Nick de Cusa Posté 14 février 2016 Auteur Signaler Posté 14 février 2016 Court. La bonne lutte des classes. https://danieljmitchell.wordpress.com/2016/02/14/the-right-kind-of-class-warfare-workers-vs-looters/
FabriceM Posté 14 février 2016 Signaler Posté 14 février 2016 https://danieljmitchell.wordpress.com/2016/02/14/the-right-kind-of-class-warfare-workers-vs-looters/ Je prends. Par contre, il y a une image à modifier. Je peux bricoler sous paint, mais ce serait mieux si qqun le faisait avec un "vrai" programme de traitement d'image. Et avec la bonne typographie. L'image en question :
FabriceM Posté 14 février 2016 Signaler Posté 14 février 2016 La véritable guerre des classes : Les producteurs contre les pillards. Par Dan Mitchell, le 14 Février 2016 Au cours des ans, mon dévolu s’est porté sur plusieurs images qui permettent de comprendre le fond d’un sujet.Voici quelques unes de mes favorites Le philoso-raptor expliquant l’économie de l’offre. Le pommier et les inconvénients de la double taxation. Dans la même veine, le diagramme de la double taxation. La croissance tentaculaire de l’Etat providence américain. La pyramide démographique des USA qui devient un cylindre. Les parts de pizza et le paradoxe de l’inégalité. Désormais j’en ai une à ajouter à la liste. Voici une image qu’un lecteur a partagée avec moi et qui permet parfaitement d’expliquer pourquoi Bernie Sanders, Hillary Clinton et autres guérilleros de la lutte des classes, ont tort.Les gens riches ne sont pas un problème. Les pillards et les parasites, quels que soient leurs revenus, le sont. Cette image est particulièrement utile, parce qu’elle est juste. Si on s’intéresse à la partie « véritable ennemi » de l’image, les riches de la zone rouge sont les ‘‘connivents’’* qui reçoivent des subventions aux exportations, le troupeau de Wall Street qui s’est gavé grâce au TARP, et d’autres individus très connectés (comme Warren Buffett) qui instrumentent la contrainte du gouvernement afin de se remplir les poches. Ce que nous avons là est en gros l’illustration que j’aurais aimé inclure dans mon article de 2011 sur les « bons riches » et les « mauvais riches ». Alors que je débats avec des défenseurs de la lutte des classes, je défends les riches dans la zone blanche mais j’aimerais avoir un moyen de distinguer les gens qui méritent leur argent de ceux qui ne le méritent pas. C’est aussi valable avec les non-riches. La plupart sont des gens décents gagnant leur vie honnêtement et qui appartiennent à la zone blanche. Mais il y a aussi des non-riches qui dépendent de la contrainte gouvernementale. Ce peuvent être des fonctionnaires surpayés. Ce peuvent être des escrocs s’attaquant au programme d’aide alimentaire ou des fraudeurs délestant l’EITC.** P.S : Pour ce que ça vaut, je suspecte plus de 50% des gens qui se baladent à Washington d’appartenir à la zone rouge. *NdT : Traduction de « crony » au sens de « crony capitalisme » soit capitalisme de copinage ou capitalisme**NdT : Il s’agit en gros d’une prime à l’emploi sous forme d’exonérations d’impôts. Comme en France, une imposition « négative » est possible et donne lieu à un versement.
h16 Posté 14 février 2016 Signaler Posté 14 février 2016 Rentiers et rent-seekers, ce n'est pas pareil. Rent-seekers sont ceux qui agissent pour avoir des rentes de situation. Les rentiers, pas a priori (s'ils ont investi leur capital, ils sont en droit d'en attendre une rente et c'est normal).
Tramp Posté 14 février 2016 Signaler Posté 14 février 2016 En jargon économique moderne, on parle de rente lorsque les profits sont issus de distorsions du marché. Les revenus du capital ne sont a priori pas des rentes. Ca porte effectivement à confusion avec le sens qui est souvent utilisé.
FabriceM Posté 14 février 2016 Signaler Posté 14 février 2016 Rentiers et rent-seekers, ce n'est pas pareil. Rent-seekers sont ceux qui agissent pour avoir des rentes de situation. Les rentiers, pas a priori (s'ils ont investi leur capital, ils sont en droit d'en attendre une rente et c'est normal). J'avoue avoir du mal à traduire efficacement les constructions de ce type. En plus, dans un diagramme qui se veut sobre et simple, je me vois mal caser "chasseurs de rentes de situation". J'ai arbitré pour "rentiers", mais je comprends que ça puisse gêner. Je le change en ce que tu veux ^^
h16 Posté 15 février 2016 Signaler Posté 15 février 2016 En jargon économique moderne, Dans les petites images sharables, on s'adresse au 99% qui ne connaissent pas le "jargon économique moderne".
h16 Posté 15 février 2016 Signaler Posté 15 février 2016 J'avoue avoir du mal à traduire efficacement les constructions de ce type. En plus, dans un diagramme qui se veut sobre et simple, je me vois mal caser "chasseurs de rentes de situation". J'ai arbitré pour "rentiers", mais je comprends que ça puisse gêner. Je le change en ce que tu veux ^^ Chasseurs de rente, c'est mieux à mon avis.
Nick de Cusa Posté 16 février 2016 Auteur Signaler Posté 16 février 2016 La neutralité du net tue l'internet libre. http://fee.org/articles/net-neutrality-kills-free-internet/
Nick de Cusa Posté 17 février 2016 Auteur Signaler Posté 17 février 2016 10 mythes sur l'UE démontés. http://capx.co/ten-euro-myths-debunked/
Rusty Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 La neutralité du net tue l'internet libre. http://fee.org/articles/net-neutrality-kills-free-internet/ Je prends. 1
h16 Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Si quelqu'un peut traduire la lettre suivante, ce serait süper über : http://www.apple.com/customer-letter/
h16 Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 on aurait le droit de la reproduire ? Je pense que traduire quelques passages marquant et faire un petit articulet autour introduisant le contexte et concluant sur la position libérale ne poserait aucun souci. 1
Séverine B Posté 18 février 2016 Signaler Posté 18 février 2016 Si quelqu'un peut traduire la lettre suivante, ce serait süper über : http://www.apple.com/customer-letter/ Je m'y mets.
Séverine B Posté 18 février 2016 Signaler Posté 18 février 2016 on aurait le droit de la reproduire ? Je peux demander cet aprèm si ça te va.
FabriceM Posté 18 février 2016 Signaler Posté 18 février 2016 Avec un peu de chance, la com d'apple france pourrait carrément sortir une traduction officielle.
Nick de Cusa Posté 18 février 2016 Auteur Signaler Posté 18 février 2016 Apple a un service de presse, lui demander.
Séverine B Posté 18 février 2016 Signaler Posté 18 février 2016 Apple a un service de presse, lui demander. C'est fait. Répondeur. J'attends. @Fred : j'envoie le mail.
Séverine B Posté 18 février 2016 Signaler Posté 18 février 2016 Si quelqu'un peut traduire la lettre suivante, ce serait süper über : http://www.apple.com/customer-letter/ (Peut-être préciser le contexte : http://www.rtl.fr/culture/web-high-tech/pourquoi-apple-refuse-d-aider-le-fbi-dans-l-enquete-sur-l-attaque-de-san-bernardino-7781938001) Lettre à nos clients Le gouvernement américain a demandé à Apple de franchir une étape sans précédent en ce qui concerne la sécurité de ses clients. Nous nous opposons à cet ordre, qui a des répercussions bien au-delà du cadre légal en question. Nous arrivons à un point où le débat est nécessaire et nous voulons que nos clients et tous les gens à travers le pays comprennent de quoi il s’agit. Besoin de crypter Les smartphones, Iphone en tête, ont pris une part importante dans notre vie. Les gens les utilisent pour stocker un nombre incroyable d’informations personnelles, depuis nos conversations privées jusqu’à nos photos, notre musique, nos notes, nos agendas et contacts, nos informations financières et nos données de santé, les lieux où nous avons été et où nous nous rendons. Toutes ces informations nécessitent une protection contre les hackers et les criminels qui voudraient y accéder, les voler, les utiliser à notre insu ou sans notre autorisation. Les clients attendent d’Apple et des entreprises technologiques qu’elles fassent tout ce qui est en leur pouvoir pour protéger leurs informations personnelles, et chez Apple nous nous sommes engagés à garder en lieu sûr ces données. Compromettre la sécurité de nos informations personnelles peut à terme faire courir un risque à notre sécurité personnelle. C’est pourquoi le cryptage est devenu si important pour chacun de nous. Depuis de nombreuses années, nous avons utilisé le cryptage pour protéger les données personnelles de nos clients, nous croyons que c’est le seul moyen de sécuriser leurs informations. Nous avons aussi fait en sorte que ces données ne nous soient pas accessibles, parce que nous croyons que le contenu de votre iphone ne nous regarde pas. L’affaire San Bernardino Nous avons été choqués par l’acte de terrorisme meurtrier à San Bernardino en décembre dernier. Nous déplorons les morts et nous voulons que justice soit rendue à tous ceux dont les vies ont été touchées. Le FBI a demandé notre aide les jours qui ont suivi l’attaque, et nous avons travaillé dur pour soutenir les efforts du gouvernement pour résoudre cet horrible crime. Nous n’avons aucun sympathie pour les terroristes. Quand le FBI a demandé les données que nous avions en notre possession, nous les avons fournies. L’entreprise Apple respecte les assignations à comparaître et les mandats de perquisition, comme lors de l’affaire de San Bernardino. Nous avons aussi fait en sorte que les ingénieurs d’Apple soient disponibles pour conseiller le FBI, et nous avons mis à disposition nos meilleures idées pour un certain nombre de choix d’investigation. Nous avons le plus grand respect pour les professionnels du FBI, et nous croyons que leurs intentions sont bonnes. Jusqu’à présent, nous avons fait pour les aider à la fois ce qui était en notre pouvoir et ce qui est dans le cadre de la loi. Mais le gouvernement américain nous demande quelque chose que nous n’avons pas, tout simplement, quelque chose que nous considérons comme trop dangereux à créer. Ils nous ont demandé de créer un backdoor sur l’iphone. Précisément, le FBI veut que nous créions une nouvelle version de l’IOS, contournant plusieurs importantes caractéristiques techniques, et que nous l’installions sur un iphone trouvé pendant l’enquête. Entre de mauvaises mains, ce programme –qui n’existe pas aujourd’hui- permettrait à de débloquer n’importe quel iphone détenu physiquement par quelqu’un. Le FBI peut utiliser différents mots pour décrire cet outil, il n’y a aucun doute : créer une version d’OS qui contourne la sécurité de cette façon correspond indéniablement à créer un backdoor. Et le gouvernement peut bien dire que l’usage sera limité à ce cas, il n’y a aucune garantie d’un tel contrôle. Le traitement des données sécurisées Certains diront que créer un backdoor sur l’iphone est une solution simple, définie. Mais c’est ignorer à la fois la sécurité digitale et la signification de ce que le gouvernement demande ici. Dans le monde digital d’aujourd’hui, la « clé » d’un système crypté est un morceau d’information qui déverrouille les données, et elle n’est sûre que tant que les protections tout autour le sont. Une fois que l’information est connue, ou qu’on connaît la manière de contourner le code, le cryptage peut être anéanti par n’importe qui en ayant connaissance. Le gouvernement propose que cet outil ne soit utilisé qu’une fois, sur un iphone. Mais tout simplement, ce n’est pas vrai. Une fois créée, cette technique pourra être utilisée encore et encore, sur n’importe quels appareils. Dans le monde réel, ce serait l’équivalent d’un passe-partout, capable d’ouvrir des centaines de millions de serrures -des restaurants et des banques jusqu’aux magasins et aux maisons. Aucune personne raisonnable ne pourrait accepter cela. Le gouvernement demande à Apple de pirater ses propres clients et de saper des décennies d’avancée dans la protection sécurisée de nos clients -incluant des dizaines de millions de citoyens américains- contre les hackers et les cybercriminels. Ironie du sort, ce sont les mêmes ingénieurs, qui ont construit un solide cryptage des données de l’iphone pour protéger nos clients, à qui l’on ordonne aujourd’hui d’affaiblir ces protections pour rendre nos utilisateurs plus vunérables. Nous n’avons aucun précédent d’une entreprise américaine forcée d’exposer ses clients à un si grand risque d’attaque. Depuis des années, les crypteurs et experts de la sécurité nationale ont été mis en garde contre un affaiblissement du cryptage. Faire cela ne punira que les gens bien intentionnés et respectueux des lois qui comptent sur les entreprises comme Apple pour protéger leurs données. Les criminels et les personnes mal intentionnées continueront à crypter, utilisant les outils facilement disponibles pour eux. Un précédent dangereux Plutôt que de demander une action législative via le Congrès, le FBI propose une utilisation sans précédent du All Writs Acts de 1789 pour justifier l’expansion de son autorité. Le gouvernement nous ferait enlever les éléments de sécurité, et ajouter de nouvelles possibilités à l’OS, en autorisant un code secret entré de manière électronique. Cela faciliterait le déverrouillage de l’Iphone « par la force », en entrant des milliers de millions de combinaisons à la vitesse d’un ordinateur moderne. Ce qu’impliquent les demandes du gouvernement glace le sang. Si le gouvernement utilise le All Writs Act pour faciliter le déverrouillage de l’iphone, il aura le pouvoir d’accéder aux appareils de n’importe qui pour en prendre les données. Le gouvernement pourrait étendre cette brèche dans la vie privée en demandant qu’Apple fabrique un logiciel de surveillance pour intercepter vos messages, accéder à vos données de santé ou financières, savoir où vous êtes ou même accéder à votre micro ou votre camera à votre insu. S’opposer à cet ordre n’est pas une chose que nous faisons à la légère. Nous ressentons le besoin de dire tout haut que nous pensons que le gouvernement américain dépasse les bornes. Nous remettons en questions ls demandes du FBI avec le plus grand respect pour la démocratie américaine et l’amour de notre pays. Nous pensons que ce serait dans l’intérêt de tous de prendre du recul et d’examiner les implications. Même si nous pensons que les intentions du FBI sont bonnes, ce serait mauvais de la part du gouvernement de nous forcer à construire un backdoor à insérer à nos produits. Et à terme, nous craignons que cette demande ne sape la liberté[1. the very freedom and liberty] même que notre gouvernement est censé protéger. Tim Cook
Rübezahl Posté 18 février 2016 Signaler Posté 18 février 2016 j'ai regardé ce matin apple.fr, mais il n'y avait rien.
Drake Posté 18 février 2016 Signaler Posté 18 février 2016 Merci à Séverine B. Je remplacerais "sécurité digitale" par "sécurité numérique" (sauf si Apple veut se lancer dans la conception d'EPI)
Séverine B Posté 18 février 2016 Signaler Posté 18 février 2016 Oui, ne pas hésiter à faire des modifs !
Rusty Posté 18 février 2016 Signaler Posté 18 février 2016 http://fee.org/articles/net-neutrality-kills-free-internet/ La Neutralité du Net tue l’internet libre. L’accès à internet est-il un droit de l’homme fondamental ? Donner des biens ou services à des gens qui ne peuvent pas se les offrir en temps normal permet généralement de recevoir des éloges. Dans le cadre de la Neutralité du Net, c’est un affront de mettre une limite à ce que vous donnez. Facebook en a fait l’expérience. Facebook a présenté un plan appelé Free Basics ou Internet.org « pour rendre disponible et abordable à l’humanité entière l’accès aux services Internet de base », a déclaré le Président de Facebook Mark Zuckerberg. Free Basics est conçu pour opérer selon un modèle de « bande passante sponsorisé » : les utilisateurs ont accès à n’importe quel site web depuis leurs téléphones, mais ils ne sont pas facturés des coûts de réseaux tant qu’ils naviguent parmi les services du plan « Free Basics ». Facebook se rémunère à travers des partenariats et, dans le même temps, des gens obtiennent un accès à Internet, ce qu’ils n’auraient pas sans cela. C’est bien une opération gagnante pour tout le monde, n’est-ce-pas ? Le problème, selon les opposants, est que cet accès est soumis à des restrictions. En effet, les sites internet mobiles doivent fonctionner en l’absence de JavaScript, vidéo, images de grande taille, Flash et plugins Java (Java et JavaScript sont deux langages de programmation différents en dépit de leurs noms similaires). Certaines de ces restrictions ont pour but d’éviter les pages gonflées qui consomment des grandes quantités de bande passante – le coût de l’accès à Internet étant plutôt élevé dans certaines zones. D’autres restrictions dissuadent d’utiliser des technologies qui ne sont pas supportés universellement sur les équipements mobiles. Ces restrictions, disent les critiques, violent le principe de Neutralité du Net, qui implique que tous les fournisseurs proposant un accès à Internet doivent traiter toutes les données transitant par leurs réseaux de manière égale. Certains défenseurs de la Neutralité du Net considère donc le plan Free Basics comme scandaleux. Et de fait, quelques pays ont empêché son déploiement. En décembre 2015, le gouvernement indien a ordonné à Reliance Communications, la seule société proposant Free Basics, d’arrêter de le proposer jusqu’à ce que l’Autorité de Régulation des Télécommunications puisse décider si elle satisfait les conditions de la Neutralité du Net. L’interdiction a été rendue permanente en février 2016. Par ailleurs, l’Egypte a également interdit Free Basics. La problématique de la Neutralité du Net a tout d’abord été la source d’un intérêt généralisé car les fournisseurs d’accès peuvent secrètement fournir plus de bande passante pour leur propres contenus ou pour des sites avec qui ils ont des accords, au dépend d’autres sites. Il est vrai que si des fournisseurs agissaient d’une telle façon, cela pourrait constituer un marketing trompeur. Néanmoins, en ce qui concerne Free Basics, la neutralité est plutôt un impératif catégorique. Zuckerberg a ébranlé la position de Facebook en déclarant que la « connectivité fait partie des droits de l’homme ». Si les gens ont un droit intrinsèque à une connexion internet – un « droit » qu’une puissance mystérieuse a refusé à l’ensemble de l’humanité pendant la majeure partie de son histoire -, alors toute restriction quant à son accès viole les droits de l’homme. Les opposants de Zuckerberg ont été prompts à l’attaquer sur ce point. Un article de CNBC indique ainsi qu’une critique en Inde « compare Free Basics à un apartheid numérique, car cette offre sert principalement les intérêts de Facebook plutôt que le maintien de l’idée selon laquelle la connectivité est un droit de l’homme ». Même si la liste des droits inaliénables devait inclure la vie, la liberté et la connectivité internet, protéger ce dernier en interdisant les services limités est une idée bizarre. Cela revient à dire que les gens ont un droit d’accès à la nourriture puis à interdire la distribution gratuite de soupes à la tomate à moins qu’un filet mignon soit aussi distribué gratuitement. Free Basics peut avoir des défauts, mais seuls ses utilisateurs peuvent les juger. Les gouvernements n’ont aucune raison légitime d’interdire le service d’accès à Internet de Facebook. 1
Nick de Cusa Posté 18 février 2016 Auteur Signaler Posté 18 février 2016 Magnifique. Rappelons nous que government se traduit par Etat.
FabriceM Posté 18 février 2016 Signaler Posté 18 février 2016 A prendre en compte lors de la rédaction de l'article sur l'affaire Apple/FBI/San Bernardino. http://www.thedailybeast.com/articles/2016/02/17/apple-unlocked-iphones-for-the-feds-70-times-before.html in a similar case in New York last year, Apple acknowledged that it could extract such data if it wanted to. And according to prosecutors in that case, Apple has unlocked phones for authorities at least 70 times since 2008. (Apple doesn’t dispute this figure.) [..] For its part, the government’s public position isn’t clear cut, either. U.S. officials insist that they cannot get past a security feature on the shooter’s iPhone that locks out anyone who doesn’t know its unique password—which even Apple doesn’t have. But in that New York case, a government attorney acknowledged that one U.S. law enforcement agency has already developed the technology to crack at least some iPhones, without the assistance from Apple that officials are demanding now. [..] The facts in the New York case, which involve a self-confessed methamphetamine dealer and not a notorious terrorist, tend to undermine some of the core claims being made by both Apple and the government [..] It wasn’t until after the revelations of former NSA contractor Edward Snowden that Apple began to position itself so forcefully as a guardian of privacy protection in the face of a vast government surveillance apparatus. Perhaps Apple was taken aback by the scale of NSA spying that Snowden revealed. Or perhaps it was embarassed by its own role in it. The company, since 2012, had been providing its customers’ information to the FBI and the NSA via the PRISM program, which operated pursuant to court orders.
Lexington Posté 19 février 2016 Signaler Posté 19 février 2016 A prendre en compte lors de la rédaction de l'article sur l'affaire Apple/FBI/San Bernardino. http://www.thedailybeast.com/articles/2016/02/17/apple-unlocked-iphones-for-the-feds-70-times-before.html Si c'est en réponse à une injonction de justice (c'est ce que je comprends) et dans 70 cas en 8 ans sur l'un des produits les plus vendus au monde, cela ne me parait pas une raison de non publication
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