h16 Posté 28 juin 2012 Signaler Posté 28 juin 2012 Je suis vraiment désolé du retard à répondre à tous vos commentaires. Nous avons été débordé par le lancement… Retard, là, c'est de l'understatement majeur. 2 mois plus tard … Pour H16 : Vous pouvez tout à fait aller vous opposer à cette proposition sur le site. C'est le but. Personnellement, je ne la soutient pas, par exemple. Bof. Je n'ai qu'une vie. C'est dommage de ne pas avoir plus de réactions et de propositions constructives (ici et sur Démocratie Durable) que les libéraux, dans leur diversité, proposent pour répondre aux défis écologiques - à moins de les nier. Voilà. Le réchauffement climatique, c'est comme la démocratie durable, c'est rigolo de loin mais ça a toutes les caractéristiques de l'enfumage de pigeon.
Lancelot Posté 28 juin 2012 Signaler Posté 28 juin 2012 Ou alors pensez-vous que les ressources de la nature sont illimitées et ne sont pas un sujet d'économie (mais Say a vécu il y a bien longtemps, il aurait un autre avis aujourd'hui !) ? Et/ou que le marché saura réguler et informer les acteurs à temps (sans effet de seuil, ni point de non retour, ni asymétrie d'information) pour qu'ils modifient leurs comportements dans les meilleures conditions économiques possibles ? Pourquoi nous ne serons jamais à cours de pétrole.
Rincevent Posté 28 juin 2012 Signaler Posté 28 juin 2012 Je pense qu'à la lecture de Mill, Marshall, Meade, Pigou, Coase ou Dales, quelques idées viendront bien ! Ou alors pensez-vous que les ressources de la nature sont illimitées et ne sont pas un sujet d'économie (mais Say a vécu il y a bien longtemps, il aurait un autre avis aujourd'hui !) ? Ce n'est pas du tout, mais pas du tout, ce que dit Say, qui sait que l'économie est la science de l'affrontement des besoins illimités face à des ressources limitées. En conséquence, il n'aurait sans doute pas changé son avis. Et/ou que le marché saura réguler et informer les acteurs à temps (sans effet de seuil, ni point de non retour, ni asymétrie d'information) pour qu'ils modifient leurs comportements dans les meilleures conditions économiques possibles ? A la limite, on s'en fout. Est-ce que quoi que ce soit d'autre que le marché est susceptible de faire mieux ? J'en doute fort.
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