Miss Liberty

Bien sûr que tu l'avais déjà dit, j'ai juste profité de ton sens de la formule pour en faire le pendant.

Juste, sauf que : Pour n'importe quel salarié il serait préférable d'avoir un préavis et une indemnité en cas de départ forcé, tout comme il serait préférable pour n'importe quel employeur d'avoir un préavis et une indemnité en cas de vacance forcée du poste… Il ne reste plus qu'à trouver un milieu acceptable pour les deux, de façon à ce que les deux parties acceptent de signer un contrat ensemble.

Dans l'ensemble, c'est le "programme" qui me plaît le plus sur ce fil. Avec quelques précisions liées aux commentaires qu'il a suscités : 1. rien à reprocher à cela 2. je serais curieuse de savoir comment a été calculé ce taux, très précis. Et aussi de comment cette imposition est répartie : pour le moment la forte imposition des entreprises est dûe aussi aux cotisations sociales diverses et variées, non? Exemple : si on donne la possibilité aux entreprises d'"économiser" au fur et à mesure d'un contrat le montant de la contrepartie financière qu'elles devront payer si elles veulent rompre le contrat (au lieu que tout transite par les assedic), ça pourrait limiter l'impôt, non? De même que de nombreuses autres cotisations. 3. pourquoi pas, ça fait une bonne source de revenus constants. Mais la TVA a un coût de gestion, puisqu'elle est prélevée pour les uns (consommateurs) et déduites pour les autres (producteurs). Il serait intéressant de chiffrer ce coût! 4. j'aime bien l'idée si elle est accompagnée de la libéralisation des hôpitaux et des centres de soins. Je ne sais pas trop ce qu'ils feront de la dette de la sécu, par contre. 5. c'est une sorte de système par capitalisation déguisé en un système de répartition, visiblement. Plus proche d'un système viable, donc. Sauf que je ne vois pas trop comment passer d'un système à l'autre sans pousser à la rue toute une génération, voire deux. Il paraît qu'il y a un fil entier là-dessus, donc je ne rentre pas dans le débat. 6. je suis à fond pour les transferts.Pour le plafonnement en revenu en particulier, je trouve que cela pose le problème d'une incitation négative, donc pourquoi pas un complément venant d'institutions privées pour les revenus les plus faibles? Sinon, j'ajouterai que les allocations ont un coût de gestion important et que leur uniformisation serait pas mal non plus. 7. je ne suis pas spécialiste, donc pas d'avis sur la question 8. tout à fait pour. Mais j'aimerais réagir sur les commentaires. Un contrat de travail doit prévoir des obligations en cas de rupture des deux côtés, en terme de temps et de compensations financières. Premièrement, c'est un contrat, donc on ne peut pas s'en dégager comme ça sans conséquence. Deuxièmement, former un employé a un coût pour une entreprise, et choisir un emploi plutôt qu'un autre a un coût d'opportunité pour le salarié, donc ils n'ont aucune raison de s'engager l'un envers l'autre s'ils peuvent perdre leur investissement en deux temps trois mouvements. Par contre, ces coûts et les durées/conditions de travail varient tellement en fonction des secteurs, qu'il me paraît contre-productif de créer un contrat de travail "unique". Disons plutôt qu'il ne doit pas exister de contrat de travail type, mais plutôt l'obligation de l'existence d'un contrat ; il me semble que le plus logique serait l'obligation de choisir un contrat type lié à un domaine d'activité et à ses exigences (ça existe déjà, c'est le principe des conventions collectives), avec une marge de modification de ce contrat type pour chaque employeur. 9. il serait temps, en effet! 10. pas sûr que ce soit le meilleur choix de tout vendre : certaines entreprises détenues par l'Etat pourraient être rentables si elles étaient mieux gérées, et il gagnerait à les garder comme source de revenus (autre que l'impôt) plutôt que de les vendre une bonne fois pour toutes. Par contre, modifier le statut des employés et supprimer leurs privilèges seraient une bonne idée d'économie. Particulièrement pour les entreprises qui sont vendues ou ont été vendues, proposer aux anciens employés un nouveau statut ou un licenciement (je pense à l'absurdité du statut des employés de France Télécom après la privatisation). Pour ce qui est de la répartition des revenus des ventes, il me semblerait plus judicieux de rembourser la dette avec plutôt que de l'offrir aux français. Puisque de toute façon, à moins de se mettre en faillite, c'est à nous que l'Etat va présenter la note, autant l'alléger un peu.

D'après cette définition, tu serais donc le plus galant et le plus connaisseur des hommes. J'ai des doutes… Je suppose que tu ne prends pas réellement la mouche et que c'est de l'humour, Lucilio. Tu as probablement eu l'intelligence de voir que je ne parle pas des libéraux en particulier, mais des hommes impliqués en politique (ceux que je connais de près étant soit libéraux soit royalistes). Loin de moi l'idée de faire un lien entre libéralisme et misogynie, ça serait absurde. Ca doit être vrai ce que tu dis, que le fait que les libéraux soient plus proches de la loi naturelle doit être un gros plus par rapport à des militants socialistes… mais je prends bien soin de ne jamais me rapprocher à moins de 10m de ce genre de personnages, donc je ne les connais pas bien. D'ailleurs, pourquoi diable aurais-je la quasi totalité de mes amis dans les deux cercles sus-cités si je les trouvais si rustres que ça?

@ Filthy John : Sacha Guitry, on t'a reconnu! Je crois que la confusion est bien de ton côté et non du mien : ce que tu décris n'est pas un misogyne, c'est un homme comme un autre, qui aime les femmes. Le moment où tu le fais basculer dans la misogynie est justement le moment où ils se sent contrôlé par les femmes (si ça c'est pas un complexe d'infériorité). D'ailleurs, je ne comprends pas pourquoi, étant un "grand amoureux de la femme", il serait l'offre et non le demandeur. Tous les beaux gosses, qui sont "l'offre" et qui ont les femmes à leurs pieds, ne sont pas tous misogynes. A vrai dire, j'ai même du mal à en trouver un seul de ma connaissance qui le soit. Un misogyne pour moi est quelqu'un qui méprise les femmes ; je les classerais en plusieurs catégories : l'homo refoulé, ou le frustré moche, qui ne trouvent pas leur place et en déduisent que la femme ne sait pas se faire aimer parce qu'elle n'est pas aimable l'intello qui considère qu'une femme ne peut pas être aussi intelligente que lui le pseudo intello qui se sent menacé dans sa virilité quand une femme est plus intelligente que lui le gros beauf, qui n'est pas capable de comprendre que quelqu'un qui n'aime pas ce qu'il aime (le tuning, par ex) n'en est pas moins respectable. Mais ça ça n'est pas à proprement parler un misogyne, c'est avant tout un gros con. La plupart des misogynes croisés en politique se rangeaient dans la catégorie intello ou pseudo intello.

Oh, ne t'inquiète pas, je ne formaliserai jamais de quelque chose dit sur un forum. Non seulement on n'a pas le ton, mais en plus certains s'en servent de défouloir. Pour ce qui est de la mysoginie, c'est 7 ans de militantisme qui me font dire ça, pas les pots gentiment provocateurs qui peuvent traîner sur le fil!

Il n'y a pas de dissonnance logique entre le fait de défendre la liberté des femmes à choisir leurs activités, et le fait de remarquer que naturellement les deux sexes n'ont pas les mêmes préférences. A partir du moment où tu crois avoir remarquer qu'une femme préfère faire le ménage, ou y arrive mieux qu'un homme, cette attitude est logique. Elle est même plus honnête que celle des féministes, qui oblige quasiment les femmes à faire autant d'activités "féminines" que "masculines", quelque soit leur préférence, sous peine d'être qualifiée de rétrograde et de danger pour l'avenir des femmes. Ceci dit, moi qui suis la première à reconnaître que certaines qualités et certains loisirs sont féminins, je trouve que pour le ménage l'argument frise la mauvaise foi. Ca n'est pas plus difficile pour un homme de faire le ménage que pour une femme. Il le fera différemment (entre autres parce qu'il gère moins bien plusieurs activités à la fois), mais il le fera tout aussi bien. Il n'y a pas besoin d'être un génie pour savoir frotter avec une éponge et lire les étiquettes des produits ménagers, faut juste se retrousser les manches. Et c'est très physique et très fatiguant (pour le dos, par exemple) : la galanterie de l'homme fort devrait jouer dans ce domaine comme dans les autres … si vous n'étiez pas aussi prompts à trouver des excuses en prétendant que comme on le fait plus, on aime ça! Je reconnaît que les femmes remarquent souvent des détails à nettoyer/parfumer/décorer que les hommes ne remarqueraient pas, et qu'elles sont généralement plus génées par la saleté. Mais ce n'est pas parce que ça les gène plus ou qu'elles le font plus en profondeur qu'elles aiment ça! (je dis "elles", parce que moi en plus de ne pas aimer ça, je m'en fous tant que personne d'autre que moi ne rentre dans la maison.) Ah, et concernant la possibilité pour les femmes d'écrire ici : ne t'inquiète pas, Marlenus, le milieu libéral (et le milieu des gens politisés en général) est tellement masculin, et surtout tellement mysogine, qu'on s'habitue… Mais c'est vraiment parce qu'on aime défendre nos idées (et qu'on sait que les mysogines cachent généralement un gros complexe d'infériorité )!

Voilà, je ne suis pas entièrement satisfaite du résultat, l'article de départ contenait beaucoup d'expressions imagées… J'ai gardé le titre qui lui était attribué dans le fichier des traductions, le titre original est trop abscons. refus_impot_local.doc

Il y a avait personne dans le fichier sur l'article, alors je l'ai pris. (et j'ai mis mon nom bien tout comme on m'a dit

On n'a pas de télé chez mon père, mais un abonnement free (donc tout compris avec chaînes télé). Donc il y a un gars des impôts qui a appelé pour vérifier qu'on ne se trompait pas : le type ne voulait pas en démordre, ce n'était pas logique qu'on n'ait pas de poste si on avait un abonnement…. finalement il a lâché l'affaire et personne n'est venu vériifer chez nous. Donc je ne suis pas sûre qu'ils soient tenu de venir vérifier de visu, et même s'ils l'étaient, ils devraient avoir des papiers les y autorisant si tu leur refuses l'entrée… ça m'étonnerait qu'ils se décaracassent autant pour quelques euros. Apparemment, une "déclaration sur l'honneur", ça ne veut plus rien dire pour eux!

Ah ok, merci! Je reposte mon texte sous format word, parce que j'ai édité mon message une dizaine de fois… Le titre "les chefs de l'UE sont dans le déni" serait très bien aussi, je ne sais pas pourquoi je n'ai pas profité de la traduction! eurocrats.doc

Je ne sais pas si quelqu'un a déjà abordé le sujet, mais il me semble que le parti libertarien américain avait proposé des impôts (minimaux bien sûr) à choix multiple, où le payeur précisait ce qu'il acceptait de financer ou non. Ca serait une solution pour limiter les excès. Après, c'est sûr que les impôts existeront toujours pour une partie infime d'entre eux : je ne souscris pas du tout à l'analyse d'un Etat se comportant comme une entreprise, d'ailleurs cette entreprise ne serait pas viable. Une entreprise sensée fixe ses prix de façon à faire un bénéfice entre ses coûts de production et ses dépenses… tu ne peux pas financer une activité avec les fruits d'une autre sans devoir augmenter tes prix et donc être moins compétitif sur ton activité productrice. Or cela ne serait possible qu'en état de monopole!

Voilà ce que ça donne (je propose deux titres, l'un littéral, l'autre plus immédiat et plus court). Merci de vérifier l'orthographe et la cohérence de la traduction! Je n'aime pas trop ma première phrase, si vous avez une meilleure idée… "la partie est finie" sonne mieux, mais est moins proche du texte original. " Les dirigeants européens sont dans le déni, tandis que les marches se préparent à un défaut de paiement de la Grèce ou : La politique de l’autruche des dirigeants européens. On va bientôt sonner la fin de la partie. La Grèce doit rembourser sa prochaine part de dette avant le 17 octobre, et les marchés s’attendent désormais à ce que ce blog avait prévu depuis longtemps : un défaut de paiement à grande échelle. Il est possible qu’un nouveau plan de sauvetage soit élaboré, et que l’effondrement soit retardé de quelques mois supplémentaires. Dans tous les cas, les banques européennes approchent de leur « moment Lehman ». Voilà la tempête annoncée depuis longtemps, qui fut longue à venir mais s’annonce durable. Désormais, toutes les options sont mauvaises. Le moins mauvais scénario serait une rapide désintégration de l’euro dans les formes, autorisant la Grèce et les pays environnants à dévaluer et à rechercher une croissance stimulée par l’exportation. Le pire serait de nier la réalité, poursuivre en l’état tant bien que mal, et rendre ainsi inévitable que la catastrophe sera terrible quand elle arrivera. ( ou "avec pour conséquence une catastrophe qui n'en sera que plus terrible quand elle arrivera"). Il n’est pas difficile de deviner quelle option privilégiera Bruxelles. Je le dis souvent, Shakespeare a quelque chose à nous dire sur tous les sujets, y compris sur la façon dont les eurocrates auront provoqué leur propre perte : The plague of Greece upon thee, thou mongrel beef-witted lord! (je laisserai la citation en anglais en plus de la traduction, par respect pour l'auteur) Que la peste grecque t’emporte, seigneur batard à l’esprit bovin! "

Je suis en train de traduire le deuxième, qui ne fait que quelques lignes. Résultat dans quelques minutes.

Ca serait marrant comme slogan, "Les gens intelligents nous lisent". Les lecteurs ont le choix entre le prendre en premier degré (donc ils sont intelligents, c'est pas désagréable de se l'entendre dire quand c'est vrai) et le prendre au second degré (on passe pour les mecs cools qui se moquent des slogans sérieux des autres). Enfin, je dis seulement si vous tenez à changer le slogan, moi j'aime bien l'ancien.

+1000, sauf pour le .org, qui peut être nécessaire pour retenir l'adresse exacte (quoique, n'importe qui sachant se servir d'un moteur de recherche peut s'en passer) Si vous voulez absolument toucher à quelquechose, modifier la police à la rigueur, ou la couleur de police (mais pas de rectangles coloriés, par pitité). Mais je n'en vois pas l'utilité. Il est super ce logo, c'était un coup de génie de l'avoir trouvé, vous n'aurez pas la même chance deux fois! Ca fait un peu drapeau de la Turquie, non? J'aime bien la version complète de celui-là, c'est simple esthétique. Vous avez gardé le slogan finalement? Dites moi que vous avez gardé le slogan! Il est parfait! (peut-être un peu grand par rapport au titre, mais ça s'est juset une question de taille de police!)

"Les budgets liés à la protection sociale et à la santé représentent à eux seuls 54% des dépenses publiques dans les pays européens. Difficile de parler d'externalisation pour les budgets sociaux. Dans ces domaines, les économies se font plutôt en ciblant mieux les allocations… La gestion de prisons externalisée au Royaume-Uni Les fonctions régaliennes classiques - défense, justice, police, diplomatie, administration fiscale, etc. - sont le deuxième poste de dépenses pour les États européens. Elles peuvent être déléguées à des acteurs privés, sur certains segments. Le Royaume-Uni a été pionnier en la matière, en confiant à des entreprises la gestion de prisons. Autre exemple outre-Manche, toute la gestion du siège du ministère de l'Intérieur (accueil, restauration, logistique) est confiée à une entreprise, en l'occurrence Bouygues. La France se met elle aussi à l'externalisation, mais dans des proportions bien moindres." Si je comprends bien, nos politiques préfèrent rogner sur les fonctions régaliennes avant de limiter les dépenses de protection sociale et de santé? Je module mon propos , parce que la suveillance de prison ou la logistique d'un ministère, c'est lié aux fonctions régaliennes, mais on ne peut pas vraiment dire que ce soient des fonctions régaliennes en soi et que leur externisation soit préjudiciable. Mais si leur première idée est de réduire ces postes de dépense, c'est peut-être qu'ils continueront dans le même sens au lieu de remettre au cause les 54% suscités…

Je ne sais pas si c'est de l'ironie comme le pense JackieV, mais c'est ce que j'aurais dit (avec sérieux pour ma part). Si le gosse a eu l'idée lui-même de la mascarade, pour un pari avec des potes, une blague, un test, un fantasme (à 12 ans?), ok . Si c'est ses "parents" qui lui ont proposé, je trouve ça grave. Déjà si l'idée vient de lui, je trouverais ça très irresponsable de leur part de le laisser poster ça sur facebook… 12 ans, c'est le début de l'adolescence, donc un moment où c'est très important dans la tête d'un gosse de savoir s'il est une fille ou un garçon, et encore plus de savoir comment les autres le perçoivent. Alors, oui, "humiliation", ça me paraît juste comme terme. Comment foutre la merde dans la vie d'un gosse pour justifier son idéologie et l'"éduquer" différemment (ou pour son propre amusement?) Après, savoir si la justice doit s'en mêler, je ne suis pas bien sûre qu'elle n'ait pas dépassé son domaine en choisissant qui serait digne de l'élever au départ…

Je rejoins Chitah, ne t'attends pas à des merveilles non plus, fais le minimum et cible tes conseils. Je trouve que ta mère se débrouille super bien, mon père ne sait même pas qu'il existe des raccourcis clavier (pourtant je lui ai dit)… Moi ce que j'ai fait, c'est que j'ai fait deux trois fiches spécialisées (imprimer un fichier ; trouver un fichier et le renommer ; mettre des pièces jointes sur un mail). Si l'usage de ta mère se limite (comme souvent) à écrire des mails à des amis, communiquer éventuellement par skype, ça sera suffisant. Et laisse là découvrir les petit plus nécessaires pour son usage : mon père a encore du mal à comprendre comment fonctionne une boîte mail, mais il est devenu incollable pour retoucher des photos avec XnView ou chercher des infos sur google news. Et je ne suis absolument rien! Par contre, il ne saura jamais faire certaines choses (rentrer l'adresse pour payer un pv dans la barre d'adresse et se laisser guider pour le payer, ça sera toujours moi). A ce moment là, deux solutions : soit tu l'aides ponctuellement, soit tu lui dis de se débrouiller autrement qu'avec l'ordi. Il faut choisir entre accepter que nos parents ne seront jamais geek comme nous, ou être geek à leur place Je te déconseille les bouquins, comme ils ne sont pas personnalisés, et que souvent chercher dans la table des matières suppose d'avoir déjà quelques notions d'informatique, elle t'appellera en permanence pour te demander des explications… pas top! [

La cinquième catégorie est plus large que les armes à plomb non? Puisque dedans tu as grosso modo les armes utilisées par les chasseurs. Je crois que même au sein des armes à plomb, tu as beaucoup de différences (tout ce qui suit est à confirmer par de amateurs d'armes plus chevronnés que moi) : les dégâts causés par une carabine à plomb à air comprimé (certaines en vente libre pour un majeur) ne sont pas du tout les mêmes qu'une carabine 22LR (pour laquelle tu auras besoin d'un permis de chasse ou d'une licence de tir). Et encore, ce que je dis est peut-être faux, parce qu'il y a des technique d'air comprimé tellement différentes que certaines sont peut-être plus efficaces… La seule arme à plomb que j'ai testée, c'était una carabine à plomb à air comprimé : cela faisait effet de jouet au niveau de la dangerosité (très précis, mais portée très limitée, rechargement long et surtout pas efficace si ton agresseur ne s'est pas déjà approché un minimum). Mais par contre, vu de l'extérieur, cela ressemblait à une "vraie" arme : c'était même assez impressionnant pour une novice, avec un viseur. Je crois que l'effet dissuasif dépend beaucoup de la personne que tu as en face de toi : si elle s'y connaît ou pas, si elle-même a une arme sur elle ou pas… Puisque ça a l'air d'être le fil "parlons de nos armes", quelqu'un connaît un stand de tir à Paris ou en banlieue Sud où l'on peut venir sans armes et sans munitions et apprendre pour de bon quand on est débutant? J'en avais trouvé un au métro plaisance, mais ça fait un peu loin maintenant. (réponse par MP si ça encombre le fil)

Ah zut, c'est pas ma tasse de thé. Bon, je trouverai d'autres coins avec des gendarmes compatissants.

Ca a l'air sympa ton coin, Sanksion, c'est dans quelle région?

Je ne dis pas le contraire, et pour ma part je te trouve très chanceux! (à Paris, les seuls à pouvoir tirer avec la complicité des voisins et des gendarmes, ce sont les racailles). Mais ici tu n'es pas chez toi, tu es sur internet ; il n'y pas que l'Etat qui y traîne, il y a aussi nos détracteurs. Enfin bref, si vous pensez tous qu'on est entre nous et que vous dites ce que vous voulez, allez-y : mon but n'est pas d'emmerder le monde.

Je ne parlais pas du fil en particulier, mais plus du fait que vous êtes sur un forum public. Il y a une différence (légale) entre envisager de telles expériences, et les réaliser. Ceci dit, pour les armes à feu,je ne pensais même pas que c'était possible de les fabriquer au lieu de les acheter. Pas en France, hein, c'est ultra réglementé. Je me suis fait la réflexion lors de mon voyage dans les Balkans qu'à partir du moment où tu avais une bonne tête et quelques bagages de bon père de famille dans le coffre, les douaniers ne fouillaient pas trop, même si tu viens de traverser l'Albanie ou la Serbie. Je me demande ce que tu peux trouver dans des pays européens ou limitrophes peu contrôlés. Après, faut avoir l'amour du risque et l'occasion. Ca doit aussi se trouver en France.

J'ai fait une capture d'écran, et garde à tout jamais la preuve de ce crime abonimable Non, plus sérieusement, vous êtes sûrs que vous êtes au bon endroit pour partager par écrit ce genre d'expériences?