Nicolas Azor Posté 2 avril 2011 Signaler Posté 2 avril 2011 C'est sur ce forum que j'ai découvert cette expression "pastèque" que je trouve très drôle. Je propose la création d'un prix annuel honorifique, appelé pastèque d'or, qui serait attribué à la personnalité politique qui se sera la plus distinguée en matière de déclarations ou d'actions très "vert à l'extérieur, rouge à l'intérieur". Vous pouvez nommer vos candidats sur cette file.
José Posté 2 avril 2011 Signaler Posté 2 avril 2011 C'est sur ce forum que j'ai découvert cette expression "pastèque"…
José Posté 2 avril 2011 Signaler Posté 2 avril 2011 Ben oui les pastèques… Je sais, je sais… Mais je suis scié d'apprendre que Nicolas Azor ait pris connaissance sur Liborg de ce terme vieux de 30 ans. Putain d'EdNat. CPEF.
Esperluette Posté 2 avril 2011 Signaler Posté 2 avril 2011 On peut aussi distinguer des catégories de pastèques. Carrée. Pyramidale. Coeur. Fleurie.
Drake Posté 2 avril 2011 Signaler Posté 2 avril 2011 Je sais, je sais…Mais je suis scié d'apprendre que Nicolas Azor ait pris connaissance sur Liborg de ce terme vieux de 30 ans. Putain d'EdNat. CPEF. Je sais que tu sais. Mais justement pour répondre sur le fond à Nicolas Azor, il me semble que si le terme était pertinent il y 30 ans je me demande dans quelle mesure l'employer aujourd'hui n'est pas anachronique, ne revient pas à se tromper de cible. Les écolos dirigistes, certainement ultra majoritaires au sein de l'écologie politique, ne sont pas (ne sont plus) des communistes déguisés. Le communisme est mort - définitivement - malgré la rémanence de son vocabulaire et de 2 ou 3 structures sectaires, Revel comparait son poids démesuré dans le débat public à celui des royalistes dans les années '30. Les écolos sont les nouveaux ennemis de la société ouverte, tous seuls comme des grands, sans que leurs discours soit le masque d'une idéologie sous-jacente. D'ailleurs, dans sa filiation historique, l'écologie politique est réactionnaire, pas un rejeton du communisme.
Yul Posté 2 avril 2011 Signaler Posté 2 avril 2011 plutôt que de communisme, on devrait parler de marxisme. Le communisme est mort, mais en France le marxisme est resté très vivant, pas vraiment dans sa doctrine mais plutôt dans ses préjugés. Beaucoup de cadres verts ont été formés par le marxisme dans les années 60-70 ou sont des "post-marxistes" trentenaires (et incultes) comme Duflot. Je pense qu'ils sont plus pour des législations contraignantes, du bourrage de crâne et des interdictions de toutes natures, que l'abolition de la propriété privée comme les marxistes pur jus: beaucoup d'écolos sont en fait des entrepreneurs, qui profitent de marchés publics, de subventions et des législations/règlementations que leur fabrique l'Etat sur mesure, et qui n'ont aucun intérêt à ce que l'on quitte la social-démocratie pour quelque chose de plus dur, même si c'est ce qu'ils obtiendront au final. Ils veulent employer l'Etat pour fausser le marché à leur bénéfice, en plus d'exercer un magistère moral qu'ils ne peuvent pas obtenir par leur propre mérite. le marxisme s'est selon moi amalgamé au malthusianisme, qui est une composante tout aussi importante, et à une certaine forme de paganisme voire de millénarisme. L'écologie présente de toutes façons quantité de nuances et d'idées bizarres venues de la stratosphère. Je pense que l'écologie est un syncrétisme, une sorte de candomblé de l'anti-libéralisme.
Chitah Posté 2 avril 2011 Signaler Posté 2 avril 2011 plutôt que de communisme, on devrait parler de marxisme. Sachant qu'en plus, ces théories ne sont qu'un habillage scientifique de préjugés commun : - si A n'est pas égal à B, alors A est plus grand (fort, puissant, etc.) que B ou B plus grand que A - si A donne a à B et B donne b à A, alors l'un des deux s'est fait nécessairement avoir, et au mieux l'échange est parfaitement équilibré - si A dit quelquechose à B, c'est pour essayer de la manipuler (l'aliéner, etc.) - etc. Bref : des lieux communs habillés de grandes considérations philosophiques, mais des lieux communs quand même.
Yul Posté 2 avril 2011 Signaler Posté 2 avril 2011 Bref : des lieux communs habillés de grandes considérations philosophiques, mais des lieux communs quand même. et encore, des considérations philosophiques, c'est un bien grand mot: au mieux c'est diarrhéique, bizarre et confus….. et puis le marxisme n'est pas une philosophie, le marxisme est sci-en-ti-fi-que.
Calembredaine Posté 2 avril 2011 Signaler Posté 2 avril 2011 Le communisme est mort - définitivement - malgré la rémanence de son vocabulaire et de 2 ou 3 structures sectaires Le "communisme" on s'en fout, c'est un habillage. C'est l'idéologie sous jacente qui est plus vivante que jamais: la négation de l'individu au profit de la termitière collectivité. Et l'écologie, Gaïa, est un moyen fort efficace pour culpabiliser et contrôler les foules.
Mathieu_D Posté 3 avril 2011 Signaler Posté 3 avril 2011 "Pastèque" c'est drôle, "bounty" c'est tragique, mais, dans l'histoire, celui qui m'a fait le plus rire c'est "beefsteack" . Vous en connaissez d'autres ?
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