FabriceM Posté 20 mai 2014 Signaler Posté 20 mai 2014 Lol. Ton gugusse en tient une sacrée couche. Remarque, un raisonnement très courant dont je ne m'explique pas la longévité étant donné sa bêtise crasse, c'est qu'on devrait être heureux d'avoir la retraite par répartition, et que les anciens "cotisants" soient généreusement arrosés, parce que ça fait tourner le commerce et ça remplit les caisses de l'Etat.
Invité Posté 20 mai 2014 Signaler Posté 20 mai 2014 Le PIB ne donne aucune indication sur la richesse. C'est de la merde.
Tramp Posté 20 mai 2014 Signaler Posté 20 mai 2014 Un arrangement oral est un co Considéré, par qui ? par toi ? par la police municipale ? par le juge d'instruction ? Tu parles d'un contrat en bonne et due forme ou d'un arrangement oral ? Un arrangement oral est un contrat en bonne et due forme.
Gio Posté 20 mai 2014 Signaler Posté 20 mai 2014 L'argent n'est pas créé par le travail, ni l'impôt, mais par les entreprises financières. Et c'est exactement là que l'Etat, en s'interdisant d'emprunter auprès de sa banque centrale a provoqué l'apparition de sa fameuse dette… Parce que le secteur privé vend son argent plus cher.
Fagotto Posté 20 mai 2014 Signaler Posté 20 mai 2014 Les élections Européennes c'est le grand retour des excités de la planche a billets.
Elphyr Posté 20 mai 2014 Signaler Posté 20 mai 2014 L'argent n'est pas créé par le travail, ni l'impôt, mais par les entreprises financières. Et c'est exactement là que l'Etat, en s'interdisant d'emprunter auprès de sa banque centrale a provoqué l'apparition de sa fameuse dette… Parce que le secteur privé vend son argent plus cher. Méchant argent. L'argent public, l'argent privé, l'argent financier, l'argent agricole, l'argent blanc, l'argent noir, l'argent argenté, l'argent comptant et l'argent 007... Tu trouves ça sur senscritique ?
Gio Posté 20 mai 2014 Signaler Posté 20 mai 2014 Comment tu as deviné ? http://www.senscritique.com/activity/42253683
ph11 Posté 20 mai 2014 Signaler Posté 20 mai 2014 L'argent n'est pas créé par le travail, ni l'impôt, mais par les entreprises financières. Et c'est exactement là que l'Etat, en s'interdisant d'emprunter auprès de sa banque centrale a provoqué l'apparition de sa fameuse dette… Parce que le secteur privé vend son argent plus cher. J'adore l'utilisation du mot « secteur privé ». Comme si on avait à faire à un ennemi de la société… Ils ont tellement l'air certain que « l'État, c'est nous »…
NoName Posté 20 mai 2014 Signaler Posté 20 mai 2014 Je lui ai répondu. Ça vaut ce que ça vaut, mais bon.
DiabloSwing Posté 21 mai 2014 Signaler Posté 21 mai 2014 C'est plus le prince via sa BC pseudo-indépendante qui bat monnaie ?
sans Posté 21 mai 2014 Signaler Posté 21 mai 2014 Il y est courant de confisquer le passeport d'immigrés ce qui est assez ignoble. J'aimerais des précisions sur cette affaire. Est-ce qu'avant d'entrer on les prévient qu'ils n'auront pas le droit de récupérer leur passeport avant un certain temps ; ou bien est-ce qu'on les laisse entrer tranquille pour leur piquer leur passeport juste après sans même les avoir prévenu ? Et pour parler de la france, la 5ème République est presque une monarchie. Les caractéristiques du régime (semi-)présidentiel français sont uniques au monde, et objectivement très dangereuses. Par l'absence de contre-pouvoir, oui. Et l'absence de contre-pouvoir est tout ce qu'il y a de plus démocratique, c'est du point de vue libéral que ça pose problème (Libéral comme dans l'expression "démocratie libérale")
Gio Posté 21 mai 2014 Signaler Posté 21 mai 2014 La dette de l'état n'a pas augmenté depuis les années 80 à cause de ses dépenses mais à cause de l'effritement de ses recettes. Entre 1982 et 2010 les dépenses de l'Etat ont peu varié: 25% du PIB en 82, 24% du PIB en 2010, alors que la dette, elle, explosait de 25% du PIB à 90%… Si l'Etat s'endette c'est avant tout à cause de la chute de ses RECETTES fiscales. Et cette chute d'où vient-elle ? De trente ans de politique néo-libérale:
Hayek's plosive Posté 21 mai 2014 Signaler Posté 21 mai 2014 24% du PIB en 2010? Il le sort d'ou, son chiffre??
FabriceM Posté 21 mai 2014 Signaler Posté 21 mai 2014 24% du PIB en 2010? Il le sort d'ou, son chiffre?? Ca doit être hors Sécu/Retraites & Co
Adrian Posté 21 mai 2014 Signaler Posté 21 mai 2014 Ça montre bien qu'il y a des larges économies possibles sur la Sécu.
ph11 Posté 21 mai 2014 Signaler Posté 21 mai 2014 24% du PIB en 2010? Il le sort d'ou, son chiffre?? En plus, il voit les dépenses en % du PIB et pas les dépenses en chiffres absolus…
Philiber Té Posté 21 mai 2014 Signaler Posté 21 mai 2014 La dette de l'état n'a pas augmenté depuis les années 80 à cause de ses dépenses mais à cause de l'effritement de ses recettes. Entre 1982 et 2010 les dépenses de l'Etat ont peu varié: 25% du PIB en 82, 24% du PIB en 2010, alors que la dette, elle, explosait de 25% du PIB à 90%… Si l'Etat s'endette c'est avant tout à cause de la chute de ses RECETTES fiscales. Et cette chute d'où vient-elle ? De trente ans de politique néo-libérale: Besancenot vient de sortir la même chose sur itélé... :-°
Gio Posté 22 mai 2014 Signaler Posté 22 mai 2014 Ce qui implique qu'il y a 30 ans, les impôts étaient plus lourds qu'aujourd'hui. Est-ce le cas ? Quelqu'un a des chiffres ?
Jesrad Posté 22 mai 2014 Signaler Posté 22 mai 2014 Qu'est-ce que tu t'embête avec ces âneries ? Le déficit se creuse parce que les dépenses publiques ont augmenté encore plus vite que les recettes fiscales, qui ont toutes augmenté plus vite que l'économie elle-même (surtout si tu exclus l'état et comptes seulement le secteur privé sans le parapublic). Source Les Echos et The Economist. De tous les pays de l'OCDE seul l'état français a continué à ponctionner toujours plus et dépenser encore plus, et en conséquence s'est creusé un déficit constant. Note que d'autres pays se tapent des déficits plus graves (Irlande, Grèce, Espagne et depuis peu Japon...).
Elphyr Posté 22 mai 2014 Signaler Posté 22 mai 2014 Il dit que c'est les chiffres de l'INSEE.Montrez-nous les chiffres !
h16 Posté 22 mai 2014 Signaler Posté 22 mai 2014 Le tour de passe-passe, c'est de comparer des choux et des carottes. La dette rapportée au PIB, c'est absurde et ça l'a toujours été. Les dépenses de l'état rapportées au PIB, c'est aussi con. Il ne viendrait à l'idée de personne de comparer l'endettement ou les dépenses d'une entreprise face à la somme des CA de cette entreprise, de ses fournisseurs et de ses clients. Et surtout, les déficits annuels expliquent très bien la totalité de la dette, déficits qui ont été tous assumés avant même de connaître les dépenses et les rentrées fiscales.
Hayek's plosive Posté 22 mai 2014 Signaler Posté 22 mai 2014 "It was my childhood dream to have a tax named after me." Warren Buffett.
Gio Posté 22 mai 2014 Signaler Posté 22 mai 2014 Montrez-nous les chiffres ! Soyons maintenant concrets: La dette de l'état n'a pas augmenté depuis les années 80 à cause de ses dépenses mais à cause de l'effritement de ses recettes. Entre 1982 et 2010 les dépenses de l'Etat ont peu varié: 25% du PIB en 82, 24% du PIB en 2010, alors que la dette, elle, explosait de 25% du PIB à 90%… Si l'Etat s'endette c'est avant tout à cause de la chute de ses RECETTES fiscales. Et cette chute d'où vient-elle ? De trente ans de politique néo-libérale: -Austérité salariale et budgétaire qui ont entrainé des phases récessives de plus en plus profondes. Avec des pics à chaque début de décennie: 1980, 1990, 2000, puis la grande récession de 2007 (qui je vous le rappelle est entièrement due à l'incurie du marcher financier internationalisé et dérégulé à la sauce libérale) Eh oui les chômeurs ont tendance à payer moins d'impôts… C'est bête tout de même ! A moins que ce ne soit simplement juste… vous savez la solidarité tout ça... -l'explosion du déficit à partir de 2007 a aussi été accélérée par les cadeaux fiscaux offerts aux riches. (baisse du taux d'imposition sur le revenu, baisse de l'ISF, bouclier fiscal, etc…) -la politique monétaire: les taux d'intérêts étaient auparavant largement administrés. Avec le tournant libéral, la dette a été financiarisée. Durant lesTrentes glorieuses, le taux d'intérêt réel (taux nominal moins inflation) sur les emprunts d'Etat était systématiquement inférieur au taux de croissance, contribuant à dégonfler le poids de la dette. Depuis le début des années 80 il n'a quasiment jamais cessé d'être supérieur à la croissance. Effet boule de neige… Merci la banque privée. Merci l'Euro, la BCE...
Fagotto Posté 22 mai 2014 Signaler Posté 22 mai 2014 Depenses de l'Etat, c'est différent des dépenses publiques tout simplement, plein de dépenses ont été refile aux collectivités locales a la Secu etc... Le dette publique provient des dépense publique, qui sont plus faibles que les recettes publiques, bien que ces dernieres aient aussi augmentées tout comme les prélèvements obligatoires. Bizarement il parle de baisses des impots mais ne donne aucun chiffre sur les prelevements obligatoires. L'article est faux car la définition de l'Etat et de l’impôt est limité, or les collectivités locales, la Secu, les retraites c'est l'Etat aussi, les charghes sociales c'est l'Etat aussi etc... Bref c'est volontairement malhonnête, et encore on ne cite pas toutes les autres âneries de ce texte.
ModernGuy Posté 22 mai 2014 Signaler Posté 22 mai 2014 Attention les caisses de sécurité sociale ce n'est pas l'état seul mais des organisations paritaires. D"aucuns jugeront que c'est un détail mais je pense au contraire que cette nuance est essentielle. Ce qui ne les empêche pas de souffrir de nombreux défauts, mais comprendre cette différence est important pour comprendre les arguments des socialistes et des libéraux de gauche comme moi...
Elphyr Posté 22 mai 2014 Signaler Posté 22 mai 2014 Il dit que c'est les chiffres de l'INSEE. http://youtu.be/hStMB7MACJo Soyons maintenant concrets: La dette de l'état n'a pas augmenté depuis les années 80 à cause de ses dépenses mais à cause de l'effritement de ses recettes. Entre 1982 et 2010 les dépenses de l'Etat ont peu varié: 25% du PIB en 82, 24% du PIB en 2010, alors que la dette, elle, explosait de 25% du PIB à 90%… Si l'Etat s'endette c'est avant tout à cause de la chute de ses RECETTES fiscales. Et cette chute d'où vient-elle ? De trente ans de politique néo-libérale: -Austérité salariale et budgétaire qui ont entrainé des phases récessives de plus en plus profondes. Avec des pics à chaque début de décennie: 1980, 1990, 2000, puis la grande récession de 2007 (qui je vous le rappelle est entièrement due à l'incurie du marcher financier internationalisé et dérégulé à la sauce libérale) Eh oui les chômeurs ont tendance à payer moins d'impôts… C'est bête tout de même ! A moins que ce ne soit simplement juste… vous savez la solidarité tout ça... -l'explosion du déficit à partir de 2007 a aussi été accélérée par les cadeaux fiscaux offerts aux riches. (baisse du taux d'imposition sur le revenu, baisse de l'ISF, bouclier fiscal, etc…) -la politique monétaire: les taux d'intérêts étaient auparavant largement administrés. Avec le tournant libéral, la dette a été financiarisée. Durant lesTrentes glorieuses, le taux d'intérêt réel (taux nominal moins inflation) sur les emprunts d'Etat était systématiquement inférieur au taux de croissance, contribuant à dégonfler le poids de la dette. Depuis le début des années 80 il n'a quasiment jamais cessé d'être supérieur à la croissance. Effet boule de neige… Merci la banque privée. Merci l'Euro, la BCE... Les chiffres, c'est juste ce qu'il y a en gras. Le reste c'est du blabla. Si ce sont les seuls chiffres de l'INSEE qu'il a sorti pour appuyer son argumentaire, c'est carrément bidon.
FabriceM Posté 22 mai 2014 Signaler Posté 22 mai 2014 Une organisation paritaire qui est obligé de boucher les trous de la caisse d'à côté ... elle n'a de paritaire que le nom. Non ?
Gio Posté 22 mai 2014 Signaler Posté 22 mai 2014 Les chiffres, c'est juste ce qu'il y a en gras. Le reste c'est du blabla. Si ce sont les seuls chiffres de l'INSEE qu'il a sorti pour appuyer son argumentaire, c'est carrément bidon. D'autres chiffres : En 2010, la valeur ajoutée par les diverses administrations publiques (Etat, collectivités locales, etc.) s'est élevée à 318 milliards d'euros. Cela équivaut à un Tiers de la valeur ajoutée des Sociétés non financières (973 Milliards) Dit autrement, les fonctionnaires produisent un tiers de ce que produisent les salariés des SNF. Or dans les SNF, on trouve aussi les entreprises publiques (SNCF, EDF, La Poste, etc.) puisqu'elles vivent de leur production et non de l'impôt. Si on les ajoute au chiffre des fonctionnaires, administrations + entreprises publiques produisent environ 38 % de ce que produisent les SNF privées.
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