Adrian Posté hier à 16:06 Signaler Posté hier à 16:06 Il y a 17 heures, Adrian a dit : Bon résumé. C'est à peu près la position de Zemmour. Il ajouterait qu'il faut rechristianiser la France. Bon l'auteur qu'il cite a aussi des affaires louches Résumé notebookLM Révélation 1. Définition et contexte politique Le terme « remigration » n'est pas nouveau ; il est utilisé depuis des décennies par les démographes pour désigner le retour au pays d'origine . Cependant, il est devenu polémique car il est aujourd'hui promu comme une solution au « grand remplacement ». En France, l'idée a gagné en visibilité avec la campagne présidentielle d'Éric Zemmour en 2022, qui proposait la création d'un ministère de la remigration. En Allemagne, une réunion privée à Potsdam en 2023 a déclenché une tempête médiatique après que des plans de remigration y ont été discutés entre des membres de la droite identitaire et des élus de l'AfD et de la CDU. Martin Sellner définit la remigration comme une politique de population globale. Selon lui, les gouvernements actuels mènent une « migration de remplacement » pour pallier l'effondrement de la natalité européenne. Bien que ce choix soit présenté comme rationnel d'un point de vue économique à court terme, il entraînerait la fin des nations autochtones par le biais du « vote ethnique » et de la constitution de « sociétés multiminoritaires » . La remigration repose sur deux piliers : • Une politique d'identité : sortir du « culte de la culpabilité » (notamment le Schuld-kult allemand) pour réhabiliter une « culture dominante » (Leitkultur) . • Une politique nataliste : encourager les naissances autochtones pour ne plus dépendre de l'immigration . 3. Les trois catégories de remigration Le plan de Sellner ne consiste pas en des expulsions massives et indifférenciées, mais en une approche graduée selon trois groupes juridiques : • Les demandeurs d'asile : Le droit d'asile doit redevenir une protection individuelle temporaire . Le but est d'organiser le retour de la majorité d'entre eux en 5 à 7 ans, en utilisant des structures extraterritoriales en Afrique du Nord . • Les étrangers non-citoyens : Leur séjour doit être conditionné par leur utilité et leur respect des lois . Sellner propose de retirer les titres de séjour en cas de criminalité ou de chômage de longue durée, et d'inverser les facteurs d'attractivité (suppression des aides, interdiction de certains symboles étrangers) pour les inciter au départ . • Les citoyens naturalisés non assimilés : C'est le groupe le plus délicat. Sellner refuse de créer des « citoyens de seconde zone », car cela serait inconstitutionnel . La stratégie consiste à exercer une pression à l'assimilation très forte tout en offrant des aides financières attractives au retour pour ceux qui préfèrent leur culture d'origine . 4. Réponses aux objections pratiques La vidéo traite trois critiques majeures adressées au projet : • Logistique : Une « Forteresse Europe » est techniquement possible grâce aux drones et satellites, couplée à une externalisation du traitement des demandes d'asile . • Guerre civile : Sellner soutient que l'absence de remigration est plus dangereuse . Les populations immigrées étant fragmentées et rivales, une résistance unifiée est jugée improbable . • Économie : L'immigration actuelle est présentée comme un coût net (santé, école, sécurité) . Sellner propose de suivre le modèle du Japon en misant sur la robotisation et la formation de la jeunesse nationale plutôt que sur la main-d'œuvre importée . 5. Stratégie métapolitique et morale Le succès de ce projet nécessite une hégémonie culturelle . Sellner utilise un graphique montrant le croisement de deux courbes : celle de la souffrance des autochtones (qui monte) et celle de leur potentiel de mobilisation (qui baisse avec le vieillissement et le remplacement). Il y aurait une fenêtre d'opportunité critique avant 2045 . Sur le plan moral, l'auteur affirme que la remigration est éthique car elle privilégie l'intérêt collectif de la nation d'accueil, qui n'a « pas de patrie de rechange », sur l'intérêt individuel des migrants . Pour Sellner, c'est un projet basé sur l'amour des siens et le droit de chaque peuple à « persévérer dans son être » C'est à peu près la position de Zemmour par exemple, ou des identitaires comme Rochedy mais lui voulait créer un statut de fédérés pour les pas encore assimilé assimilable. Le futur clivage politique entre rémigration (droite) et créolisation (gauche) (les centristes eux ne changeraient rien de l'actuel). Quand il évoque la politique de population, je pense à Singapour et sa politique de ne changer la composition ethnique du pays (lors des naturalisations)
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