Kuing Yamang Posté 2 juillet 2011 Signaler Posté 2 juillet 2011 Bien sûr. Je pense seulement que les aspirations affectives, sociales, etc. relèvent plus d'une nécessité inhérente à la nature humaine que d'un choix réel. Je ne crois pas qu'il y ait besoin de longuement s'étendre sur ce point. La coercition dénature le mérite des choix… et leur qualité. L'impôt n'enseigne pas l'élan du don, avec la réflexion qui accompagne cette démarche et l'exercice de la volonté. Esperluette, tu as fait l'ENA ou tu utilises un générateur de langue de bois ? Allez, je me lance ^^ : Esperluette et chers autres lecteurs de ce forum, le particularisme dû à notre histoire unique a pour conséquence obligatoire l'urgente nécessité de l'écoute des aspirations affectives, sociales, etc..de nos prochains, nécessiteux, dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité. Je reste fondamentalement persuadé que la nécessité de répondre à votre inquiétude journalière, que vous soyez jeunes ou âgés, a pour conséquence obligatoire l'urgente nécessité de cette écoute des aspirations affectives, sociales, etc..de nos prochains, nécessiteux, dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité. Dès lors, sachez, Esperluette et autres lecteurs, que je me battrai pour faire admettre que l'acuité des problèmes de la vie quotidienne doit prendre en compte les préoccupations de la population de base dans l'élaboration d'un processus allant vers plus d'écoute quant aux aspirations affectives, sociales, etc..vis à vis de nos prochains, nécessiteux. La situation d'exclusion que certains d'entre eux connaissent doit prendre en compte les préoccupations de la population de base dans l'élaboration d'une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité, je le redis ! Et ce n'est certainement pas toi, Cher (Chère) Esperluette, qui me contrediras (ni nos autres amis lecteurs) si je te dis que le particularisme dû à notre histoire unique interpelle le citoyen que je suis et nous oblige tous à aller de l'avant dans la voie d'un avenir s'orientant vers plus de progrès et plus de justice. http://www.presidentielle-2007.net/generateur-de-langue-de-bois.php http://www.charabia.net/gen/gendisp.php?gen=19 C'est la faute à l'Etat qui ne taxe pas assez les sales riches. Je veux de la flat tax partout et toujours ! ! ! !
Kuing Yamang Posté 2 juillet 2011 Signaler Posté 2 juillet 2011 Vous n'avez pas eu de bol Chitah et vous. Mouais bon t'as raison, j'en ai en fait oublié une dans ma liste: une prof (maîtresse ) quand j'avais 9~10 ans dont j'étais amoureux.. Mais c'est tout.
Esperluette Posté 2 juillet 2011 Signaler Posté 2 juillet 2011 Si la personne fait ça par compassion je l'envoie ch… . Elle me fait sentir sa supériorité, et ça, désolé j'en veut pas. Tu es bien susceptible. Si mon amie par contre, accepte pas gentillesse de me décharger de certaines tâches car je suis malade, j'accepterais.En sachant en échange que cela réciproque le jour où elle sera malade. Et la gentillesse n'a rien à voir avec la compassion. Beaucoup d'handicapé disent que ce qui les dérangent le plus c'est justement cette compassion qu'ils peuvent susciter quand ils croisent des inconnus. Je ne me souviens d'aucun interrogatoire préliminaire, ni auprès de l'assoce où je me suis inscrite, ni de la part des bénéficiaires, pour vérifier mon degré de compassion dans les motivations qui m'ont menée au bénévolat auprès d'handicapés. Les bénéficiaires ne voulaient pas savoir pourquoi j'étais là, ils avaient besoin d'un coup de main, ils voulaient que leur démarche aboutisse, voilà tout. Il y a comme un décalage dans nos expériences respectives. Esperluette, tu as fait l'ENA ou tu utilises un générateur de langue de bois ? * baîllement*
Marlenus Posté 2 juillet 2011 Signaler Posté 2 juillet 2011 Et la gentillesse n'a rien à voir avec la compassion. Non, la compassion comme la pitié n'ont pas de rapport avec la gentillesse, ou plutôt c'est de la gentillesse dévoyée. On est pas gentil car on veut être gentil, on est gentil car on culpabilise et qu'on veut se défaire de ce sentiment. Je ne me souviens d'aucun interrogatoire préliminaire, ni auprès de l'assoce où je me suis inscrite, ni de la part des bénéficiaires, pour vérifier mon degré de compassion dans les motivations qui m'ont menée au bénévolat auprès d'handicapés. Les bénéficiaires ne voulaient pas savoir pourquoi j'étais là, ils avaient besoin d'un coup de main, ils voulaient que leur démarche aboutisse, voilà tout. Il y a comme un décalage dans nos expériences respectives. Surement. quand j'ai fait un camp où j'ai été accompagnateur (bon c'était il y a 15ans, peut-être que les mentalités ont changés depuis), la majorité nous demandaient de l'aide que quand ils avaient pas le choix. Et si par malheur tu leur faisais des choses qu'ils pouvaient faire (comme ouvrir un bocal), ils te disaient que ne pas pouvoir marcher (c'était des handicapés moteurs) ne les empêchaient pas d'ouvrir un bocal.
Kuing Yamang Posté 2 juillet 2011 Signaler Posté 2 juillet 2011 Et la gentillesse n'a rien à voir avec la compassion. La gentillesse, j'appellerais plutôt ça l'empathie, c'est à dire la possibilité ou faculté de cerveau de se mettre à la place de l'autre -et éventuellement accepter et donc comprendre les éventuels problèmes de cet autre. En gros, tu peux être gentil (absolu, une qualité) mais ne pas avoir de compassion pour machin ou truc.. Cette différence entre gentillesse et compassion.. c'est quoi ? le passage à l'acte de la gentillesse lors d'un instant ? La compassion est un instantané circonstanciel de la gentillesse, mais ce n'en est qu'un sous ensemble: quelqu'un qui a de la compassion pour tel truc ou tel autre truc n'est pas forcément gentil.. la gentillesse est un caractère absolu. Enfin, le sentiment de compassion est forcément le fruit de la souffrance de la personne qui reçoit ou a reçu cette compassion… (cf étymologie)… tu as mis un pied dans la pitié.. Enfin peut-être.. ^^
Chitah Posté 2 juillet 2011 Signaler Posté 2 juillet 2011 Vous n'avez pas eu de bol Chitah et vous. Ouh là, t'inquiète pas, le Chitah il est plus solide que ça.
Lancelot Posté 3 juillet 2011 Signaler Posté 3 juillet 2011 Non, parce qu'il n'y a pas assez de donneurs de sang, donc l'Etat t'oblige à donner ton sang pour les autres. Voilà, puis ça ferait économiser de l'argent à la sécu (grand combat de notre temps) parce que ça inciterait les gens à moins se soigner. Que du bénéfice. C'est une méthode d'éducation, le dénigrement systématique. J'en ai subi quelques adeptes durant ma scolarité, généralement ce sont de gros bourrins à côté de la plaque. En ce qui me concerne ce genre de choses m'ennuie, un prof n'a ni à m'encourager ni à me dénigrer. Qu'il juge honnêtement ce que je fais et je tirerai les conclusions tout seul, merci bien, pas besoin de méta-commentaire.
Tremendo Posté 4 juillet 2011 Signaler Posté 4 juillet 2011 Pour ma part des profs motivants et passionnés par leur métier, qui voyaient en moi l'adulte en devenir, etc, je m'en rappelle d'une ou deux bonnes dizaines (ce n'est toujours pas la majorité, mais toujours plus que deux ou trois). Vous n'avez pas eu de bol Chitah et vous. Ça doit être pour ça que vous êtes devenu le jumeau maléfique Pourtant je partage assez ce que dit Chitah, j'ai eu peu de profs passionnants, mais ça à la limite ce n'est pas grave, en revanche des profs pratiquant la méthode consistant à foutre la honte devant tout le monde, j'en ai vu des cas, mais ça à la limite ça motive le gamin aussi, sauf si c'est répétitif et arbitraire.
Zax Posté 8 août 2011 Signaler Posté 8 août 2011 Au terme d'une compétition, le gagnant a quelque chose à gagner par rapport aux autres. Donc la compétition permet un gain. Un gain, c'est quelque chose en plus. La perspective d'avoir quelque chose en plus à mon avis favorise le développement du sens de l'effort et de la créativité. Je ne parle pas de compétition exacerbée où l'on ne respecte absolument pas son adversaire. Mais au final la compétition pousse au dépassement, à l'innovation. C'est ce sur quoi se fonde le capitalisme (libéralisme ?), et ce pourquoi on vit dans un pays développé. Dans le cas contraire on serait resté dans un pays stationnaire, et vivre comme au temps de Louis XIV ça ne me tente pas. En plus compétition et sélection sont très liés. Or la sélection doit bien se faire quelque part.
Lucy_HT Posté 5 décembre 2011 Signaler Posté 5 décembre 2011 Personally, I would like to be "competent" than "competitive".
JackieV Posté 5 décembre 2011 Signaler Posté 5 décembre 2011 Personally, I would like to be "competent" than "competitive". ทำไม?
Tremendo Posté 5 décembre 2011 Signaler Posté 5 décembre 2011 Personally, I would like to be "competent" than "competitive". Brian is in the kitchen.
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