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Banque centrales, grosses bêtises & propagande


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Chicago school VS austrian School made in france : 

 

 

 Elle est pas mal Emmanuelle Gave.

 

Bon au bout d'un moment, il y a un vieillard qui dit des conneries sur l'immigration. Mais il est assez isolé.

 

 Et les auditeurs de radio toutmoisie sont assez nuls...

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Emmanuelle Gave ? Physiquement, elle est pas mal, oui. Intellectuellement, elle a beaucoup bossé son sujet, mais un bon hayékien imprégné de Choix Publics la démonterait sans trop de peine.

Le vieillard, c'est Fred Aftalion. J'ai honte une fois sur deux quand il l'ouvre.

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Oui, c'est la fille de Charles. Et les mauvaises langues disent qu'elle écrit une partie de ses articles.

C'est une certitude. Cette émission par exemple, reprend littéralement des arguments déployés par "Gave" dans ses articles. Le même angle, les mêmes exemples, la forme aussi, etc.

Ou alors elle est vraiment en parfaite symbiose avec son père.

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  • 1 month later...

La banque de France verse 4.5 milliards de dividendes à l'Etat français, principalement via les actifs achetés dans le cadre du QE européen.

 

Pendant ce temps là, la BundesBank fait des provisions en anticipant la remontée des taux.

 

https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/0211875034867-la-banque-de-france-verse-une-cagnotte-de-45-milliards-a-letat-2072121.php

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La phase d'émission du TLTRO s'est achevé hier. Sur une dernière émisssion record de 233 milliards d'euros prêtés à 0% aux banques de la zone euro, pour un total de 739 milliards depuis décembre 2016.

 

tltro%20gs%201.jpg

 

Banks Scramble For Free ECB Money: €233.5 BIllion Allotted To 464 Banks In Final TLTRO Operation

 

Le succès de l'opération, malgré la rémunération négative des dépôts à l'heure actuelle, est notable.

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28 minutes ago, FabriceM said:

La phase d'émission du TLTRO s'est achevé hier. Sur une dernière émisssion record de 233 milliards d'euros prêtés à 0% aux banques de la zone euro, pour un total de 739 milliards depuis décembre 2016.

 

Banks Scramble For Free ECB Money: €233.5 BIllion Allotted To 464 Banks In Final TLTRO Operation

 

Le succès de l'opération, malgré la rémunération négative des dépôts à l'heure actuelle, est notable.

 

Désolé j'ai une question de débutant...

Les TLTRO sont simplement des prêts accordés aux banques commerciales par la banque centrale, donc lorsque les banques commerciales les remboursent à la banque centrale, l'argent "créé" pour le prêt est alors "détruit". A la fin de l'opération, il n'y a pas eu de création monétaire. Ou je m'égare ?

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il y a 4 minutes, Mister_Bretzel a dit :

Désolé j'ai une question de débutant...

Les TLTRO sont simplement des prêts accordés aux banques commerciales par la banque centrale, donc lorsque les banques commerciales les remboursent à la banque centrale, l'argent "créé" pour le prêt est alors "détruit". A la fin de l'opération, il n'y a pas eu de création monétaire. Ou je m'égare ?

 

Lors des TLTRO, les banques mettent des actifs en pension et reçoivent de la liquidité correspondant à la valeur de l'actif moins une décote inversement proportionnelle à la qualité de l'actif.

Comme les actifs en question sont des actifs quasi-monétaires, on peut l'interpréter comme une forme de "transmutation" temporaire de ces actifs en cash parfaitement liquide.

Effectivement, à la fin de l'opération, tout revient à l'état initial. Enfin, si les banques sont capables de rembourser. Etant donné qu'on en est à la n-ième opération de LTRO et que ça fait 5  ans maintenant que les banques européennes bénéficient en permanence de cette source de liquidité, on peut légitimer questionner le réalisme de ce "si".

  • Yea 1
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Donc si les banques ne peuvent pas rembourser ce cash, elles seraient en cessation de paiement et la banque centrale saisirait leur actifs ? Quel en serait l'impact en sachant que les actifs mis en pension doivent être bien pourris, certainement bien moins bons que leur évaluation initiale non? 

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17 minutes ago, FabriceM said:

 

Lors des TLTRO, les banques mettent des actifs en pension et reçoivent de la liquidité correspondant à la valeur de l'actif moins une décote inversement proportionnelle à la qualité de l'actif.

Comme les actifs en question sont des actifs quasi-monétaires, on peut l'interpréter comme une forme de "transmutation" temporaire de ces actifs en cash parfaitement liquide.

Effectivement, à la fin de l'opération, tout revient à l'état initial. Enfin, si les banques sont capables de rembourser. Etant donné qu'on en est à la n-ième opération de LTRO et que ça fait 5  ans maintenant que les banques européennes bénéficient en permanence de cette source de liquidité, on peut légitimer questionner le réalisme de ce "si".

 

Le détail des actifs qui passent des mains des banques commerciales aux banques centrales est détaillé quelque part ? Ca me parait bien obscur tout ce bazar. Si la banque centrale récupère via les LTRO des paquets d'actions, ça fait que techniquement, elle pourrait siéger au conseil d'administration d'une entreprise ?

 

Sinon merci @Airas  pour la question que je voulais poser aussi ^^

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Il y a 4 heures, Airas a dit :

Donc si les banques ne peuvent pas rembourser ce cash, elles seraient en cessation de paiement et la banque centrale saisirait leur actifs ?

Oui. Et la conséquence logique serait logiquement de la rétention de ces actifs et du QE "involontaire" pour éviter d'encaisser des pertes en les remettant directement sur le marché.

 

Il y a 3 heures, Mister_Bretzel a dit :

 

Le détail des actifs qui passent des mains des banques commerciales aux banques centrales est détaillé quelque part ? Ca me parait bien obscur tout ce bazar. Si la banque centrale récupère via les LTRO des paquets d'actions, ça fait que techniquement, elle pourrait siéger au conseil d'administration d'une entreprise ?

 

Sinon merci @Airas  pour la question que je voulais poser aussi ^^

Non, les actifs pour les LTRO c'est du genre obligations d'état ou obligation d'entreprise de haute qualité.

  • Yea 1
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18 minutes ago, FabriceM said:

Oui. Et la conséquence logique serait logiquement de la rétention de ces actifs et du QE "involontaire" pour éviter d'encaisser des pertes en les remettant directement sur le marché.

 

Non, les actifs pour les LTRO c'est du genre obligations d'état ou obligation d'entreprise de haute qualité.

 

Merci pour tes réponses !

 

Y'a un endroit où on peut se renseigner sur ce genre de choses ? Comment fonctionne la BCE et notamment les LTRO etc...

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il y a 12 minutes, Mister_Bretzel a dit :

Y'a un endroit où on peut se renseigner sur ce genre de choses ? Comment fonctionne la BCE et notamment les LTRO etc...

 

J'avoue que j'ai appris beaucoup sur le site d'olivier berruyer, voir par exemple

http://www.les-crises.fr/la-monnaie-banque-centrale-2/

 

Du reste, je me suis auto-formé au fur et à mesure entre zerohedge, wikipedia, le site de la BCE.

 

In fine tout ce qu'il y a savoir sur les collatéraux acceptés par la BCE se trouve là https://www.ecb.europa.eu/paym/coll/html/index.en.html

plus ou moins enfoui, plus ou moins obscurci par du jargon technique, mais c'est bien là.

 

Et en rédigeant ce message, je m'aperçois que la BCE accepte des trucs bien plus vaseux que je ne l'aurais cru (notamment des ABS) même si c'est avec des décotes notables.

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Ben oui. C'est pour ca que les hommes politiques créent des lois pour que les banques prêtent à des ménages insolvables. Le crédit hypothécaire est la base du financement d'une économie saine. C'est la premiere source de fond des entrepreneurs.

Quand les hommes politiques ne font pas en sorte de crasher l'ensemble du marché immobilier, en cas de pépin, la banque revend et comme le credit est deja partiellement remboursé, tu peux vendre en dessous du prix du marché sans prendre de perte.

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il y a 6 minutes, Tramp a dit :

Ben oui. C'est pour ca que les hommes politiques créent des lois pour que les banques prêtent à des ménages insolvables. Le crédit hypothécaire est la base du financement d'une économie saine. C'est la premiere source de fond des entrepreneurs.

Quand les hommes politiques ne font pas en sorte de crasher l'ensemble du marché immobilier, en cas de pépin, la banque revend et comme le credit est deja partiellement remboursé, tu peux vendre en dessous du prix du marché sans prendre de perte.

 

Le crédit hypothécaire est bien sur beaucoup moins risqué qu'un prêt "à blanc", bien sur, mais de la à le qualifier de "sans risque", c'est un peu fort, non ?

Surtout, l'immobilier est une classe d'actif relativement liquide. Quand on part sur du crédit auto (ce qui peut se trouver dans des ABS), dire qu'on reste sur du prêt sans risque me parait assez extravaguant.

 

D'ailleurs, au moment même où on parle, le marché des voitures d'occasion aux US prend cher, et ça pourrait n'être que le début, vu les inventaires à liquider.

http://www.zerohedge.com/print/591089

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L'actif sans risque c'est l'actif le moins risqué du marché. Le risque n'est pas zéro. Comme la dette publique ou n'importe quoi d'autre.

 

Sur du credit auto, il y a des décotes monstres.

 

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Et si les banques centrales prennent aussi des crédits autos, il y a une raison toute simple : les caprices des fabricants d'automobile ne vont pas fournir de la dette publique comme actif.

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  • 2 weeks later...
  • 2 weeks later...

J'ai décidé de me documenter un peu sur l'activité des banques centrales aux Etats Unis et en Europe et j'ai plusieurs questions de novice.

 

J'étais en train d'écouter ce type, Richard Werner, qui prétend être l'inventeur de l'idée de Q.E. qui aurait été dévoyée au profit de politiques de manipulation des taux d'intérêts, là où il préconisait une augmentation du volume de crédit, sous entendant que de cette manière la création monétaire serait moins accaparée par le secteur financier à des fins de spéculation, et serait davantage employée à des fins d'investissements dans des secteurs produisant des richesses. On dit souvent que les taux bas ne garantissent pas l'investissement, et j'imaginais que l'explication pour cela était simplement le manque de perspectives commerciales. J'ai l'impression qu'il suggère que la raison est que pour quelque raison les entrepreneurs, qui auraient besoin de crédit, ne trouvent pas dans le Q.E. l'occasion d'emprunter. Pour moi qui suis économiquement naïf, le taux d'intérêt est le prix du crédit, naturellement je me demande donc comment on pourrait amener des entrepreneurs à emprunter plus qu'ils ne le font, les taux et les perspectives étant égales par ailleurs, et dualement qu'est-ce qui limiterait l'accès au crédit si ce ne sont ces deux conditions.

 

 

Dans cette interview il n'explique pas vraiment comment ce "bon Q.E.", qui répondrait vraiment à une demande de crédit, fonctionnerait très concrètement, il mentionne le fait qu'il faudrait éviter que cette augmentation de masse monétaire parte entièrement dans du crédit pour des transactions financières, mais comment ces deux choses se passent, il ne l'explique pas vraiment.

 

Ce serait de l'incitation? Des taux sélectifs suivant les raisons de l'emprunt ou d'autres conditions avantageuses à part les taux?

 

Par ailleurs, par quel mécanisme est-ce que la création monétaire par baisse des taux est en général accaparée pour des transactions financières? Quelles sont les banques qui font ces prêts? Est-ce simplement une question d'information et de timing?

 

Quelqu'un pour m'éclairer? Merci !

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il y a 10 minutes, Anton_K a dit :

Quelqu'un pour m'éclairer? Merci !

Il y a eu un bon article sur ce sujet sur CP je pense (mais incapable de le retrouver, désolé).

 

Mais grosso modo, de mémoire incertaine, un des points est que ces taux bas sont vendus par très gros lots (milliards), et sont de ce fait captés uniquement par de très gros acteurs et recasés dans des trucs (conneries sans intérêt) à faibles rendements, mais qui deviennent rentables vus les volumes considérés.

On obtient donc (sans surprise je trouve) l'exact inverse de l'effet recherché.

 

De toutes manières, c'est jamais qu'une nième variation constructiviste qui montre son inanité. Mais, comme elle régale plein de gens bien placés, let's continue.

 

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Le plus gros "accaparement" de la politique monétaire aux US, c'est le rachat d'actions financé par de la dette corporate. Dans un QE, toutes les dettes d'entreprises ne sont pas traitées à part égale. Seuls les actifs notés et relativement bien notés sont achetés par la banque centrale. Les grosses boites sont plus susceptibles de voir leur dette rachetée et sont plus aptes à profiter de la politique monétaire. La baisse générale des taux se fait par "l'assèchement" de l'offre des meilleurs actifs. Sans avoir vu la vidéo, je dirais qu'un "bon QE" serait un QE qui toucherait toutes les entreprises, sans discrimination de taille. Mais on ne peut pas décréter ça d'un coup de baguette magique (cout de transaction, cout du risque sur les plus petites boites .. ).

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  • 2 weeks later...

Sur la demande de @Johnathan R. Razorback, je vais faire ici un petit récapitulatif de la conférence de hier à l'ESCE Europe qui s'intitulait "Et si on se réappropriait la monnaie ?"

J'ai choisi ce sujet car c'est celui qui se rapproche le plus du sujet de la conf' et que j'avais la flemme d'ouvrir un fil uniquement pour ce petit récap'. A votre bon plaisir.

 

C'est un sujet d'actualité, n'oublions pas que Marxine est pour un modèle à la hongroise, c'est à dire une monnaie locale en concurrence avec l'euro. Mais faut pas déconner hein, une concurrence organisée et étatique, absolument pas le type de concurrence que l'on aime ici.

 

La petite conférence a mis face à face Pascal Salin, économiste français représentant du courant autrichien et Anne-Laure Delatte, pipoconomiste économiste française du courant que je qualifierais de Pikettiste ; et plus précisément disciple de Michel Aglietta.

Pour résumer leurs positions, Salin pense (comme beaucoup ici) que la monnaie est un bien comme les autres, qu'elle doit être analysée sous le spectre de la concurrence et que les Etats qui jouent avec la monnaie ça part d'une mauvaise intention et ça n'amène que des problèmes. Delatte pense que la monnaie contemporaine est avant tout un phénomène politique voire culturel et que c'est sous ce spectre qu'elle doit être étudiée/planifiée par des instances représentantes du Peuple.

 

Maintenant que j'ai posé les bases des intervenants, je vais détailler leurs positions sur les sujets qui ont été abordés. Si vous voulez voir la conf' en entier, c'est sur ce lien (je pense qu'il faut un compte facebook). Je ne vais pas être chronologique et je ne vais absolument pas tout aborder ; même si ça n'a pas été assez long à mon goût, dans le cadre de ce sujet tout n'a pas d'intérêt.

 

1. L'euro, avant et pendant

 

Salin était tout d'abord, sans être hostile, plutôt réticent à l'idée d'une monnaie européenne unique. Ca allait contre les idées autrichienne de concurrence ; pire, c'était un outil de plus pour l'élite pour contrôler encore mieux la monnaie et c'était une excuse pour créer une "FED à l'européenne", c'est à dire une banque centrale. Et tout le monde sait que les banques centrales sont l'ennemi des économistes autrichiens ; il a pu revenir sur un peu d'histoire : l'humanité a très bien vécu des siècles sans banque centrale et l'idée de banque exclusives à l'Etat est un moyen de connivence extrêmement puissant (exemple de Napoléon et de la "nationalisation" de la Banque de France et de l'enrichissement de la famille de ce-dernier).

Delatte est ce que l'on amène une constructrice européenne, elle est persuadée que, sans aller vers les Etats Unis d'Europe (ce que je trouve plutôt logique dans leur raisonnement autant assumer tout de suite ce but au lieu de le nier), une harmonisation culturelle passe par l'uniformisation monétaire, ou en tout cas que c'est un phénomène colinéaire. Elle pense que les banques centrales sont nécessaire à l'épanouissement de l'économie mondiale. Vous connaissez très bien ce point de vue si vous écoutez à peu près n'importe quel économiste français mainstream.

 

Ils s'accordaient sur le fait que l'euro était avant tout une construction politique ; un malheur pour Salin, un bonheur pour Delatte :D. Mais maintenant que c'est fait, Salin s'oppose vigoureusement à une sortie brutale avec comme argument qu'on ne soigne pas le mal par le mal ; plus précisément, les problèmes que l'on a avec l'euro nous les aurons toujours tant que les banques centrales officieront et que les politiciens manipuleront la monnaie à leurs dessins. Tous s'accordent pour dire que les délires nationalistes, à savoir la monnaie serait un élément de la souveraineté nationale, c'est n'importe quoi*.

Delatte elle apporte un poil plus d'élément concrets quant aux dangers de la sortie de l'euro. Ce sont des apports agréables, parce que Salin reste très enfermé dans sa théorie.

 

(*Je trouve que c'est hypocrite de la part de Delatte comme des économistes mainstream d'invalider la théorie comme quoi la monnaie est gage de souveraineté nationale et à la fois de penser que la monnaie unique est gage d'union entre les peuples. Leur théorie peut s'appliquer à la nation, et unir la nation à travers une monnaie ne contredit pas leurs principes.)

 

2. Les monnaies locales et cryptomonnaies

 

Salin pense que la diversité des monnaies est une bonne chose, le problème cependant est que cette mode ne vient pas de volontés individuelles mais bien de pouvoirs publics locaux. Du coup ça n'est pas le rêve autrichien, mais ce n'est pas cauchemardesque non plus. L'objectif pour Salin est de faire pression sur les banques centrales pour qu'elles deviennent plus transparentes, plus honnêtes, qu'elles arrêtent l'inflation et s'interdisent la dévaluation. Et rien de mieux que pour mettre la pression selon lui que des monnaies d'origine individuelle, et en particulier les cryptomonnaies. Il aime sincèrement le concept, et pense que c'est l'illustration, dans les réussites comme les échecs, de ce qu'une monnaie doit être.

Delatte n'est franchement pas intéressée par le sujet, qu'elle considère comme gimmick. Le bitcoin représente quoi ? Une vingtaine de milliards de dollars de transaction ? C'est négligeable.

 

3. Conclusion rapide

 

Vous m'avez prévenu que Salin pouvait être un assez mauvais représentant du mouvement autrichien. Je pense avoir identifié pourquoi : il reste beaucoup trop enfermée dans sa théorie. Je suis à 100% d'accord avec lui sur tout ce qui dit quand il définit ce que la monnaie devrait être. Mais malheureusement ce n'est pas le cas. Je n'ai pas réussi à lui faire dire que la monnaie était une arme, un outil aux mains du big government contre le peuple  et aussi contre les autres gouvernements. Il se refuse aussi à analyser la monnaie contemporaine comme un outil politique, alors qu'elle a été conçue et est gérée comme ça. Ca ne devrait pas être le cas, d'accord. Mais le fait est que ça l'est, et j'aurais aimé savoir ce qu'il faut faire (hormis dynamiter la BCE) pour lutter contre ça. Les cryptomonnaies et les monnaies alternatives sont de bons exemples, mais malheureusement Delatte a raison quand elle dit qu'aujourd'hui elles représentent une part marginale de l'économie.

 

Si j'ai des idées ou oublié des notions je les rajouterais. J'écris ça au boulot entre deux calculs, j'avais pas le temps hier soir et je n'en aurais sans doute pas ce soir, pardonnez-moi ;)

  • Yea 4
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