Mathieu_D Posté 26 février 2013 Signaler Posté 26 février 2013 La dame a dit "art appliqué", Johnnieboy peut continuer à fantasmer.
Bisounours Posté 26 février 2013 Signaler Posté 26 février 2013 Et cette citation est d'un homme sensible. Peut-être le poète préféré de ces dames. C'est qui ?
free jazz Posté 26 février 2013 Signaler Posté 26 février 2013 Baudelaire était surtout un grand réactionnaire, comme tous les grands écrivains. Du reste, une femme de bonne compagnie ne doit être ni trop sotte, ni trop intelligente. Mais ce dernier cas de figure est assez rare, surtout parmi les filles scolaires qui réussissent à l'école.
Yozz Posté 27 février 2013 Signaler Posté 27 février 2013 Baudelaire était surtout un grand réactionnaire, comme tous les grands écrivains. Hugo, Gide, Camus? Delamaerd, bien entendu.
free jazz Posté 27 février 2013 Signaler Posté 27 février 2013 Hugo, Gide, Camus? Delamaerd, bien entendu. Hugo, un poseur assez moyen, c'est pas Chateaubriand quand-même. Gide on peut en discuter, mais il fut tenté toute sa vie par la conversion au catholicisme et traité de fasciste à son retour d'URSS. Camus fut taxé de salonard réactionnaire par la bande à Sartre et la flicaille existentialiste. Par ailleurs réactionnaire ne veut pas dire de droite. Camus est régulièrement cité comme référence parmi les auteurs réactionnaires, aux côtés de Arthur Koestler et Aldous Huxley.
Yozz Posté 27 février 2013 Signaler Posté 27 février 2013 Hugo, un poseur assez moyen, c'est pas Chateaubriand quand-même. Gide on peut en discuter, mais il fut tenté toute sa vie par la conversion au catholicisme et traité de fasciste à son retour d'URSS. Camus fut taxé de salonard réactionnaire par la bande à Sartre et la flicaille existentialiste. Par ailleurs réactionnaire ne veut pas dire de droite. Camus est régulièrement cité comme référence parmi les auteurs réactionnaires, aux côtés de Arthur Koestler et Aldous Huxley. Hugo n'est pas Chateaubriand, c'est évident (bien que c'était son but), mais conchier la Légende des siècles me paraitrait un peu exagéré. Gide connait des tensions évidentes, mais c'est bien ça qui le place en dehors de la réaction pure. Camus réac se défend dans la bouche de Sartre, mais sinon ça reste un peu cocasse à l'époque. Que les réacs d'aujourd'hui se reconnaissent dedans est autre chose et se comprend.
free jazz Posté 27 février 2013 Signaler Posté 27 février 2013 Hugo n'est pas Chateaubriand, c'est évident (bien que c'était son but), mais conchier la Légende des siècles me paraitrait un peu exagéré. Gide connait des tensions évidentes, mais c'est bien ça qui le place en dehors de la réaction pure. Camus réac se défend dans la bouche de Sartre, mais sinon ça reste un peu cocasse à l'époque. Que les réacs d'aujourd'hui se reconnaissent dedans est autre chose et se comprend. Hugo fut ce qu'on appelle aujourd'hui un rebellocrate de service, pour ma part je me suis beaucoup ennuyé dans ses livres, sauf quelques poésies comme La fin de Satan. Par définition un réactionnaire pur ça n'existe pas, puisqu'il se situe en réaction contre quelque chose (même de Maistre, surtout Burke), le plus souvent contre les tendances constructivistes et égalitaires de la modernité inaugurée par la Révolution française. Il faudrait distinguer entre la réaction plaintive et complaisante d'indignation et la réaction active, qui oppose les valeurs aristocratiques à l'égalitarisme des foules, la transcendance au matérialisme, l'homme concret aux abstractions, la tradition au mythe du progrès. Camus était profondément anti-idéologue, ce qui l'a opposé aux rêveries sanguinaires de son époque et aux existentialistes, qui l'ont excommunié au nom de la fraternité internationale. Camus n'était pas existentialiste parce qu'il était anti-totalitaire et anti-révolutionnaire. Au commencement de sa pensée, il y a la chute et l'inscription du tragique au coeur de la nature humaine. Mais je dirais que ce qui fait de Camus un réactionnaire, c'est le renvoi dos-à-dos du socialisme et du libéralisme. Enfin pour revenir à mon propos de départ, tu pourras certainement trouver quelques exceptions, mais dans l'ensemble, les Balzac, Flaubert, Baudelaire, Lautréamont, Dostoïevski, Péguy, Paul Valery, Celine, Soljenitsyne, etc, appartiennent au monde philosophique de Nietzsche & Hobbes, pas à celui de Rousseau, Locke et Kant. Et même si je ne suis pas un connaisseur, les rares écrivains contemportains qui valent quelque chose, comme Muray ou Houellebecq, sont à situer dans cette tradition. n.b : il faudrait peut-être replacer cette discussion dans ton fil sur l'existentialisme.
Johnnieboy Posté 27 février 2013 Signaler Posté 27 février 2013 Hugo fut ce qu'on appelle aujourd'hui un rebellocrate de service, pour ma part je me suis beaucoup ennuyé dans ses livres, sauf quelques poésies comme La fin de Satan. Par définition un réactionnaire pur ça n'existe pas, puisqu'il se situe en réaction contre quelque chose (même de Maistre, surtout Burke), le plus souvent contre les tendances constructivistes et égalitaires de la modernité inaugurée par la Révolution française. Il faudrait distinguer entre la réaction plaintive et complaisante d'indignation et la réaction active, qui oppose les valeurs aristocratiques à l'égalitarisme des foules, la transcendance au matérialisme, l'homme concret aux abstractions, la tradition au mythe du progrès. Camus était profondément anti-idéologue, ce qui l'a opposé aux rêveries sanguinaires de son époque et aux existentialistes, qui l'ont excommunié au nom de la fraternité internationale. Camus n'était pas existentialiste parce qu'il était anti-totalitaire et anti-révolutionnaire. Au commencement de sa pensée, il y a la chute et l'inscription du tragique au coeur de la nature humaine. Mais je dirais que ce qui fait de Camus un réactionnaire, c'est le renvoi dos-à-dos du socialisme et du libéralisme. Enfin pour revenir à mon propos de départ, tu pourras certainement trouver quelques exceptions, mais dans l'ensemble, les Balzac, Flaubert, Baudelaire, Lautréamont, Dostoïevski, Péguy, Paul Valery, Celine, Soljenitsyne, etc, appartiennent au monde philosophique de Nietzsche & Hobbes, pas à celui de Rousseau, Locke et Kant. Et même si je ne suis pas un connaisseur, les rares écrivains contemportains qui valent quelque chose, comme Muray ou Houellebecq, sont à situer dans cette tradition. n.b : il faudrait peut-être replacer cette discussion dans ton fil sur l'existentialisme. J'ai l'impression qu'il suffit d'être un peu misanthrope pour finir dans ta liste d'écrivains réactionnaires. De plus, et je crois que Dardanus ne renierait pas ce que je m'apprête à écrire, il faut remettre les choses dans leur contexte historique. Être réactionnaire, c'est être dans la réaction. Il est donc important de savoir dans la réaction par rapport à quoi. Flaubert n'était pas particulièrement réactionnaire. Il n'aimait pas la démocratie mais certainement parce qu'il n'aimait pas trop les gens, non plus. Pour aller dans ton sens, on pourrait dire qu'il était pour un gouvernement d'aristocrates ; pour aller dans l'autre sens, de technocrates. Et puis, un écrivain réactionnaire qui finit au tribunal pour avoir écrit une oeuvre un peu trop osée... Dostoïevski est bien plus difficile à classer. Il était très progressiste sur certains points (contre la peine de mort, les travaux forcés, les châtiments corporels). Au final, ce qui le caractérise, c'est le refus de la violence politique. On pourrait donc dire qu'il était tout simplement conservateur. Concernant Céline, ce qui le caractérise le plus à mes yeux, c'est son pacifisme. Tout découle de là, même son antisémitisme hystérique. Sa misanthropie est en partie feinte. Il a passé toute sa vie à soigner des gens qui n'avaient pas un sou. Tu aurais aussi pu citer Barbey d'Aurevilly qui était à la fois réactionnaire mais dont les oeuvres étaient systématiquement jugées trop subversives pour l'époque. Ce dernier représente d'ailleurs assez bien la dualité que l'on peut trouver dans l'âme d'un écrivain. D'aucuns diront que Barbey d'Aurevilly ne croyait en Dieu que pour mieux croire au Diable. Sinon, dans les grands écrivains dits progressistes, on retrouve Tolstoï (adepte de l'esperanto, végétarien, anarcho-bouddhiste, contre le servage). Et pourtant, toute son oeuvre ne fait que glorifier le peuple, et surtout, l'aristocratie russes !
Yozz Posté 27 février 2013 Signaler Posté 27 février 2013 Remarque supplémentaire, tous les dandies français sont classés réactionnaires ici, et le dandysme appartient bien plus à l'individualisme qu'à la réaction. Et comme le souligne bien JohnnieBoy, misanthropie n'équivaut pas particulièrement à réaction. Nietzsche réactionnaire ça me parait aussi étrange d'ailleurs.
Yozz Posté 27 février 2013 Signaler Posté 27 février 2013 n.b : il faudrait peut-être replacer cette discussion dans ton fil sur l'existentialisme. J'ai lancé un fil réaction et littérature en philosophie et métaphysique (ouais bon, je ne savais pas trop où ça collerait le mieux) en reprenant nos posts ici, histoire de ne puls déborder dans ce fil-ci.
Chitah Posté 27 février 2013 Signaler Posté 27 février 2013 A force de tirer dans toutes les directions sans logique, la probabilité qu'on a de dire une fois un truc sensé s'élève. Comme un singe avec une machine à écrire.
Arturus Posté 1 mars 2013 Signaler Posté 1 mars 2013 Le Pentagone dramatise, oubliant quelques réalités Le lobbying à Washington est efficace : le Pentagone a propagé l'idée que les 43 milliards de dollars d'économies qui lui étaient imposés cette année menaçaient la sécurité du pays et son rayonnement dans le monde. Dans les faits, pourtant, le budget du Pentagone ne baissera pas. Il augmentera simplement moins vite que les parlementaires l'espéraient en votant une progression de 18 % au cours de la prochaine décennie. http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0202608148588-le-pentagone-dramatise-oubliant-quelques-realites-543292.php Et oui, une augmentation moins rapide n'est pas une réduction.
Arturus Posté 1 mars 2013 Signaler Posté 1 mars 2013 En quoi M. Taylor a-t-il tort ? ParFrançois Dupuy, sociologue des organisations. Certes, le patron de Titan ne s'est pas exprimé selon les canons de la bienséance française. En son temps, Michel Crozier avait mis en évidence deux des traits culturels dominants en France : l'évitement et la peur du face-à-face. Aussi une telle charge ne peut que choquer. Pour autant, M. Taylor ne dit-il que des absurdités ? Non. Il aborde deux questions qui méritent discussion. La première est celle du « sous-travail ». Je ne me prononcerai pas sur ce site industriel de Goodyear, que je ne connais pas, mais, plus globalement, il faut admettre qu'il s'agit d'un vrai sujet qui constitue un des tabous de notre société. Il n'existe pas de définition précise de ce « sous-travail » que l'on rencontre aussi bien dans le secteur privé que dans le secteur public. Disons que lorsque le temps de travail effectif tombe en dessous de 60 % du temps de travail théorique, on est en situation de sous-travail. Les entreprises le savent, le mesurent, comme elles mesurent le différentiel de productivité entre les titulaires (ceux qui sont en CDI) et les auxiliaires et intérimaires de toute sorte. Mais elles n'en parlent pas et participent par prudence et en toute conscience à l'omerta sur cette question. Pourquoi ? Sans doute parce que le phénomène s'est développé en un temps où les entreprises concernées plaçaient la nécessité de la paix sociale au-dessus de toute autre considération. Dit brutalement, le sous-travail n'illustre pas la prétendue paresse des salariés, il procède directement de la conséquence de choix managériaux. Ce n'est pas « salariés fainéants », c'est « management absent ». Aujourd'hui, les entreprises où sévit le sous-travail regrettent le laxisme d'hier et parfois se délocalisent non pas pour trouver du « travail moins cher » mais « du travail tout court ». Ce faisant, elles n'assument pas leur part de responsabilité dans cette situation, que par ailleurs elles regrettent, et justifient à leur façon les insultes de M. Taylor. La seconde question est celle du rôle du syndicat dans la conduite d'un conflit social. L'interprétation de son comportement en termes de « folie » relève plus de la crise de nerfs que d'une analyse sérieuse. Un syndicat n'est pas « fou » : il a une stratégie rationnelle, comme tout acteur de la vie collective. Qu'on l'approuve ou pas, il est impératif de la comprendre pour y réagir selon ses choix. Pour ceux qui considèrent que le capitalisme libéral est à l'agonie, les menaces qui pèsent sur l'emploi sur un site donné ne sont pas un problème ; elles représentent au contraire une bonne ressource pour mener une action dont l'enjeu dépasse largement le cadre ponctuel de la bataille. Contribuer à sauver ces emplois, c'est fournir à ce capitalisme honni une porte de sortie, un répit, une aide à la survie en quelque sorte. Pratiquer ce que beaucoup vont considérer comme une « politique du pire », c'est au contraire pousser le « système » vers sa fin et donc, dans cette logique, faire oeuvre utile. Certes, dans un pays qui souffre de façon endémique d'un taux de chômage élevé, tout cela est indicible et même inacceptable pour la quasi-totalité de la population. Il n'en demeure pas moins que c'est une réalité : elle rythme la gestion de nombreux conflits sociaux qui affectent ce pays et dont la plupart sont aujourd'hui liés à la sauvegarde de l'emploi. C'est de « stratégie mortifère » dont on pourrait parler et certainement pas de folie. M. Taylor, vous avez eu tort. Non pas d'aborder les thèmes que vous avez abordés. Mais de le faire d'une façon à ce point contestable sur la forme que vous avez permis à ceux que vous souhaitiez combattre de choisir le terrain de l'affrontement. Ils vous reprochent vos insultes et je m'y associe tant elles nous ont fait perdre une des rares opportunités de parler de la réalité. http://www.lesechos.fr/opinions/points_vue/0202584270606-en-quoi-m-taylor-a-t-il-tort-542026.php
Arturus Posté 1 mars 2013 Signaler Posté 1 mars 2013 La petite (et ancienne) blague de Beppe Grillo : Beppe GrilloCe Génois-là est un gêneur qui, plus que jamais, porte bien son nom d'« ancien comique ». Depuis que ses « Grillini » sont devenus le premier parti d'Italie avec 25 % des sièges à la Chambre, Beppe Grillo n'amuse plus du tout les Européens, persuadés jusqu'ici que les Italiens ne verraient rien d'autre dans son Mouvement 5 étoiles que le Parti d'en rire. Cochon en deçà des Alpes, cochonnerie au-delà. A Paris, une émule au petit pied de Sade se penche sur la vie des cochons. En Italie, la loi électorale montre qu'elle mérite bien le qualificatif de « cochonnerie » décerné par son concepteur, l'ex-ministre des Réformes de Berlusconi. Ainsi, la campagne hystérique, le « Tsunami tour » de Giuseppe Piero Grillo, 64 ans, s'est-elle terminée sur un raz de marée. Mais, si le blogueur raffiné qui organisa en 2007 un V-Day pour « Vaffanculo » ne siégera pas parmi les nouveaux élus, c'est que son casier judiciaire est moins immaculé que son écharpe blanche, un accident de voiture l'ayant fait condamner pour homicide involontaire. Le bateleur, diplômé de comptabilité, devenu vedette de théâtre et de télévision, avait découvert son talent comique au hasard d'une audition. Le futur politicien, éjecté en 1986 de la télé par Bettino Craxi après une blague sur la Chine ( « S'ils sont tous socialistes, alors qui volent-ils ? ») a découvert son pouvoir d'entraînement grâce au blog le plus consulté d'Italie. Le barbu colérique ne veut plus de l'euro, traite Israël de « dictature militaire qui prépare la Troisième Guerre mondiale » et Mario Monti de « Rigor Montis ». Son slogan ? « Sortez-les tous », bien sûr. Lui vient juste d'entrer, hélas. http://www.lesechos.fr/opinions/envue/0202591965266-beppe-grillo-542446.php De plus, "a découvert son pouvoir d'entraînement grâce au blog le plus consulté d'Italie".Cela pourrait donner des idées à un certain blogueur à masque à gaz.
poney Posté 2 mars 2013 Signaler Posté 2 mars 2013 Quand un sociologue dit des choses intelligentes, c'est tout de suite très intéressant.
NicolasB Posté 2 mars 2013 Signaler Posté 2 mars 2013 La petite (et ancienne) blague de Beppe Grillo : De plus, "a découvert son pouvoir d'entraînement grâce au blog le plus consulté d'Italie". Cela pourrait donner des idées à un certain blogueur à masque à gaz. +10000 h16 président!
poney Posté 3 mars 2013 Signaler Posté 3 mars 2013 Le Point reprend le style de H16 27 février 1848. L'arme antichômage absolue : les Ateliers nationaux. François, prends-en de la graine... Le Point.fr - Publié le 26/02/2013 à 23:59 - Modifié le 27/02/2013 à 15:15 Tout chômeur parisien peut trouver du travail dans les Ateliers nationaux. Zut, l'expérience s'achève dans un bain de sang... http://www.lepoint.fr/c-est-arrive-aujourd-hui/27-fevrier-1848-l-arme-anti-chomage-absolue-les-ateliers-nationaux-francois-prends-en-de-la-graine-26-02-2013-1633284_494.php
free jazz Posté 4 mars 2013 Signaler Posté 4 mars 2013 "Quand la proportion des colériques, des alcooliques, des joueurs, des envieux, des politiciens, des vindicatifs, dépasse un certain degré, le lien social se relâche et se brise." (Gabriel Tarde)
Tremendo Posté 8 mars 2013 Signaler Posté 8 mars 2013 "Chaque socialiste est un dictateur camouflé." Mises
pankkake Posté 9 mars 2013 Signaler Posté 9 mars 2013 Est-il temps d'oublier le mot «féminisme»? http://www.slate.fr/story/69225/est-il-temps-oublier-le-mot-feminisme La semaine dernière, je m’étais moquée de Marissa Meyer, PDG de Yahoo!, pour avoir déclaré dans le documentaire de PBS, Makers, sur le mouvement d'émancipation des femmes aux États-Unis, qu'elle ne se définissait pas comme féministe. Pour Mayer, les féministes sont trop «militantes» et «querelleuses» –un portrait qui me semblait assez grossier. Mais quelques jours plus tard, j'ai commencé à voir les choses autrement.
JulesVil Posté 11 mars 2013 Signaler Posté 11 mars 2013 Ivan Rioufol semble savoir ce qu'est réellement le libéralisme, il en fait la promotion sur RTL et dénonce l'Etat providence. http://www.rtl.fr/emission/on-refait-le-monde/ecouter/on-refait-le-monde-du-08-mars-2013-7759270635 (à partir de 22min)
pankkake Posté 11 mars 2013 Signaler Posté 11 mars 2013 Critique de l'Éducation Nationale dans… l'Humanité. http://www.humanite.fr/education/tribune-la-gauche-et-leducation-par-jean-robelin-517062
Noob Posté 11 mars 2013 Signaler Posté 11 mars 2013 J'aime bien comme cette éducation est décrite comme libérale dans les commentaires. Vraiment dafuq quoi. Les gens pleurnichent de voir les ps fdg et pcf plongé dans le bain à pédagogol et critique une éducation libérale. La simple possibilité qu'il y ait un rapprochement entre leur idéologie et le bordel actuel promus par la gauche ne les effleure même pas. Franchement faut pas chercher d'où vient le problème en France, ces guignols ont le cerveau rincé.
poney Posté 12 mars 2013 Signaler Posté 12 mars 2013 Critique de l'Éducation Nationale dans… l'Humanité. http://www.humanite.fr/education/tribune-la-gauche-et-leducation-par-jean-robelin-517062 "L'éducation, l'instruction c'est cette énorme machine à introduire de la différenciation et de la discrimination entre les humains. L'époque, ou plutôt, l'économie libérale voulant une égalité parfaite entre les membres du troupeau humain on comprend pourquoi l' école est devenue une bergerie ou plutôt une étable ("l'élève" désigne à l'origine le petit de la vache, le veau): tous doivent avoir non seulement les mêmes droits mais les mêmes aptitudes: celle de se vautrer dans l'ignorance." MAIS PUTAING CONG !!
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