Tract sur la dette

[Aurel]

Le PLD va diffuser ce tract auprès de ses comités pour une diffusion de terrain, j'invite ceux qui le souhaitent à faire de même. Pour des commandes supérieures à 500 exemplaires, nous pouvons vous envoyer un stock par voie postale.

Ce document peut aussi circuler par mail.

[Chitah]

5eme ligne il manque un s a salaire.

[Aurel]

Voilà, c'est la fôte à l'EdNat

[Chitah]

Voilà, c'est la fôte à l'EdNat

ironique en effet.

[Pax In Terris]

Attention :

À la fin du deuxième paragraphe, il est écrit :

rembourser notre dette

C'est là un très regrettable mélange.

L'État n'est pas le peuple.

La dette de l'État n'est pas la dette du peuple.

En réalité, la dette de l'État n'a aucun véritable débiteur. Et c'est pour cela qu'historiquement, aucune dette d'un État n'a jamais été remboursée.

Certes, les contribuables doivent s'attendre à de continuelles hausses d'impôts. Mais ces hausses d'impôts n'auront jamais pour finalité de rembourser la dette de l'État. Un État ne se débarasse de sa dette que par l'une des deux manières suivantes : en la répudiant ou en faisant marcher la planche à billets.

Les créanciens de l'État et les détenteurs de créances libellées en euros ont tout à craindre.

Enfin, je dois dire qu'un État est une bête sauvage de laquelle il est très difficile de se prémunir.

Il est à mon humble (et fluctuant) avis dangereux de légitimer l'État.

Or c'est précisément légitimer l'État que de lui donner des conseils, comme dans cette phrase :

Le plan de réduction des dépenses publiques doit être au minimum de 70 milliards d’euros par an pour retrouver un budget excédentaire et commencer à rembourser notre dette.