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Insécurité scolaire


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Esperluette, et c'est une remarque de fond en rapport direct avec les liens que tu postes, t'es-tu déjà intéressée aux statistiques de décès en France? Sais-tu qu'il y a 40 à 50 morts chaque année?

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Esperluette, et c'est une remarque de fond en rapport direct avec les liens que tu postes, t'es-tu déjà intéressée aux statistiques de décès en France?

Sur certaines causes seulement (accidents de la route, asthme, accidents domestiques, mortalité infantile ou en couches…). Pourquoi ?

Sais-tu qu'il y a 40 à 50 morts chaque année?

Dans quel secteur ?

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Dans quel secteur ?

Frappés par la foudre.

Ce que je veux dire par là, et c'est juste un commentaire général sur le fil, j'espère ne pas apparaître comme donneur de leçon : si on médiatisait ces morts en les mettant en ouverture du JT de 20h, sachant qu'il y en aura pratiquement une par semaine, dès qu'il y aura un orage, plus personne ne mettre les pieds dehors. Du coup, quand on égrène les cas de violences dans les écoles, il faut toujours avoir en perspective qu'il y a quand même beaucoup d'écoles en France, et que l'insécurité scolaire est peut-être traitée médiatiquement avec un effet loupe assez conséquent.

Et en plus, je m'autocite, je ne sais pas si tu as déjà lu ce petit article.

Posté
Frappés par la foudre.

Et paf.

Ce que je veux dire par là, et c'est juste un commentaire général sur le fil, j'espère ne pas apparaître comme donneur de leçon : si on médiatisait ces morts en les mettant en ouverture du JT de 20h, sachant qu'il y en aura pratiquement une par semaine, dès qu'il y aura un orage, plus personne ne mettre les pieds dehors. Du coup, quand on égrène les cas de violences dans les écoles, il faut toujours avoir en perspective qu'il y a quand même beaucoup d'écoles en France, et que l'insécurité scolaire est peut-être traitée médiatiquement avec un effet loupe assez conséquent.

Je te donne entièrement raison et je suis bien placée pour constater à quel point certains thèmes anodins sont montés en épingle, quel que soit le domaine.

En revanche, ce qui m'énerve réellement à la lecture de ces articles, c'est le traitement.

1 - L'exclusion presque systématique de la parole des parents. Quand on veut une info, on finit toujours pour la trouver, même si ça prend davantage de temps.

2 - La corrélation avec d'autres faits :

- l'immobilier dans certains coins avec les poches de violence pourrissant la vie des gens paisibles,

- le dépouillement du rôle central des parents,

- les méthodes anciennes pour éloigner les gamins d'un contexte delétère (internat / famille ailleurs)

- l'entraide privée entre familles quand les parents d'un djeunz se sentent dépassés

- le quasi-monopole de l'EdNat au désavantage du privé

- les solutions privées d'encadrement et d'orientation pour les djeunz agités ; les PE s'en occupent forcément à un degré ou un autre, mais j'imagine que c'est moins vendeur d'en parler.

Toussa toussa.

L'Etat, toujours l'Etat, avec le personnel EdNat et des flics, au lieu de relayer les initiatives privées de parents conscients de leurs responsabilités et qui aideront des parents et des djeunz à piger qu'ils ne sont pas foutus hors de l'Etat.

Vais lire.

  • 2 weeks later...
Invité rogermila
Posté

Surenchère sécuritaire dans certains établissements privés

L’institution privée et catholique Saint-Denis, créée en 1858 à Loches, dans l’Indre et Loire, et qui accueille aujourd’hui 370 collégiens et 250 lycéens, se vante d’un taux de réussite supérieur à 90% au bac, et se présente comme “une ruche bouillonnante d’idées et d’activités“. Les élèves, eux, reconnaissent ses vertus pédagogiques, mais ne l’ont pas moins surnommé Alcatraz, Big Brother, ou la “prison.

Dans son bureau de vie scolaire, Gilles Lemeunier , le “préfet de discipline” (sic) peut en effet surveiller sur son écran de contrôle ce que font les élèves dans les couloirs (une dizaine de caméras), les deux salles d’étude (deux caméras chacune), le CDI, les deux infirmeries, et les quatre toilettes.

http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2010/04/…or=RSS-32280322

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Surenchère sécuritaire dans certains établissements privés

Dans un des établissent des Hauts de Seine que j'ai fréquenté, cela n'aurait pas été un luxe tant pour la sécurité des élèves, des professeurs, que pour la personne juridique de l'établissement.

Après, je ne connais pas le cas de l'établissement en question dans l'article.

  • 3 weeks later...
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Lu dans le Canard de cette semaine, Sarkozy a déclaré en conseil des ministres qu'on avait identifié en France 53 établissements scolaires à problème.

  • 2 weeks later...
Posté
Quelles mesures concrètes ?

Je ne vois d'ailleurs pas ce que les surveillants peuvent y changer, à moins d'être eux-mêmes munis d'armes incapacitantes ou d'être formés au combat comme des vigiles… Contre deux jeunes gens adultes et résolus à en découdre, le premier gringalet venu n'a guère de poids.

-> Bonsoir à tous, à mon avis la mesure à adopter contre l'insécurité scolaire n'est pas la rétablissement des châtiments corporels et le retour à l'ordre moral comme le souhaite les conservateurs adeptes de la vielle école, ou encore de continuer à mettre des "voyous" avec des "gentils" comme cela est déjà le cas actuellement.

C'est simple, je pense qu'il faut privatiser l'éducation nationale afin (entre-autres) de rendre l'école payante dans le but de forcer les parents à s'intéresser à la scolarité de leurs enfants. Aussi, si l'école a épuisée toutes les possibilités et que les parents ne font pas leur boulot en remettant le gosse à sa place, on exclut l'élève perturbateur de l'établissement pour ne pas baisser le niveau et éviter un effet de contagion. Je ne sais pas si cela s'avère vrai d'une manière générale, mais je pense que ce sont les mauvais élèves qui influencent les bons élèves, et non le contraire.

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Il faut coupler ça avec l'absence d'obligation d'éducation, alors. Sinon, tu procèdes comment ?

Posté

Il faut karcheriser les jeunes délinquants. C'est pas libéral d'emmerder son prochain. Il faut donc veiller a mettre le plus possible ces individus hors d'état de nuire ( centres fermes, prisons, asiles, etc ).

Posté
Il faut coupler ça avec l'absence d'obligation d'éducation, alors. Sinon, tu procèdes comment ?

-> Pour moi il faut laisser aux parents le libre choix du meilleur type d'éducation pour leurs enfants. Si leurs enfants sont irrécupérables, c'est qu'ils ne sont pas fait pour être parent et ils doivent alors en assumer les conséquences en tant qu'individus adultes et responsables.

Il faut karcheriser les jeunes délinquants. C'est pas libéral d'emmerder son prochain. Il faut donc veiller a mettre le plus possible ces individus hors d'état de nuire ( centres fermes, prisons, asiles, etc ).

-> Je suis totalement d'accord avec ça, mais encore faut-il que l'on soit dans une vraie société libérale qui n'interdise que ce qui est dommageable pour son prochain afin de ne pas éparpiller les forces de l'ordre. Pour prendre un exemple plus que jamais d'actualité, l'individu qui fait pousser des plants de cannabis dans son coin pour sa consommation n'est pour moi pas un délinquant, mais celui qui attaque les gens dans la rue et qui caillasse les voitures de Police si.

Posté

Il y a un phénomène étrange dont je voudrais vous faire part dans ce file : c'est la différence totale de comportement d'un élève réputé "perturbateur" en classe et à la sortie de la classe avec son professeur.

Je m'explique : ayant vécue toute ma scolarité de collégien dans un collège reconnue pour ses divers problèmes de délinquances, j'ai eu l'opportunité d'observer quand j'avais 12 ou 13 ans le comportement d'un élève normalement détestable en cours, mais qui en dehors de ces heures qu'il trouvait barbantes au possible, parlait avec gentillesse et prévenance envers ses professeurs.

J'ai été plusieurs fois témoin de ce "phénomène social", avec en moi toujours la même surprise de voir de tel délinquants ou délinquantes devenir de vrais agneaux.

Du tissue de connaissance que je me suis crée dans le milieu des cités qualifiés de dangereuses, et dont les jeunes habitants côtoyaient mon établissement ( voir le côtoient toujours ), je me demande si la solution mettre ces jeunes individus en de centres fermes, prisons ou asiles soient réellement une solution miracle, sans parler des bavures que cela pourraient entrainer.

A titre d'exemple, si l'on retourne pas si loin en arrière dans le temps, j'aurais put, selon certains critères, me retrouver en maison de correction… ( j'étais assez violent et "farceur" entre la 6ème et la 4ème… )

Tout cela est il bien sérieux ? Comment s'effectuerait la sélection ?

Posté
La cannabis c'est pas bien. Ça fait voir des elephants roses.

Ça dépend sur qui ils sont assis.

Posté
Il y a un phénomène étrange dont je voudrais vous faire part dans ce file : c'est la différence totale de comportement d'un élève réputé "perturbateur" en classe et à la sortie de la classe avec son professeur.

Je m'explique : ayant vécue toute ma scolarité de collégien dans un collège reconnue pour ses divers problèmes de délinquances, j'ai eu l'opportunité d'observer quand j'avais 12 ou 13 ans le comportement d'un élève normalement détestable en cours, mais qui en dehors de ces heures qu'il trouvait barbantes au possible, parlait avec gentillesse et prévenance envers ses professeurs.

J'ai été plusieurs fois témoin de ce "phénomène social", avec en moi toujours la même surprise de voir de tel délinquants ou délinquantes devenir de vrais agneaux.

Du tissue de connaissance que je me suis crée dans le milieu des cités qualifiés de dangereuses, et dont les jeunes habitants côtoyaient mon établissement ( voir le côtoient toujours ), je me demande si la solution mettre ces jeunes individus en de centres fermes, prisons ou asiles soient réellement une solution miracle, sans parler des bavures que cela pourraient entrainer.

A titre d'exemple, si l'on retourne pas si loin en arrière dans le temps, j'aurais put, selon certains critères, me retrouver en maison de correction… ( j'étais assez violent et "farceur" entre la 6ème et la 4ème… )

Tout cela est il bien sérieux ? Comment s'effectuerait la sélection ?

J'ai vécu un jour une expérience très étrange dans le genre…

j'arrivais dans une classe, (grande section de maternelle) pour faire un remplacement..;matinée d'observation avec l'instit titulaire qui travaille comme à l'accoutumée…

Un enfant est particulièrement "pénible"…

Or, je le connais…membre créateur d'une association gérant une colonie de vacances, mère d'un enfant du même âge…je l'avais déjà croisé…

déguisée en vraie maîtresse, il ne m'avait pas reconnue dans un contexte différent…

je parle avec lui pendant la récréation

Je sens bien qu'il a du mal a accepter l'idée que la maman d'Arnaud, la soeur d'Isa ( la directrice de la colo) puisse être une maîtresse!

Toute la semaine, il ferra de très gros efforts pour " se tenir"

Il a continué à faire des colos avec "nous": toujours aussi charmant..

j'ai un peu suivi sa scolarité, de loin, par curiosité….plutôt que du catastrophique…

j'ai beaucoup réfléchi au pb…j'ai ma petite idée, peu politiquement correcte…

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j'ai ma petite idée, peu politiquement correcte…

On n'est pas vraiment politiquement corrects, sur lib.org. Nous t'écoutons. :icon_up:

Posté
On n'est pas vraiment politiquement corrects, sur lib.org. Nous t'écoutons. :icon_up:

à la colo, il y a des gens normaux, des êtres humains à l'écoute des enfants, de leurs besoins, désirs, spécificités…

à l'école , il est tombé très tôt sur des "timbrés" imbus de leur mission civilisatrice, qui ont éprouvé le besoin de le "mater", l'orienter, le formater…

de plus, issu d'un milieu modeste, respectant l'école ( alors que certains adultes y sont parfois peu respectables),

il n'a probablement pas eu le petit soutiens narcissique au bon moment pour passer le cap du 1er "rapport de force" et l'adulte "Ed Nat" a perdu sa confiance très vite…

Quasiment irrattrapable, à mon avis…seule solution changer la façon de penser du mammouth… l'empêcher de nuire….

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à la colo, il y a des gens normaux, des êtres humains à l'écoute des enfants, de leurs besoins, désirs, spécificités…

à l'école , il est tombé très tôt sur des "timbrés" imbus de leur mission civilisatrice, qui ont éprouvé le besoin de le "mater", l'orienter, le formater…

de plus, issu d'un milieu modeste, respectant l'école ( alors que certains adultes y sont parfois peu respectables),

il n'a probablement pas eu le petit soutiens narcissique au bon moment pour passer le cap du 1er "rapport de force" et l'adulte "Ed Nat" a perdu sa confiance très vite…

Quasiment irrattrapable, à mon avis…seule solution changer la façon de penser du mammouth… l'empêcher de nuire….

Les finlandais ont bien compris ce fait : les professeurs de classe tutoient et tentent de créer des liens cordiaux avec leur élève.

Ainsi, il n'y a plus de distance si marquée entre l'élève et le professeur : le professeur n'est plus seulement "l'enseignant", c'est aussi l'amie qui vous soutiendra afin que vous réussissiez.

Petit lien video utile afin d'étayer mon argument : [dailymotion]video/x2k9f7_l-ecole-en-finlande-mieux-qu-en-fra_school[/dailymotion]

Posté

Les élèves se calment eux-mêmes, la voilà l'explication !

Mais dans les faits ça fait longtemps que les profs de banlieue ne disent plus rien et attendent que ça passe. Non ?

Posté
[dailymotion]video/x2k9f7_l-ecole-en-finlande-mieux-qu-en-fra_school[/dailymotion]

Je dirais que c'est bien trop étatique (donc dirigiste et idéologiquement orienté) pour être honnête.

J'ai eu un prof au collège qui continuait à faire cours en parlant de moins en moins fort quand il y avait du chahut (dans l'espoir que ça s'arrêterait pour l'écouter). Résultat : tout le monde s'en fichait et il finissait par se taire ou s'énerver.

Le tutoiement c'est bien gentil sur le papier (et encore, je ne comprends pas cette obsession de vouloir mettre prof et élève au même niveau) mais quand c'est imposé ça n'a rien de cordial.

Le désengagement des parents (pourquoi tous les enfants vont-ils forcément en cours seuls, ça aussi c'est obligatoire ?) et la pédagogie (sans par coeur et sans exercices, on a beau avoir "compris" tout ce qu'on peut on n'arrivera jamais à rien), n'en parlons pas…

Bref, pour moi tout ce folklore n'est que de la poudre aux yeux et la vraie raison du "succès" du machin est soit un traficotage de statistiques soit un vrai suivi sérieux de l'orientation des élèves (avec des filières professionnelles et techniques qui fonctionnent).

Posté

Le sujet m'avais intéressé il y a quelques années, je souhaitais faire un documentaire tel que celui ci…

Je trouve dommage de le prendre avec un filtre étatique/non étatique alors qu'il est la parfaite illustration de l'application de certains paradigmes relativement complexes auquel les français n'ont que difficilement accès aujourd'hui.

Il semblerait que cela marche pas mal dans les faits en outre…

Invité jabial
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La cannabis c'est pas bien. Ça fait voir des elephants roses.

:icon_up:

Plus sérieusement, il est évident que tous les enfants n'ont pas besoin de la même éducation ni de la même instruction. Il y a de tout, du débile léger au surdoué, du voyou à l'élève modèle, et appliquer à tout le monde les mêmes méthodes dans le joyeux mélange solidaire et citoyen est la meilleur façon possible de tout niveler par le bas.

Posté
Je dirais que c'est bien trop étatique (donc dirigiste et idéologiquement orienté) pour être honnête.

J'ai eu un prof au collège qui continuait à faire cours en parlant de moins en moins fort quand il y avait du chahut (dans l'espoir que ça s'arrêterait pour l'écouter). Résultat : tout le monde s'en fichait et il finissait par se taire ou s'énerver.

Le tutoiement c'est bien gentil sur le papier (et encore, je ne comprends pas cette obsession de vouloir mettre prof et élève au même niveau) mais quand c'est imposé ça n'a rien de cordial.

Le désengagement des parents (pourquoi tous les enfants vont-ils forcément en cours seuls, ça aussi c'est obligatoire ?) et la pédagogie (sans par coeur et sans exercices, on a beau avoir "compris" tout ce qu'on peut on n'arrivera jamais à rien), n'en parlons pas…

Bref, pour moi tout ce folklore n'est que de la poudre aux yeux et la vraie raison du "succès" du machin est soit un traficotage de statistiques soit un vrai suivi sérieux de l'orientation des élèves (avec des filières professionnelles et techniques qui fonctionnent).

A mon sens, le modèle finlandais est un modèle dont on peut tirer certains enseignements par son propre mode de fonctionnement, si la privatisation tant souhaité par un certain nombre de libéraux survenait en France.

Un autre fait notable, c'est le fait qu'il n'y a pas en Finlande le flux d'immigration que nous connaissons en France, avec le régulation gérée par l'état, donc mauvaise, de cette dernière.

Posté
:icon_up:

Plus sérieusement, il est évident que tous les enfants n'ont pas besoin de la même éducation ni de la même instruction. Il y a de tout, du débile léger au surdoué, du voyou à l'élève modèle, et appliquer à tout le monde les mêmes méthodes dans le joyeux mélange solidaire et citoyen est la meilleur façon possible de tout niveler par le bas.

Absolument, la preuve en est de l'élitisme sous-jasent français se développant de père en fils dans les mêmes établissements scolaires que nous connaissons bien.

Loin de moi l'idée de dire que l'élitisme est une mauvaise chose, mais c'est encore une fois, pour le coup, une hypocrisie étatique de vouloir à la fois contribuer à "l'égalité des chances" et à la "démocratisation scolaire" ( autrement dit à un nivellement par le bas, afin que la société s'égalise de plus en plus, dans un but in fine purement électoraliste ) tout en se gardant les privilèges de classe très souvent volés et non gagnés honnêtement.

Ce procédé témoigne d'ailleurs d'une des faces cachés de la démocratie…

Invité jabial
Posté

En tout cas je n'ai absolument rien contre les modes d'éducation "peace and love"… avec des élèves convenables. Il va sans dire que des petits voyous n'ont rien à faire dans un tel établissement ; ce qu'il leur faut, c'est de la discipline "militaire".

Posté

Un jeune homme de 13-14 ans avec lequel je jouais parfois dans la cité proche de chez moi au football est mort, il y a de ça quelques semaines, après avoir reçue 3 coups profond de cutter en pleine poitrine.

Sa faute : être d'une cité différente de celle un peu plus loin de chez lui et de chez moi. Pendant que d'autres restes entre les deux feux.

Le jeune garçon qui l'a agressé, que je connaissais également de vue, avait 13 ans lorsqu'il a commit son acte.

Il est clair que dans ce genre de cas, une mise à l'écart longue du reste de la société est indispensable.

Posté

J'ai le sentiment exactement inverse : il faut mettre ce genre de gosse au milieu de tous et le surveiller de très près.

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