Tremendo Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Je ne pense pas que le problème vienne de l'Education National mais de Nathan et Bordas qui sont très gauchiste, c'est moins le cas d'Hachette. Oui c'est vrai, à l'éducation nationale ils sont pas du tout gauchistes et prennent les livres qu'on leur donne sans rien exiger dans le contenu.
ShoTo Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Oui c'est vrai, à l'éducation nationale ils sont pas du tout gauchistes et prennent les livres qu'on leur donne sans rien exiger dans le contenu. J'en sais rien mais Nathan et Bordas sont gauchistes mêmes dans les ouvrages para-scolaires ou encyclopédiques alors que je n'ai rien constaté de tel chez Hachette.
Tremendo Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 J'en sais rien mais Nathan et Bordas sont gauchistes mêmes dans les ouvrages para-scolaires ou encyclopédiques alors que je n'ai rien constaté de tel chez Hachette. Tu as peut-être raison, je ne sais pas. En revanche, l'Etat exige bien des contenus de type festif selon un certain cahier des charges aux éditeurs.
Dardanus Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Oui c'est vrai, à l'éducation nationale ils sont pas du tout gauchistes et prennent les livres qu'on leur donne sans rien exiger dans le contenu. Pure abstraction. Voilà la réalité : les éditeurs demandent à une équipe d'enseignants de rédiger un manuel qui soit conforme au programme officiel. Ensuite les éditeurs (qui sont nombreux) envoient un spécimen dans les établissements et c'est l'équipe d'enseignants de la discipline concernée qui choisit le manuel qui lui paraît le plus facile à utiliser en classe. Le ton des manuels est très variable et les choix varient sensiblement d'un établissement à l'autre : c'est une des rares autonomies qui existent dans l'EN. En Histoire et en Géographie par exemple, on se focalise sur les documents et non sur le texte du manuel (que quasiment personne ne lit, ni les enseignants ni les élèves).
Tremendo Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Pure abstraction. Voilà la réalité : les éditeurs demandent à une équipe d'enseignants de rédiger un manuel qui soit conforme au programme officiel. Ensuite les éditeurs (qui sont nombreux) envoient un spécimen dans les établissements et c'est l'équipe d'enseignants de la discipline concernée qui choisit le manuel qui lui paraît le plus facile à utiliser en classe. Le ton des manuels est très variable et les choix varient sensiblement d'un établissement à l'autre : c'est une des rares autonomies qui existent dans l'EN. En Histoire et en Géographie par exemple, on se focalise sur les documents et non sur le texte du manuel (que quasiment personne ne lit, ni les enseignants ni les élèves). Tout cela je le savais bien, tu as détaillé le processus ni plus ni moins. En tout cas tu illustres mon propos, puisque pour rédiger le manuel, il faut bien être en accord avec le programme officiel, et les enseignants sont loin d'avoir un ton variable si tu vois ce que je veux dire. Le mieux serait quand même de laisser les historiens réaliser les manuels d'histoire soit dit en passant.
Chitah Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Franchement, cette histoire de propagande par l'EN j'ai de plus en plus de mal à y croire. En gros, d'après mon expérience, on peut diviser l'univers des élèves en 3 : - 1% qui va croire tout ce qu'on lui dit et se l'approprier, en devenant militant de ceci ou cela - 1% qui ne va pas y croire et va venir un jour sur liberaux.org pour être irradié par la lumière de la Vérité - 98% qui n'en n'a rien à battre, qui va tout oublier, et qui retiendra surtout de l'action de l'Etat ce qui le concerne directement, à savoir alloc ceci ou cela, règlementation ceci ou cela, etc.
Tremendo Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 - 98% qui n'en n'a rien à battre, qui va tout oublier, et qui retiendra surtout de l'action de l'Etat ce qui le concerne directement, à savoir alloc ceci ou cela, règlementation ceci ou cela, etc. C'est déjà trop tu ne penses pas?
mr_kawim Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Ça me choque de voir "solidarité", dans la mesure ou une solidarité forcée ne peut être jugée comme telle, mais pas "diversité", il y a rien de mal derrière ça , si ?
Invité Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Ça me choque de voir "solidarité", dans la mesure ou une solidarité forcée ne peut être jugée comme telle, mais pas "diversité", il y a rien de mal derrière ça , si ? Si, il y a le grand concept de la diversitude, on tu es forcé d'aimer les gens, meme les femmes et les noirs. C'est déguelasse et c'est raciste la discrimination positive.
Nono Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Ça me choque de voir "solidarité", dans la mesure ou une solidarité forcée ne peut être jugée comme telle, mais pas "diversité", il y a rien de mal derrière ça , si ? La promotion de la diversité par l'État, c'est l'État qui t'explique ce que tu dois penser ou non. C'est la nouvelle idéologie à la mode. Si Free Jazz passe par là, il t'expliquera ça très bien.
Tremendo Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 La promotion de la diversité par l'État, c'est l'État qui t'explique ce que tu dois penser ou non. C'est la nouvelle idéologie à la mode. Si Free Jazz passe par là, il t'expliquera ça très bien. Je rêverais d'un nouveau passage homérique de Freejazz pour nous expliquer la diversitude selon l'Etat
Chitah Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Les gauchistes pensent que la diversitude est le masque du capitalisme mondialisé (voir ceci). Les droitistes pensent que la diversitude est le masque du progressisme qui veut dissoudre la nation et la culture dans un méga melting-pot. Conclusion : la diversitude, ses explications, sa théorisation, ses effets, c'est du gros pipeau.
Tremendo Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Les gauchistes pensent que la diversitude est le masque du capitalisme mondialisé (voir ceci).Les droitistes pensent que la diversitude est le masque du progressisme qui veut dissoudre la nation et la culture dans un méga melting-pot. Conclusion : la diversitude, ses explications, sa théorisation, ses effets, c'est du gros pipeau. Pourtant les partis de gauche reprennent ce credo pour leur programme. De même que l'UMP, ils adorent la mixité et la diversité imposées. C'est d'ailleurs leur credo, tu retrouves ce thème dans les slogans de campagne des tous les partis quasiment et surtout à gauche.
Invité Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Pourtant les partis de gauche reprennent ce credo pour leur programme. Ils ne sont plus a deux trois contradictions près ceux la en même temps. …j'avoue, les femmes… c'est dégueulasse… Surtout quand elles se mettent au féminisme.
MVL/T Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Les gauchistes pensent que la diversitude est le masque du capitalisme mondialisé (voir ceci).Les droitistes pensent que la diversitude est le masque du progressisme qui veut dissoudre la nation et la culture dans un méga melting-pot. Conclusion : la diversitude, ses explications, sa théorisation, ses effets, c'est du gros pipeau. Ouais, en gros, plus personne n'est raciste mais tout le monde est resté xénophobe.
Silhouette Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Si vous saviez comme tout le monde se contrefiche de l'ECJS…En lycée, par exemple, les heures sont systématiquement utilisés par les profs d'Histoire-Géo (qui récupèrent ces heures qui n'intéressent pas grand monde) pour boucler leurs programmes. C'est à dire qu'une partie importante de cet horaire n'est pas utilisé pour l'ECJS. Croyez-bien que l'élu socialiste qui me servait de prof d'histoire-géo en terminale savait parfaitement mettre à profit ces heures de cours pour présenter à nos jeunes esprits la société-bisounours merveilleuse dans laquelle nous vivons. C'est d'ailleurs une des raisons principales qui me font souhaiter la disparition de l'histoire, de l'ECJS et des lettres des programmes d'enseignement. Mieux vaut ne rien apprendre que ce faire bourrer le mou d'absurdités.
Randian shithead Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 C'est d'ailleurs une des raisons principales qui me font souhaiter la disparition de l'histoire, de l'ECJS et des lettres des programmes d'enseignement. Mieux vaut ne rien apprendre que ce faire bourrer le mou d'absurdités. Bof, on apprend beaucoup plus d'absurdité dans les repas familiaux, ou avec toutes les petites contre-vérités qui circulent de bouche en bouche. Supprime les cours, et tu verras que bientôt tout le monde croira dur comme fer en une histoire fantasmée.
JackieV Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Franchement, cette histoire de propagande par l'EN j'ai de plus en plus de mal à y croire.En gros, d'après mon expérience, on peut diviser l'univers des élèves en 3 : - 1% qui va croire tout ce qu'on lui dit et se l'approprier, en devenant militant de ceci ou cela - 1% qui ne va pas y croire et va venir un jour sur liberaux.org pour être irradié par la lumière de la Vérité - 98% qui n'en n'a rien à battre, qui va tout oublier, et qui retiendra surtout de l'action de l'Etat ce qui le concerne directement, à savoir alloc ceci ou cela, règlementation ceci ou cela, etc. Comment peut-on douter de la propagande de l'EN? Franchement avec le recul je me dis que c'est presque de la manipulation. Même sur ceux qui s'en foutent ça fait des séquelles, surtout au niveau des valeurs (écologisme bobo, méfiance envers l'économie de marché, etc).
Dardanus Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Croyez-bien que l'élu socialiste qui me servait de prof d'histoire-géo en terminale savait parfaitement mettre à profit ces heures de cours pour présenter à nos jeunes esprits la société-bisounours merveilleuse dans laquelle nous vivons.C'est d'ailleurs une des raisons principales qui me font souhaiter la disparition de l'histoire, de l'ECJS et des lettres des programmes d'enseignement. Mieux vaut ne rien apprendre que ce faire bourrer le mou d'absurdités. Vous êtes bien aimable de vouloir me mettre au chômage. Il me semble au contraire que les profs d'histoire sont beaucoup plus nuancés et plus critiques que les profs de SES et que c'est la seule matière qui permette de traiter aussi de questions économiques et sociales et de façon moins caricaturale qu'en SES. C'est aussi la seule qui donne des connaissances sur les systèmes politiques et les institutions.
neuneu2k Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Il me semble au contraire que les profs d'histoire sont beaucoup plus nuancés et plus critiques que les profs de SES et que c'est la seule matière qui permette de traiter aussi de questions économiques et sociales et de façon moins caricaturale qu'en SES. C'est aussi la seule qui donne des connaissances sur les systèmes politiques et les institutions. C'est vrai, les professeurs d'histoire sont souvent plus méfiants vis a vis du pouvoir absolu que les autres, même quand ils sont marxistes.
Brock Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Vous êtes bien aimable de vouloir me mettre au chômage. Il me semble au contraire que les profs d'histoire sont beaucoup plus nuancés et plus critiques que les profs de SES et que c'est la seule matière qui permette de traiter aussi de questions économiques et sociales et de façon moins caricaturale qu'en SES. C'est aussi la seule qui donne des connaissances sur les systèmes politiques et les institutions. vouloir ou pas supprimer une matiere c'est deja vouloir le meme programme pour tout le monde ce qui est je suis pour des ecoles avec Histoire et des ecoles sans Histoire, que le meilleur gagne de toute facon le gauchisme s'attrape a la fin de la phase de rebellion du jeune cretin, donc plutot fin lycee-debut fac.
Rincevent Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 C'est vrai, les professeurs d'histoire sont souvent plus méfiants vis a vis du pouvoir absolu que les autres, même quand ils sont marxistes. Ca dépend du prof. Je me souviens de ma prof d'HG, en Seconde, qui disait qu'à son avis la période de la Révolution la plus positive et la plus admirable était la Terreur, "parce que tout de même, vous comprenez, on recherchait l'égalité, et ça c'est rudement important, hein".
neuneu2k Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Ca dépend du prof. Je me souviens de ma prof d'HG, en Seconde, qui disait qu'à son avis la période de la Révolution la plus positive et la plus admirable était la Terreur, "parce que tout de même, vous comprenez, on recherchait l'égalité, et ça c'est rudement important, hein". J’aurai organisé une rotation des élèves pour enseigner son cours, parce que l’égalité c’est important, évidemment, si elle n’était pas d’accord, il aurai fallu passer a la phase 2 du programme… Non, j’exagère, j’étais dangereux au lycée, mais pas de façon aussi ostentatoire.
Chitah Posté 20 mai 2010 Signaler Posté 20 mai 2010 Pour ce qui me concerne, je n'ai plus eu de cours d'histoire-géo après la première, puisqu'à l'époque je faisais un bac dit E. En ce qui concerne cette discipline, je ne me souviens que d'une seule chose, c'est que la prof était une MILF dont les tétons pointaient en permanence, et qui dissipaient (les tétons, donc) la classe de techos à laquelle j'appartenais.
Brock Posté 21 mai 2010 Signaler Posté 21 mai 2010 je ne me souviens que d'une seule chose, c'est que la prof était une MILF dont les tétons bon c'est bien tu as retenu l'essentiel !
Skeggjöld Posté 21 mai 2010 Signaler Posté 21 mai 2010 Vous êtes bien aimable de vouloir me mettre au chômage. Il me semble au contraire que les profs d'histoire sont beaucoup plus nuancés et plus critiques que les profs de SES et que c'est la seule matière qui permette de traiter aussi de questions économiques et sociales et de façon moins caricaturale qu'en SES. C'est aussi la seule qui donne des connaissances sur les systèmes politiques et les institutions. Personnellement, je suis toujours tombée sur des professeurs d'histoire profondément ignares dans leur propre matière, ce qui est effrayant. Il y a des époques entières que nous n'avons pu étudier de manière approfondie (XIXe siècle, monarchie absolue, Renaissance, etc.) et d'autres dont on nous a rabattu les oreilles des années entières (révolution, Première Guerre, Deuxième Guerre, mai 68 et guerre d'Algérie). Je précise que c'était une vision extrêmement biaisée et parcellaire de l'histoire qui a réussi à me rendre parfaitement ignorante pendant des années, avant que je ne me mette à m'intéresser aux ouvrages d'historiens sérieux afin de combler personnellement mes lacunes. Sincèrement, étant donné le peu de choses que j'ai appris en cours d'histoire, je ne vois sincèrement pas l'utilité de cette matière qui servirait presque de matière fourre-tout où l'endoctrinement républicain et étatiste côtoie une vision incomplète et romancée des faits. Dommage que je n'ai pu vous avoir comme professeur, cela aurait évité bien des déconvenues bon c'est bien tu as retenu l'essentiel ! Les tétons du professeur d'histoire, s'ils ne pointaient pas autant, toute la face de la terre aurait changé.
Tremendo Posté 21 mai 2010 Signaler Posté 21 mai 2010 Vous êtes bien aimable de vouloir me mettre au chômage. Je suis passionné par l'histoire, mais soyons sincères, en soi je trouve que ça fait un peu tâche dans le programme des filières scientifiques, je préférerais qu'il y ait une spécialisation dès la première et la terminale réellement dans ce qui est scientifique en supprimant l'histoire geo, mais que cette matière soit renforcée en ES et L ce qui serait plus logique après tout. Total, la plupart passait complètement sur les cours d'histoire car ça les barbait, tout le monde préférait se concentrer sur les maths ou la physique qui valaient dix fois plus en coefficient au BAC, ce qui ne manquait pas d'exaspérer les professeurs d'histoire géo mais on ne peut pas en vouloir aux élèves. Après je raconte ça mais c'était dans les années 90 je ne sais pas si ça a changé. Il me semble au contraire que les profs d'histoire sont beaucoup plus nuancés et plus critiques que les profs de SES et que c'est la seule matière qui permette de traiter aussi de questions économiques et sociales et de façon moins caricaturale qu'en SES. C'est aussi la seule qui donne des connaissances sur les systèmes politiques et les institutions. Moi et mes deux soeurs nous ne sommes tombés que sur des profs très tendancieux idéologiquement, peut-être que nous n'avons pas eu de chance alors. Soit ils étaient des zélés de la République où la France était magnifiée ou alors des socialistes de première, mais généralement ils faisaient partie de la deuxième catégorie, ce qui ne manquait pas d'enrager mon père qui un jour envoya une note -scandalisé- au principal du collège, quand ma soeur eût à étudier un article d'Attali dans un Libération des années 80 !! Evidemment le principal ne donna pas suite mais l'échange verbal fut assez drôle! Bref cette anecdote est symptomatique du sentiment qui m'a traversé durant ces années-là. je suis pour des ecoles avec Histoire et des ecoles sans Histoire, que le meilleur gagne Farpaitement zérumé. Pour ce qui me concerne, je n'ai plus eu de cours d'histoire-géo après la première, puisqu'à l'époque je faisais un bac dit E. En ce qui concerne cette discipline, je ne me souviens que d'une seule chose, c'est que la prof était une MILF dont les tétons pointaient en permanence, et qui dissipaient (les tétons, donc) la classe de techos à laquelle j'appartenais. Et tu as retenu quoi des tétons du cours?
Invité Posté 21 mai 2010 Signaler Posté 21 mai 2010 Personnellement, je suis toujours tombée sur des professeurs d'histoire profondément ignares dans leur propre matière, ce qui est effrayant. Il y a des époques entières que nous n'avons pu étudier de manière approfondie (XIXe siècle, monarchie absolue, Renaissance, etc.) et d'autres dont on nous a rabattu les oreilles des années entières (révolution, Première Guerre, Deuxième Guerre, mai 68 et guerre d'Algérie). Je précise que c'était une vision extrêmement biaisée et parcellaire de l'histoire qui a réussi à me rendre parfaitement ignorante pendant des années, avant que je ne me mette à m'intéresser aux ouvrages d'historiens sérieux afin de combler personnellement mes lacunes. Sincèrement, étant donné le peu de choses que j'ai appris en cours d'histoire, je ne vois sincèrement pas l'utilité de cette matière qui servirait presque de matière fourre-tout où l'endoctrinement républicain et étatiste côtoie une vision incomplète et romancée des faits. Dommage que je n'ai pu vous avoir comme professeur, cela aurait évité bien des déconvenues Tout a fait, même si de mon coté, je me suis farci l'Egypte Antique a tour de bras (et qu'est-ce que j'en ai a ciré des phares a ions ?! je vous le demande), et les akissocios de la lutte sociale de 36, source de progrès incontestable, sans eux les enfants de 8 ans seraient encore dans les mines de nos jours, sans oublier la Shoah Corporation. A l'école on n'y apprend rien, tous ceux qui y sont allés le savent. Un prof, c'est comme un journaliste, mais en forme de prof. J'exagere, je me souviens en CM1, j'ai lu le Bill of Rights en cours d'Histoire, ca a changé ma vie. Mais bon, a mettre en balance avec toutes les heures que je me suis farci, c'est pas rentable.
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