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Chouette, Ils S'y Mettent Aussi


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World soccer's governing body (FIFA) has raised concerns with the Israeli government after the IDF targeted the main soccer stadium in the Gaza Strip with artillery fire.

FIFA said Friday it is considering possible action over the air strike.

The shells, which reportedly left a large crater in the center of the field, were fired early last Friday morning in response to Kassam rocket attacks.

Those attacks included one rocket that landed on a soccer field at Kibbutz Karmiya, south of Ashkelon, the day before.

The IDF has acknowledged that the stadium was specifically targeted to "send a strong message to the Palestinian people against terrorism."

"Knowing the stadium was unpopulated, artillery fire from Israel was fired directly at it," said the IDF Spokesman. "The terrorism is coming from within them, and they need to know that they are the ones suffering."

The fire took place at a time when the Palestinian national soccer team is taking part in the Asian Football Confederation (AFC) Challenge Cup in Bangladesh.

Jerome Champagne, a representative of FIFA's president for special affairs, this week sent an official letter to Israeli Ambassador to Switzerland Aviv Shiron, asking him to explain why the stadium was targeted before FIFA decided what action, if any, to take.

Champagne told The Jerusalem Post that the organization was "not happy with what happened."

"Hitting a football stadium is absolutely counterproductive for peace, because today football is the only universal tool that can bridge gaps," he said.

Champagne added that the field was not being used by Palestinians as a missile launching pad, as Shiron had originally claimed.

The former FIFA deputy general-secretary said that Israeli checkpoints have made it impossible for the Palestinians to develop their own league since 2000, and he refused to condemn the Kassam attack on Karmiya.

Citing the 2004 FIFA decision to allow Israel to host its national team games on home soil after being forced to play abroad for two years due to terrorism fears, Champagne said, "We did everything possible to make sure the Israeli team has the right to play. At the same time, we have to observe the situation [in which] Palestinian football cannot be developed itself because of Israeli checkpoints."

When asked about the threat of Kassams, Champagne, a French national, said, "The Gaza Strip was occupied since 1967. [France was] occupied by Germany three times in the last 100 years. Do you think we could just kiss and make up after six months?"

"No part of Israel is occupied by the Palestinian people. It is not right to occupy a people," he added.

Shiron said that after he received the letter he discussed the issue with FIFA representatives. "I checked with the authorities in Israel, and I got back to them [FIFA] saying that in the framework of Israeli activities against Kassam rockets and its launchers apparently the field was hit."

Shiron said he also raised with FIFA the issue of the Kassam that hit the soccer field in Karmiya, but that FIFA had not yet responded.

Uri Selah, secretary of Kibbutz Karmiya, said one resident sustained light wounds in the attack, although it could have been much worse. "It is a small field, but if the rockets had been fired a day later it would have been full of people playing soccer and the situation could have been much more serious," he said.

AFC President Muhammad Bin Hammam condemned the Israeli strike as "a crime against Palestine sports facilities" and held a meeting with Palestine Football Association assistant general-secretary Nahid al-Hour to discuss the situation.

FIFA president Sepp Blatter, in Bangladesh to observe the tournament, also attended the meeting and is expected to discuss with Champagne on his return Friday what, if any, action FIFA will take.

Traduction pour les fainéants :

En gros Israel pour avoir effectué une frappe aérienne sur un terrain de football palestinien (utilisé comme site d'entraînement et de lancement de roquettes par le Djihad islamique.), a fait sortir la FIFA de son rôle apolitique et ce dernier à affirmer qu'il n'excluait pas d'engager des sanctions envers l'état d'Israel. Le tout agrémenté du discours palestinéophile courant. Le stade de foot est un pont entre les peuples qu'on vous dit…

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C'est pas exactement ce que je viens de lire, ce que tu dis est largement exagéré et même faux.

Par exemple, le commandement militaire israelien a bien expliqué que cette frappe sur le stade avait pour but d'envoyer un message aux palestiniens, et qu'il n'y avait pas eu de tirs de roquettes depuis ce site, ni d'entrairement de quelque groupe que ce soit.

Ce couplet "hé, regardez ils font que dire des mechancetés sur Israel" ne peut être entonné que par quelqu'un qui y croyait déjà, avant même que cet évènement avec la FIFA se produise. Evènement qui est, du reste, un non évènement, puisque le commandement militaire a avoué que c'était une attaque sans raison, la FIFA a dit qu'ils allaient aider les palestiniens à reconstruire, et l'IFA semble en bon terme avec la FIFA.

Stop la parano, à mon avis.

Lisez plutot :

Aucune blessé n'a été recensé lors de cette attaque aérienne qui aurait laissé un large cratère sur l'aire de jeu. Le commandement militaire israélien a reconnu qu'aucune roquette n'avait été tirée du terrain de football, mais que ce raid avait pour but de dissuader de possibles attaques à l'encontre de l'état d'Israel, inquiet de l'augmentation de tirs de missiles en provenance de Gaza.

http://www.tqs.ca/sports/2006/04/S04079AU.html

Et même info, ici : http://www.ejpress.org/article/7365 et ici : http://www.jpost.com/servlet/Satellite?cid…icle%2FShowFull

Et voilà ce que j'ai trouvé sur un site qui m'a l'air plutot pro-israelien :

En 2003, la FIFA ''a pris fermement position pour garantir que le football israélien se développe et que le pays puisse jouer ses matches internationaux à domicile. Alors que dans certaines compétitions, les clubs israéliens et l'équipe nationale n'étaient pas autorisés à jouer à domicile en raison d'une série d'atrocités terroristes, la FIFA a fait en sorte que Tel-Aviv puisse accueillir les matches de la sélection d'Israël lors des éliminatoires pour la Coupe du Monde de la FIFA 2006''.

''En parallèle, la FIFA a défendu les droits du football palestinien d'évoluer, d'être pratiqué au niveau international, de bénéficier de bonnes infrastructures et d'organiser des compétitions communes entre la Cisjordanie et Gaza.

Pour appliquer cette philosophie, la FIFA a accordé des projets GOAL à la Fédération de football d'Israël afin d'installer un nouveau terrain à Nazareth, et à la Fédération de football de Palestine pour la construction de son siège à Bayt Lahya ainsi que pour le financement de l'installation de trois terrains en gazon artificiel à Gaza, Ram et Ramallah''.

Apparemment la FIFA n'aime pas que l'on saccage son boulot pour de mauvaises raisons.

En mars 2006, selon le classement mondial FIFA/Coca-Cola, l'équipe de football d'Israël figure au 47e rang (615 points), soit une baisse de 3 rangs par rapport au classement de févrie, r 2006. L'Autorité palestinienne, dénommée ''Palestine'' est à la 121e place (377 points), soit une hausse de 17 rangs par rapport au précédent classement.

Marrant, les israéliens sont les premiers à se plaindre que certains leaders du Hamas ou de l'Iran, jusqu'à une date récente, ne prononçaient jamais le mot "Israel", mais parlait de "l'entité sioniste". Ici, le journaliste a la coquetterie de parler de "l'AP, dénomée "palestine"". :icon_up:

Encore autre chose, voilà ce qu'un media pro-israelien est capable d'écrire :

http://www.a7fr.com/Default.aspx?tabid=52&…&articleId=5671

PAS UN MOT SUR SADDAM ET LES TALIBAN

Quand le fils de Saddam Hussein, Uday, a torturé les joueurs de football irakiens en 1997 après leur échec en qualification pour les finales de la coupe du monde de football en France, la FIFa est demeurée silencieuse. Uday, qui était président de l'association irakienne de football, tortura de nouveau des grands joueurs en 1998. Et en 2000, suivant une défaite en quart de finale de la Coupe de l'Asie, trois joueurs irakiens furent fouettés et battus pendant trois jours par les gardes du corps d'Uday. La torture eut lieu au siège du quartier général de comité olympique irakien, mais la FIFa ne dit rien.

De même, la FIFA regarda simplement ailleurs quand les Taliban utilisèrent un terrain de football finance par l'ONU pour flageller et massacrer des centaines d'innocents qui auraient violé la loi de la sharia, devant de milliers de gens scandant " Allah ouakbar ". (Le coach de l'équipe afghane Habib Ullahniazi déclara que trente personnes au moins furent exécutées au milieu du terrain pendant les mi-temps d'un seul match de football au stade Ghazi de Kaboul).

La FIFA ne se prononça pas non plus quand de stades de football en Argentine furent transformés en prisons.

ET LE CHILI ET LA TCHETCHENIE

Le silence de la FIFa ne fut pas moins assourdissant quand, selon la Croix Rouge Internationale, environ 7.000 prisonniers furent détenus (et certains torturés) au stade national de football du Chili, après qu'Augusto Pinochet se soit emparé du pouvoir en 1973.

L'organisation ne menaça pas davantage la Russie de sanctions quand le président tchétchène Akhmad Kadyrov fut assassiné par l'explosion d'une bombe au stade Dynamo de Grozny.

De même au Moyen-Orient, la FIFA refusa de critiquer la décision de nommer un tournoi de football palestinien du nom d'un terroriste islamikaze qui assassina 31 personnes lors d'une célébration de la pâque juive au Park Hôtel de Netanya en 2002. (Lors du tournoi, organisé sous les auspices de Yasser Arafat en 2003, le frère de l'islamikaze à la bombe se vit conférer l'honneur de distribuer les trophées à l'équipe victorieuse).

La FIFA refusa aussi de condamner l'attentat suicide à la bombe au restaurant Maxime de Haïfa d'octobre 2003, au cours duquel furent blessés trois officiels de l'équipe championne israélienne, le Maccabi de Haïfa.

:doigt: C'est trop inzuste. :warez:

Tiens, encore d'autres news :

Jerome Champagne, FIFA Delegate of the President for special affairs, said that FIFA had accepted the explanation.

Champagne stated unequivocally in a telephone conversation with IFA General Secretary Haim Zimmer on Friday, April 7 that FIFA had no intention of imposing any sanctions on Israel and was not considering asking any other body to take action, as the Guardian article alleged

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