Bisounours Posté 11 septembre 2015 Signaler Posté 11 septembre 2015 30000euros de loyer par mois !!C'est de la folie. Peut être qu'ils vont pouvoir bénéficier d'une ristourne avec la nouvelle loi.
Brock Posté 11 septembre 2015 Signaler Posté 11 septembre 2015 les mecs ils sont meme pas au pouvoir ils veulent deja se conduire comme des ministres
Bézoukhov Posté 12 septembre 2015 Signaler Posté 12 septembre 2015 Sortir autant de conneries qu'un Républicain, c'est quand même dur dur : http://www.francetvinfo.fr/politique/les-republicains/video-xavier-bertrand-propose-de-fusionner-les-ministeres-de-la-justice-et-de-l-interieur_1081063.html Voilà une proposition qui ne va pas ravir les défenseurs de l'indépendance de la justice face à la police. Le député (LR) et ancien ministre Xavier Bertrand a proposé, samedi 12 septembre, dans son discours à la tribune du campus des Jeunes Républicains au Touquet (Pas-de-Calais), de fusionner les ministères de la Justice et de l'Intérieur au sein d'un nouveau "ministère de l'Autorité".
Hayek's plosive Posté 13 septembre 2015 Signaler Posté 13 septembre 2015 Ça ou la maquilleuse coiffeuse en coulisse.
Astha Posté 15 septembre 2015 Signaler Posté 15 septembre 2015 campus des Jeunes Républicains au Touquet Une ville qui ne s'améliore toujours pas.
Nick de Cusa Posté 18 septembre 2015 Signaler Posté 18 septembre 2015 Assez de ouis pour être président ? http://www.leparisien.fr/politique/souhaitez-vous-que-nicolas-sarkozy-se-represente-en-2017-17-09-2015-5101757.php
Hayek's plosive Posté 18 septembre 2015 Signaler Posté 18 septembre 2015 Le grand mea culpa de Nicolas Sarkozy «sur sa façon d'être» omg. il nous refait le coup. "j'ai changé. vous m'avez changé"
Tremendo Posté 18 septembre 2015 Signaler Posté 18 septembre 2015 J'ai tellement de convictions que je vais parfois trop rapidement à la réponse. lol
Elphyr Posté 18 septembre 2015 Signaler Posté 18 septembre 2015 Le grand mea culpa de Nicolas Sarkozy «sur sa façon d'être» omg. il nous refait le coup. "j'ai changé. vous m'avez changé" C'est sa seule façon de se faire "pardonner". Il a vu que taper sur Hollande ça lui retombait dessus (parce qu'il n'a jamais fait mieux), il doit se trouver un meilleur cheval de bataille.
h16 Posté 18 septembre 2015 Signaler Posté 18 septembre 2015 Il devrait taper sur Juppé. Ca ne le rendra pas ni plus intelligent, ni plus éligible, mais ça me fera plaisir.
Nigel Posté 18 septembre 2015 Signaler Posté 18 septembre 2015 J'espère que les primaires seront bien violentes, c'est la place de futur "roi de France" qui se joue de manière quasi-certaine, ça va saigner !
PJE Posté 23 septembre 2015 Signaler Posté 23 septembre 2015 Affaire Bygmalion: Nicolas Sarkozy charge Jean-François Copé face aux enquêteursINFOGRAPHIE - Selon l'Obs, lors de l'audition de Nicolas Sarkozy le 4 septembre dernier devant les policiers anti-corruption, l'ancien chef d'Etat aurait accablé Jean-François Copé sur l'existence d'un système de fausses factures. Entendu en audition libre début septembre par les policiers de l'Office central de lutte contre la corruption, Nicolas Sarkozy en aurait-il profité pour charger Jean-François Copé dans l'affaire Bygmalion? Si l'on en croît des extraits de l'audition publiés par l'Obs, Nicolas Sarkozy s'est dédouané d'être impliqué dans le système des fausses factures mis en place durant la campagne électorale de 2012. Il en a d'ailleurs profité pour accabler Jean-François Copé qui s'est toujours défendu d'être au courant des fausses factures établies par l'entreprise Bygmalion. L'ancien président de l'UMP n'est à ce jour pas poursuivi par la justice, à l'inverse de treize autres personnes. Selon l'Obs, au cours de l'audition, les enquêteurs de la brigade anti-corruption présente un SMS reçu par Guillaume Lambert, le directeur de la campagne. L'expéditeur Jérôme Lavrilleux, ancien directeur de campagne adjoint écrit: «Nous n'avons plus d'argent. JFC (Jean-François Copé, ndlr) en a parlé au PR (le président de la République, ndlr)». Face à cet échange, Nicolas Sarkozy rétorque aux policiers qu'il «ignorait que Jean-François Copé était tenu informé de mon compte de campagne par Jérôme Lavrilleux. Il ne m'en a en tout cas jamais parlé. Mais j'observe qu'il en parlait à Jean-François Copé». Une allusion de l'ancien chef d'Etat qui vient jeter le trouble sur la réelle responsabilité de Jean-François Copé dans le système Bygmalion. En 2014, Jérôme Lavrilleux, déjà mis en examen tout comme Guillaume Lambert, avait reconnu publiquement sur BFM TV son implication dans le financement illégal de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy. Cette sentence du candidat vient illustrer l'idée que les échanges entre Jérôme Lavrilleux et Jean-François Copé sur l'état des finances de la campagne de 2012 ont été connu du député-maire de Meaux et vient mettre en doute la défense de l'ancien chef de l'UMP. «Partout où est passé Copé, il a pris Bygmalion»Nicolas Sarkozy, visiblement agacé par toute les questions des policiers, continue de nier sa participation au système de fausse factures qui liait l'UMP à Bygmalion. Il explique durant les sept heures d'audition que les considérations matérielles relevant de l'organisation des meetings ne concernaient que son équipe de campagne, lui étant concentré à «gagner les élections». «Quant à la maîtrise des coûts, elle relevait de la responsabilité de mon équipe» se défend-t-il. L'enquête menée par l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) vise à éclairer le rôle de chacun dans la mise en place d'un système ayant permis l'établissement, par Bygmalion, de 18 millions d'euros de fausses factures à destination de l'UMP. L'agence de communication, gérée par des proches de Jean-François Copé, a été chargée d'organiser les 42 meetings du candidat de l'UMP par le biais de la filiale événementielle, Event&Cie. Enfin, à la question des policiers sur l'existence de rencontres avec les responsables de Bygmalion, Bastien Millot, Frank Attal ou Guy Alvès, Nicolas Sarkozy réfute, explique ne pas savoir que l'entreprise avait organisé ses meetings et conclut en attaquant: «Partout où est passé Jean-François Copé, il a pris Bygmalion.» http://www.lefigaro.fr/politique/2015/09/23/01002-20150923ARTFIG00159-affaire-bygmalion-nicolas-sarkozy-charge-jean-francois-cope-face-aux-enqueteurs.php
Fenster Posté 23 septembre 2015 Signaler Posté 23 septembre 2015 http://www.lefigaro.fr/politique/2015/09/23/01002-20150923ARTFIG00159-affaire-bygmalion-nicolas-sarkozy-charge-jean-francois-cope-face-aux-enqueteurs.php La B.O consacrée : https://www.youtube.com/watch?v=-KTlUNbqn60
PJE Posté 26 septembre 2015 Signaler Posté 26 septembre 2015 Nicolas Sarkozy : "L'islam a connu sa Renaissance avant son Moyen Âge" L'ex-président de la République a tenu un discours musclé en début de semaine devant le think tank libéral Choiseul 100. Attention, ça déménage ! Nicolas Sarkozy commence à roder un discours de campagne assez construit qui n'est pas sans rappeler sa campagne de 2012. Du Patrick Buisson, mais sans Buisson ! Selon nos informations, il s'exprimait en début de semaine, lors d'un dîner organisé par le club Choiseul 100, un think tank libéral qui, chaque année, publie un classement des 100 jeunes responsables économiques français de moins de 40 ans. Le Point a recueilli auprès de l'assistance un compte rendu assez détaillé de son intervention sous la forme de questions-réponses. Accrochez vos ceintures, Sarkozy sans langue de bois, ça déménage ! L'ancien chef de l'État n'a pas de temps à perdre avec le moindre mea culpa sur son quinquennat précédent et n'a pas non plus souhaité flatter son auditoire. Il maintient le cap d'un discours anti-élite, déjà développé en 2012. "Vous n'avez pas soutenu mes réformes, a-t-il assené à ce parterre de responsables économiques. Vous financez des organes de presse qui me veulent du mal. Vous ne pouvez pas me reprocher de ne pas avoir fait les réformes nécessaires puisque je vous ai sauvé de la crise." Pour Sarkozy, son bilan est mésestimé et il considère avoir, "avec Angela" (Merkel, NDLR), sauvé l'Europe, sinon le monde, d'une crise majeure en 2008. "La France s'est arrêtée en 1789" Son diagnostic sur la situation actuelle s'inspire des thèses les plus déclinistes face au désordre du monde. "La France ne décline pas, elle se désagrège", prédit-il en insistant sur la crise démographique qui frappe l'Europe à long terme et la condamne à "disparaître". "Notre modèle n'est pas mis en cause, il va simplement être balayé, car, dit-il, la France s'est arrêtée en 1789." Une manière pour lui de redire que la France ne s'est jamais remise d'avoir coupé la tête de son roi. Pour répondre à cette crise profonde, Sarkozy estime urgent de rétablir un principe d'autorité appuyé sur un leadership sans faille. Évidemment, ce raisonnement le conduit à se poser en unique recours crédible après les années Hollande. Une autorité bafouée en France par les nouvelles technologies créant une agora numérique (Twitter, Facebook...) permanente qui "donne la parole à tout le monde alors que la parole doit se mériter". "On fait un mauvais procès à Poutine" Nicolas Sarkozy a également tenu un discours très dur sur l'action de Barak Obama, rompant avec son atlantisme traditionnel, accusant le président américain de ne rien faire pour stabiliser le Moyen-Orient. Il s'est également démarqué des positions de François Fillon à propos de Bachar el-Assad. À ses yeux, le leader syrien "doit partir" et laisser place à des éléments du régime. Sarkozy plaide d'ailleurs pour une "reconfiguration plus générale du Moyen-Orient" et appelle l'islam à se réformer en profondeur. "L'islam est la seule religion qui a connu son Moyen Âge après sa Renaissance", a-t-il lancé en guise d'analyse sur le radicalisme religieux. Selon lui, il ne faut plus rien attendre de l'ONU, un organisme dont le système par consensus est, à ses yeux, dépassé. Il plaide également pour un rapprochement de l'Europe avec Vladimir Poutine, à qui l'on fait, selon lui, un "mauvais procès" sur l'annexion de la Crimée. Il a rappelé à son auditoire que la Crimée "a été donnée à l'Ukraine un soir de beuverie" (en 1954, par Nikita Khrouchtchev en réparation du martyre subi par l'Ukraine sous Staline). "Au nom de l'écologie, on met des ours slovènes dans les Pyrénées. (...) Pauvres bêtes !" Sur les grandes questions environnementales, Sarkozy n'est guère convaincu par la COP21 dont François Hollande veut faire une étape de son quinquennat. Le président des Républicains estime plus urgente la question démographique, à savoir les deux milliards d'êtres humains en plus sur terre. Selon lui, la question écologique participe, à travers "le principe de précaution", à la destruction de la notion de progrès et d'innovation qui lui paraît vitale. Il s'est d'ailleurs moqué des écologistes et de leur revendication animalière : "Au nom de l'écologie, on met des ours slovènes dans les Pyrénées et des loups russes dans les Cévennes. Pauvres bêtes !" Il a repris, à cet égard, l'idée de remplacer dans la Constitution de la Ve République le principe de précaution par un principe de responsabilité. À propos de la construction européenne, Sarkozy a réaffirmé sa volonté d'un rapprochement quasi organique de la France avec l'Allemagne. Au cours d'un long développement, il a insisté sur le passé de ces deux peuples "qui ont fait la guerre tous les 30 ans depuis Louis XIV" et a évoqué le risque d'un nouveau conflit si les deux pays continuent à diverger, car, selon lui, "les peuples ne changent pas". En somme, pour Sarkozy, la France, qui a besoin de la puissance économique de l'Allemagne, est parfaitement complémentaire d'une Allemagne qui a besoin de la puissance diplomatique et militaire de la France. D'où sa proposition, déjà développée pour Le Point, de créer "une zone de convergence économique franco-allemande", ce qui serait, s'il était le candidat officiel de son camp, son axe programmatique en 2017 avec la mise en place d'une proposition commune émanant des Républicains et de la CDU-CSU de Merkel. "Je ne crois plus au paritarisme" Il a également enfoncé les socialistes, défenseurs aveugles d'un principe d'égalité qui, à ses yeux, confine à l'égalitarisme. Pour illustrer son propos, il a lancé aux membres du club Choiseul 100 : "On n'a pas tous le même salaire parce qu'on ne travaille pas tous pareil." Toujours pour rendre son propos plus imagé, il s'est lancé dans un comparaison hasardeuse : "ce n'est pas parce que certains sont chauves qu'on doit tous devenir chauves. Ce n'est pas une chance d'être chauve." Sur la politique économique qu'il compte mettre en place, il estime nécessaire de réduire les dépenses publiques à 50 % du PIB en 2020, mais il n'en a pas détaillé les modalités. Marquant sa différence avec François Hollande, l'ancien chef de l'État ne croit plus au dialogue social. "Je ne crois plus au paritarisme", a-t-il ajouté, ce qui laisse entendre que s'il revenait au pouvoir, les régimes sociaux seraient directement gérés par l'État "pour les remettre d'équerre" et non plus par les syndicats patronaux et salariés qui les ont laissés péricliter. "Les banlieues doivent arrêter de culpabiliser la France" Nicolas Sarlozy a martelé qu'il comptait réhabiliter le goût de la réussite, le mérite récompensé par l'argent. "François Hollande veut qu'il y ait moins de riches ; moi, je veux moins de pauvres", a-t-il lancé à la cantonade. Une manière de promettre qu'il réviserait la fiscalité des ménages et des entreprises afin de l'aligner sur la moyenne européenne. "On ne peut pas à la fois avoir l'Europe et l'ISF," a-t-il conclu sur ce chapitre. Une question sur le traitement des banlieues lui a été posée par Aziz Senni, auteur de L'ascenseur social est en panne, j'ai pris l'escalier. Nicolas Sarkozy s'est lancé dans une charge très violente sur les quartiers par rapport au monde rural. "Les banlieues doivent arrêter de culpabiliser la France." Pour le président des Républicains, la souffrance est aussi forte chez les ruraux qui, eux, "n'ont pas brûlé les abribus et pourtant crèvent". Au même moment, il a d'ailleurs émis la proposition de revoir tous les accords avec l'Algérie "parce que 1962, c'était il y a longtemps". Ce n'est pas la première fois que l'ancien chef de l'État tient des propos rudes sur l'Algérie. Lors de sa dernière visite en Tunisie, il avait déjà heurté la diplomatie algérienne ."Il n'y a pas un centimètre de mon corps qui n'a une cicatrice" Dans ce festival de vacheries, Emmanuel Macron n'a pas échappé aux coups de griffe de l'ancien président. Sarkozy a ironisé à propos de l'engouement médiatique du jeune ministre de l'Économie ainsi que les éloges des Républicains à son égard. "Personne n'a une photo dédicacée de monsieur Macron ?" s'est-il amusé. L'assistance a noté que Sarkozy n'avait pas une seule fois mentionné Manuel Valls... Il n'a pas non plus évoqué une seule fois la primaire, si ce n'est par une allusion à son rapport au pouvoir à l'adresse d'une société civile qui, s'agace-t-il, attend tout du politique et se complaît dans le rejet de la classe politique. "Venez prendre la place, le pouvoir, on ne vous le donne pas, il faut le prendre, a-t-il lancé à la foule venue l'écouter. Moi, j'ai tout pris, il n'y a pas un centimètre de mon corps qui n'a une cicatrice." http://www.lepoint.fr/politique/emmanuel-berretta/nicolas-sarkozy-l-islam-a-connu-sa-renaissance-avant-son-moyen-age-25-09-2015-1967926_1897.php
Bézoukhov Posté 26 septembre 2015 Signaler Posté 26 septembre 2015 Je viens de comprendre à nouveau pourquoi on s'est retrouvé avec Hollande...
Adrian Posté 30 septembre 2015 Signaler Posté 30 septembre 2015 L'affaire Bygmalion a apporté avec elle l'un de ses cofondateurs Guy Alvès. Proche de Jean-François Copé, il a été son chef de cabinet de 2004 à 2007."Le système de fausses factures a servi de financement illégal à la campagne de Nicolas Sarkozy et uniquement de financement illégal à la campagne de Nicolas Sarkozy", c'est ce qu'affirme Guy Alvès ce mercredi 30 septembre au micro de RTL;
PJE Posté 30 septembre 2015 Signaler Posté 30 septembre 2015 Nadine Morano prévient Nicolas Sarkozy pour la présidentielle : "je le dézinguerai !" LA CONFIANCE - Entre Nadine Morano et Nicolas Sarkozy, c'est du sérieux, en tous cas au niveau de la castagne. Le président de Les Républicains a décidé, ce mercredi 30 septembre, de saisir la Commission nationale d'investiture pour sanctionner l'eurodéputée, tête de liste LR en Meurthe-et-Moselle pour les régionales, après ses propos sur la "race blanche" de la France sur le plateau d'On n'est pas couché, samedi 26 septembre. Celle qui ambitionne de devenir présidente de la République n'apprécie que très moyennement cette mesure prise à son encontre. Alors elle attaque tout ce qui bouge dans son propre camp, et plus particulièrement Nicolas Sarkozy. Un Nicolas Sarkozy dont elle n'est plus la fan inconditionnelle. Mais alors plus du tout. Interrogée par Le Point, elle dit : Quant à Nicolas Sarkozy, ce n'est même pas la peine qu'il songe à se présenter à la présidentielle, je le dézinguerai ! Oui oui, vous avez bien lu : Nadine Morano considère qu'elle va "dézinguer" Nicolas Sarkozy en 2016, lors de la primaire de la droite. Comment, elle ne le dit pas. Mais sa détermination est totale. Quand on pense qu'elle a fait de l'association des amis de Nicolas Sarkozy... Ce dernier est également plutôt énervé contre son ancienne ministre. Et il le fait savoir, comme le rapporte ce mercredi un journaliste du Monde : L'ancien chef de l'État n'est pas le seul à en prendre pour son grade. Tout le monde (ou presque) est visé. En tous cas tous ceux qui ont osé attaquer l'eurodéputée depuis samedi. "J'ai été très bonne chez Ruquier, samedi soir. Ils ont peur. Alors chacun envoie ses sbires pour me dégommer. Franck Riester agit pour le compte de Le Maire, Darmanin travaille pour Xavier Bertrand. Ciotti pour on ne sait plus qui. Il n'y a que Fillon qui a été parfaitement correct avec moi dans cette affaire", explique-t-elle. Tel François Fillon, Nadine Morano considère donc que si elle est ainsi attaquée, c'est parce qu'elle veut se présenter à la primaire de la droite. Et que les autres ambitieux sont effrayés par la possibilité de cette candidature… http://lelab.europe1.fr/nadine-morano-previent-nicolas-sarkozy-pour-la-presidentielle-je-le-dezinguerai-2522431
Marlenus Posté 30 septembre 2015 Signaler Posté 30 septembre 2015 [misogynie] A part en ayant couché, je vois pas comment elle a put monter aussi dans les responsabilités du parti [/misogynie]
Poil à gratter Posté 30 septembre 2015 Signaler Posté 30 septembre 2015 Yuk, mais tu as vu sa tronche?
Eorl Posté 30 septembre 2015 Signaler Posté 30 septembre 2015 [misogynie] A part en ayant couché, je vois pas comment elle a put monter aussi dans les responsabilités du parti [/misogynie] Hum, c'est quand même la seule meuf que je connaisse qui fait la tronche en souriant :
Johnathan R. Razorback Posté 30 septembre 2015 Signaler Posté 30 septembre 2015 So much epicness. #games-of-thrones-IRL
Cugieran Posté 30 septembre 2015 Auteur Signaler Posté 30 septembre 2015 En même temps, tout peut arriver quand on voit la tronche de Hollande.
Adrian Posté 30 septembre 2015 Signaler Posté 30 septembre 2015 Même si elle quitte LR, personne ne voudra d'elle ailleurs de toute façon.
Marlenus Posté 30 septembre 2015 Signaler Posté 30 septembre 2015 Yuk, mais tu as vu sa tronche? Edith cresson était la maitresse de mitterand: http://www.lefigaro.fr/politique/2011/05/21/01002-20110521ARTFIG00004-sexe-pouvoir-et-dependance.php Est-elle vraiment pire physiquement qu'edith?:
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