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Les libéraux et la religion


Nirvana

De quelle religion vous sentez-vous le plus proche ?  

73 membres ont voté

  1. 1. Quelle est votre religion ?

    • Christianisme
      22
    • Judaïsme
      3
    • Islam
      2
    • Bouddhisme
      2
    • Sans religion divers (athée, agnostique, etc.)
      35
    • Objectivisme
      2
    • Paganisme divers (wicca, new age, etc.)
      1
    • Hindouisme
      0
    • Autre
      7


Messages recommandés

Posté
Il n'y a pas de raison de penser que ce que tu dis observer soit réservé aux scientifiques.

Le scientifique a pour vocation de penser, de développer ses pensées et d'exprimer ses pensées. Il sera capable en se découvrant une opinion sur un sujet de se focaliser dessus et de l'entretenir au point d'écrire un essai tandis qu'elle resterait secondaire et donc plus sujette au doute dans l'esprit, disons, d'un plombier ou d'un chef d'entreprise. D'autre part, le scientifique associe (à juste titre) sa valeur à ses idées. Il lui est plus difficile qu'à un autre d'admettre qu'il puisse faire fausse route dans le monde des idées, et cette assurance augmente d'autant plus si il fait figure d'autorité dans sa matière à cause de l'habitude d'avoir raison dont je parlais.

C'est pourquoi je dis que les scientifiques sont très susceptibles de développer à l'infini sur des erreurs de débutants quand ils sortent de leur domaine de compétence tout en restant dans le domaine intellectuel.

Posté
Le Pape, le rabin et l'économie morale

À notre époque ô combien laïque, il est paradoxal que les déclarations des dirigeants religieux sur des sujets qui vont du mariage à l’économie de marché obtiennent toujours des médias une attention considérable. Cela rend d'autant plus surprenant que personne ne semble avoir remarqué le parallèle entre l'encyclique de Benoît XVI Caritas in veritate, parue le 7 juillet, et un éditorial provocant de Lord Jonathan Sacks, Grand Rabbin de Grande-Bretagne, dans le Times de Londres deux semaines plus tôt.

Le pape et le rabbin avaient des messages comparables, équivalant à ce qui suit : certains de nos problèmes économiques contemporains traduisent en fait une crise morale plus profonde au sein de la civilisation occidentale; tant que nous ne le reconnaîtrons pas, les changements dans la politique économique et la pratique des affaires n’apporteront que des solutions limitées.

Evidemment, ce n'est pas un message que tous apprécieront. Mais cela ne le rend pas moins exact.

En tant qu’individus, il existe de nombreuses analogies frappantes entre le Pape Benoît XVI et le rabbin Sacks. L’un et l’autre sont largement reconnus comme des intellectuels redoutables en tant que tels. Chacun n’a pas hésité à mettre directement en cause les tendances à l’indifférence au sein de sa propre tradition religieuse. Ni l’un ni l’autre ne craint de contester à fond le Zeitgeist laïciste qui, de nos jours, intimide tant de rabbins et de membres du clergé chrétien.

Dans leurs dernières réflexions, le rabbin comme le pape ont souligné à quel point le monde où nous vivons est marqué par la confusion, voire le dysfonctionnement moral. Ce n'est pas qu'ils attribuent une sorte de supériorité morale à l'ère qui précédait les années 1960. Pour le Rabbin Sacks, il y a aujourd’hui davantage de gens qui se soucient authentiquement de questions qui ont reçu moins d'attention de nos grands-parents, comme l'extrême pauvreté dans les pays en développement. Cependant, écrit Sacks « j’attire votre attention sur ce fait que les problèmes dont nous nous préoccupons sont vastes, planétaires et lointains ». « Quand il s'agit de questions plus proches de nous comme la loyauté ou la simple franchise, nous avons, dit Sacks, plus ou moins abandonné les notions du bien et du mal. »

A la place, l’Occident s’est embarqué dans une morale où finalement ce qui compte, du point de vue éthique, est de savoir si nous avons fait un choix. Choisir est devenu sa propre justification et le seul péché consiste à mettre en cause les partis pris moraux de qui que soit. Le faire serait être "intolérant", "porter un jugement." Qui êtes-vous pour contester mon choix de mentir sur mon formulaire d’emprunt ou celui de tromper ma femme?

D’après le Rabbin Sacks, l'un des effets de ce relativisme, c'est que nous nous en remettons de plus en plus à l'État pour régler notre comportement. Si la nature a horreur du vide, c’est surtout du vide moral. C’est ainsi qu’à la place d’un Dieu omniscient à qui l'on doit finalement rendre compte de tous nos choix, nous avons la vidéo-surveillance. « Le résultat, » conclut Sacks, « c’est que nous avons créé la société la plus réglementée, la plus indiscrète jamais connue. »

Dans Caritas in veritate, Benoît XVI présente une démonstration comparable. Il est bon, écrit-il, que les gens se soucient de l'environnement. Cependant, commente Benoît XVI, « les êtres humains interprètent et façonnent le milieu naturel au moyen de la culture, laquelle est à son tour dirigée par l'utilisation responsable de la liberté, conformément aux exigences de la loi morale. » Il s'ensuit que, si on ne tient pas compte de cette loi morale, nous pourrions aussi bien traiter la nature comme « un tas d’ordures éparpillées », que, à l’inverse, embrasser « les démarches d’un néo-paganisme ou d'un nouveau panthéisme ».

La seconde intersection entre ces réflexions pontificale et rabbinique est leur insistance commune sur le fait que nous devons regarder au-delà de ce que Benoît appelle « le modèle exclusivement binaire du marché en plus de l’Etat. »

Soyons clairs: Benoît XVI et le Rabin Sacks nient rigoureusement que les marchés seraient intrinsèquement pervers. Chacun soutient également qu'il y a des limites fondamentales à la puissance de l'État. Ils insistent, cependant, sur le fait que les sources ultimes de morale ne viennent ni de l’Etat ni du marché. Au contraire, ils ne craignent pas de mentionner un fondement divin de la morale, qui est également accessible à la raison humaine. Une fois que l’on oublie cette base-là, soutiennent-ils, les sociétés et les économies ont de graves ennuis.

Cela fait des années que Benoît XVI décrit les conséquences du fait de vivre et d’agir comme si Dieu n'existait pas. De même, Sacks souligne l'idée de la grande philosophe d’Oxbridge Elizabeth Anscombe (convertie au catholicisme) comme quoi des mots comme "courage" et "criminel" n'ont de sens que dans le monde moral créé par le judaïsme, les stoïciens grecs, et le christianisme orthodoxe. Ces expressions n’ont aucun sens, indique Sacks, dans notre monde dominé, comme il l’est, par une philosophie aussi incohérente que l'utilitarisme. « Des concepts tels que le devoir, l'obligation, la responsabilité et l'honneur », souligne-t-il, « en sont venus à passer pour inutiles et désuets ». Cela aide également à donner meilleur goût à la tricherie et au mensonge dans la vie des affaires.

Rien de tout cela ne permet de penser que Benoît XVI et le Rabbin Sacks seraient des anti-modernes par réflexe. Leurs religions respectives affirment que c’est depuis le début de l'histoire que les gens mentent et volent. Elles disent que nous sommes tous des pécheurs. De sorte que le bien que peut faire l'humanité, comme Benoît XVI le fait remarquer, « est toujours moindre que nous ne le souhaitons ».

Ce que notre Pape et notre rabbin mettent en cause, ce sont ceux qui limitent la morale à des causes politiquement correctes et le refus connexe de beaucoup qui travaillent dans nos économies de reconnaître, comme le dit le Rabbin, que « sans code moral partagé il ne peut pas y avoir de société libre. » Ce à quoi le catholique que je suis ne peut que répondre « Amen ! »

Posté
À notre époque ô combien laïque, il est paradoxal que les déclarations des dirigeants religieux sur des sujets qui vont du mariage à l’économie de marché obtiennent toujours des médias une attention considérable.

Et pan sur le bec.

2è rigolade franche de la journée.

Posté
Le scientifique a pour vocation de penser, de développer ses pensées et d'exprimer ses pensées. Il sera capable en se découvrant une opinion sur un sujet de se focaliser dessus et de l'entretenir au point d'écrire un essai tandis qu'elle resterait secondaire et donc plus sujette au doute dans l'esprit, disons, d'un plombier ou d'un chef d'entreprise. D'autre part, le scientifique associe (à juste titre) sa valeur à ses idées. Il lui est plus difficile qu'à un autre d'admettre qu'il puisse faire fausse route dans le monde des idées, et cette assurance augmente d'autant plus si il fait figure d'autorité dans sa matière à cause de l'habitude d'avoir raison dont je parlais.

C'est pourquoi je dis que les scientifiques sont très susceptibles de développer à l'infini sur des erreurs de débutants quand ils sortent de leur domaine de compétence tout en restant dans le domaine intellectuel.

C'est un raisonnement, peux-tu le démontrer ?

Les bouquins de Dawkins sont tellement nuls qu'ils n'ont même pas de 4e de couverture.

Tu dois pouvoir trouver mieux que ça…

Posté
À notre époque ô combien laïque, il est paradoxal que les déclarations des dirigeants religieux sur des sujets qui vont du mariage à l’économie de marché obtiennent toujours des médias une attention considérable.

Une phrase dénuée de toute signification.

Voilà encore quelqu'un qui confond laïcité et rejet des religions, l'État et la "société civile".

C'est l'État qui est laïque : il n'a pas à s'occuper de ce qui ne le regarde pas, la question religieuse.

Les médias eux n'ont pas à être "laïques" : ils sont là pour informer leurs lecteurs en principe et ils font leur boulot quand ils reproduisent les déclarations de personnalités diverses.

Posté
C'est un raisonnement, peux-tu le démontrer ?

J'ai malheureusement laissé mon étude statistique détaillée dans mon autre pantalon.

Plus sérieusement, c'est simplement une explication qui me semble plausible pour un phénomène que je constate.

Posté
Histoire de vous changer de Wikipedia : http://encyclopediadramatica.com/Dawkins

Richard Dwakins plans to be the next L. Ron Hubbard of the atheist movement. The word "belief" will be outlawed and the only things that people can think about without being emotionally abused or physically attacked are that things Ayn Rand says are the ultimate truth, and cannot be questioned. Ever. This is called "Free Thought."

Très pertinente remarque.

Posté
Alors voilà, j'ai envie de raconter ma life tiens, juste pour rire.

Moi j'ai grandi chez des catho pratiquants.

Mais quand je dis pratiquants, c'est : messe tous les dimanches + fêtes, confesse régulière, médaille & croix offerts avec le sens du sérieux, dimanche chômé autant que possible, carême sans vin ni viande ni grosse bouffe sauf le dimanche midi, inscription de chacun de leurs mioches au caté jusqu'à la confirmation avec des retraites, crucifix ou statues (même discrets) dans chaque pièce avec buis béni, pèlerinages (yo Rome et la Terre sainte), messes d'action de grâces ou en faveur des morts, invitation de curés et dignitaires à leur table, bouquins par piles entières, bénédicité fréquent, se mobilisent lors de la venue du Pape en France ; l'un des membres s'est investi dans le scoutisme pendant des années… et je passe encore des détails.

Ah et puis l'islam, pour tout dire, ils sont pas fan. Surprise, surprise ! :icon_up:

Mon père a grandi dans cette ambiance, il ne supporte plus la religion catholique, il n'a fait baptisé aucun de ses 4 enfants. Ma grand mère, bigote à mort, a réussi à dégouter ses 4 enfants à elle. Aucun cependant, ne s'est tourné vers une autre religion.

J'ai une question : qu'as-tu trouvé dans l'Islam que tu n'avais trouvé dans la religion catholique ?

Si "ils ne sont pas fans" ils te parlent encore quand même ? J'ai une amie qui ne voit plus son père juste parce qu'elle a épousé un musulman, sans même s'être convertie ! Faut dire que son père est une figure communiste du coin, un gros ***.

Posté
Mon père a grandi dans cette ambiance, il ne supporte plus la religion catholique, il n'a fait baptisé aucun de ses 4 enfants. Ma grand mère, bigote à mort, a réussi à dégouter ses 4 enfants à elle. Aucun cependant, ne s'est tourné vers une autre religion.

Si la "religion" signifie un positionnement envers le Divin et une relation de l'individu vers Dieu ou le sacré, comment définir la neutralité ? :doigt:

J'ai une question : qu'as-tu trouvé dans l'Islam que tu n'avais trouvé dans la religion catholique ?

Fouyaya, comme tu y vas. :icon_up:

En gros, mon catholicisme était fort douteux et je m'en étais distanciée assez jeune, pour diverses raisons. J'ai passé un bon moment à mélanger un truc bizarre entre athéisme et agnostisme avec des errances sur les valeurs spirituelles. Un truc de djeunz assez banal.

Si "ils ne sont pas fans" ils te parlent encore quand même ?

Oui, on se parle. Non sans mal par moments. :mrgreen:

Y'a des efforts réciproques. On tâche d'en rester à la relation entre individus, le lien du sang, je suis leur fille, ils sont mes parents, du coup on peut partager plein de trucs chouettes même si on n'est pas d'accord à 100% : un concept trop mortel-de-ouf.

J'ai une amie qui ne voit plus son père juste parce qu'elle a épousé un musulman, sans même s'être convertie ! Faut dire que son père est une figure communiste du coin, un gros ***.

Bah, les parents qui n'acceptent pas le conjoint de leur môme à cause de facteurs du genre opinion politique, religieuse, pognon, prestige social, couleur de peau… y'a rien de neuf.

Posté
Une phrase dénuée de toute signification.

Voilà encore quelqu'un qui confond laïcité et rejet des religions, l'État et la "société civile".

C'est l'État qui est laïque : il n'a pas à s'occuper de ce qui ne le regarde pas, la question religieuse.

Les médias eux n'ont pas à être "laïques" : ils sont là pour informer leurs lecteurs en principe et ils font leur boulot quand ils reproduisent les déclarations de personnalités diverses.

Sauf qu'il n'y a qu'un type de déclarations à être reprises. Autrement dit, tout ce qui a trait à la sexualité. Il y a une image des religions à faire perdurer dans les esprits.

Posté

De fait, seulement du point (par ailleurs très vague) qui leur intéresse : la gouvernance mondiale.

Il faut dire qu'on y parlait pas de capote, alors forcément…

Posté
Mon père a grandi dans cette ambiance, il ne supporte plus la religion catholique, il n'a fait baptisé aucun de ses 4 enfants. Ma grand mère, bigote à mort, a réussi à dégouter ses 4 enfants à elle. Aucun cependant, ne s'est tourné vers une autre religion.

Ce n'est pas un catholique qui vous le dira, mais effectivement la bigoterie et l'hypocrisie des catholiques, individus ou institution, ont contribué a massivement détourner toute une génération de la religion catholique. Je constate dans ma famille la même chose que dans la votre, à ma connaissance personne ne va à l'église alors que j'appartiens à une famille française complètement standard, certainement pas mes grands parents qui sont pourtant de la génération susceptible d'avoir grandi à l'ombre de l'église. L'institution a largement détourné les gens de la foi, ce que à titre personnel je regrette un peu.

Peut-être arrivera-t-il la même chose à l'islam ?

Posté
Car bien sur pas un journal n'a parlé de l'encyclique Caritas in veritate de Benoit XVI.

[mode journaliste]C'est ça le marché, coco : l'encyc machin, ça fait pas vendre de papier. Si tu veux qu'on en cause t'a qu'a fonder ton canard[/mode journaliste]

  • 2 weeks later...
Posté
N'est-ce pas un peu réducteur ? Quand bien même… Je ne vois pas où est le mal, la position des bouddhiste me paraît plutôt cohérente, et on n'a jamais vu de bouddhiste faire la guerre à d'autres religions.

C'est incroyable le nombre d'occidentaux qui n'ont eu strictement aucune éducation au niveau de la religion bouddhiste…. Vraiment, j'entend tellement de gens en parler et si peu s'y connaitre que l'on me confond régulièrement avec la Vénus de Milo.

Trouvé par hasard :

:icon_up::doigt::mrgreen:

Après ce fou rire, je tenais à dire que contrairement à beaucoup de gens, j'ai été élevé avec plusieurs religions. Ce qui m'a rendu en réalité bien plus tolérante que beaucoup de mes amis qui se prétendent tolérants tout en se moquant grassement des personnes croyantes.

Posté
Trouvé par hasard :

124959283434.jpg

Lawful Evil, Neutral Evil and Neutral are the best! :doigt:

J'ai fais un test pour connaitre mon alignement (http://www.wizards.com/default.asp?x=dnd/dnd/20001222b) et je suis Chaotique Neutre apparement. "Un personnage Chaotique Neutre agit selon ses désirs.C'est un individualiste avant toutes choses.Il défend sa propre liberté mais ne cherche pas à défendre celle des autres. Il évité l'autorité, déteste les restrictions et remet en cause les traditions. Le personnage chaotique neutre ne cherche pas à semer le trouble dans un lutte organisée en faveur de l'anarchie. Pour ce faire, il faudrait qu'il soit motivé soit par le bien (et un désir de libérer les autres) ou par le mal (et un désir de faire souffrir ceux qui ne lui ressemblent pas). L'appelation commune pour le chaotique neutre est "Chaotique Strict". Noubliez pas que si le personnage Chaotique Neutre peut être imprévisible, son comportment n'est pas totalement aléatoire. Il n'est pas du genre à sauter d'un pont pour traverser une rivière. Chaotique Neutre est le meilleur alignement que vous puissiez avoir car il represente la vraie liberté aussi bien vis-à-vis des restrictions imposées par la société, que du zèle des "faiseurs de bien"."

OK, ça me correspond parfaitement. :mrgreen: Par contre, dans ta liste, je me retrouve avec Darwin: c'est nul.

Je prefère cette liste de poster là:xliet2.jpg

Ou encore celui-ci! :icon_up:

star-wars-han-solo-chaotic-neutral.jpg

Posté
Ce qui m'a rendu en réalité bien plus tolérante que beaucoup de mes amis qui se prétendent tolérants tout en se moquant grassement des personnes croyantes.

La tolérancitude actuelle, c'est une doctrine bien commode pour baver sur autrui.

Comme le clamait à voix haute Mlle Michu à sa copine Jeanine l'autre jour quand elles sont passées à côté de moi : "on est au pays des droits de l'homme quand même".

Posté
La tolérancitude actuelle, c'est une doctrine bien commode pour baver sur autrui.

Comme le clamait à voix haute Mlle Michu à sa copine Jeanine l'autre jour quand elles sont passées à côté de moi : "on est au pays des droits de l'homme quand même".

J'ai un ami qui, durant notre année au Japon, est devenu un anti religion notoire. C'en devient insupportable car il en vient à faire des remarques anti religieuse sur tout et n'importe quoi.

J'ai été étonnée aussi de constater le nombre incroyable de français qui n'aimait pas du tout entendre des personnes discuter en langues étrangères. Apparemment, cela les incommodes, mais je dois avouer que je n'ai jamais bien compris. On dirait une espèce de paranoia générale.

Posté
J'ai un ami qui, durant notre année au Japon, est devenu un anti religion notoire. C'en devient insupportable car il en vient à faire des remarques anti religieuse sur tout et n'importe quoi.

J'ai été étonnée aussi de constater le nombre incroyable de français qui n'aimait pas du tout entendre des personnes discuter en langues étrangères. Apparemment, cela les incommodes, mais je dois avouer que je n'ai jamais bien compris. On dirait une espèce de paranoia générale.

Le francais vit mal sa francitude car elle est finalement mal définie.

Posté

Je suis curieux des 5 réponses Autre au sondage, quelle peut être leur religion ?

Zoroastrisme, Babisme, Baha'isme, ou bien Scientologie…

Invité jabial
Posté
Tiens, t'es passé chez les collabos, toi ?

Non, je sais reconnaître le pipo.

Tu l'as lu ?

Non, mais j'ai pas besoin de lire tous les livres fondateurs de toutes les théories pipo qui circulent. En général, il suffit de discuter avec les gens qui défendent cette théorie et de faire un tour sur la page wikipedia et/ou le site web de la secte. La mémétique est une réification abusive, au même titre que le holisme.

Le jour où la religion est entrée sur ce forum, la science en est partie.

Depuis, ce n'est qu'empoignades, dogmatisme, fanatisme, sectarisme, intolérance, révisionnisme, excommunication et tartufferie.

Comme dirait l'autre, on reconnaît l'arbre à ses fruits.

Tu exagères. Je n'ai pas le sentiment que le camp religieux se soit plus mal conduit que le camp athée, même si c'est vrai que pour eux, vu les principes défendus, c'est un peu plus la honte.

Posté
Non, je sais reconnaître le pipo.

Non, mais j'ai pas besoin de lire tous les livres fondateurs de toutes les théories pipo qui circulent. En général, il suffit de discuter avec les gens qui défendent cette théorie et de faire un tour sur la page wikipedia et/ou le site web de la secte. La mémétique est une réification abusive, au même titre que le holisme.

Effectivement, c'est une question d'appréciation. Mais juger sans connaître est toujours risqué. Mais on a aussi le droit de croire que la Terre est plate.

Posté
Ce n'est qu'une variante de l'antienne selon laquelle tous ceux qui ne sont pas de La Vraie Religion sont des infidèles, à ceci près qu'aujourd'hui la tendance est, sur le modèle de l'islam des Ottomans, de tolérer toutes les religions abrahamiques.

Je ne sais pas s’ils s’en rendent compte mais oui, c’est clairement hallucinant.

Je cite un mec bourré dans le bus : « au final toutes les religions elles ont le même dieu ». Euh, comment ça marche si on en a plusieurs ?

Sinon, question aux d/théistes : pourquoi un seul dieu et pas plusieurs ?

Racaille athée. Je reconnais que la tradition chrétienne en termes de philosophie, éducation, articulation de la foi et de la raison, etc, est supérieure à bien des alternatives, mais la question religieuse en elle-même, et bien à l'heure actuelle je m'en tamponne le coquillard, voilà.

Pareil. Cependant on constate que si la morale religieuse est plutôt sensée, ce n’est pas pour autant qu’il faille être croyant pour la respecter (statistique amusante, il y a plus de croyants en prison que dans la population générale).

Tu parles des athéistes de combat, i suppose.

On atteint le niveau 2 de novlangue, là. Après le terme « athée de combat » on a « athéiste de combat ». A quand l’ultra-athéisme sauvage ?

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