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Miss Liberty

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Tout ce qui a été posté par Miss Liberty

  1. Euh, faut arrêter de prendre vos fantasmes pour des réalités, les mecs. "mythe" : ce qui est imaginaire, dénué,de valeur et de réalité. (Larousse) Merde, je suis dénuée de réalité.
  2. Alors en fait vos observations, vous êtes les seuls à avoir compris ce qu'elles étaient. Vous nous mettez au courant, sur la private joke ?
  3. Ah oui mais là on ne s'est pas compris, hein. J'ai parlé de caractère et de goûts, pas d'apparence. Les cheveux courts et les survêt, très peu pour moi. Il m'arrive très souvent d'aller à mon club de tir en talons, et parfois en jupe, d'ailleurs. C'est tout à fait compatible. Je crois qu'on a trouvé un critère de plus pour départager.
  4. C'est une explication assez simple et sans équivoque, en effet. Par contre, soit les garçons sont beaucoup plus précoces que les filles, ce qui serait étrange vu qu'ils sont pubères plus tard. Soit tu étais beaucoup plus précoce que les autres garçons. Soit ma mémoire me trompe. Moi j'ai plutôt un souvenir que les garçons commencent à regarder et parler des filles 3 ou 4 ans plus tard (et qu'avant seuls les jeux et discussions entre garçons les intéressent). A moins que ce ne soit une question de génération, et que tu sois (encore) plus jeune que moi ? Edit : il semblerait que soit ma mémoire me trompe, soit les garçons sont plus discrets quand ils sont jeunes. Mon 13-14 ans a l'air un poil tard.
  5. Toi, peut-être ; tel que tu le racontes, "toute la famille" de ton cousin, non.Bref, on va pas passer vingt ans là-dessus...
  6. J'emploie ce vocabulaire parce que le fait de "comprendre" ou de trouver "évident" que son enfant est différent, cela suppose qu'il y ait un paquet d'éléments concordants, ou un seul élément irréfutable. Et qu'il me semble que des goûts efféminés ne constituent pas une "évidence" d'homosexualité. Donc je cherche les autres éléments.. Mon vocabulaire dans mon esprit est celui d'un raisonnement. Mais j'admets que ce soit délicat.
  7. Pffff, vous m'avez fichu la migraine.
  8. C'est marrant, parce que je n'ai pas souvenir d'avoir déjà croisé quelqu'un qui avait des doutes, même pas ce séminariste tradi borné qui me disait qu'en tant que femme j'aurais dû essayer d'être plus "douce" (quel abruti).J'imagine que chaque cas est différent et que dans vos exemples il y a d'autres indices dont vous ne parlez pas parce que vous n'y pensez pas, et dans le mien d'autres que je ne précise pas non plus. Toujours est-il que je trouve ça très maigre comme indice.
  9. Je ne vois toujours pas le rapport. Ça en fait quelqu'un d'effeminé, il pourrait être quand même hétéro.Je n'ai pas vraiment enfoui mon catactère : je fais du tir sportif, du parachute, et je préfère la bière au vin blanc. D'après les échantillons de filles autour de moi, c'est inhabituel. Dois-je en déduire que si j'étais célibataire, tu aurais des doutes quant au fait que je sois hétéro et que je devrais cacher ce caractère pour que personne ne doute de mon orientation ? De mon point de vue, le seul indice c'est si le mec préfère mater des mecs...
  10. Voilà, il me semble qu'il est nécessaire qu'il y ait un peu de tout, sinon ça ne marche pas.
  11. Je ne dis pas que quelqu'un attiré par son propre sexe ne peut pas chercher à s'en démarquer (peut-être justement pour attirer ceux qui sont de son sexe et qui en ont tous ses codes) ; par contre je trouve bizarre de prendre ça pour un symptôme. Si les gays trouvent chaussure à leur pied, c'est bien que tous les caractères sont représentés, non? Et si un homme est attiré par le sexe masculin, pas par un homme en particulier, ça doit être par l'ensemble des codes du sexe masculin ? Ou alors son attirance envers les hommes est différente de l'attirance que ressent une femme hétéro?
  12. Mais enfin quel est le rapport entre le caractère d'un gamin et son orientation sexuelle? J'ai été garçon manqué jusqu'à 15-16 ans, j'avais un caractère de cochon et des habitudes de casse-cou, je n'ai pas eu dans mon souvenir de fréquentation féminine jusqu'à ma première amiE à 15 ans et pourtant je ne me suis jamais sentie attirée par une femme (c'est plutôt l'inverse, elles m'ennuyaient)D'ailleurs je connais des gays (adultes) pas efféminés le moindre du monde. Bref, je ne vois pas le rapport.
  13. Je crois que le druide peut faire de la prison. En tout cas c'est comme ça pour le prêtre, le rabbin, l'imam. Mais peut-être que ça ne s'applique qu'aux religions importantes au moment de l'adoption de la loi?
  14. Moi c'est les âges qui m'étonnent : tu le savais déjà à 10 ans ? Peut-être que les garçons ont des sentiments amoureux plus tôt que les filles, mais moi j'ai plutôt le souvenir qu'à cet âge-là on ne distingue pas trop meilleur ami et amoureux..Et comment tes parents peuvent "s'en douter" à 14 ans? À moins que l'ado pratique déjà, et ça m'a l'air dur pour un gay, justement parce qu'il faut avoir fait son coming out à la personne qui te plaît.. je ne vois pas trop les symptômes. Une absence de relations avec l'autre sexe ou de discussion là-dessus n'est pas vraiment "suspect" à cet âge-là! Remarque, heureusement pour toi qu'ils l'ont compris et t'en ont parlé si tu vivais si mal ton questionnement.
  15. C'est un poil de mauvaise foi de dire qu'il n'y a jamais d'union religieuse sans union civile en France... C'est interdit, forcément qu'il n'y en a pas. Dans les pays où ça ne l'est pas et où le mariage religieux est traduit en civil automatiquement, bizarrement, ça existe...
  16. Alors bien sûr cela compte chômeurs et étudiants (ceux qui ne sont pas sur les impôts de leurs parents, et à partir d'un certain âge on ne peut plus y être). Ça compte aussi "chômeurs" partiels ou emplois précaires. Donc on arrive déjà à une bonne partie de la population.En plus de ça, il y a le quotient familial, la baisse de 10% et la decote. Et les reductions. Par exemple : une famille avec deux enfants (quotient : 3), gagnant 2000 euros par mois, ne paiera pas d'impôts si elle a dépensé 160e d'aide a la personne (soit 20h de babysitting) dans l'année...
  17. Je n'ai jamais dit qu'une telle chose ne lui serait pas arrivée dans un contexte hétéro. Quant à savoir si cela aurait été pire, je crois que nous sommes tous mal placés pour en juger. Ce que je demande, c'est du respect pour la victime, pas un accord avec l'article. Et le respect passe aussi par accepter le vocabulaire qu'elle a choisi (vous auriez préféré qu'ils censurent le témoignage?), et la portée qu'elle veut donner à son message (respecter son but, pas lui donner votre bénédiction). Simple exemple : le témoignage sur son ami homo et la sodomie, c'est elle qui le cite, pas le journaliste. @ Chitah : je crois qu'on va arrêter là, non ?
  18. Cette femme estime qu'elle a été le jouet d'une personne perverse. Il se trouve que c'était une autre femme, et qu'elle baignait dans le milieu homosexuel (peut-être un micro-milieu très particulier, mais de là où elle se plaçait la jeune femme qui témoigne a eu l'impression d'avoir été trahie et entraînée par le milieu homosexuel apparemment). Pourquoi est-ce que la victime, ou celle qui se considère comme telle, n'aurait pas le droit de raconter son histoire, et de tenter d'en trouver les causes ? Les mots crus peuvent être nécessaires pour se débarrasser de cette douleur, on a tous une façon différente de s'en sortir (le silence, les procès, la vengeance, le suicide, bref... je ne trouve pas que sa solution soit si "abjecte" que ça). Le témoignage est brut, sans conclusions autres que la sienne, sans déformation de ses propos. Où est le problème ?
  19. C'est bien ce qui me gène : je ne vois pas comment on peut s'engager à abandonner ce qui n'existe pas encore (je parle là d'un contrat avant conception). Comment peut-elle faire un choix net et irrévocable envers quelq'un qui n'existe qu'en projet, qu'elle n'a pas senti bouger en elle ?Ni s'engager envers quelqu'un qu'on ne connaît pas encore (par ex, un rejeton de ses gamètes qu'on n'a pas porté). On peut s'y préparer, mais ce n'est pas pour rien si tous les pères vous diront que ça devient concret le jour de l'accouchement. Edit : grillée par ael
  20. Dire ça revient à dire que l'important est l'adn, non? C'est la seule chose qui le lie à l'enfant (à part un projet, mais c'est très abstrait), alors que la mère porteuse l'a nourri, protégé, irrigué de son sang.À moins que tu considères que le contrat portait sur "le fait d'être le parent de" (va savoir ce que ça veut dire, mais c'est bien plus que le droit de garde en tout cas)
  21. Merci. Je croyais être la seule à avoir remarqué cette incohérence entre le tout adn (c'est mes gamètes, c'est le mien) et le reste du discours.Il faut dire aussi qu'essayer de défendre en bloc une pratique qui parfois fait intervenir d'autres gènes, parfois non, c'est un beau casse-tête.
  22. Sauf que la gpa intervient avant la naissance, et même avant la conception. Sinon c'est une adoption. Et que tu parles du droit à avoir un enfant, pas du droit à en héberger un qui n'est pas le tien. Bref, on tourne en rond ici.
  23. +1 D'où mon vote "laissez-faire". Ça n'est pas à la loi de régler ça. À la jurisprudence à la rigueur, et encore il faudrait une grande conscience professionnelle des juges.
  24. +1La troisième saison rattrape ; quoique sur les derniers épisodes, les longueurs émotives sont de retour... Je suppose qu'il en faut toujours un peu pour fidéliser l'audimat et leur faire tenir l'attente (après, il y a d'autres façons, la fin de la saison 1 de Jéricho le prouve)
  25. Mais enfin tu ne peux pas signer un contrat sur un droit de garde avant la conception du gamin (comme pour une GPA). Et quand tu parles d'avoir le droit d'être parent, tu parles bien d'avoir le droit à cette conception, pas du droit d'éduquer un enfant déjà conçu ! (ça c'est l'adoption, je suis à fond pour)
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