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Transmission du sida


Messages recommandés

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  librekom a dit :

une autre note a propos du même livre :

On a ici un parfait exemple de ce qu'on appelle communément l'idéologie. Sa grille de lecture de la réalité est fascinante. Les histoires d'amour dans la littérature seraient en fait des conditionnements hétérosexuels. On dirait un marxisme de pédale (sans offense, c'est juste pour la formule :icon_up: ).

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  Luis a dit :
Evidemment, c'est le monde qui a tort, et ce depuis la nuit des temps.

Je ne comprend pas de quoi tu parles, qui a dit que le monde a tort ?

Posté

Apparemment, le monde a eu tort de ne pas s'intéresser plus tôt à l'"histoire" de l'hétérosexualité !

  Description du produit a dit :
En définitive, l'auteur nous invite à accomplir une véritable révolution : sortir l'hétérosexualité de l'ordre de la Nature" et la faire entrer dans l'ordre du Temps", c'est-à-dire dans l'Histoire. Une histoire de l'hétérosexualité !

On reste dans l'idée de la dénonciation du "formatage", des "normes sociales".

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  Saucer Fly a dit :
On a ici un parfait exemple de ce qu'on appelle communément l'idéologie. Sa grille de lecture de la réalité est fascinante. Les histoires d'amour dans la littérature seraient en fait des conditionnements hétérosexuels. On dirait un marxisme de pédal (sans offense, c'est juste pour la formule :icon_up: ).

Mais de quoi tu parles, qui dit ça ?????

Je vous trouve de mauvaise foi les gars, vous lui faites un procès d'intention et vous présupposer que ce type ne peut rien avoir de plus intéressant à dire que ce vous avez déjà entendu de la bouche d'autres militant du lobby gay.

Que vous ne soyez pas d'accord avec sa thèse, y a pas de problème, mais prenez au moins la peine de ne pas transformer ses propos auquel cas c'est du strawman.

  Luis a dit :
Apparemment, le monde a eu tort de ne pas s'intéresser plus tôt à l'"histoire" de l'hétérosexualité !

On reste dans l'idée de la dénonciation du "formatage", des "normes sociales".

Il ne dit pas que le monde entier à tort, il se contente de subjectiver ce qui était jusqu'alors objectifs, tous les sociologue le font et on ne les accuse pas de s'opposer au monde.

Posté

En fait je pense que ce bouquin n'est pas forcément inintéressant, mais l'utilisation qui va en être faite se voit à des kilomètres…

  librekom a dit :
Il ne dit pas que le monde entier à tort, il se contente de subjectiver ce qui était jusqu'alors objectifs, tous les sociologue le font et on ne les accuse pas de s'opposer au monde.

Justement, je n'ai pas une bonne opinion de la sociologie en général.

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  librekom a dit :
Il ne dit pas que le monde entier à tort, il se contente de subjectiver ce qui était jusqu'alors objectifs, tous les sociologue le font et on ne les accuse pas de s'opposer au monde.

Un peu, si.

La sociologie n'est pas une science, c'est une matière pour fumistes.

  Citation
La théorie de l'auteur est que l'hétérosexualité n'a pas toujours été valorisée de façon égale à travers les époques et que le modèle familiale "Papa, maman, bébé" n'a pas toujours coulé de source comme on a tendance à le croire.

Ce que je constate c'est que - semble-t-il - les couples homos de nos jours s'évertuent de le reproduire (mariage, mères porteuses, etc…).

Preuve s'il en est, en dehors de sa durée, que ce modèle est définitivement compris comme supérieur à tous les autres.

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  Ash a dit :
Un peu, si.

La sociologie n'est pas une science, c'est une matière pour fumistes.

Ce que je constate c'est que - semble-t-il - les couples homos de nos jours s'évertuent de le reproduire (mariage, mères porteuses, etc…).

Preuve s'il en est, en dehors de sa durée, que ce modèle est définitivement compris comme supérieur à tous les autres.

Parce que les gens le choisissent, tu en déduis qu'ils considèrent qu'il est supérieur à tous les autres ?

Je peux te donner des tas d'exemple de choix que j'ai fait, qui ne sont certainement pas supérieurs à tous les autres mais qui sont simplement ce qui me convient le mieux.

Et à nouveau, l'auteur ne prétend pas que ce modèle est supérieur, ni le contraire. Il explique simplement que ce modèle est plus récent qu'on ne le croit. Ta remarque est donc hors sujet. Nananananère.

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  librekom a dit :
Parce que les gens le choisissent, tu en déduis qu'ils considèrent qu'il est supérieur à tous les autres ?

Je peux te donner des tas d'exemple de choix que j'ai fait, qui ne sont certainement pas supérieurs à tous les autres mais qui sont simplement ce qui me convient le mieux.

Et à nouveau, l'auteur ne prétend pas que ce modèle est supérieur, ni le contraire. Il explique simplement que ce modèle est plus récent qu'on ne le croit. Ta remarque est donc hors sujet. Nananananère.

Pour faire un gosse, faut quand même un homme et une femme… Où est la culture là dedans?

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  Pandi a dit :
Pour faire un gosse, faut quand même un homme et une femme… Où est la culture là dedans?

On peut parfaitement être homosexuel et géniteur!.

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  john_ross a dit :
On peut parfaitement être homosexuel et géniteur!.

Oui, mais il faut quand même qu'intervienne l'autre sexe d'une manière ou d'une autre. Ce que je voulais dire, c'est que le modèle papa-maman a quand même un support biologique, on ne peut pas tout réduire à la culture. Ce qui est naturel n'est pas forcément supérieur bien sûr, mais ça peut expliquer la prévalence d'un certain modèle.

Posté
  librekom a dit :
Parce que les gens le choisissent, tu en déduis qu'ils considèrent qu'il est supérieur à tous les autres ?

Je peux te donner des tas d'exemple de choix que j'ai fait, qui ne sont certainement pas supérieurs à tous les autres mais qui sont simplement ce qui me convient le mieux.

Et à nouveau, l'auteur ne prétend pas que ce modèle est supérieur, ni le contraire. Il explique simplement que ce modèle est plus récent qu'on ne le croit. Ta remarque est donc hors sujet. Nananananère.

S'ils ne le considèrent pas comme supérieur aux autres, pourquoi insistent-ils tant pour le singer ?

Posté
  Pandi a dit :
Ce qui est naturel n'est pas forcément supérieur bien sûr, mais ça peut expliquer la prévalence d'un certain modèle.

Une bonne méthode: généralise le fait à tous les humains et voit l'effet. Compare le à son contraire et tu verras bien. Je ne sais pas si cela fonctionne à tous les coups mais en l'occurrence, sur ce sujet, on voit bien ce qui est supérieur.

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  Highlife a dit :
Une bonne méthode: généralise le fait à tous les humains et voit l'effet. Compare le à son contraire et tu verras bien. Je ne sais pas si cela fonctionne à tous les coups mais en l'occurrence, sur ce sujet, on voit bien ce qui est supérieur.

Cela ne fonctionne en fait quasiment jamais.

Exemples: l'humanité entière dit la vérité, tout le temps.

L'humanité entière pense à autrui avant de penser à soi, tout le temps.

L'humanité entière fait oeuvre de charité dès que l'occasion se présente.

Etc.

Posté
  Yozz a dit :
Cela ne fonctionne en fait quasiment jamais.

Exemples: l'humanité entière dit la vérité, tout le temps.

L'humanité entière pense à autrui avant de penser à soi, tout le temps.

L'humanité entière fait oeuvre de charité dès que l'occasion se présente.

Etc.

Comment ça ?

Je ne dis pas ça, je dis:

Compare les résultats d'un acte que ferait l'humanité entre lui même et son contraire.

Pour reprendre un de tes exemples:

Si l'humanité (ceux qui le peuvent évidemment) fait œuvre de charité tu regardes le résultat comparé à toute l'humanité ne donne rien. Résultat: on se rend compte que faire acte de charité est mieux que de tout garder par exemple.

Mais bon, je n'ai testé cette méthode que sur quelques sujets et elle est peut être complètement foireuse…

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  librekom a dit :
Ta remarque est donc hors sujet. Nananananère.

:doigt:

  laffreuxthomas a dit :
Ah ça me rassure. J'allais derechef te demander de respecter ton vieux doyen.

Toi, tu as chopé le melon :icon_up: .

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  Pandi a dit :
Oui, mais il faut quand même qu'intervienne l'autre sexe d'une manière ou d'une autre. Ce que je voulais dire, c'est que le modèle papa-maman a quand même un support biologique, on ne peut pas tout réduire à la culture. Ce qui est naturel n'est pas forcément supérieur bien sûr, mais ça peut expliquer la prévalence d'un certain modèle.

Oui absolument, mais il ne faut pas se limiter à deux modèle, un homo, un hétéro. On peut très bien envisager une société à la fois complètement hétérosexuel et complètement homosociale.

C'est dire des hommes qui font des bébés aux femmes, mais qui ne vivent pas selon le modèle de la cellule familiale. Sans parler de la polygamie et de la polyandrie.

Avant le 12ème siècle, le clergé était exclusivement homosocial par exemple et en plus ils s'abstenait de faire des bébés aux femmes.

Posté
  Ash a dit :
S'ils ne le considèrent pas comme supérieur aux autres, pourquoi insistent-ils tant pour le singer ?

D'abord, qui signe qui ? Parmi les gays, je serais curieux de connaître la proportions de ceux qui vivent selon le modèle familiale.

Ceux qui choisissent ce modèle pensent peut-être qu'il est supérieur, je n'en sais rien. Mais ce qui est certain, c'est qu'ils considèrent que c'est celui qui leur convient le mieux.

Tu choisi un logement selon tes besoins, tu ne va pas affirmer qu'une villa campagnarde est un choix supérieur à un loft en centre ville. Tout dépend de ton lieu de travail, si tu as des enfants ou pas, de ton moyen de transport et aussi de choses plus subjectives comme tes centres d'intérêt et tes goûts. Il y aussi des choix que tu écartera d'office comme des logement non équipé de l'électricité ou de l'eau courante, ou situé sur une faille sismique ou en zone inondable.

Pour le choix du modèle, c'est similaire, tout dépend de tes besoins et de tes envies et de ce qui est pour toi inenvisageable, que ce soit pour des raisons morales, culturelles ou pratiques.

  Highlife a dit :
Une bonne méthode: généralise le fait à tous les humains et voit l'effet. Compare le à son contraire et tu verras bien. Je ne sais pas si cela fonctionne à tous les coups mais en l'occurrence, sur ce sujet, on voit bien ce qui est supérieur.

je trouve la méthode foireuse, je ne vois pas en quoi le fait que tout le monde puisse poser un acte, rende celui-ci moralement supérieur.

Posté
  librekom a dit :
je trouve la méthode foireuse, je ne vois pas en quoi le fait que tout le monde puisse poser un acte, rende celui-ci moralement supérieur.

Ce n'est pas la possibilité de faire un acte, ce sont les conséquences de celui-ci.

Exemple: tuer autrui.

Si tout le monde s'entretue l'Homme n'existe plus. Donc ne pas s'entretuer est un comportement inférieur à celui qui est de ne point tuer autrui.

Si tout le monde est homosexuel l'Homme ne peut se reproduire (de manière naturelle dois-je préciser désormais) donc ce comportement sexuel est inférieur à celui qui perpétue l'existence de l'espèce.

Encore une fois, je ne sais pas si cette méthode est bonne et j'attends vos contre exemples.

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  Highlife a dit :
Encore une fois, je ne sais pas si cette méthode est bonne et j'attends vos contre exemples.

Si tout le monde est chaste l'homme ne peut se reproduire. Donc la chastete est inferieure a la debauche.

Sisi ca a l'air de marcher :icon_up:

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  Ash a dit :
Ce que je constate c'est que - semble-t-il - les couples homos de nos jours s'évertuent de le reproduire (mariage, mères porteuses, etc…).

Preuve s'il en est, en dehors de sa durée, que ce modèle est définitivement compris comme supérieur à tous les autres.

J'ai pas lu le livre, mais justement j'avais compris qu'il expliquait que ce modele (papa/maman/enfants) n'a pas toujours ete predominant ? (Que ce soit parmis les homos ou les heteros)

Ca m'etonne ceci dit, je demande a voir. Il est possible que les grand parents et les voisins aient joue un plus grand role dans la famille par le passe, mais ca change pas fondamentalement le modele.

Posté

Bon, puisque vous avez du mal à saisir le message de ce Monsieur, j'ai commencé sa lecture.

L'objet du livre est

1° on peut parler de culture hétérosexuelle

2° cette hétérosexualité a une histoire

Il ne s'agit pas de parler des pratique, d'écrire l'histoire de la sexualité, mais de la cuture hétérosuxelle, c'est à dire des représentations.

Il montre que les cultures humaines dans leur extrème diversité, ne sont pas nécessairement hétérosexuelles.

Les objects culturels ne sont pas nécessairement lié au couple homme femmes.

Quand on regarde un peu les cultures anciennes, ou lointaines, celles qui ne sont pas liées à la culture occidentale d'aujourd'hui, on voit que ce qui est célébré dans les religions, les mythes, les traditions, ce n'est pas forcément le couple homme femme, parfois ce sont les normes juridiques, l'observation des astres et des cylces agricoles, les amitiés chevalresques, la bravour, l'héroisme,

Quantités de choses sont célébrées dans ces récit mais le couple homme/femme en est complètement absent.

On constate que la célébration du couple homme femme, ce qu'il appel la culture hétérosexuelle, est qqch qui n'est pas universel et que cela a une histoire qui commence à parir du 12 et 13ème sicèle en occident, il parle de l'occident chrétien, il reviendra sur l'antiquité dans un second tôme.

Le livre traite donc d'une part de l'émergeance de la culture du couple homme/femme. Mais d'autre part, des résistance énormes qui se sont opposées à cette culture.

Les oppositions viennent de plusieurs champs en particulier.

Tout d'abord des chevaliers qui jusqu'au 12/13ème siècle promeuvent une éthique militaire qui est une éthique masculine, célébre l'hérosime et la bravour et les femmes sont totalement absentes de cet univers.

Du coup, lorsque la courtoisie s'introduit au 13 ème siècle, elle met en périel l'éthique chevalresque.

C'est à dire que le chevalier nouveau se trouve entre deux injonction contradictoire : Soit il reste entre hommes, comme d'habitude, mais on l'accuse d'être un sodomite. Soit il accepte de servir la dame, mais on l'accuse d'être effeminé.

On constate qu'aujourd'hui l'homosexuel est à la fois le sodomité et l'effeminé alors qu'à l'époque ce sont deux figures totalement opposée.

Donc le chevalier dans cette situation, tente de composer plus ou moins en essayant de trouver une synthèse, un compromis, un équilibre extrèmement difficile à trouver et c'est ce qu'on voit dans beaucoup de roman de chevalerie.

Il cite notemment chrétien de troyes ou l'on voit que c'est extrêment difficile a gérer parce que le genre masculin promu par l'éthique chevalresque est un genre qui ne se prète pas aux galenteries et aux badinages.

Donc on voit que c'est un problème de genre.

Un autre champ qui s'oppose c'est le champ religieux, mais la ce n'est pas une question de genre, c'est une question de sexe.

Que disent les hommes d'eglise, c'est que l'homme est appelé au célébat et à la chasteté.

Et toute l'éthique du christianisme enjoint les hommes de rester célibataire.

La vie célibataire est éxaltée par des centaines de traités et textes médiévaux et on voit que bien entendu les prètre sont célibataire ainssi que les moine, que les chrétiens ne le sont pas tous mais on le déplore.

Saint Paul dit lui même " que chacun reste célibataire, si vous n'arriver pas à maitriser votre concupicense, mariez-vous. Mais le mieux, c'est quand même de rester célibataire.

Jésus lui même apparait à touse comme un modèle de célibat.

La Vierge étant vierge, elle n'est pas une femme charnelle.

Donc le modèle chrétien propose une éthique du célibat, de la sépatration des sexes et considère comme saint jérome le disait, l'adage a été souvent repris " Les vierges peuplent le paradis".

Et donc quand la culture du couple homme femme, s'introduit au 12ème siècle, l'Eglise tone proteste, en disant mais qu'est ce que c'est que ça ? on introduit, la femme, le sexe ???

Ce qui est interressant c'est qu'au fond, la tradition de l'Eglise est en réalité une tradition hétérophobe.

Elle est aujourd'hui plutôt homophobe, c'est une autre histoire.

Mais c'est un tradition largement hétérophobe, non pas parce que les chrétiens et les hommes d'église étaient tous homosexuels, certainelent pas, mais parce que c'était des hommes orthodoxes qui promouvait une éthique du célibat, du refus de la chaire et donc inévitablement du refus du couple hétérosuxel. (du couple homo aussi d'ailleur, mais ce n'était pas le problème du moment).

Ce qui est reprocher au couple, c'est de jouir. Plus précisémment de jouir sans procréer.

Il ne faut pas jouir gratuitement, il faut tout juste faire oeuvre procréatrice et si on parvient à procréer sans jouir c'est encore mieux.

c'est là que le couple homosexuel apparait comme encore pire, puisque qu'il sépare de fait la procréation de la jouissance.

Jusqu'au 12ème on voit que la procréation n'est pas spécialement valorisée, c a d, on considère que la chaire en soit est mauvaise, même si on reproduit sans jouissance, c'est plus que suspect.

c'est là la différence essentiel entre l'anthropologie Hébraïque et l'anthropologie chrétienne.

L'anthropologie Hébraïque repose sur la promesse faite à Abram, Isaac et Jacob d'une descendace plus nombreuse que les étoiles dans le ciel et que les grains de sable dans la mer.

C'est extrêment important pour les juifs, on présente tout le temps : " tel prophète à une 4 femmes, 18 enfants et 300 moutons"

On voit que l'abondance est importante, pas seulement popur une question de sécurité sociale, sur les vieux jours il faut avoir des enfants, mais aussi pour des quetsio géopolitique.

Parce que les tribus d'Israël sont extrêmement divisées et elles sont confrontées à des empires(les pers, l'égypte, les grecs) qui sont beaucoup plus constitué, plus organisés et plus fort.

Il y a donc une politique des ventres qui est mise en oeuvre dans la tradition juive.

Et c'est pourquoi l'onanisme est aussi condamné parce qu'il faut faire des enfants.

En réalité dans l'éthique chrétienne c'est l'inverse qui se passe, C'est dire que l'on dit : "l n'est pas opportun de faire des enfant parce que le but n'est pas de peuplé la terre, mais de peuplé le >Paradis.

Donc on va valoriser, non seulement le refus de la jouissance, mais aussi le refus du coïte reproductif.

Et du coup on va dire par exemple dans certain ordre très catholiques, qu'il faut éviter les femmes absolument.

Pour les templier, toucher une femme même involontairement était une faute d'une extrème gravité.

Il s'agit de refuser la chaire, fut-ce pour la procréation.

Alors évidemment ceci c'est léthique et l'orthodoxie, si nous sommes là c'est parce que les catholique ne la suivaient pas à la lettre et ne se privait pas de copuler.

Mais c'est pour ça qu'il insiste sur le fait qu'il parle bien de la culture, c'est à dire des représentations officielle, et celle ci sont dominée d'une part par le clergé et d'autre pars par la noblesse.

Donc on voit par là, dans le champ de l'Eglise comme dans celui de la chevalierie, il y a lieu de s'opposer à l'émergeance de la culture du couple homme femme au moment ou il s'introduit au 12ème siècle.

Bon ben voilà, j'espère que vous me pardonnerez les fautes d'orthographe, j'ai écrit ça sur le notepad avant de le copié ici et il n'y a pas de correcteur d'orthographe.

Depuis que j'ai réinstallé mon pc, j'ai la flemme de réinstaller le pack office.

  jubal a dit :
Si tout le monde est chaste l'homme ne peut se reproduire. Donc la chastete est inferieure a la debauche.

Sisi ca a l'air de marcher :icon_up:

:doigt:

Posté
  jubal a dit :
Si tout le monde est chaste l'homme ne peut se reproduire. Donc la chastete est inferieure a la debauche.

Sisi ca a l'air de marcher :icon_up:

Pas sur cet exemple: chasteté cela signifie pas de relation sexuelle avant le mariage. Edit: d'après wikipedia c'est même bien plus compliqué que ça d'ailleurs. Mais en aucun cela signifie n'avoir aucune relation sexuelle.

Sauf si tu voulais parler du voeu de chasteté que font les moines par exemple. Et j'affirme cependant que ce n'est pas un comportement qui est bon car il est contraire à la nature humaine.

Aux vues des différentes approbations je dirais: Try again!

Je persiste et signe cependant qu'il doit y avoir des contre exemples même si je n'en ai pas trouvé :doigt:

Posté
  Ash a dit :
Ce que je constate c'est que - semble-t-il - les couples homos de nos jours s'évertuent de le reproduire (mariage, mères porteuses, etc…).

Preuve s'il en est, en dehors de sa durée, que ce modèle est définitivement compris comme supérieur à tous les autres.

  Ash a dit :
S'ils ne le considèrent pas comme supérieur aux autres, pourquoi insistent-ils tant pour le singer ?

Désir de vivre comme monsieur tout le monde tout simplement et de ne pas être assimilé à certains clichés.

  Citation
As tolerance spreads, gay life is becoming more suburban, contented and even dull

Kevin Kallaugher

A FEW years ago, a Gay Pride parade passed The Simpsons' house in Springfield. “We're here! We're queer! Get used to it!” chanted the marchers. Little Lisa Simpson replied: “You do this every year. We are used to it.” As usual, the cartoon was a few steps ahead of real life. But only a few. The New York Observer recently published an article about gays who think Gay Pride marches are pointless, since the big battles for gay rights have already been won. (The title: “Goodbye, Mr Chaps”.) One non-marcher remarked: “I live in New York, and it's sort of like every day is Gay Pride Parade. I don't need this special day where I'm out of the closet.”

Perhaps it is no surprise that gays find a hip city like New York hospitable. But two sets of data suggest that America as a whole is becoming steadily more tolerant. First, opinion polls show that homophobia has receded almost as far as Homer Simpson's hairline. As recently as 1982, only 34% of Americans thought homosexuality should be considered an acceptable alternative lifestyle. Now, 57% do. Since young Americans are far more relaxed about homosexuality than their elders—three-quarters of 18-34-year-olds think it is OK to be gay, whereas half of those over 55 think it is not—this trend is likely to continue. This year was also the first since Gallup started asking the question that a majority of Americans have not said that homosexual relations are morally wrong. And a hefty 89% think that gays should have equal rights in terms of job opportunities. If that strikes you as no big deal, recall that a total ban on gays working for the federal government was repealed only in 1975.

Second, and more subtly, one can look at demography. Gary Gates, a Californian academic, has been mining census data to determine where gays live in America. He observes several trends. First, the number of openly gay households is growing five times faster than the population as a whole. The last full census, in 2000, counted nearly 600,000 same-sex couples. Five years later, the American Community Survey (in which the Census Bureau quizzes a statistically representative sample of 1.4m households) estimated that that number had increased by 30%, to 777,000. Mr Gates reckons the bulk of the increase is because as tolerance spreads, more gay couples are willing to be counted.

The increase was most pronounced in the Midwest, with Wisconsin showing an 81% jump in the number of same-sex couples and Minnesota, Nebraska, Kansas, Ohio, Iowa, Missouri and Indiana also among the ten fastest-growing states in this respect. What this means, perhaps, is that gay America is becoming more like Middle America. “Much of the stereotype around gays is a stereotype of urban white gay men,” says Mr Gates. “The gay community is becoming less like that, and more like the population in general.” Gay couples are still more likely than straight ones to live in cities, but the gap is smaller than popularly believed, and closing. In 1990, 92% of gay couples but only 77% of American households were in what the Census Bureau calls “urban clusters”. By 2000, the gay figure had fallen to 84% while the proportion for households in general had risen to 80%, a striking convergence.

Virtually normal

San Francisco is great if you are young, single and looking for a party. But if you want to settle down with a partner, the suburbs and the heartland beckon. Gays who have children—and a quarter of gay couples do—gravitate towards them for the same reasons that straight parents do: better schools, bigger gardens, peace and quiet. Mark Strasser, for example, lives with his male partner and their two children in Columbus, Ohio. He says they encounter no hostility eating out as a gay couple or picking up the children from their private school. He has to rack his memory for the last time anyone called him anything nasty for being gay. “That would have been in the late 1980s, I think,” he says. His employer, a private university, offers the same health insurance to employees' gay partners as to spouses (as did most Fortune 500 companies, for the first time, last year).

Mr Strasser has worries, of course. Ohio is one of 26 states with a recent constitutional amendment barring same-sex marriage. Mr Strasser wonders whether a public school would recognise that his children have two fathers, or if a hospital would allow both of them to visit if one of their children fell ill. This is a serious matter. Only Massachusetts allows same-sex marriage, although six other states have allowed civil unions that are marriages in all but name, and a law allowing full marriage rights passed through the lower house of New York's state legislature on June 19th. Most Americans are still uncomfortable about letting gays tie the knot, but support for the idea has risen from 27% in 1996 to 46% this year.

Jonathan Rauch of the Brookings Institution argues that the campaign for same-sex marriage was spurred in part by AIDS. For gay Americans, the epidemic put a damper on exuberant promiscuity and highlighted the benefits of loving partnership. Although the last state anti-sodomy laws were struck down only in 2003, sexual liberation is now taken for granted, argues Paul Varnell, a writer. “Far from being radicals of any sort, most of us are just plain ol' bourgeois,” writes Mr Varnell. “How much more bourgeois can you be than wanting to marry the person you love and wanting to serve in the military?”

The kind of gay activists who think you can't be authentically gay unless you are permanently in opposition to the mainstream find the prospect of gay assimilation appalling. So does the religious right. A black preacher named Wellington Boone, for example, has circulated a pamphlet entitled “The Rape of the Civil Rights Movement: How Sodomites Are Using Civil Rights Rhetoric to Advance Their Preference for Sexual Perversion”. But he is howling at the incoming tide.

Source : The Economist

Posté
  Lexington a dit :
Désir de vivre comme monsieur tout le monde tout simplement et de ne pas être assimilé à certains clichés.

Source : The Economist

En ce qui me concerne cela me convient très bien qu'ils ne se sentent pas comme monsieur tout le monde (à titre indicatif: je ne me sens pas comme monsieur tout le monde car aux vues de mes pensées je me sens totalement différent à bien des égards de beaucoup de gens). Bien évidemment je respecte leurs libertés et leurs droits, là n'est pas la question. Néanmoins, tenter de supprimer les tabous et la pression sociale qui faisait que l'on cachait son homosexualité est pour moi néfaste. Tout comme les tabous concernant la tromperie dans le couple.

Posté

moui, les communautaires-socialo-gogos ne sont pas la majorite a mon avis.

d'autre part, tout partout enseigne aux gens que le seul moyen d'exister c'est de s'organiser en meutes democratiquement violentes ( c un concept nouvo cado )

pardonnnne leuuuurrrrrr car ils ne savent point oin oin

yoda.jpg

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