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    France

Idées

  • Tendance
    Libéral classique
  • Ma référence
    ..et Schumpeter, Jung
  1. Il veut pouvoir profiter assez longtemps de son terrain de basket…
  2. Article intéressant. Mais, à mon avis, la notion "d'impérialiste libéral" est un peu pauvre en ce qu'elle mélange "impérialiste" et "libéral" d'une manière un peu indigeste. Le malentendu (ou la distorsion) vient des restes persistants de la "guerre froide" qui identifient "Occidental" et "libéral" par la seule référence à la liberté économique, celle du marché. Un des intérêts de la fin de la "guerre froide" est de clarifier ce qu'est réellement une position libérale, à savoir une position qui se réfère à l'humanisme donc aux droits naturels. Le débat qui n'est pas tranché est celui du "droit" à imposer aux autres la prise en compte des droits naturels (sous la direction de l'Amérique par exemple ).
  3. Jeremy Bentham écrit "Ce qui précède les droits, c'est la volonté, celle des individus". Il est le fondateur de l'Utilitarisme, base de la pensée qualifiée d'anglo-saxonne (par Hayek qui prèfère dire Britannique vs Française) Effectivement, formellement, je voulais dire romano-germanique (français en l'occurence). Je ne comprend pas bien la suite de ta remarque. J'oppose simplement le point de vue "positif" au point de vue "utilitariste", évidemment que le point de vue positif a une histoire, ce n'est simplement pas la même que celle du point de vue 'Utilitariste". En l'occurence c'est celle des philosophes Français, Allemands, Austro-hongrois … qui sont "rationnels" (en relation avec un point de vue "Catholique" contre un point de vue "Protestant")
  4. Dès 1789 il y a eu des mesures immédiates comme l'enrôlement d'anciens esclaves devenus libres dans les troupes de Lafayette pour aller aux Etats-Unis justement. En 1790 un décret de l'assemblée ouvre la participation aux assemblées coloniales sans distinction de couleur, en 1794 l'assemblée confirme à l'unanimité l'abolition de l'esclavage en présence d'un député noir acclamé, en 1795 la convention nomme plusieurs généraux mulâtres et noirs, plus tard le général métis Alexandre Dumas fera toutes les campagnes de Napoléon. Bref la république a appliqué ses principes, même s'il y a eu des réticences et des obstacles. Rien à voir avec la situation américaine. Bien sûr la France a commis des entorses aux principes de 1789 mais jamais de manière systématique et revendiquée (on a jamais divisé en France les restaurant, les bus ou les trains en partie noire et partie blanche). Même les lois coloniales n'ont jamais eu explicitement la race comme fondement (y compris avant la république). … Et les fondements de notre constitution reposent sur "l'homme bon" de Rousseau, et non sur le péché originel des Protestants (désolé pour la guerre de religions )
  5. Je crains que cela soit plus, c'est le reflet d'une tradition anglo-saxonne qui a une vision pragmatique du droit (utilitariste) au service de la communauté. Dès lors pour quelqu'un qui est hors de la "communauté", le noir avant, l'Islamiste aujourd'hui, aucune règle de droit ne s'impose. Ceci s'oppose évidemment à notre conception "universelle et positive" du droit…. Le fait que dans leur déclaration d'indépendance et déclaration des droits, les droits universels sont évoqués, mais simultanément refusés aux Indiens et aux noirs montre qu'il s'agit d'une "tendance lourde" fondatrice de la culture américaine.
  6. Le report d'un an de la fermeture est une indication sur l'attitude dite "centriste" d'Obama, il ferme, mais d'un point de vue Européen rien ne justifie le délai d'un an (c'est illégal ou ça ne l'est pas, et si ça l'est alors ça l'est même un jour de plus). L'info sur le type libéré qui devient un boss d'Al-Qaïda, montre à quel point les américains en général restent peu soucieux du respect d'un principe de droit (quand ce n'est pas eux). Bref il leur semblerait que Guantanamo avait du bon, ils le regrettent déjà…
  7. Oui mais justement on est après le 11 septembre 2001 et on sort juste d'un déluge de réthorique "guerre au terrorisme", c'est donc bien une rupture (qui d'ailleurs est en ligne avec diverses analyses américaines qui recommandent l'abandon de ce thème). Ce n'est pas la chose la plus idiote qu'il ai dite, je pense même que c'est une des plus intéressante avec quelque chose sur "l'esprit collectif" ou "l'intelligence collective". ça c'est certes banal et discutable, mais probablement incontournable pour lui, en tant que démocrate, et dans le nouveau contexte interventionniste. En général il me semble que dans ce genre d'exercice le ton général est plus important que les détails qui ne peuvent être que triviaux. A noter que mes commentaires ne vont pas au-delà d'une première impression…
  8. Il est notable que son discours est nettement moins agressif que celui de son précesseur. Il n'a par exemple pas employé une seule fois le mot "terroriste", il a seulement évoqué le fait de ne pas tolérer "la terreur", c'est une franche diffèrence d'approche.
  9. Ne t'inquiètes donc pas, l'Amérique reste toujours (presque) aussi dangereuse pour nous, ceux qui ont élu Bush n'ont pas disparus, maintenant que Obama a quitté le Sénat il est de nouveau tout blanc… et l'Amérique est toujours la même sous la soleil. cf: le risque américain
  10. j666

    Le cas de l'Iran

    Si je comprend bien, tu penses que le régime du Chah d'Iran, soutenu par les américains était tout à fait libéral?
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