Hobbart Posté 4 août 2008 Signaler Posté 4 août 2008 On dirait un skyblog. C'est pour dire la honte !
WALDGANGER Posté 4 août 2008 Signaler Posté 4 août 2008 De lui, je n'ai lu que le pavillon des cancéreux, j'attends d'avoir lu l'Archipel pour me faire une idée plus précise. Concernant ses idées sur le communisme, les juifs, la Russie, l'Occident, ça n'est pas bien différent de ce que pouvait écrire Dostoievski. Evidemment il faudrait à Mélenchon plus de courage pour dire que "Dostoievski était une baderne passéiste absurde et pontifiante, machiste, homophobe, et confis en bigoteries nostalgiques de la grande Russie féodale et croyante".
LeSanton Posté 4 août 2008 Signaler Posté 4 août 2008 J'aimerais retrouver cet article retentissant de BHL, que nous voyons actuellement dans tout le spectre médiatique revendiquer indécemment sa filiation Soljenitsyenne (voire, la filiation de ce dernier à ses propres thèses), paru dans Libé il y a quelques décades et intitulé pompeusement "Adieu, Soljenitsyne" où il le démolissait. Juste pour rappeler à quelque décence dans l'hommage d'une hypocrisie vertigineuse. Si quelque geek y arrive…merci d'avance.
Punu Posté 4 août 2008 Signaler Posté 4 août 2008 Je me souviens avoir lu "Une journée d'Ivan Denissovitch" pendant les cours à l'unif et avoir compris pour la première fois la nature profondément arbitraire et démiurgique du pouvoir politique. Un grand livre.
climax Posté 4 août 2008 Signaler Posté 4 août 2008 Dossier intéressant sur Rue89 à propos du retentissement en France de l'oeuvre de Soljenitsyne : http://www.rue89.com/2008/08/04/quand-soljenitsyne-bouleversait-la-france-et-le-monde
Ash Posté 4 août 2008 Signaler Posté 4 août 2008 Autre sujet à controverse: son supposé antisémitisme. Dénoncé une première fois dans les années 70, le thème était repris par Jean Cathala, qui notait que l’écrivain avait délibérément choisi dans l’Archipel de mettre en valeur les noms juifs des fondateurs du Goulag, en taisant ceux des écrivains d’origine juive assassinés par Staline. Déjà à cette époque on ne savait plus où chercher de l'antisémitisme.
Sous-Commandant Marco Posté 4 août 2008 Signaler Posté 4 août 2008 Un autre hommage, religieux et sortant des sentiers rebattus par notre intelligentsia: http://saintmichelderolleboise.unblog.fr/2…4/soljenitsyne/ avec cette citation: L’autolimitation volontaire est de ces qualités qu’il est le plus difficile d’acquérir, que ce soit pour les particuliers, les partis, les Etats, les corporations. La vraie signification de la liberté a été perdue : l’exercice suprême de la liberté consiste à se restreindre dans tous les aspects de l’expansion et de l’accumulation.
climax Posté 4 août 2008 Signaler Posté 4 août 2008 Autre citation : Le stalinisme n'a existé ni en théorie ni en pratique : on ne peut parler ni de phénomène stalinien, ni d'époque stalinienne, ces concepts ont été fabriqués après 1956 par la pensée occidentale de gauche pour garder les idéaux communistes.
Sous-Commandant Marco Posté 4 août 2008 Signaler Posté 4 août 2008 Autre citation : Très juste. On le voit encore aujourd'hui, dans l'article de l'Humanité qui parle de "goulag stalinien" alors que Soljenitsyne fut expulsé d'URSS pour avoir publié ""L'archipel du Goulag" en 1974, soit 21 ans après la mort de l'Oncle Joe.
Calembredaine Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 C'était un conservateur orthodoxe (favorable au tsarisme) qui se montrait critique quant à la pauvreté morale (et conceptuelle) de la société de consommation. Si ça c'est être de gauche… D'un autre côté, je ne suis pas étonné de cette sortie… Non, c'était un anti-libéral forcené doublé d'un nationaliste. Je ne partage pas du tout la diatribe absurde et idiote de Mélancon mais il me semble juste de remettre les choses à leur place.
Ronnie Hayek Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Non, c'était un anti-libéral forcené doublé d'un nationaliste. Je ne partage pas du tout la diatribe absurde et idiote de Mélancon mais il me semble juste de remettre les choses à leur place. Harald t'explique que c'était un conservateur orthodoxe, et tu ne trouves pour toute réponse que "non, il était antilibéral".
Harald Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Non, c'était un anti-libéral forcené doublé d'un nationaliste. Je ne partage pas du tout la diatribe absurde et idiote de Mélancon mais il me semble juste de remettre les choses à leur place. Aimer sa patrie c'est donc être obligatoirement nationaliste . Comme d'hab on fait dans la nuance à ce que je vois. Mais dis-moi mon coco , tu n'est pas né quelque part ? Tu n'aimes pas la terre où tu es né ? Tu n'aimes pas la langue que tu parles ? Tu n'aimes pas ta culture maternelle ? Mais qu'est-ce que tu fous encore en France ? Ah oui, si tu définis anti-libéral comme étant ceux qui ne partagent pas TA vision du libéralisme, tu peux me compter dans le lot si ce n'est déjà fait.
José Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Aimer sa patrie c'est donc être obligatoirement nationaliste… Pour mémoire, la position de Soljenitsyne quant à la question tchétchène (et plus largement des anciennes colonies de l'empire russe et soviétique) est bien trouble et relève assez peu de l'amour de la patrie. Tu n'aimes pas la terre où tu es né ? Tu n'aimes pas la langue que tu parles ? Moi, non. …si tu définis anti-libéral comme étant ceux qui ne partagent pas TA vision du libéralisme, tu peux me compter dans le lot si ce n'est déjà fait. Ne te compare pas à Soljenitsyne. Sinon, oui, ce dernier était parfaitement anti-libéral en même temps qu'anti-communiste. Encore une fois, on peut admirer et respecter Soljenitsyne, son oeuvre, son action politique, sans devoir se voiler la face.
neuneu2k Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Tu n'aimes pas la terre où tu es né ? Tu n'aimes pas la langue que tu parles ? Tu n'aimes pas ta culture maternelle ? Moi non, mais ca n'a pas de rapport avec le libéralisme, dans un sens ou dans l'autre.
Nick de Cusa Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Très bon article du NYT en effet. Il me semble difficile du juger sa vision du monde qui a été forgée au cours d'une vie dure comme peu d'autres. A peu près tout le monde, soumis aux mêmes souffrances, en ressortirait soit mort jeune soit rendu docile. Alors "antilibéral", "conservateur", "nationaliste", que sais-je, ça me parait de petits mots face à un tel destin tragique. Il combattu la bête et a certainement contribué à l'abattre. C'est bien suffisant pour un seul homme. Ca n'est pas un reproche mais aucun d'entre nous, et c'est tant mieux, n'a connu la solitude réelle, la vraie faim (pas une fringale, hein), la souffrance physique qui plus est causée par la cruauté d'autrui. Alors aller dire après: cet homme n'est pas irréprochable.
Ventura Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 La critique d'un cadavre encore chaud est l'apanage des petits esprits et des lâches. S'il n'aimait pas Soljenitsyne, il devrait être soulagé de sa mort. Dans ce cas, on sourit et on se tait. Comme quelqu'un l'a déjà dit avant moi, je ne fais que le citer, d'autant plus que ce n'est pas la première fois qu'on voit ici ou ailleurs des gens danser sur les morts. Soljenitsyne avait l'âme russe et vouloir le jauger à l'aune des critères de liberaux.org est parfaitement grotesque. On a jamais vu des nains toiser des géants.
José Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Soljenitsyne avait l'âme russe… Tiens, il y avait longtemps qu'on ne nous avait pas ressorti cette sottise de "l'âme russe". Pourquoi pas le classique "les Russes sont fondamentalement destinés à vivre en dictature" ?
Polydamas Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Pour mémoire, la position de Soljenitsyne quant à la question tchétchène (et plus largement des anciennes colonies de l'empire russe et soviétique) est bien trouble et relève assez peu de l'amour de la patrie. Sur la Tchtéchénie, il n'était pas hostile à la guerre ?
Ronnie Hayek Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Ne te compare pas à Soljenitsyne. Sinon, oui, ce dernier était parfaitement anti-libéral en même temps qu'anti-communiste. Il était cohérent, en bref. Et c'est évidemment ce qui dérange Rocou, arbitre des élégances nanarcaps, qui a minablement traité Soljenitsyne de "conservateur de gauche". Fort de café !
José Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Sur la Tchtéchénie, il n'était pas hostile à la guerre ? Si ma mémoire ne me trahit pas, il approuvait, au contraire, l'intervention russe en Tchtéchénie. Avec une foultitude d'autres intellectuels russes d'ailleurs.
free jazz Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Encore une fois, on peut admirer et respecter Soljenitsyne, son oeuvre, son action politique, sans devoir se voiler la face. Daccord avec Lucilio, pour (ne pas) changer. Tiens, il y avait longtemps qu'on ne nous avait pas ressorti cette sottise de "l'âme russe". Pourquoi pas le classique "les Russes sont fondamentalement destinés à vivre en dictature" ? Cette théorie du despotisme asiatique, d'un point de vue descriptif (et non pas deterministe), n'est toutefois pas dénuée de fondement ni de cohérence. L'histoire le confirme, à commencer par celle de la Russie et de la Chine. Voilà enfin un point de désaccord.
José Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Cette théorie du despotisme asiatique, d'un point de vue descriptif (et non pas deterministe), n'est toutefois pas dénuée de fondement ni de cohérence. Le despotisme russe ne date que d'Ivan le Terrible et n'a rien d'une fatalité historique indépassable. Pas plus que la monarchie absolue d'Ancien Régime.
Harald Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Si ma mémoire ne me trahit pas, il approuvait, au contraire, l'intervention russe en Tchtéchénie. Avec une foultitude d'autres intellectuels russes d'ailleurs. En fait, ses opinions politiques, forgées tout au long de sa vie par un destin hors du commun, sont trop complexes pour être ainsi étiquetées. Il prône une Russie forte et indépendante, tout en s'opposant à plusieurs reprises à la guerre en Tchétchénie[réf. nécessaire]. Il ne croit pas que le pays puisse passer, du jour au lendemain, d'un régime totalitaire à une régime de type démocratie occidentale. S'il est favorable à un pouvoir présidentiel fort, il est surtout partisan de la démocratie locale, assez proche des idées de Alexis de Tocqueville : pour Soljenitsyne, la vraie démocratie n'est pas constituée par le système électoral mais par un tissu d'associations locales gérant les affaires indépendamment du pouvoir central qui, lui, ne devrait s'occuper que des affaires nationales (armée, politique étrangère, etc.). Il est un fervent patriote, mais pas un nationaliste : il s'est par exemple toujours opposé à la guerre en Tchétchénie. Il a eu un commentaire favorable au président Poutine lors de son arrivée au pouvoir, espérant de lui des changements significatifs, puis a pris ses distances rapidement. Alexandre Soljenitsyne n'a jamais démenti les accusations de royalisme portées contre lui par le pouvoir soviétique. Ses convictions religieuses orthodoxes suscitent également de la méfiance dans les milieux progressistes. Une condamnation sans appel de la guerre en TchétchénieIl a condamné sans appel la guerre en Tchétchénie et recommandé d’accorder l’indépendance aux Tchétchènes. D’ailleurs, il plaide pour l’abandon de l’empire dans son essai Comment réaménager notre Russie, paru en 1990. Et pour un abandon de la course avec et vers l’Occident. Tout cela n’a évidemment pas plu. Ce moraliste gêne et lasse les beaux parleurs, parce qu’il échappe encore et toujours à toute mainmise. N’entrant dans aucun camp, celui que Sollers voit comme le Dante des temps modernes s’approche avec l’âge de la figure immense de Tolstoï que l’on venait des quatre coins de la Russie visiter dans son domaine de Iasna Poliana, aux environs de Moscou, parce qu’il incarnait la sagesse et la bonté. Moi non, mais ca n'a pas de rapport avec le libéralisme, dans un sens ou dans l'autre. Je répondais à l'accusation de nationalisme. Ceci dit, d'une certaine façon cela a effectivement à voir avec le libéralisme eu égard aux prétentions universalistes de certains qui ont comme un arrière-goût d'internationalisme déjà vu. Soljenitsyne avait l'âme russe et vouloir le jauger à l'aune des critères de liberaux.org est parfaitement grotesque. On a jamais vu des nains toiser des géants. L'âme slave Paroles: Boris Vian. Musique: Jimmy Walter 1954 L'air slave J'ai l'air slave Je suis né à Ville d'Avray Mes parents étaient bien français Ma mère s'app'lait Jeanne et mon père Victor Mais j'm'appelle Igor Mon prénom n'évoque Pas le Languedoc Plutôt moscovite Il est explicite Quand on m'imagine On voit un barin Qui s'apprête à boire A son samovar L'air slave J'ai l'air slave Et ça me poursuit depuis tellement longtemps Que je suis devenu slave malgré moi et sans M'en apercevoir L'âme slave J'ai l'âme slave Je n'ai jamais été plus loin que la barrière de Pantin Tout c'que j'ai d'russe en moi c'est le prénom Mais ça suffit bien A force d'entendre Tous les gens me prendre Pour un russe authentique J'en ai tous les tiques Je vis de zakouski Je bouffe des piroschki Je bois de la vodka Au milieu des r'pas L'âme slave J'ai l'âme slave Je suis tellement influencé par mon prénom Qu'à toutes les f'nêtres de la maison je viens d'faire mettre Des rideaux de fer Mais j'les laisse ouverts…
walter-rebuttand Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Eloge pondéré de l'Economist PROPHETS are without honour in their own country—at least until they die. For most of his adult life in the Soviet Union, Alexander Solzhenitsyn was persecuted. In exile in the West from 1974, his gloomy philippics and increasingly turgid prose aroused more bafflement than appreciation. After he returned to Russia in 1994, he was welcomed but then ignored.His death is a chance to make amends, although whether a Russia that is increasingly nostalgic for its totalitarian past will chose to take it is another matter. In an online poll (admittedly wildly unscientific) taken in recent weeks, the totalitarian leader Joseph Stalin is a front-runner for the title of greatest Russian. It was criticism of Stalin, expressed privately in a letter to a friend, that landed Mr Solzhenitsyn with an eight-year sentence in the camps. It counted for little that he was a twice-decorated artillery officer, on the front-line of the Red Army’s triumph over Nazi Germany. Having experienced the crimes of Stalinism at first hand, he exposed them in both fiction and factual form. “One Day in the Life of Ivan Denisovich”, published in 1962, gave Soviet citizens their first opportunity to read about the brutality, squalor, humiliation and fear of daily life in a prison camp, all told in the matter-of-fact style of a Russian folk tale. “The Gulag Archipelago” described the system, its tortures, rules and subculture, in relentless, gruesome, encyclopedic form. Modern scholars, able to research the subject with a freedom that Mr Solzhenitsyn could never have dreamed of, say it is astonishingly accurate. His other books are more patchy. Although he detested the ravages of communist rule on Russian language and culture, the clunky techniques of Socialist Realism are all too visible in works such as “The Cancer Ward”. His later works are mostly panoramic histories of Russia in the past century that most readers found impenetrable. His latest work, a lengthy series of reflections on Jewish-Russian relations, prompted charges of anti-semitism that he furiously denied. Mr Solzhenitsyn was a loyal communist in his youth. As a young man, he dreamed of writing a history of the Russian revolution, oblivious to the Stalinist terror going on around him. As a bright, young maths student, he once said he could easily have ended up being recruited by the NKVD, the secret police, to perpetrate terror. Instead he became its most potent critic. His political awakening came from long talks in prison with Arnold Susi, an Estonian lawyer jailed for being a minister in a non-communist government. That friendship survived for many years after both men were released. As well as the gulag, Mr Solzhenitsyn’s titanic willpower triumphed over other adversaries: cancer, censorship and Soviet bureaucratic intimidation. In 1970 he won the Nobel prize for literature, but declined to accept it in person for fear that he would not be allowed to return to the Soviet Union. But by 1974, the Soviet authorities had had enough: he was bundled onto a plane to West Germany, to spend two decades abroad. Those in the West who had championed his cause were disconcerted to find that he saw the capitalist system as little better than communism. He denounced materialism and moral emptiness, and lived in increasing seclusion in a remote corner of New England. As communism collapsed, his books, once read only in flimsy, blurred carbon copies, could all be published legally inside the Soviet Union. But he detested the man who brought that about: Boris Yeltsin, the first freely-elected leader in Russia’s history, spurning his offer of a state decoration. He could not, he said accept honours from a man who had brought misery on his people. To the consternation of some of his supporters, he did accept an award from the ex-KGB officer who became Mr Yeltsin’s successor, Vladimir Putin. He even seemed to downplay Mr Putin’s role in the KGB, saying that every country needed an intelligence service. Yet, although he praised the self-respect and stability that Russia had regained under Mr Putin, he remained deeply critical of its politics and the corruption and greed that capitalism had exposed and fuelled. That message, often delivered in sententious, near messianic tones, had little appeal. A television programme consisting largely of all but unwatchable monologues lingered painfully on the airwaves and then died, unlamented. Few read his books. But his death is a chance for Russia’s rulers to say what they think about totalitarianism. Was the collapse of the Soviet Union the “geopolitical catastrophe” of the last century? Or is the real disaster the failure of an independent Russia to cast off the chains of authoritarianism and empire? If Russia’s new president, Dmitry Medvedev, goes beyond simply offering condolences to the Solzhenitsyn family, his thoughts on that would be eagerly awaited.
José Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Harald, la question tchétchène semble bien obscure. Car, pour ma part, je retrouve un article de l'agence de presse allemande Deutsche Presse Agentur qui dit bien (comme j'en avait le souvenir du début des années 2000) : Solzhenitsyn applauded the policies of former president Vladimir Putin, who is now prime minister, and Putin's support for the ascendency of the Russian Orthodox Church after the years of repression during Soviet times. He also supported Moscow's controversial policies against the breakaway republic of Chechnya. http://www.aol.in/news-story/alexander-sol…0002/index.html Ou encore : A Vladimir Poutine, son successeur, il a reproché de ne pas s'être attaqué aux pouvoirs des hommes politiques corrompus. Et, position qui fit bondir les milieux progressistes, ce défenseur d'une renaissance morale et spirituelle de la Russie se disait favorable au rétablissement de la peine de mort pour mieux mater le séparatisme tchétchène. http://www.levif.be/actualite/culture/72-6…ljenitsyne.html
Invité jabial Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Mélenchon est un porc bolchevique. A quoi s'attendre d'autre de la part de ces animaux?
free jazz Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Mélenchon est un porc bolchevique. A quoi s'attendre d'autre de la part de ces animaux? Pire que ça, c'est un national-bolchévique. Une ordure de la pire espèce, dont le succès croît dans la fange antilibérale actuelle.
Rincevent Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Le despotisme russe ne date que d'Ivan le Terrible et n'a rien d'une fatalité historique indépassable. En effet. Ce n'est pas en dictature que les Russes (se) sont destinés à vivre, mais plutôt dans un mélange, variable selon l'époque, d'anarchie et de tyrannie.
José Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 En effet. Ce n'est pas en dictature que les Russes (se) sont destinés à vivre, mais plutôt dans un mélange, variable selon l'époque, d'anarchie et de tyrannie. En France, quoi.
Polydamas Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Avec proximité tout aussi douteuse avec l'antisémitisme. Tu les a lu ou pas ?
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