Nihiliste frustré Posté 18 septembre 2014 Signaler Posté 18 septembre 2014 Entre les sociologues, les philosophes, les profs et les journalistes, qui sont les plus nuisibles ? Vous avez 2 secondes.
free jazz Posté 18 septembre 2014 Signaler Posté 18 septembre 2014 Si ce n'est pas un fake de la droitosphère, il y a des paires de baffes qui se perdent: "Il est impératif que la phase de découverte ait lieu en classe et que les albums ne soient pas empruntés pour être emmenés à la maison. Les réactions très négatives de certains adultes pourraient compromettre son exploitation"Intéressant... édit : non, après vérification, ce n'est pas un fake. http://www.directmatin.fr/france/2014-09-16/que-font-les-petits-garcons-lacademie-de-nantes-embarrassee-691391
Fagotto Posté 18 septembre 2014 Signaler Posté 18 septembre 2014 Relevons un peu le niveau: Il faut deconstruire l'heterosexisme. http://www.liberation.fr/societe/2011/06/23/il-faut-deconstruire-l-heterosexisme_744593
Brock Posté 18 septembre 2014 Signaler Posté 18 septembre 2014 quelle merde eprouvante.Ces gens sont vraiment des plaies.
NoName Posté 18 septembre 2014 Signaler Posté 18 septembre 2014 Ouf, J'ai cru à une discussion sérieuse sur liborg.
condorcet Posté 18 septembre 2014 Signaler Posté 18 septembre 2014 Si ce n'est pas un fake de la droitosphère, il y a des paires de baffes qui se perdent: "Il est impératif que la phase de découverte ait lieu en classe et que les albums ne soient pas empruntés pour être emmenés à la maison. Les réactions très négatives de certains adultes pourraient compromettre son exploitation" Intéressant... édit : non, après vérification, ce n'est pas un fake. http://www.directmatin.fr/france/2014-09-16/que-font-les-petits-garcons-lacademie-de-nantes-embarrassee-691391 Pourquoi alors que ce livre est proposé dans les parcours scolaires depuis 10 ans en France et quasiment 15 ans en Allemagne , la polémique apparait maintenant ?
free jazz Posté 19 septembre 2014 Signaler Posté 19 septembre 2014 Pourquoi alors que ce livre est proposé dans les parcours scolaires depuis 10 ans en France et quasiment 15 ans en Allemagne , la polémique apparait maintenant ? Evidemment, comme je l'ai indiqué ce n'est pas le livre qui est scandaleux - certains le sont peut-être dans le cursus des ABC -, mais en l’occurrence, la circulaire de l'académie qui recommande de cacher sa lecture aux parents.
Ataraxie Posté 19 septembre 2014 Signaler Posté 19 septembre 2014 Je ne comprends pas vos débats sur les sciences sociales (tout particulièrement la sociologie). Ils me semblent fort scolaires. En réalité, dans le contexte français, il n'existe plus de durkheimiens depuis plus d'une cinquantaine d'années. Si l'on continue de citer Durkheim, on conserve moins l'aspect scientifique qu'idéologique de son oeuvre : la valorisation de la solidarité, l'intégration, le vocabulaire scientiste, la distinction forcée et idéologique entre la psychologie et la sociologie, etc. D'ailleurs, concernant Le suicide (grande oeuvre par ailleurs) il faut savoir qu'il avait déjà en tête la conclusion avant même de commencer la rédaction et la "démonstration" de son livre. Pour ce qui est de Max Weber, quelqu'un peut-il me citer son équivalent dans le contexte français en sociologie ? Bonne chance. Il faut appeler un chat un chat : la sociologie existe bien comme discipline, mais la majorité des chercheurs se contrefichent de la science (ça consiste surtout en des causeries sur la science). Seulement, il faut parler le langage de la science pour complaire à la population et justifier cette discipline ; c'est un vernis scientifique nécessaire à notre époque (en fait, rien de nouveau sous le soleil depuis le XIXème siècle). Ceux qui veulent réellement constituer la sociologie en tant que science sont, au mieux, ignorés (c'est-à-dire qu'ils ne sont pas lus), au pire, méprisés, car ils sont qualifiés, à tort ou à raison, de droitiers. Pour se convaincre que l'aspect scientifique n'a que peu d'importance, il suffit de comparer, l'année dernière, l'hommage rendu à Robert Castel, en comparaison de Boudon et Crozier (tous les trois décédés en 2013). Mais je répète qu'il est tout à fait saugrenu de définir ce qu'est une discipline par une minorité et non une majorité de chercheurs.
poney Posté 19 septembre 2014 Signaler Posté 19 septembre 2014 Je parle sous le contrôle de poney [...] Ça serait vrai s'il y avait "une" épistémologie en sciences sociales. Or il y en a plusieurs, qui souvent se chevauchent. FJ aime bien citer Durkheim mais Durkheim à fait son temps et les durkheimiens "purs et durs" se comptent sur les doigts d'une main, même si on peut retrouver du Dukheim chez beaucoup de chercheurs (je ne me considère pas comme durkheimien mais mon approche du rite est a peu près la même que lui). Tu as raisons sur le fait qu''il y a une tension entre deux points généralement acceptés : les sciences sociales ne sont pas normatives, mais être chercheur en sciences sociales sans s'engager est impossible (d'une manière ou d'une autre, tout chercheur prend partie). Un travail peut-être engagé et scientifique, ce n'est pas antinomique, tout dépend de comment il est fait. Présentation de données, saturation des informations, revue de la littérature complète, pas de montée en généralité abusive ou de sur-interprétation des données flagrantes, ...
sans Posté 20 septembre 2014 Signaler Posté 20 septembre 2014 Ses exemples sont pourris, mais le fond est sensé.
Lancelot Posté 20 septembre 2014 Signaler Posté 20 septembre 2014 En fait elle a techniquement raison, mais elle fait l'erreur de reprendre les éléments de langage des féministes qui sont précisément conçus pour ridiculiser ce type d'opinion.
free jazz Posté 21 octobre 2014 Signaler Posté 21 octobre 2014 Le Haut conseil à l'égalité rendait ce 20 octobre son rapport sur la lutte contre les stéréotypes sexistes. Il préconise de conditionner le versement de 4 milliards de dotation aux bonnes pratiques des destinataires de cet argent public. Et si l'Etat frappait médias et communicants au portefeuille pour favoriser la parité? La proposition choc du Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes (HCEfh) va dans ce sens. L'instance remettait ce 20 octobre son rapport sur la lutte contre les stéréotypes de sexe à la ministre de la Santé, Marisol Touraine. Elle y propose de conditionner l'octroi d'argent public à l'adoption de bonnes pratiques. Plus précisément, le HCEfh y préconise de suspendre les 4 milliards d'argent public que touchent normalement médias, éditeurs de manuels scolaires et communicants institutionnels à leur lutte contre les clichés sexistes. Les femmes comme objets de désir, passives Le Haut conseil estime en effet qu'à la télé, à la radio, dans les livres scolaires ou dans la communication institutionnelle, "des représentations stéréotypées des femmes et des hommes subsistent". Notamment "un enfermement des femmes dans certains rôles et situations dévalorisées et dévalorisantes: objets de désir, passives, expertes du foyer, en position professionnelle subalterne, etc." Or ces stéréotypes empêchent, selon l'institution, une lutte efficace pour l'égalité réelle entre les sexes.. Pour y remédier, le conseil formule plus d'une trentaine de recommandations, dont la subordination de "tout ou partie des financements publics transférés à un tiers au respect de l’égalité femmes-hommes et à la lutte contre les stéréotypes de sexe". Parmi les dotations visées, le Haut conseil cite la contribution à l'audiovisuel public, dont le montant total atteint 3 milliards d'euros, le marché de la communication institutionnelle, pour 880 millions d'euros, et le marché des manuels scolaires, pour 281 millions d'euros. Soit 4,2 milliards d'euros au total. http://bfmbusiness.bfmtv.com/france/egalite-hommes-femmes-bientot-4-milliards-d-argent-public-en-jeu-841465.html Pour que l'argent public ne nourrisse pas le sexisme « ni les représentations stéréotypées », le Haut Conseil à l'égalité préconise de conditionner les subventions à des règles de bonne conduite dans un rapport remis le lundi 20 octobre à la ministre des Affaires sociales, de la Santé et du Droits des femmes, Marisol Touraine, ainsi qu'à la secrétaire d'État chargée des Droits des femmes, Pascale Boistard. Dans ce document, commandé en février 2013, sur les possibles outils pour lutter contre les stéréotypes dans les médias, l'éducation et la communication institutionnelle, les auteurs entendent lier les financements publics au respect des obligations légales en matière d'égalité professionnelle, de parité et de représentation équilibrée entre les sexes dans les instances dirigeantes. Autrement dit, les organisations ou associations où les femmes sont secrétaires et les hommes patrons, devront évoluer si elles veulent obtenir des sous de la part de l'État. http://madame.lefigaro.fr/societe/si-medias-restent-sexistes-ils-pourraient-perdre-subventions-201014-985826
Corned beef Posté 21 octobre 2014 Signaler Posté 21 octobre 2014 Notamment "un enfermement des femmes dans certains rôles et situations dévalorisées et dévalorisantes: objets de désir, passives, expertes du foyer, en position professionnelle subalterne, etc." Et c'est la gauche qui fait des procès en mépris de classe...
free jazz Posté 21 octobre 2014 Signaler Posté 21 octobre 2014 Stéréotypes omniprésents Les manuels scolaires sont truffés de messages subliminaux présentant comme une évidence le fait que papa travaille tandis que maman s’occupe de la maison, 5 % seulement des personnages cités dans les livres d’Histoire sont des femmes et, en général des saintes ou des femmes cruelles. Les fonds publics doivent-ils alimenter des livres qui proposent de tels modèles ? Le HCEfh dit non. La communication des institutions publiques propage aussi parfois des messages sexistes. Le rapport montre par exemple une pleine page de publicité figurant au dos du magazine d’un Conseil Général pour promouvoir une rationalisation des déchets : corps découpé et sexualisé d’une femme, et mis dans un sac poubelle. Le marché de la communication institutionnelle est estimé à 880 000 euros par an. Une communication financée à 100 % par des fonds publics. Autres puissants propagateurs de stéréotypes : les médias d’information et de divertissement. Les femmes occupent moins du tiers du temps de parole à la télévision et moins d’un cinquième des experts invités à faire partager leur savoir et leurs opinions. Et pourtant, le financement du service public de l’audiovisuel représente 3 milliards d’euros. (Voir notre Dossier - Cherche femmes à l'antenne) Liberté d’expression de qui ? « Liberté d’expression » plaident en général ceux à qui on demande de faire reculer les stéréotypes dans les médias d’information. Mais liberté d’expression de qui ? De ceux qui ont les moyens de s’exprimer dans des médias puissants. De ceux qui détiennent les cordons de la bourse. Créer un média puissant a un coût, la liberté d’expression a un coût. Or tous les médias, qu’ils soient de service public ou non, bénéficient de fonds publics. Et les fonds sont attribués par une commission constituée d’un aréopage de représentants de patrons de presse bien installés, dont la priorité n’est pas la lutte contre les stéréotypes de sexe. Sera-t-il possible d’ajouter aux critères auxquels ils doivent se conformer pour attribuer ces fonds un critère d’équilibre hommes-femmes dans le contenu de l’info ? Pas d’égalité, pas de fonds publics ? Une fois posé le principe, reste à le mettre en application. Pas simple. Il faut délimiter les stéréotypes et identifier les financements publics sur lesquels il est possible d’agir. Les membres de la commission du HCEfh, dans le volumineux rapport que nous remettons aux ministres ce jour, ont réalisé un remarquable travail de recherche pour guider les politiques publiques sur le principe: pas d’égalité femmes/hommes, pas de subvention. Les ministres ont promis de s’en emparer. Pascale Boistard s’est engagée à aller au-delà du constat pour agir. Et Marisol Touraine veut que l’« éga-conditionnalité » fasse partie de la politique au même titre que l’« éco-conditionnalité ». http://www.lesnouvellesnews.fr/index.php/civilisation-articles-section/civilisation/3969-stereotypes-la-piste-financements-publics
Fenster Posté 21 octobre 2014 Signaler Posté 21 octobre 2014 Les manuels scolaires sont truffés de messages subliminaux Saloperies d'illuminatis!!!
Brock Posté 21 octobre 2014 Signaler Posté 21 octobre 2014 au meme moment dans le meme pays on jette des cocktails molotov sur des ecoles pour le fun et ca ne fait pas les gros titre parce que...c'est habituel.
NoName Posté 22 octobre 2014 Signaler Posté 22 octobre 2014 au meme moment dans le meme pays on jette des cocktails molotov sur des ecoles pour le fun et ca ne fait pas les gros titre parce que...c'est habituel. ???
Adrian Posté 22 octobre 2014 Signaler Posté 22 octobre 2014 Pas de cocktail molotov mais juste wtf http://www.francebleu.fr/infos/ecole/radioscopie-d-une-semaine-de-violences-l-ecole-en-seine-saint-denis-1842314
h16 Posté 23 octobre 2014 Signaler Posté 23 octobre 2014 ???C'était pas des cocktails molotov mais une voiture bélier incendiée sur une école. Business as usual, do not panic, etc...
Brock Posté 8 novembre 2014 Signaler Posté 8 novembre 2014 surtout ne pas en finir avec la fabrique de vent en revanche
Lancelot Posté 9 novembre 2014 Signaler Posté 9 novembre 2014 Il faut la remplacer par une fabrique de drones asexués et citoyens. Rien de plus normatif qu'un émancipationniste.
FabriceM Posté 24 novembre 2014 Signaler Posté 24 novembre 2014 http://www.enquete-debat.fr/archives/declaration-totalitaire-dune-programmatrice-de-france-culture-66226 Sur France Culture, une collaboratrice de la radio appelle à envoyer les journalistes en camp de travail pour les "remettre à niveau" sur les questions de genre.
Brock Posté 24 novembre 2014 Signaler Posté 24 novembre 2014 envoyer les journalistes en camp de travail mais c'est au contraire une tres bonne idee ! Ne serait-ce que pour leur faire decouvrir le sens du mot travail
Orval Posté 24 novembre 2014 Signaler Posté 24 novembre 2014 mais c'est au contraire une tres bonne idee ! Ne serait-ce que pour leur faire decouvrir le sens du mot travail Enfin, camp de travail c'est l'euphémisme pour séminaire petit four payé par nos impôt.
Gio Posté 17 janvier 2015 Signaler Posté 17 janvier 2015 Le Lego de cette petite fille défie les stéréotypes de genre
Jesrad Posté 17 janvier 2015 Signaler Posté 17 janvier 2015 C'est pratique le stéréotype de genre. Quand tu en trouves, ça prouve que les femmes en sont victimes, quand il est absent c'est une victoire sur le patriarcat. Pile je gagne, face tu perds.
Atika Posté 19 janvier 2015 Signaler Posté 19 janvier 2015 Bordel les féministes hystériques sont tellement connes, elle me feraient presque aimer des Zemmour ou des Soral "La non-mixité des activités est particulièrement favorable aux garçons qui bénéficient de près de 75% des budgets publics destinés aux loisirs des jeunes ! " Ah non merde faudrait savoir, je croyais que les terrains de foot, le basket, le sport en général c'était une activité complètement et parfaitement unisexe, même qu'une petite fille peut jouer au camion. Donc c'est destiné à tout le monde.
Anton_K Posté 19 janvier 2015 Signaler Posté 19 janvier 2015 C'est comme l'histoire du légo, pile je gagne, face tu perds.Il faut arrêter de débattre avec ces féministes, qui n'ont tout simplement pas les moyens logiques et argumentatifs de leurs revendications.
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant