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Voilà la question !


Citoyen Libre

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Posté
En fait, cette histoire de cookies est même un extrait d'un des cinq volumes de la trilogie précitée. Le troisième, je crois.

Bonjour

Un élément de réponse :

La grande question sur la vie, l'univers et le reste est, dans l'œuvre de Douglas Adams Le Guide du voyageur galactique, la question ultime sur le sens de la vie. Selon l'œuvre, des chercheurs d'une race super-intelligente et pan-dimensionnelle construisirent le deuxième plus grand ordinateur de tous les temps, Pensées Profondes, pour calculer la réponse à la Grande Question sur la Vie, l'Univers et le Reste. Après sept millions et demi d'années à réfléchir à la question, Pensées Profondes fournit enfin la réponse : 42. Source : Tuxboard

Posté
Bonjour

Un élément de réponse :

La grande question sur la vie, l'univers et le reste est, dans l'œuvre de Douglas Adams Le Guide du voyageur galactique, la question ultime sur le sens de la vie. Selon l'œuvre, des chercheurs d'une race super-intelligente et pan-dimensionnelle construisirent le deuxième plus grand ordinateur de tous les temps, Pensées Profondes, pour calculer la réponse à la Grande Question sur la Vie, l'Univers et le Reste. Après sept millions et demi d'années à réfléchir à la question, Pensées Profondes fournit enfin la réponse : 42. Source : Tuxboard

Tu es une mangouste pour les cobras qui peuplent lib.org.

Posté
moi je suis contre interdire la guerre

Moi, ça dépend. De quelle guerre parle-t-on ? (en voilà une bonne question :icon_up: )

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Moi, ça dépend. De quelle guerre parle-t-on ? (en voilà une bonne question :icon_up: )

Ben voyons! de la guerre de cent ans! faut suivre, mon gars, surtout avec la belle armure que tu as sur le dos!

Posté
Je suis germanique mais j'ai combattu pour la France

Je déteste le cochon mais je suis chrétienne

J'ai une sainte horreur des feux de joie

Qui suis-je ?

dark-vador.gif ?

Posté

Voilà la question !



La situation économique catastrophique à laquelle nous sommes confrontés n'est qu'un des multiples aspects de la crise de civilisation que nous traversons.

Avant de s'atteler à des questions d'ordre économique, social et politique, notre préoccupation devrait être de résoudre la question fondamentale du sens de l’existence pour trouver ainsi le dénominateur commun capable de réunir l'humanité dans un contexte social cohérent, juste et solidaire, respectueux des libertés individuelles.

Cette réponse essentielle doit être accessible au Bon Sens et à la raison de chacun. Tant qu'elle ne sera pas donnée, une infime minorité continuera, en toute impunité, à manipuler et à exploiter la majorité avec le cynisme et le narcissisme criminel qu'on lui connaît.

PUBLICITE INTERDITE

bon……. en fait, ca se passe largement dans la tete, ou dans la formulation de "la question". Soit on voit les choses comme écrit ci-dessus, soit on a une vision plus apaisante, celle d'un lent processus au cours duquel on CHERCHE a résoudre cette question, jour après jour, au niveau de la société toute entière, donc au niveau politique, tout en continuant le "business as usual", comme disent nos amis anglais.

En effet, on ne peut pas TOUT ARRETER, dans une société libre, et déclencher des états généraux avec présence obligatoire de chacun, pour résoudre "la question".

Sans compter que cet exercice est voué a un echec absolument certain.

Donc "la question", pour moi, c'est celle de la politique et de la démocratie. C'est une vaste et noble question, en effet, mais pas la peine de nous en faire un flan (révolutionnaire), dont le succès sur ce forum me parait compromis.

PS :icon_up: j'espère que la réponse est accessible au bon sens de notre ami, et je rappelle au passage que l'accessibilité au bon sens (de la mère Denis) n'est pas toujours un gage de pertinence et de qualité analytique.

Posté
bon……. en fait, ca se passe largement dans la tete, ou dans la formulation de "la question". Soit on voit les choses comme écrit ci-dessus, soit on a une vision plus apaisante, celle d'un lent processus au cours duquel on CHERCHE a résoudre cette question, jour après jour, au niveau de la société toute entière, donc au niveau politique, tout en continuant le "business as usual", comme disent nos amis anglais.

En effet, on ne peut pas TOUT ARRETER, dans une société libre, et déclencher des états généraux avec présence obligatoire de chacun, pour résoudre "la question".

Sans compter que cet exercice est voué a un echec absolument certain.

Donc "la question", pour moi, c'est celle de la politique et de la démocratie. C'est une vaste et noble question, en effet, mais pas la peine de nous en faire un flan (révolutionnaire), dont le succès sur ce forum me parait compromis.

PS :icon_up: j'espère que la réponse est accessible au bon sens de notre ami, et je rappelle au passage que l'accessibilité au bon sens (de la mère Denis) n'est pas toujours un gage de pertinence et de qualité analytique.

Bonjour et merci de votre réponse.

En raison de l'heure tardive de là où je suis et de mon emploi du temps fort chargé, je ferai un commentaire à votre réponse dans les deux à trois jours à venir.

A ceux qui auraient été offusqués par ma "publicité" pour mon propre forum… Désolé, je commence tout juste cet exercice de participation à un forum.

Posté
En effet, on ne peut pas TOUT ARRETER, dans une société libre, et déclencher des états généraux avec présence obligatoire de chacun, pour résoudre "la question".

Le tout étant, une fois avoir soumis tous et chacun à La Question, de savoir si on est parvenu à une Solution Finale.

:icon_up:

Posté
Uh uh uh.

Bonjour,

A la lecture de votre réponse et de celles d'autres membres de votre forum, et sans vouloir empêcher quiconque de faire connaître son analyse ou son point de vue, il m'a semblé important de faire la mise au point suivante :

Il ne suffira pas de changer quelques aspects de la société. C'est l'ensemble du contexte social qu'il nous faut remettre en question en mettant la personne humaine au centre du débat.

Il faut nous débarrasser des conditionnements qui nous ont été imposés par les classes dominantes, nous libérer de tout communautarisme de pensée, pouvoir nous exprimer et agir en accord avec notre conscience, quitte à devoir être des "citoyens-désobéissants". C'est bien là la condition nécessaire pour devenir des citoyens libres et responsables.

Le besoin de changement qui s'exprime actuellement au travers des manifestations sociales est issu de la prise de conscience plus précise de notre besoin du libre épanouissement et de la dignité de chaque femme et de chaque homme, de notre besoin du respect de la libre pensée. Il ne sera bientôt plus possible d'accepter que des hommes soient traités comme des sous-hommes.

Ce changement ne pourra se faire que par une révolution qui dépassera de loin celle de l'époque dite des Lumières qui, par ses incohérences et ses contradictions, a mené la France là où elle en est, dans un humanisme qui manque cruellement d'humanité.

Ce changement exigera la disparition de tous les partis qui, parce qu'ils sont ou manipulés ou au service d'intérêts particuliers, ne pourront jamais nous donner ce qu'ils nous promettent.

Car, pour que les consciences ne soient plus vampirisées par les partis, pour que chacun puisse être libre et responsable, avoir une totale liberté de conscience et s'exprimer sans devoir subir ni chantage, ni pression, ni culpabilisation, il faudra que soit respectée la souveraineté individuelle. Seul ce respect peut légitimer la souveraineté du peuple.

Pour en revenir au bon sens, dans une démocratie, la souveraineté du peuple est dans le Bon Sens du peuple, c'est-à-dire dans le degré de sagesse de l'ensemble des citoyens, et non pas dans une quelconque croyance ou idéologie politique avec lesquelles on les a colonisés.

Que font les partis politiques ? Ils ne font qu'entretenir l'illusion d'un changement possible là où, en réalité, tout reste entre les mains des mêmes.

Que constatons-nous ? Les peuples ont perdu toute liberté d'action et n’ont aucun pouvoir de décision sur leur propre économie.

Où est la démocratie ?

Où est la souveraineté populaire ?

Quant à continuer – je vous cite – "le "business as usual", comme disent nos amis anglais" , ce n'est pas en faisant de l'à peu près et des concessions, ce n'est pas en se contentant de ce qui pourrait être "le moins mauvais" que l'on peut espérer transformer en profondeur un système fondamentalement pervers.

Rien ne se fera sans radicalité, sans le courage de faire table rase des anciennes façons de voir et de concevoir. Seule cette radicalité nous permettra de tout repenser avec un esprit d'ouverture en adéquation avec l'évolution des mentalités.

Il est inacceptable que les "élites" de tous bords, dans leur illusoire supériorité, dénigrent, méprisent les gens simples bien plus équilibrés que les pseudo-intellectuels fanatisés. Aveuglés par leur égotisme, ils sont incapables de comprendre que le coefficient d'intelligence, la quantité de savoir et le nombre de diplômes ne garantissent ni la clairvoyance ni le Bon Sens. Le savoir justifie trop souvent la prise de pouvoir des uns sur les autres et met en évidence la vanité et les prétentions mal placées de ceux qui, se considérant supérieurs, se donnent le droit de dominer les autres.

Que tous ceux qui se sont engagés dans un parti, dans une politique partisane se posent la question :

Est-ce que je veux que le monde change, ou est-ce que je lutte pour que mon parti, celui-là même qui défend mes intérêts, l'emporte ?

Toute logique de parti, toute logique partisane est une logique de conquérant.

Toute idéologie a une dimension collectiviste, communautariste. Toute idéologie est source de division, de recherche d'hégémonie et de profit et donc de mensonge, d'incohérence, de contradiction et de manipulation.

Seul un changement radical des mentalités pourra définitivement mettre fin au système élitiste avec ses dominants et ses dominés.

Cela exige que l'on abandonne définitivement les théories et les structures obsolètes dont nous expérimentons la totale inefficacité depuis trop longtemps déjà.

Car avec leurs matraquages idéologiques et leurs promesses jamais tenues, avec leur mainmise élitiste qui entretient la division du peuple, aucun parti ne respecte ni l'individualité ni la totale liberté de penser de ses adhérents.

Adhérer à un parti c’est accepter son programme, même si l’on n’est que partiellement d’accord avec ce qu’il propose, c’est se priver, en tant que citoyen, du droit démocratique d'exprimer ses desiderata.

Bien que les programmes politiques proposent des tas d’idées intéressantes, aucun parti ne propose la voie véritablement démocratique qui consiste à soumettre au référendum populaire toutes les questions et tous les problèmes qui concernent l'avenir de la société.

Le bulletin de vote ne sert en réalité qu'à légitimer un programme imposé par des meneurs, inféodés à la dictature de la haute finance.

Celui qui refuse l'actuel système de gestion sociale ne peut, en toute logique, que le refuser dans la totalité de son mécanisme et de ses engrenages.

Le simple Bon Sens nous dicte que la solution juste et durable à tout problème collectif est dans l'entente et la force de l'ensemble, c'est-à-dire dans l'union de toutes les forces individuelles.

Dans votre réponse, vous écriviez ceci : "C'est une vaste et noble question, en effet, mais pas la peine de nous en faire un flan (révolutionnaire), dont le succès sur ce forum me parait compromis."

C'est une chance que vous pensiez que le forum Liberaux.org de la communauté libérale ne soit pas le lieu approprié pour débattre de la question du sens de l'existence, de politique et de démocratie car j'ai justement publié cette réponse sur "mon forum" :

"pour qu'une réflexion généralisées soit possible, il me semble que celle-ci ne doit pas être cantonnée dans un espace ou dans un autre, qu'elle ne doit pas être l'apanage de quelques-uns ou de quelques autres.

C'est la raison pour laquelle j'ai crée ce forum qui n'a pas à appartenir à qui que ce soit, pas même aux membres du site NON à la GUERRE qui a eu l'initiative du tract "VOILA LA QUESTION !" .

Car, si nous voulons vraiment trouver le dénominateur commun capable de réunir l'humanité dans un contexte social cohérent, juste et solidaire, respectueux des libertés individuelles, cette réflexion autour du sens de l'existence se doit d'être libre des schémas de pensée, des croyances et des convictions idéologiques. Ce n'est qu'avec cette ouverture de conscience et sur cette base que la démocratie peut se concevoir et se structurer."

J'espère donc vous retrouver sur le forum VOILA LA QUESTION ! dont je ne donnerai plus ici l'adresse pour ne plus être accusé de faire de la publicité.

Par ailleurs, ayant l'intention de publier notre échange sur "mon forum", j'apprécierais que vous me donniez l'autorisation de faire, dans le corps même de ma publication, un lien direct vers nos messages respectifs.

Merci pour cet échange.

Bien cordialement.

Posté
Bien que les programmes politiques proposent des tas d’idées intéressantes, aucun parti ne propose la voie véritablement démocratique qui consiste à soumettre au référendum populaire toutes les questions et tous les problèmes qui concernent l'avenir de la société.

cette réflexion autour du sens de l'existence se doit d'être libre des schémas de pensée, des croyances et des convictions idéologiques.

*Bleep*

Try again.

Posté
Du grand musevenisme.

Qu'es-aco? La doctrine de Yoweri Musevini? Peux-tu nous en dire plus?

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