Aller au contenu

Lexane

Utilisateur
  • Compteur de contenus

    251
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Lexane

  1. Là on a un argument frappant Il paie une écotaxe sur son ordi, en plus. 3 centimes, certes. Mais c'est une taxe complètement injustifiée.
  2. Pas mal ! C'est vrai que perso, je pense surtout à ma soeur, 13 ans et archétype de la future-danseuse-étoile-habillée-comme-une-grande, du coup certaines idées comme celle-ci me semble complètement aberrantes sur le coup... et puis je réalise que non, j'aurais été bien plus intéressée par cet article que par un truc sur le travail des jeunes pour faire les soldes.
  3. Effectivement, clopes, alcool, c'est risqué. Permis, transports en commun, prix du train (et absence de concurrence des bus, et règles de covoiturage stupides), ça pour le coup ça peut vraiment intéresser. Un petit article sur pourquoi Wikipédia est une source d'infos extraordinaire et pas un "machin sans sources" comme disent les profs, assorti d'un petit mode d'emploi (citer les sources de l'article, pas l'article lui-même...), ça peut pas mal servir en plus !
  4. Entièrement d'accord. D'ailleurs, est-ce qu'on ne devrait pas plutôt prendre une approche de secte (oui, non, j'ai pas trouvé de meilleure comparaison) en faisant des modes d'emploi CV, etc., et plus tard seulement en parlant d'idéologie ?
  5. Je regarderai de ce côté aussi, alors ! +1 Une bonne partie des ados n'a pas la moindre idée de ce que fait un AS, aussi. Je ne sais pas si c'est vraiment dans le sujet. J'ai un peu peur qu'en disant à des ados de 12-15 ans "le libéralisme, c'est être libre de ce que te disent tes parents", même en nuançant, on se retrouve seulement dans une logique "oué j'suis libéral donc je fais ce que je veux", un coup non seulement à ce qu'ils haïssent le libéralisme quand ils se rendent compte qu'on leur a "menti" et qu'ils doivent quand même se plier à certaines règles du système, mais aussi à dresser les parents en question complètement contre le libéralisme.
  6. Oui, ça typiquement je pense que ça pourrait faire un bon angle d'approche.
  7. Rooh... Entre autres, mais pas seulement. Un jeu vidéo "classique" ne parle pas à tous les jeunes ; après, y'a moyen de faire du mobile gaming, mais comment le rendre libéral, intéressant, prenant, pas long et pas gourmand en ressources ? +1 Il s'agit plus du thème que de la façon d'écrire pour les plus grands, mais pour les plus jeunes, une réflexion (pas façon de parler, mais bien réflexion) plus simple pourrait être appréciée. Intéressant, ça ! Pas mal, ça ! Oui, bien aussi, ça !
  8. Bonjour ! Dans la lignée de la FAQ du libéralisme et des oeuvres accessibles aux débutants, je me demande si on ne pourrait pas lister des articles de Contrepoints, des ouvrages, etc. qui soient très faciles à lire, prennent peu de temps, et puissent intéresser des jeunes de 12 à 16 ans (en gros). Un rapide coup d'oeil au livre de SES de ma soeur, élève en seconde, m'a convaincue que ce serait une bonne idée... et les parents/grands frères-soeurs/amis/etc. de plus jeunes pourraient s'en inspirer aussi. Le but serait de recenser des articles/livres/etc. très courts, très abordables, qu'ils puissent lire sans trop se lasser. Des idées ? J'ai noté Pulp Libéralisme, déjà
  9. Pour relecture. Le capitalisme peut-il être durable ? L'activité humaine remodèle la Terre : elle transforme et pollue le paysage, réchauffe l'atmosphère et les océans, et cause l'extinction d'espèces. Le point de vue classique des écologistes est que la liberté humaine, et plus spécifiquement l'activité économique et le libre-échange, en est responsable. Par exemple, les célèbres activistes et biologistes Paul et Anne Ehrlich, de Stanford, ont récemment affirmé dans une revue scientifique britannique que les problèmes environnementaux que nous rencontrons sont causés par « la surpopulation, la surconsommation des ressources naturelles, et l'utilisation de technologies inutilement dangereuses pour l'environnement et d'arrangements socio-économico-politiques pour servir la consommation des Homo Sapiens ». Les Ehrlich insistent donc sur l'importance de la « réduction du culte des marchés 'libres' qui infeste la discipline » qu'est l'économie. Mais la notion que l'activité économique et le libre-échange sont opposés à l'épanouissement de la nature est compliquée par le fait que les pays avec les plus gros problèmes environnementaux aujourd'hui, et ceux qui montrent le moins d'intérêt et mettent en oeuvre le moins de moyens pour les régler, ne sont pas les pays libéraux à économie capitaliste développée, mais ceux avec une démocratie faible, voire inexistante, et des économies en voie de développement; La liberté et l'environnement sont-ils donc fondamentalement opposés ? La santé de l'un vient-elle nécessairement au détriment de celle de l'autre ? Ou la liberté et une nature florissante peuvent-elles cohabiter et se renforcer mutuellement, le bien de l'une venant soutenir le bien de l'autre ? L'activité économique d'un système fondé sur la liberté peut-elle être durable sur le long terme pour l'environnement ? Bien des chercheurs, mais pas tous, acceptent que les économies de marché ont, dans l'ensemble, grandement amélioré les conditions de vie de l'humanité ces derniers siècles, apportant des meilleurs niveaux de vie, d'éducation et de droits civils et politiques. Ils affirment cependant que le système libertaire produit des externalités négatives qui s'accumulent et finiront par mener la civilisation à s'auto-détruire. Soit l'humanité commence rapidement à restructurer la civilisation, selon les Ehrlich, soit « la nature restructurera la civilisation pour nous ». La réponse Lockéenne à ces questions académiques est que le marché libre capitalisme consiste à grandir de l'intérieur autant que vers l'extérieur, à apprendre à progressivement créer plus de valeur à partir de ressources naturelles en quantité finie, afin de ne pas avoir besoin de toujours consommer plus de ressources. Cette notion n'implique donc pas de contradiction entre répondre aux besoins matériels de l'Homme et préserver une large partie de l'environnement naturel. Nous avons donc ici deux points de vue généraux de la viabilité du système basé sur la liberté, et ils pourraient difficilement être plus opposés : l'un veut la croissance et un cercle vertueux créée par l'utilisation efficace des ressources naturelles, et l'autre estime que la croissance ne peut être soutenue que pour une fraction de l'histoire humaine, illusoirement pleine de richesses, avant qu'elle ne s'auto-détruise. Nous pouvons maintenant commencer à dégager une réponse à notre question initiale, qui était de savoir si la liberté et la nature sont nécessairement opposées. Au commencement du développement économique moderne, alors que la liberté arrive sans aucune structure, on transforme les ressources naturelles, relativement abondantes mais peu productives, en travail humain (c'est-à-dire en population plus importante) et en capital, qui existent en quantités plus limitées, mais produisent bien plus. Dans ces premières étapes, la liberté et l'environnement sont des biens de substitution, comme disent les économistes : plus de liberté implique moins de demande pour l'environnement à son état naturel. Dans ce type de sociétés, le taux de fertilité reste haut et la qualité de l'environnement se détériore. Mais plus tard dans le processus de développement économique, le capital et la main-d'oeuvre deviennent si efficaces, en particulier grâce au progrès technologique, que l'environnement peut retrouver un état plus naturel. Et comme ces sociétés sont plus prospères, elles peuvent mieux supporter les coûts des régulations environnementales jusqu'aux plus inefficaces. Les marchés libres sont le mécanisme le plus robuste créé par l'homme pour étudier rapidement les conséquences des décisions prises. Le profit et les pertes nous enseignent à apprendre de nos erreurs et de les corriger. En comparaison, la bureaucratisation a tendance à arrêter l'innovation et à rendre l'adaptation rapide aux conditions changeantes, qu'elles soient économiques ou écologiques, plus difficile pour la société comme pour l'individu. Les économies centralisées basées sur la planification échouent, et une planification centrale de l'écologie mondiale échouera aussi. Notre objectif doit être de trouver une façon de laisser la liberté et l'environnement s'épanouir ensemble, pas d'en sacrifier un dans le vain espoir de protéger l'autre.
  10. Je prendrai celui sur le capitalisme durable lundi si personne ne s'en est déjà occupé. L'autre me semble un peu trop américano-américain..
  11. Je n'utilise aucun outil, et c'est pour ça que je demande systématiquement une relecture avant de soumettre à publication Mais c'est noté, j'essaierai d'y penser.
  12. Rah mais "réticence", merci, j'arrivais pas du tout à retrouver le mot et j'étais sûre que c'était pas "reluctance" -.-
  13. C'est une réaction fort plaisante. Bali c'est pas mal, je regarderai tes corrections tout à l'heure.
  14. Merci ! Ils ne versent pas trop dans la sodomie de mouches innocentes sur les sports extrêmes ? Si t'as un accident pendant un hors-piste "gentil" au ski (les étendues de neige pas damée entre deux pistes sur 300m quoi), ils te couvrent ? C'est plus dur à calculer.. faire une exclusion même partielle comme ça leur permet de faire des économies et donc de mieux prendre soin de ceux qui rentrent dans les critères. IMO ça se tient.
  15. Pour rappel, j'aimerais une relecture de : https://lite5.framapad.org/p/oytsISEmHJ(discours de Rand Paul) https://lite5.framapad.org/p/unI0F3RWbb%C2%A0(légalisation de la marijuana) avant de mettre en page et d'envoyer les deux articles à la rédaction. Merci !
  16. Nooon ! Heureusement, j'avais gardé le brouillon. Le texte est en ligne, je mets le titre, les images et la mise en page asap EDIT : normalement, maintenant c'est bon
  17. Je ne vois parler ici que d'une seule sécu pas nationale, Amariz. Du coup, quel est l'intérêt de quitter la Sécu pour aller dans un monopole, même s'il est privé ? C'est pour le principe anti-etat, ou parce que vous économisez quand même, ou pour une autre raison ? Question sans méchanceté hein, je me posais juste la question ce matin, parce que faire grossir une entreprise seule sur le marché, ça hausse les barrières d'entrée et ça fait perdre tout l'intérêt de la privatisation et du marché libre, j'ai l'impression..
  18. Pour relecture, l'article sur la légalisation de la marijuana : https://lite5.framapad.org/p/unI0F3RWbb
  19. Je prends le discours et l'article sur la légalisation et je vous fais ça d'ici demain soir
  20. Tiens, je découvre framapad, c'est pas mal Relu et modifié, donc.
  21. Un bon nombre de groupes locaux seraient prêts à venir jouer pour un demi-salaire et trois pintes, qu'ils soient libéraux ou pas. Pour un premier event, quelques groupes du coin font très bien l'affaire (enfin, on peut toujours démarcher des gens plus connus, on ne me fera pas croire qu'aucun musicien connu n'est libéral).
×
×
  • Créer...