Gio Posté 21 décembre 2014 Signaler Posté 21 décembre 2014 Vu en librairie : Imaginons une société sans impôts et ce qu’il adviendrait de nos dépenses de santé, de sécurité ou bien d’éducation… Sait-on qu’un collégien revient à plus de 8000€ par an à la société ? Qu’un simple coup de file suivi d’une intervention des pompiers pour un malaise entraine près de 1000€ de frais. Ou encore qu’un accouchement est facturé 3500€ à la Sécurité Sociale. Les exemples pourraient être multipliés à l’infini dans tous les secteurs de notre vie quotidienne.Vincent Drezet, fiscaliste et secrétaire général du syndicat national Solidaires Finances Publiques, revient ici sur les conséquences quotidiennes d’une absence de contribution commune. Il démontre remarquablement, en s’appuyant sur des illustrations concrètes, que sans impôt, les besoins sociaux de tout un chacun et la vie en société seraient impossibles à satisfaire.Volontairement simple et pédagogue, ce livre propose également des solutions concrètes pour un impôt juste, simplifié et durable. édité aux "Liens qui Libèrent". C'est moi ou rien qu'en lisant ça on décèle déjà un défaut de logique ?
Brock Posté 21 décembre 2014 Signaler Posté 21 décembre 2014 il etablit le cout des services supprimes sans le reporter au credit des contribuables. En gros il oublie de dire que sans impots la vie est quatre fois moins chere et la monnaie ne devalue pas.Juste ca. Vincent Drezet, fiscaliste et secrétaire général du syndicat national Solidaires Finances Publiques :icon_ptdr:
Brock Posté 21 décembre 2014 Signaler Posté 21 décembre 2014 "une societe sans impots" = moins de sousous pour Vincent ! pas glop !
Poil à gratter Posté 21 décembre 2014 Signaler Posté 21 décembre 2014 Syndicaliste et fiscaliste, y'a peut-être en effet comme un biais
Jesrad Posté 21 décembre 2014 Signaler Posté 21 décembre 2014 Il a essayé aussi "une société sans commerce" ou "une société sans mains" pour voir ? Non parce que c'est le même niveau.
Rübezahl Posté 21 décembre 2014 Signaler Posté 21 décembre 2014 Les liens qui libèrent. ... chapeau !
Corned beef Posté 21 décembre 2014 Signaler Posté 21 décembre 2014 On a dû se rendre dans la même librairie gio, t'as pas parlé du reste, j'ai pris des photos...
Theor Posté 21 décembre 2014 Signaler Posté 21 décembre 2014 Mon Dieu, le cauchemar... Ca me fait péter un boulon de voir un étalage complet de propagande sans rien pour y répondre.
Gio Posté 21 décembre 2014 Auteur Signaler Posté 21 décembre 2014 Corned Beef > C'était à la Librairie Quai des Brumes que tu as pris ces photos ? Ce serait possible, ils sont assez "orientés" (pour preuve : ils n'ont aucun bouquin d'économie)...moi j'ai vu mon livre dans une librairie tout ce qu'il y a de plus conventionnelle : Librairie Kleber. EDIT : hmm à la réflexion, vu les étagères, tu étais aussi à Kleber, non ?
Gio Posté 21 décembre 2014 Auteur Signaler Posté 21 décembre 2014 Ceux qui font les rayons doivent peut-être se dire qu'ils participent, à leur petite échelle, à la révolution.
Hank Rearden Posté 21 décembre 2014 Signaler Posté 21 décembre 2014 Ils ont juste le cerveau vermoulu par 40 ans de pensée économique et sociale à la française. Toutes les librairies de France ont les mêmes rayons: Paul jorion, Bernard maris et Michel onfray
NoName Posté 21 décembre 2014 Signaler Posté 21 décembre 2014 Je prends à l'occasion des photos des étalages à la médiathèque de mon université Même niveau. On sens bien la propagande néolibérale
Rincevent Posté 21 décembre 2014 Signaler Posté 21 décembre 2014 On a dû se rendre dans la même librairie gio, t'as pas parlé du reste, j'ai pris des photos... Ca ressemble à des étalages Fnac.
Corned beef Posté 21 décembre 2014 Signaler Posté 21 décembre 2014 Ceux qui font les rayons doivent peut-être se dire qu'ils participent, à leur petite échelle, à la révolution. Ils ont juste le cerveau vermoulu par 40 ans de pensée économique et sociale à la française. Toutes les librairies de France ont les mêmes rayons: Paul jorion, Bernard maris et Michel onfray Ou alors il agissent en bons capitalistes en tenant compte de la demande du franchouille moyen. Il faut dire que des livres libéraux, en français, au XXIe siècle, bof . Agnès Verdier-Molinié on la trouve facilement.
Gio Posté 21 décembre 2014 Auteur Signaler Posté 21 décembre 2014 Toutes les librairies de France ont les mêmes rayons: Paul jorion, Bernard maris et Michel onfray Tiens ça me fait penser que, dernièrement, France Inter a consacré une émission à Hayek. Et pour présenter le penseur autrichien, ils ont choisis Bernard Maris ! Ceci dit, ce n'était pas si biaisé que ça...bon un peu quand même, faut pas déconner, mais c'eut pu être bien pure. http://www.franceinter.fr/emission-la-marche-de-lhistoire-hayek-le-retour-dun-liberalisme-a-letat-pur
Tramp Posté 21 décembre 2014 Signaler Posté 21 décembre 2014 A Kleber j'ai acheté la Route de la Servitude.
(V) Posté 21 décembre 2014 Signaler Posté 21 décembre 2014 Ceux qui font les rayons doivent peut-être se dire qu'ils participent, à leur petite échelle, à la révolution. Hank Rearden, (le) 21 Déc 2014 - 20:40, a écrit : Ils ont juste le cerveau vermoulu par 40 ans de pensée économique et sociale à la française. C'est bien ça le paradoxe : être persuadé d'être rebelle en étant aussi consensuel
sans Posté 22 décembre 2014 Signaler Posté 22 décembre 2014 C'est parce que la plupart des gens n'ont pas d'opinion ou sont modérés, et un extrémiste perçoit la non-opinion et la modération comme une opposition, c'est pour ça que les libéraux et les gauchos et les fachos et les machos et les féminazis et cætera sont persuadés d'être à contre-courant.
Rincevent Posté 22 décembre 2014 Signaler Posté 22 décembre 2014 C'est bien ça le paradoxe : être persuadé d'être rebelle en étant aussi consensuelPhilippe Muray a un peu écrit sur ce phénomène, les "mutins de Panurge".
Tremendo Posté 22 décembre 2014 Signaler Posté 22 décembre 2014 Je rentre en France aujourd'hui, vous auriez pu m'épargner ces photos, je pensais me cailler et au final je vais au Venezuela
Gio Posté 22 décembre 2014 Auteur Signaler Posté 22 décembre 2014 A Kleber j'ai acheté la Route de la Servitude. Et moi Droit, Législation et Liberté. Mais c'est caché dans un coin, pas mis en avant.
ashlebon Posté 28 décembre 2014 Signaler Posté 28 décembre 2014 A noël on m'a offert ce livre "une société sans impôts" et "sacrée croissance" Comment peut on sourire sur les photos avec ces livres dans les mains ?
sans Posté 28 décembre 2014 Signaler Posté 28 décembre 2014 Des bouquins politiques à Noël, berkberkberk
Brock Posté 28 décembre 2014 Signaler Posté 28 décembre 2014 A noël on m'a offert ce livre "une société sans impôts" et "sacrée croissance" Comment peut on sourire sur les photos avec ces livres dans les mains ? moi aussi une fois j'ai demande des livres avec des histoires de mercenaires ( comme WAR et Making A Killing ) et je me suis retrouve avec des pamphlets gauchistes pleins de stats sans interet ecrits par les pire anes bates du journalisme francais.
Poil à gratter Posté 28 décembre 2014 Signaler Posté 28 décembre 2014 A noël on m'a offert ce livre "une société sans impôts" et "sacrée croissance" Comment peut on sourire sur les photos avec ces livres dans les mains ? Ils connaissent tes opinions et on envie de te remettre dans le droit chemin?
Barry Chuckle Posté 28 décembre 2014 Signaler Posté 28 décembre 2014 http://www.amazon.fr/Sacr%C3%A9e-croissance-Marie-Monique-ROBIN/dp/2707176362 Nous sommes en 2034 : désormais journaliste et réalisatrice retraitée, Marie-Monique Robin rédige ce livre, qui raconte comment les humains ont réussi, vingt ans plus tôt, à éviter l'effondrement de leur civilisation. Cela grâce à un étonnant sursaut collectif sur venu le 14 avril 2014, après la publication du cinquième rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), annonçant les terribles catastrophes provoquées par le réchauffement climatique. Un sursaut relayé politiquement à l'échelle mondiale grâce à... François Hollande, qui avait soudain compris l'absurdité mortifère d'une course après l'" Arlésienne de la croissance "... Une uchronie prospective, donc. Mais qui restitue d'abord, de façon remarquablement pédagogique, les enchaînements ayant conduit, au XX e siècle, à ériger en dogme absolu l'idéologie de la croissance économique. Révélant des épisodes méconnus de cette histoire, Marie-Monique Robin s'appuie notamment sur les analyses des économistes hétérodoxes interrogés pour son documentaire Sacrée Croissance ! (Arte, novembre 2014). Elle montre ensuite comment l'" intoxication de la croissance " a conduit au " grand gâchis " du début du XXIe siècle : épuisement des énergies fossiles et des minerais, crise alimentaire, financière et sociale, menace d'un krach écologique et d'une sixième extinction des espèces... Surtout, elle raconte comment, dès cette époque, se multipliaient partout les initiatives très concrètes de " lanceurs d'avenir " préoccupés par le futur de leurs enfants : experts ou acteurs de terrain, dessinant la voie vers une société durable et plus équitable, en matière de production alimentaire (agriculture urbaine), d'énergie (villes en transition) et d'argent (monnaies locales et nouveaux indicateurs de richesse).
NoName Posté 28 décembre 2014 Signaler Posté 28 décembre 2014 un jour j'en lirai des urchonies ou des bouquins de prospectives gauchistes utopique comme ça; je suis sur que ça ressemblerait à un cauchemar meme en version utopique.
Barry Chuckle Posté 28 décembre 2014 Signaler Posté 28 décembre 2014 Les monnaies locales, c'est une bonne initiative liberhalal un jour j'en lirai des urchonies ou des bouquins de prospectives gauchistes utopique comme ça; je suis sur que ça ressemblerait à un cauchemar meme en version utopique. C'est pas tant le caractère gauchiste qui a l'air insupportable que la tonalité positive et citoyenne boring as fuck Quand tout le monde crève à la fin, c'est nettement plus facile à lire
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant