Aller au contenu

Patrick Smets

Utilisateur
  • Compteur de contenus

    9 482
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    10

Messages postés par Patrick Smets

  1. Un homme avait deux fils, dont le plus jeune dit à son père : "Mon père, donne-moi la part du bien qui me doit échoir." Ainsi, le père leur partagea son bien. Et peu de temps après, ce plus jeune fils ayant tout amassé, s'en alla dehors dans un pays éloigné, et il y dissipa son bien en vivant dans la débauche. Après qu'il eut tout dépensé, il survint une grande famine en ce pays-là ; et il commença à être dans l'indigence. Alors il s'en alla, et se mit au service d'un des habitants de ce pays-là, qui l'envoya dans ses possessions pour paître les pourceaux. Et il eût bien voulu se rassasier des carouges que les pourceaux mangeaient ; mais personne ne lui en donnait. Etant donc rentré en lui-même, il dit : Combien ya-t-il de gens aux gages de mon père, qui ont du pain en abondance ; et moi je meurs de faim ! Je me lèverai, et m'en irai vers mon père, et je lui dirai : Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, et je ne suis plus digne d'être appelé ton fils ; traite-moi comme l'un de tes domestiques. Il partit donc, et vint vers son père. Et comme il était encore loin, son père le vit, et fut touché de compassion ; et courant à lui, il se jeta à son cou et le baisa. Et son fils lui dit : "Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, et je ne suis plus digne d'être appelé ton fils". Mais le père dit à ses serviteurs : "Apportez la plus belle robe et l'en revêtez ; et mettez-lui un anneau au doigt et des souliers aux pieds ; et amenez un veau gras et le tuez ; mangeons et réjouissons-nous ; parce que mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, mais il est retrouvé.

    Et ils commencèrent à se réjouir. Cependant son fils aîné, qui était à la campagne revint ; et comme il approchait de la maison, il entendit les chants et les danses. Et il appela un des serviteurs, à qui il demanda ce que c'était. Et le serviteur lui dit : "Ton frère est de retour et ton père a tué un veau gras, parce qu'il l'a recouvré en bonne santé". Mais il se mit en colère, et ne voulut point entrer. Son père donc sortit, et le pria d'entrer. Mais il répondit à son père : "Voici, il y a tant d'années que je te sers, sans avoir jamais contrevenu à ton commandement, et tu ne m'as jamais donné un chevreau pour me réjouir avec mes amis. Mais quand ton fils que voici, qui a mangé tout son bien avec des femmes débauchées, est revenu, tu as fait tuer un veau gras pour lui". Et son père lui dit : "Mon fils, tu es toujours avec moi, et tout ce que j'ai est à toi. Mais il fallait bien faire un festin et se réjouir, parce que ton frère que voilà, était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu , et il est retrouvé.

  2. Y s'égare le ch'tit Sarko.

    A force de jouer les sous-fifres, on va avoir du mal à l'imaginer dans un autre rôle. Et bonjour la cohérence, rapport à sa démission il y a quelque temps.

    J'ai un peu du mal à saisir son choix.

    J'imagine que c'est une nécessité pour pouvoir passer à la télé. Depuis le présidence du l'UMP, il ne pouvait exister qu'en critiquant le gouvernement, mais dans les circonstances actuelles, ca aurait finallement tuer les chances de tous les candidats de droites -> nécessité de trouver un truc qui lui permet de passer à la télé sans compromettre la droite.

    Mais, je me demande comment ca va se passer avec 2000pintes

  3. Tu parles d'une idée !

    Quand un banquier accorde un prêt à un entrepreneur il ne vient pas en fin d'année réclamer un complément sous prétexte que le gars a fait de gros bénéfices avec le capital qui lui a été prêté.

    Pour les salariés c'est la même chose, leur salaire est dû que l'entreprise fasse des bénéfices ou pas. Pourquoi devraient ils être rémunérés pour un risque qu'ils n'ont pas pris ?

    S'il veulent être "intéressé aux bénéfices de la croissance" ils n'ont qu'à acheter des actions de l'entreprise. Ce qui est d'ailleurs possible maintenant plus facilement dans le cadre des plans d'épargne d'entreprise.

    Petite leçon de gaulisme :

    la participation, c'est bien

    les stock options, c'est mal

    :icon_up:

  4. De villepin !

    éventuellement Borloo pour le coté supergauchiste, mais Deuxmillepîntes est candidat au poste et c'est la dernière fois que Chirac peut nomme un premier ministre. Il saura remarcier un vieux fidèle. En plus, DVP garde son coté anti-amerloque très pro-européen camp de la paix, un avantage non-négligeable vu ce qui attend les élites politiques françaises….

  5. :icon_up: Ben ça, y a mon plonk qui marche pas !

    *PLONK*

    Un peu carricatural et éxagéré mais hélas encore assez vrai,

    Fais moi plaisir, même si tu dois mentir,mais tu dis quand même bien ça pour rire ?!

    hélas, Rousseau l'a dit avant toi.

    Hélas ! C'est le mot.

    in discours sur l'inégalité parmi les hommes, un grand classique, tu devrai connaitre………

    Je connais l'ouvrage et ses conséquences.

    Puisque tu prétends savoir lire, je te signale qu'on a progressé depuis Rousseau.

  6. avant le socialisme, la France de la droite conservatrice et bourgeoise, à la Papa, là, c'était pas du 2 % mais du 0 %, c'est pas compliqué, dans la france des années 60 et 70, les enfants d'ouvriers étaient ……ouvriers

    :icon_up: j'avais raté ça ! Mais bien sur, et la mobilité sociale était égale à zéro avant 1981. D'ailleurs, les ancêtres des patrons étaient les propriétaires des mammouths et il forçaient les braves ouvriers néanderthaliens à chasser pour eux. En plus, ils les faisaient même vivre dans des grottes presque insalubres, salaud d'exploiteurs !

    *PLONK*

  7. Reconnaissons que le liberalisme manque d'une bonne théorie dela reproduction sociale et que le thème a été trusté par les gauchistes.

    2 % seulement de fils d'ouvriers achevent un premier cycle universitaire

    la question est : qu'en serait-il dans un monde libéral ? Tu oublies que ce chiffre illustre la situation dans une société ultra-étatique où l'Etat a totalement subordonné toutes les formes d'enseignement. Tout ça au nom de l'égalité des chances et avec quel résultat ? 2 % ! Y a-t-il moyen de faire pire ?

    PS: par contre 100% des ouvriers payent les études supérieures des enfants de bourgeois au nom de la justice sociale. Pas mal comme forme de redistribution….

×
×
  • Créer...