrivains et universitaires inoffensifs,nos Libéraux investissent depuis les années 1980 la sphère politique,par deux canaux qu'il nous faut détailler…(je rappelle une fois encore le caractère rétif des Libertariens à l'action pour le service public,à leur dédain pour les discours démagogiques que la politique rend indispensable,à leur caractère "fuyant",souvent très exclusif et empreints de "fidélité" pour leurs maître,tels un peu les membres d'une secte,ou d'une moins d'une confrérie dans laquelle il faut se transmettre les codes entre maîtres et disciples.. Une des versions qu'a engendré la période contemporaine est celle du libertarianismemissionnaire et agressif,incarné notamment par les "think-tanks" et ceux qui,chercheurs,y travaillent. Je ne condamne pas le principe des think-tanks et la nécéssité qu'ont les politiques de recourir à des boîtes à outils et des donneurs de conseils clé-en-main,qui souvent sont à cheval entre le consultant(ils facturent des honoraires aux politiques)et l'évangéliste de marché… Tous les think-tanks ne sont pas d'obédience libertarienne,loin s'en faut(voir notre article d'hier) et la sensibilité néo-conservatrice semble avoir gagné beaucoup de terrain depuis une dizaine d'années,que traduit par exemple le succès de l'American Enterprise Institute. Les Libertariens disposent pour leur part du CATO Institute,qui est un peu leur chasse gardée et qui est une des puissante organisation d'influence aux Etats-Unis,sur les politiques(le thème rabaché 1000 fois du "lobbying" de Washington,que nos analystes français se gardent bien de décrire de manière précise.^ C'est par le biais des think-tanks que les Libertariens ont tenté d'infiltrer la vie politique américaine et notamment le Parti démocrate,dont l'aile droite (le Democratic Leadership Council)a été l'objet de toutes leurs convoitises,avec les succès que l'on saît(le sénateur Lieberman,Clinton avant lui,mais aussi Gore,Hillary Clinton)sont continument approchés par les Libertariens et conseillés. Toutefois,comme nous l'avons vu dans l'article précédent,leur succès effectif est de plus en plus une fiction en raison du caractère inapplicable,idéologique et surtout irréalisable,l'Etat ne pouvant être réduit "à une taille tellement réduite qu'il soit possible ensuite de le noyer dans la baignoire"(Grover Norquist) D'où l'agressivité particulière,pour aboutir à ses fins,d'un Grover Norquist(photo) qui,outre ses liens d'affaires avec le Big Business,dirige l'Americans For Tax Reform,association proche des Républicains et chargée de faire pression sur les politiques pourqu'il prennent des décisions "fortes" de baîsse de la fiscalité pour leurs clients…Norquist incarne un activisme agressif,basé sur le jeu de réseau d'nfluence;une nouvelle droite(New Right) qui ne s'embarasse plus de principes éthiques pour arriver à ses fins(faire adopter tel type de réforme fiscale plutôt qu'une autre),au prix sans doûte d'avoir d'ores-et-déjà perdu la guerre sur le terrain de la conviction et de la séduction… Auteur de la petite phrase soufflée (et désastreuse) à George H.W.Bush en 1988:"Read My Lips: No New Taxes",Norquist,s'il n'a jamais été "élevé" dans les milieux libertariens,est cependant un de ceux qui a fait le plus avancer leur cause depuis une vingtaine d'années. Anticommuniste fervent de jeunesse(son livre de chevet était Masters of Deceit de J.Edgar Hoover,le fondateur et quasi-directeur à vie du FBI qui savait tout sur tout le monde et penchait très à droite(photo),Norquist,en dépit de sa personnalité détestable,de son activisme outrancier,des intérêts privés qu'il défend,a contrôlé jusqu'à récemment l'ensemble du programme fiscal du parti républicain (GOP). Newt Gingrich et Karl Rove(le plus influent des conseillers "domestiques" de George W.Bush)ont largement compté sur lui pour parvenir à tenir le programme présidentiel de réduction des impôts et du budget fédéral(ce qui est dans les faits impossible). Hoover in 1961Voici comment Paul Krugman,l'éditorialiste du New York Times,décrit la vision de l'Amérique de Norquist: Dans le sens deNorquist,l'Amérique,dans quelques décennies,sera un endroit dans lequel les personnes âgées représenteront une part disproportionnée des Pauvres,comme auparavant.Les gens des classes moyennes ne pourront plus s'offrir des soins médicaux de prix et de qualité,ou encore de faire prescrire de médicaments et où les pauvres ne recevront même pas les soins les plus élémentaires.Seuls ceux qui pourront s'autoriser des écoles privées pourront donner à leurs enfats une éducation décente… On voit bien le raidissement doctrinal à tout le moins conservateur (voire fascisant) d'hommes d'influence comme Norquist et on devine en creux le fait que le libertarianisme est une doctrine qui ne peut que subir des dénaturations dés lors qu'elle s'approche du pouvoir,qu'elle se fait action,propositions concrètes,vision du monde et de la société,sorti des cénacles d'Ayn Rand… Norquist est très lié au lobbyiste Jack Abramoff,l'homme dont Times Magazine disait fin 2005 qu'il avait "acheté Washington". Norquist et lui (et d'autres cités à comparaître devant un "Grand Jury" congressionnel d'investigation diligenté pour élucider les tenants et aboutissants de ce qui apparaît comme un scandale politico-financier sans précédents à Washington) sont également sous le coup d'une enquête préliminaire du FBI et de ce fait soumis à une épée de Damoclès:on voit bien,dans cette affaire,les limites d'un activisme lobbyistique tous azimuts(Abramoff,ainsi,épousait à la fois(et "militait" en faveur..) des causes religieuses ultraconservatrices,anticommunistes,se voulait corrupteur-il voulait ainsi acheter en argent les votes de certaines tribus indiennes,traditionnellement démocrates…)dés lors que les intérêts collectifs de la société américaine sont en jeu et que des délits d'influence et de corruption caracterisés mettent en danger la "crédibilité" de la gent des lobbyistes…. La logique du système judiciaire américain et l'excellent fonctionnement des "Checks and Balances"permettent,une fois de plus,une réaction vigoureuse,coordonnée et assez rapide lorsqu'un ver est dans le fruit…C'était le cas avec l'affaire Abramoff,en voie d'investigation,qui tend à miner la réputation(surfaite)d'integrité et de "morale" des milieux républicains "durs"… http://www.politique-info.org/article-3658070.html Qu'en dites-vous ?
RedGhost Posté 20 juin 2008 Auteur Signaler Posté 20 juin 2008 C'était bien ma première impression. Entre les parallèles vaseux et les attaques ad hominem, c'est plutot à vomir.
DiabloSwing Posté 20 juin 2008 Signaler Posté 20 juin 2008 Il manque juste une image de Lucifer et tout y est.
CMuller Posté 20 juin 2008 Signaler Posté 20 juin 2008 http://www.politique-info.org/article-3658070.htmlQu'en dites-vous ? Outre la souffrance oculaire partagée avec RH, cela paraît un salmigondis de réflexions inégales dont l'objectif démonstratif est peu clair. En gros, Ayn Rand est une femme merveilleuse mais sa pensée libertarienne a été détournée par de méchants lobbies anti-taxes trop proches du pouvoir conservateur. Enfin, c'est ce que j'ai pigé.
RedGhost Posté 20 juin 2008 Auteur Signaler Posté 20 juin 2008 Oui. En plus, on dirait qu'il n'y a pas de continuité entre les différentes allusions, comme s'il n'y avait pas d'articulations dans le "raisonnement"… On sait pas sur qui il veut cracher, au final.
Rincevent Posté 20 juin 2008 Signaler Posté 20 juin 2008 Politique-info. Donc Julien Tolédano. Un authentique crétin (avec qui j'ai eu maille à partir, du temps où je trollais sur des blogs socialistes), issu de Sciences-Po, qui incarne la caricature du science-potard : imbu de lui-même, certain de son envergure intellectuelle et pourtant incapable de raisonner droit ou factuellement. Outre la souffrance oculaire partagée avec RH, cela paraît un salmigondis de réflexions inégales dont l'objectif démonstratif est peu clair. C'est tout à fait ça, "politique-info". Je n'aurais pas su mieux résumer, à ceci près que si la forme de la démonstration est peu claire, si son objectif aussi est flou, il reste tout de même à peu près constant dans le temps et invariant selon le sujet : le style paranoïde dans la critique antilibérale, comme dirait Wolfelsperger.
0100011 Posté 20 juin 2008 Signaler Posté 20 juin 2008 Enfin la recette secrète du gloubi boulga révélée aux yeux du monde ébahi ! Cela faisait si longtemps que je courais après mais les séides de casimir parvenaient toujours à me la dérober au dernier moment.
RedGhost Posté 23 juin 2008 Auteur Signaler Posté 23 juin 2008 http://politique-info.org/article-20672975.html La réponse du monsieur.
José Posté 23 juin 2008 Signaler Posté 23 juin 2008 …issu de Sciences-Po, qui incarne la caricature du science-potard… Ce qui est fascinant chez ce genre d'ignare, c'est la componction avec laquelle il nous fait part de sa dernière découverte, Ayn Rand. Le titre du post de demain : "Connaissez-vous Hayek ?"
pankkake Posté 23 juin 2008 Signaler Posté 23 juin 2008 On me reproche souvent d'être "condescendant" mais le libéral, quand il s'agit de débattre d'idées dans la bonne foi, est souvent aux abonnés absents et, comme me l'exprimait un ami proche de Dupont-Aignan, "le Libéral chasse en meute"…. Priceless. Je ne veux pas reproduire ici certains commentaires qu'on trouve sur ces forums libéraux, qui sont du dénigrement blessant sans intérêt. Néanmoins, une phrase utilisée pour qualifier ce blog traduit la bétise et l'incompréhension de ces Libéraux, dont les idées ont déjà fait tant de mal à notre planète et aux hommes (excommunions l'infâme) et qui savent aujourd'hui leur idéologie être minoritaire et appartenir à l'histoire des idées (lequelle ne s'écrit plus au présent). D'où l'anachronisme de ceux qui, au Parti Socialiste, veulent en faire le parti le plus libéral de France devant l'UMP: J'ai du mal comprendre, pour lui l'UMP est libéral ? Je n'ai pas lu l'article original, mais bref, mégalol. Enfin, comment nos idées, minoritaires, ont pu "faire tant de mal à notre planète" ? Au moins contrairement à d'autres il est conscient qu'on ne vit pas du tout dans un monde libéral, mais comment peut-il affirmer que le libéralisme a fait du mal s'il n'est pas appliqué ?
pankkake Posté 23 juin 2008 Signaler Posté 23 juin 2008 Outre la souffrance oculaire partagée avec RH, cela paraît un salmigondis de réflexions inégales dont l'objectif démonstratif est peu clair. En gros, Ayn Rand est une femme merveilleuse mais sa pensée libertarienne a été détournée par de méchants lobbies anti-taxes trop proches du pouvoir conservateur. Enfin, c'est ce que j'ai pigé. Je viens de le lire et en effet, même impression. Bizarre, puisque dans sa réponse il semble être anti-libéral, alors que la première partie ne l'est pas du tout (même si il semble essayer), dans la seconde partie il essaie d'y assimiler des types comme GWB et de créer une atmosphère de complot mondial. Il est visiblement torturé et embrouillé dans ses raisonnements. Enfin bref, de toute façon, n'importe quelle personne créant un site pour parler de politique ne peut qu'avoir un petit pénis (cf. ma signature). Franchement je préfère lire un blog sur les potins de stars, c'est moins superficiel. Ah oui, il devrait aussi apprendre à écrire plus correctement, du genre "auteure" et surtout son horripilant non-respect de la typographie.
pankkake Posté 23 juin 2008 Signaler Posté 23 juin 2008 Bon, en plus, je ne sais pas où il est allé inventer les trolls qui auraient commenté son blog, à moins qu'il les aient censurés. Et son site est overbuggé, il y a des bugs de loser: les échappements PHP mal gérés (\\\) et des problèmes d'encodage. edit: Bouh, le forum il a pas fusionné mes messages !
MMorateur Posté 23 juin 2008 Signaler Posté 23 juin 2008 Pourquoi cet article n'est-il pas en taverne ? Il est vrai qu'il y a un véritable style sciences-potard. Celui de l'amalgame et de l'analogie douteuse. On ne compte pas le nombre de déshonneurs par association, de pétitions de principes et d'approximations… Et surtout l'absence de tout fond. Ce qui peut paraître normal pour quelqu'un qui affirme que les idées sont mortes. Vive les postures… (y'en a une facile à faire).
José Posté 23 juin 2008 Signaler Posté 23 juin 2008 Pourquoi cet article n'est-il pas en taverne ? Voilà qui est fait. C'est tout ce que mérite un suppôt de Royal.
Taranne Posté 23 juin 2008 Signaler Posté 23 juin 2008 Aïe, Julien Tolédano… Je ne suis pas près d'oublier l'hommage tout particulier qu'il rendit à feu Revel sur le blog de Pierre Assouline. Décidémment,vous n’avez pas attendu longtemps pour sortir votre billet. Je ne vous cacherai pas que son titre m’irrite quelque peu “Mort d’un humanisme laic”.En outre,hormis l’intérêt que suscite chez moi votre correspondance avec lui,ainsi que les aspects pipole que vous rappelez et qui n’étaient pas connu de tous,il eut fallu que quelqu’un rappelât ce soir-et ce sera moi,à l’évidence-qu’il était membre du Board de la New Atlantic Initiative,une confrérie d’admirateurs du général Pinochet et qui compte,parmi ses éminents séminaristes,un des plus grands criminels contre l’Humanité actuellement en cavale,à savoir le Rvd.Henry Kissinger. Je vous épargne le lien mais une simple visite via Google vous permettra d’avoir la liste complète des éminents membres de ce cénacle (parmi lesquels Margaret Thatcher,Colin Powell,William Kristol,ou encore le dramaturge praguois Vaclav Havel) Je vous laisse lire ses autres commentaires, marqués par la même volonté de dénoncer le péril libéral et ses sinistres affidés. Il a en tout cas les lecteurs qu'il mérite, comme en témoigne ce commentaire laissé sur son blog à la suite de son billet fustigeant la "meute" que nous sommes. Ces libéraux ne sont que des contestaires. J'ai fait l'expérience d'aller discuter sur leur forum, ça n'a pas grand intérêt, le niveau est franchement bas, et il est bien difficile de voir autre chose que des insultes et de l'humour ringard.Effectivement "le libéral chasse en meute" leur va très bien. Il est assez logique que le libéralisme, lorsqu'il tend à être appliqué, dérive vers un système fascisant. John Locke, l'inventeur de la doctrine libérale (selon les libéraux eux mêmes) était partisant de l'esclavagisme, sa doctrine philosophique niait la différence entre l'homme et l'animal, et la constitution qu'il a écrit pour la Caroline du nord était conçue sur un modèle féodal. Vous avez dit liberté ? Quant au sacro saint "libre-échange" c'est une invention d'une des plus grandes tyranies de l'histoire : l'empire britanique. C'est une arme économique dont se servait l'empire pour soumettre ses colonies … et le monde. Au XIXème l'économiste allemand Friedrich List critiqua cette "théorie" économique en demandant : si le libre-échange est si bien pouquoi les britaniques ne se l'appliquent t ils pas à eux même ? Vous avez dis liberté !? Aujourd'hui le système de libre-échange britanique s'appelle mondialisation, et les libéraux sont des néo-féodalistes qui s'ignorent.
José Posté 23 juin 2008 Signaler Posté 23 juin 2008 Politique-info. Donc Julien Tolédano. Un authentique crétin… Lançons ce blog : qui est Julien Tolédano ?Julien Tolédano est un blogueur. Ou plutôt un individu, qui sévit sur les blogs. On ne sait pas grand chose de lui, sinon qu'il a changé le nom de son blog une bonne dizaine de fois, l'appelant sous divers titres à la sonorité fortement de gauche, qu'il a commenté sous divers pseudonymes de tous types. On ne sait d'ailleurs pas vraiment si Julien Tolédano est son vrai nom. C'est un blogueur qui se sent incompris, mal aimé. Cela a sans doute à avoir avec une difficulté à faire carrière et se promouvoir dans les cercles de l'élite, qu'il a cotoyés, suite à sa formation (il se dit issu de sciences po). L'homme serait fonctionnaire. Il dispose assurément du temps nécessaire et de l'absence d'amitiés ou de famille propices à un surinvestissement du web. Sa réthorique lui impose de penser le monde en deux camps : les grands, et les petits, les premiers exerçant une domination sur les seconds, et se coalisant pour absolument rester au pouvoir et empêcher les petits, nécessairement bons, gentils, affables et corrects, d'accéder à leurs privilèges. Tout passe par le prisme d'une telle analyse sous-marxiste et pseudo-bourdivienne. Notre homme est un disciple difforme de Bourdieu. Pauvre Pierre ! On gage que l'homme, allant au restaurant, trouvera son assiette moins bien remplie que celle de son voisin, et hurlera sur icelui, souhaitant à tout prix lui faire rendre gorge, et le condamner pour ce bénéfice indélicat. Il en est ainsi de sa détestation de ce qu'il nomme les "blogs influents". Il est important de se créer des ennemis pour exister, notre homme a donc décidé de s'allier ceux qui développent cette mécanique de la contestation, et de calmonier, défaire, harasser ceux qui ont, après quelques années, à juste titre ou pas, constitué une audience et une visibilité, parfois par hasard, d'ailleurs. Car notre Julien est un ambitieux. Las, il n'a pas les moyens de celle-ci. Il se contente donc d'entretenir des petites courettes de gens simples, chez qui il développe des manières de prince, de grand chambellan, reproduisant des comportements d'élite qu'il dénonce par ailleurs. Ne pouvant réellement inventer de son fait, il se contente de copier. Ainsi en fut-il de sa création d'un "café des blogs", au même lieu que la "république des blogs", lancée par "versac", un autre blogueur. L'homme y aura senti un moyen de s'émanciper. Par la copie adroite et désagréable. l'homme est ségoléniste. C'est chez certains une qualité. Cela tourne chez lui à la maladie, et cela ne sert certainement pas la belle candidate. son militantisme ne souffre en effet que les ségolénistes petits, rejetés, maladroits. Ou qui se pensent tels, en tout cas. Il faut, pour devenir ami avec ce personnage, devenir un petit opprimé par les grands, etconfesser son ségolisme comme une maladie honteuse. Et surtout, souhiter qu'elle ne gagne jamais : on passerait du côté des grands. la faire perdre et la rendre désagréable est un objectif essentiel de l'oeuvre (pitoyable) de Julien T. Ne vous attaquez pas à lui. Il mord. Il geint, il trépigne. Quelques observations de ses échanges avec ledit "versac", manifestement agacé par de nombreux billets insultants ou diffamatoires à son égard, montrent qu'il est faible, mais comme tous les faibles, rumine sa vengeance. Le voilà qui ne cite plus son modèle détesté, celui qu'il aurait aimé être, mais qu'il l'assaille de piques et de petites saloperies par derrière, dans un délire paranoiaque et contradictoire. Notre homme accuse ainsi à demi-mots ledit "versac" de négationnisme, tout en pactisant avec un dieudonniste qui ne cesse de porufendre le complot juif mondial. Voilà qui est cocasse ! Au moyen âge, il aurait été bossu. Mais un bossu hargneux et sale. Malheureusement, il a choisi le 21ème siècle, et les blogs, pour inonder ce monde de sa fange. Bienvenue sur ce blog ! http://nouvelobsobs.blogspot.com/2008/02/l…en-toldano.html
pankkake Posté 23 juin 2008 Signaler Posté 23 juin 2008 Et visiblement il a des blogs multiples. C'est un Nicolas Freeman de gauche. http://www.facebook.com/profile.php?id=719456394 Pour ceux qui ne sont pas sur Facebook, quelques morceaux : Political Views: Désirs d'Avenir (ça existe encore ?) Il a deux pages : "Loic Le Meur" et "Olivier Besancenot". Il n'y aurait pas une petite incompatibilité ? Et, non étonnamment, c'est un fonctionnaire, et il a un niveau d'anglais déplorable.
RedGhost Posté 23 juin 2008 Auteur Signaler Posté 23 juin 2008 des Libertariens-néoconservateurs Morceaux choisis.
Rincevent Posté 24 juin 2008 Signaler Posté 24 juin 2008 http://politique-info.org/article-20672975.html La réponse du monsieur. Mais, mais, mais c'est moi qu'il cite ! Ca va caguer des bulles carrées. […] dans la seconde partie il essaie d'y assimiler des types comme GWB et de créer une atmosphère de complot mondial. Le style paranoïde dans la critique, disais-je… Il est visiblement torturé et embrouillé dans ses raisonnements. La caricature du science-potard, disais-je…
DiabloSwing Posté 24 juin 2008 Signaler Posté 24 juin 2008 Finalement je me demande si une foule d'anti-libéraux que je croise au gré des forums ne sont pas issus de SciPiPo. Même style pseudo-lyrique, raisonnements foireux, raccourcis honteux…ces gars me semblent obsédés par quelque chose…
Normous Posté 24 juin 2008 Signaler Posté 24 juin 2008 Aujourd'hui le système de libre-échange britanique s'appelle mondialisation, et les libéraux sont des néo-féodalistes qui s'ignorent. On peut remercier ce monsieur d'avoir révélé notre vraie nature! Apparemment il semble mieux nous connaître que nous-mêmes.
Taranne Posté 24 juin 2008 Signaler Posté 24 juin 2008 Ce type est vraiment priceless: Pierre,Bien loin de la tradition aronienne, les "libéraux" dont on parle sont des "militants" de base, intolérants et sectaires. Je n'ai pas souhaité généraliser car on peut tomber sur des gens aimables, notamment parmi les chefs. A Alternative libérale, tous ne sont pas comme cela: ceux qui nous commentent sont des Libertariens de droite: bref, ce qu'il y a de plus agressif…
José Posté 24 juin 2008 Signaler Posté 24 juin 2008 Autre morceau d'anthologie. J'ai souhaité m'inscrire sur le forum Liberaux.org pour poster quelques réponses après ce que j'ai lu hier sur moi, où il a été notamment question de republier le post diffamatoire d'un anonyme…L'échec de mon inscription s'explique : il est impossible (ou alors extrêmement ardu) de s'inscrire (et surtout de "se maintenir" après coup) sur Liberaux.org: on doit être membre de l'église la plus fermée et élitaire qui soit en politique. Les Libertariens sont les Gardiens du temple. Officiellement, ils ne font pas de politique mais cultivent leur jardin. Ils peuvent entrer individuellement dans l'arène quand l'occasion se présente (on leur offre parfois un portefeuille ministériel, quelques strapontins de parlementaires) ou quand ils y sont contraints par l'excès de "conservatisme" de l'offre politique à droite. Mais toujours avec des résultats électoraux négligeables, y compris aux Etats-Unis où subsiste pourtant un mouvent libertarien important. Mais là n'est pas l'essentiel… L'essentiel, c'est l'influence des idées qu'ils véhiculent, la "magistrature d'influence" qu'ils peuvent exercer, pure ou diluée via les think-tanks (dont tous dérivent de la Mont Pelerin Society ) Toute tentative de dialogue est vaine car il s'agit d'un monde homogame, réduit numériquement, se protègeant des regards, dont l'activité de recherche théorique (ou think-tanks) est uniquement orientée vers la "culture du résultat" du fait des donneurs et bailleurs de fonds privés qui attendent des retombées rapides. Les cercles libéraux maintiennent avec les courants politiques de masse (y compris "sociaux-démocrates" quand cela est possible) des relations à éclipses. Parfois la vanne s'ouvre, comme on l'a vu avec le pré-thatchérisme au sein du Parti Conservateur, dans les années 1970. Cependant, le canal de transmission vers la politique ne peut pas se faire, sauf cas exceptionnels, par un entrisme direct en politique. Mais par un lobbying intense et diffus auprès de décideurs politiques, administratifs… Lequel s'exerce par les think-tanks et a toujours donné beaucoup de résultats… Voilà qui rejoint ce que j'avais écrit il y a près de deux ans sur l'influence qu'ont eu in fine les disciples d'Ayn Rand sur les orientations politiques, mais surtout macroéconomiques, aux Etats-Unis. Mais le schéma se reproduit à l'identique en Europe, en Australie, au Canada, en Israël, en Afrique du Sud, en Amérique du Sud… Rappeler cela est faire beaucoup d'honneurs à Liberaux.org, dont les "membres" se garderaient bien de ma publicité de blogueur "influent" .Je la leur fait contraint et forcé. Voici ci-après ce que j'ai pu lire en voulant m'inscrire sur la plate-forme. Ce n'est pas "hallucinant" mais typique d'un entre-soi, qui est celui d'un cadre de discussion uniquement entre pairs, impliquant une totale communauté de points de vue, malgré les apparences d'une "diversité" de sous-courants, plus ou moins "conservateurs" ou "écologistes": en tant que socialiste ou partisan d'une intervention de l'Etat, il m'est donc impossible d'accéder à un espace de discussion libéral… J'avais fait l'expérience de cette intolérance sur le défunt blog What's Next, dont le créateur et animateur principal a été un condisciple de Sciences Po, converti au "libéral-conservatisme" après son "émigration" à Londres… Ce forum est un forum libéral privé destiné aux discussions entre libéraux. Il appartient à une association libérale qui en paie tous les frais. Il n'est pas destiné aux discussions entre les libéraux et les autres. Nous revendiquons la censure et la fermeture d'esprit la plus sectaire. Si vous êtes contre le libéralisme, si vous venez pour critiquer le libéralisme, inutile de vous inscrire, vous serez viré. Vous êtes libéral ? Ça ne fait pas automatiquement de vous un habitué du forum. Vous êtes nouveau, soyez humble et comportez-vous comme ce que vous êtes - un invité. Vous n'aurez jamais qu'une seule chance de faire une bonne première impression. Ce forum abrite des tendances du libéralisme qui vont de l'écologie libérale au libéral-conservatisme en passant par l'anarcho-capitalisme et tous les mélanges que vous pouvez imaginer. Mépriser les croyances d'autrui est une des pires choses que vous pouvez faire sur ce forum, que ces croyances soient religieuses ou au contraire laïques. D'une manière générale, ce que passe bien à l'extérieur du forum ne passe pas forcément bien dans le forum, alors lisez un peu avant de vous mettre à écrire, ça vous épargnera des déconvenues. Il n'existe pas de droit de légitime défense sur ce forum. Si on vous attaque, utilisez le bouton "signaler". En aucun cas le fait qu'on se conduise mal envers vous ne vous autorise à en faire autant, et en tant que nouveau, vous serez jugé plus sévèrement. C'est injuste mais c'est comme ça. Vous aimez le sport ? Alors vous savez que la règle numéro un, c'est que l'arbitre a raison même quand il a tort. Les modérateurs ne sont qu'humains, ils se trompent donc régulièrement. Ça n'empêche que si vous critiquez l'arbitre, c'est carton rouge. Ce forum a une charte. A l'origine, elle était présentée ici aux nouveaux arrivants, en lieu et place de ce message. Nous nous sommes aperçus que personne ne la lisait, et avons donc décidé de faire court histoire d'attirer l'attention sur l'essentiel. Nous ne pouvons que vous conseiller de la lire. http://www.politique-info.org/article-20702858.html
Taranne Posté 24 juin 2008 Signaler Posté 24 juin 2008 Ce n'est pas "hallucinant" mais typique d'un entre-soi, qui est celui d'un cadre de discussion uniquement entre pairs, impliquant une totale communauté de points de vue, malgré les apparences d'une "diversité" de sous-courants, plus ou moins "conservateurs" ou "écologistes": en tant que socialiste ou partisan d'une intervention de l'Etat, il m'est donc impossible d'accéder à un espace de discussion libéral… C'est bizarre, mais il me semble que Jess, Barbapapa et Hidalgo sont toujours membres de ce forum - des alibis, sans doute. Quant à la communauté de points de vue… megalol comme dirait ma petite-cousine de huit ans.
Apollon Posté 24 juin 2008 Signaler Posté 24 juin 2008 J'avais déjà eu l'occasion de lire un texte de l'auteur et ça n'a pas changé : progressisme dogmatique, intolérance des certitudes et comme l'a déjà souligné Rincevent, méthode paranoïde.
José Posté 24 juin 2008 Signaler Posté 24 juin 2008 J'avais déjà eu l'occasion de lire un texte de l'auteur et ça n'a pas changé : progressisme dogmatique, intolérance des certitudes et comme l'a déjà souligné Rincevent, méthode paranoïde. Ouaip. Et surtout ignorance crasse enrobée de fatuité dégoulinante.
Apollon Posté 24 juin 2008 Signaler Posté 24 juin 2008 Ouaip. Et surtout ignorance crasse enrobée de fatuité dégoulinante. Un ministrable quoi.
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