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Anthropo

Yabon Nonosse
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Tout ce qui a été posté par Anthropo

  1. Ah où ça ?
  2. Ah et penser par soi même, être soi même, c'est mal ?
  3. Déjà merci à ton p'tit doigt de me lire, il m'honore ! Par contre, pour les hormones, c'est clair que mon système de valeurs n'appartient qu'à moi et pas au père Noël, alors oui mes hormones y jouent un rôle ;-) En même temps, ce qu'il y a de formidable avec les hormones, c'est qu'on en est tous dotés, alors de ce côté là, on peut se considérer comme semblables, pas égaux du tout, mais ressemblants quelque part ! Si bien que je me demande dans quelle mesure les tiens t'influencent ? Quant aux bases dont tu parles, peux-tu m'éclairer, parce que je ne pense pas t'avoir bien compris ?
  4. jamkan, où ai-je écrit qu'il n'y a ni bien ni mal ? C'est une pure interprétation de ta part, relis bien. En gros, j'ai dit que la dualité, juste regarder les choses par la lorgnette du bien ou du mal ne suffit pas et qu'il faut aller au-delà. Quant à l'état, je ne vois pas très bien comment une organisation sans état peut être organisée. Pour moi, le rôle de l'état doit être limité au strict minimum, mais il faut un état, sinon c'est le bordel assuré. Et plus précisément, je pense que le rôle de l'état concerne essentiellement tout ce qui a trait à la justice et au maintien de l'ordre justement. Mais peut-être que je me trompe. Je ne prétends en aucune façon détenir une quelconque vérité.
  5. Tout pour plaire, tendances cannibales et polygame, avec un p'tit doigt malin
  6. Dans ce cas, ton p'tit doigt te raconte des histoires à dormir debout, à propos de quelqu'un qu'il ne connait même pas. Umh……..à ta place, ce p'tit doigt, je m'en méfierais, c'est un p'tit malin ;-)
  7. Tu vaux combien ?
  8. Merci, c'est très intéressant.
  9. Ouh la, va falloir qu'on ait une petite conversation sérieuse avec ton p'tit doigt !
  10. Tiens, à propos de valeurs, un jour qui ne devait pas être fait comme les autres, j'avais écrit ça : L'économie en chiffres est à peu près un mystère. Qui fait tourner la planche à billets et sur quels critères ? Si bien que lorsqu'il s'agit des monnaies, leur fluctuation est probablement liée à un savant calcul, entre un PIB sans cesse en activité, comparé à un autre PIB et le tout influencé par l'achat et la vente de ces mêmes monnaies. Jusque là, ça parait relativement simple, même si évidemment il faudrait encore être capable de formuler, même comprendre l'équation de ce savant calcul. Mais qu'importe, du point de vue du strict bon sens, tout parait clair et juste quand même. Là où ça se complique terriblement, c'est dés lors qu'il s'agit de détailler l'influence de telle action par rapport à une autre et donc d'analyser précisément chaque action sur la répercussion monétaire qu'elle pourrait engendrer, selon chaque acteur et ses motivations personnelles et collectives. Par exemple, quelle est l'influence de la spéculation sur les monnaies ? Monsieur X achète 1000€ en devise Euro, avec au départ de la devise Dollar. Si la devise Euro = la devise Dollar, l'opération est blanche, il n'est ni gagnant ni perdant d'un point de vue personnel. Mais d'un point de vue collectif, le capital 1000 Dollars appartenait au pays représentant le Dollar via son ressortissant Monsieur X. La zone Dollars a donc perdu 1000€ au profit de la zone Euros. Le PIB de la zone Dollars est donc diminué de 1000 Dollars, si bien que la monnaie Dollar est dépréciée d'autant. Donc, lorsque le même Monsieur X rachètera 1000€ en devise Euro avec de la devise Dollar, la valeur Euro sera plus forte que la valeur Dollar. De même, s'il s'agit d'acheter non plus de la monnaie mais une matière, si la valeur de cette matière est chiffrée en Euros ou en Dollars, cette valeur ne sera donc pas la même, puisqu'il faudra procéder à une conversion. Et précisément cette conversion n'est pas gratuite d'une zone à l'autre, puisqu'elle nécessite une intervention. Si bien que cette conversion vient directement renforcer la valeur matière. Concrètement, admettons que au départ : Si 1€ = 1$ alors 1000€ = 1000$ Si Monsieur X vend ses 1000$ au profit de l'Euro, alors il fait baisser de Y% la valeur du Dollar Soit 1€ = 1$ - Y% Ensuite Monsieur X veut acheter pour 1000€ de matière. La matière est valorisée en Dollars. Admettons que : 1000 matières = 1000 Dollars Sachant que pour convertir ses Euros en Dollars, il aura un coût, il dépensera plus d'Euros qu'il n'en a investi au départ. Soit 1000 matières = 1000€ + Z% = x Dollars Le coût matière sera donc d'autant plus fort ou plus faible que la monnaie est elle-même plus forte ou plus faible. Sachant que l'achat et la vente de cette monnaie impacte directement le coût matière, non plus en fonction de la quantité matière disponible, demandée et transformée, mais en fonction à la fois de la puissance de la monnaie corrigée par un taux de change, qui ce taux de change est étroitement lié aux taux d'intérêts sur les emprunts. Qui détermine ce taux de change et les taux d'intérêts et selon quels critères ? A priori, c'est l'état. Mais seulement à priori, puisqu'en réalité ce sont plutôt les banques et notamment les banques centrales qui interviennent. L'encyclopédie nous dit que l'existence du commerce de banque d'une civilisation, suppose des conditions non seulement économiques et monétaires (existence d'une activité commerciale à financer et de capitaux à employer) mais aussi morales (non interdiction religieuse du prêt à intérêt). Le commerce de banque apparait dans l'histoire dés le IVe s. av. J.-C., en Grèce et les banquiers sont laïcs. Les conditions économiques et monétaires sont donc actuellement contrôlées par les banques, tandis que les conditions morales sont censées être contrôlées par l'état. L'état étant devenu le 1er emprunteur et le 1er débiteur, l'état a en réalité perdu tout contrôle valable sur les conditions morales de cette activité commerciale. En effet, le volume d'emprunts en cours excède toujours plus celui de l'argent en circulation pour le rembourser. D'où un surendettement (une impuissance) des états et d'un nombre croissant d'individus, ainsi qu'un pouvoir sans cesse accru pour les principaux détenteurs de capitaux : pouvoir d'achat, de rente, de décision sur les orientations de l'économie. D'où un régime dans lequel les forts taux d'intérêts n'ont de cesse à alimenter les premiers prêteurs, l'emprunt ne servant plus qu'à couvrir l'emprunt (rembourser la dette) et non plus à créer de nouvelles richesses. D'où un afflux de monnaie excédentaire, qui alimente les bulles spéculatives, moteurs d'un marché condamné à croître toujours pour survivre. D'où la circulation de monnaie coincée essentiellement au coeur de ces bulles spéculatives, bloquant ainsi tout autres leviers de croissances, qui pourraient être autres que des croissances mécaniques et matérielles, comme par exemple une croissance éthique, intellectuelle, harmonieuse et heureuse. Nous revoilà donc face à une grande question davantage d'ordre moral que d'ordre strictement et purement économique, quand bien même les deux activités sont très étroitement liées. En bon père de famille, comme le veut l'expression (désuète !), nous viendrait-il à l'idée de contracter un emprunt pour en rembourser un autre et ainsi de suite, jusqu'à ne plus léguer que dettes dont les générations suivantes hériteront comme un fardeau ? Est ce cela que nous voulons léguer à nos enfants ? En réalité, nous sommes les représentants d'une civilisation dont le commerce de banque génère une croissance, croissance de dettes, quelle belle morale. Mais enfin, après tout, si la dette ne s'arrête jamais, alors qu'importe la dette ?! Sans vouloir remettre en cause l'existence du commerce de banque, comme certaines organisations le proposent, n'est ce pas plutôt le rôle de l'état qu'il faut repenser ? Partant de là, il serait facile de confier le soin de répondre à cette question aux représentants de l'état lui-même. Seulement, l'état c'est nous ! Qu'attendons-nous de l'état ? Comment aider l'état à jouer son rôle ? De quelle civilisation sommes-nous porteurs ? Est ce que les acteurs de la banque et de la spéculation se posent ce genre de questions ? Quelles sont leurs réponses dans un cadre autre qu'individuel, donc un cadre collectif ? Quelle responsabilité de l'individu dans un cadre collectif ? Pistes pour s'aider à se faire une opinion et à trouver des réponses ( Les liens mettent en avant deux manières différentes de voir les choses, les uns en renforçant la présence et le pouvoir de l'état, les autres en dénonçant les limites de l'état, avec à la clé des propositions différentes…) : http://ami.du.laissez-faire.eu/_mises.php5 http://www.fauxmonnayeurs.org/ http://fr.wikipedia.org/wiki/Interventions_sur_le_march%C3%A9_des_changes http://www.societal.org/dette/interets.htm http://wiki.societal.org/tiki-index.php?page=Accueil http://www.memo.fr/article.asp?ID=THE_ECO_002 http://fr.ekopedia.org/%C3%89cosoci%C3%A9talisme http://lautbry.tripod.com/cpce/fr/ideologie/liberalisme.htm http://fr.wikipedia.org/wiki/Maurice_Allais http://fr.liberpedia.org/Maurice_Allais http://ami.du.laissez-faire.eu/theorie.php5 Ce n'est pas la guerre, c'est un équilibre en mouvement à réinventer sans cesse. Cet équilibre nous concerne. Nous voyons bien au travers des pays où la civilisation du commerce de banque ne procure pas l'emprunt, que la dette de l'état n'en est pas pour autant moins lourde, voire peut-être plus grande encore et plus insoluble sur le long terme. C'est donc que l'emprunt, la dette et la croissance ne sont pas nécessairement un frein, ni à l'individu, ni à la collectivité. Ce ne serait donc pas tant sur une limite à définir selon de savants critères qu'il faudrait se baser, mais bel et bien sur les motivations de chacun qui dans l'ensemble forment un tout. En effet, si la responsabilité du prêteur est pointée du doigt, ne faut-il pas en parallèle pointer du même doigt la responsabilité de l'emprunteur ? Car de la même manière que le prêteur prête pour y gagner, l'emprunteur emprunte pour la même raison. En cas d'échec, la responsabilité de l'un comme de l'autre est engagée et l'un comme l'autre doivent donc en supporter les conséquences. A la base, il s'agit d'un échange, dont la logique voudrait qu'il se réalise dans un schéma gagnant/gagnant. Les motivations de notre système individuel et collectif, sont elles logiques, généreuses et justes ? Il parait clair que même si l'on n'y entend rien, ni en chiffres, ni en matière d'économie, chacun et donc l'ensemble est parfaitement capable de s'impliquer, de s'investir et de participer à rendre notre système plus juste, plus équilibré, plus équitable, plus généreux. A plus forte raison si l'on est directement acteur des chiffres et de l'économie, à condition de respecter la déontologie de l'échange. La solution au devenir de notre système réside en cette déontologie de l'échange qui pourrait se concevoir comme lors d'une négociation gagnante : Personne ne se sacrifie ou n'est sacrifié. Le projet a pris en considération le contact entre les deux, individuel et collectif. La relation a été définie comme une source de satisfaction mutuelle. Les besoins et leur importance ont pris la place principale. On a créé une solution pour satisfaire les besoins des deux partenaires. La négociation créatrice à partir des besoins est la seule qui ne fait que des gagnants. Ainsi vient de ce que l'une ou l'autre des parties, parfois les deux, négligent leurs besoins et le plus souvent, au seul prétexte pessimiste qu'il ne peut pas y avoir toujours que des gagnants. Mais aussi et encore, du fait que bien souvent, il y a confusion dans les esprits, entre besoin, caprice, préférence, goût et désir. Ainsi, nous n'avons certainement pas besoin de limites, mais de repères. La monnaie ne doit pas être limitée, ni la volonté de croissance, car limiter la monnaie et la croissance ne fournit pas une repère, même si cette limite satisfait un désir de garder les pieds sur terre sans partir dans l'infini des chiffres, le désir n'est pas le besoin. Le repère est donc bien de donner une valeur à la monnaie, en cohérence avec des réalités tangibles, contrôlées et vérifiées. Ainsi, nous avons besoin de palper la monnaie, de la contrôler et la vérifier. Même si notre préférence, notre caprice, notre goût nous pousse à la spéculation, la spéculation est difficilement palpable. Elle ne peut donc répondre entièrement à notre besoin. Hors nous observons que la spéculation règne en maître sur la monnaie, au détriment de notre besoin de repères. Ce n'est donc pas que la bourse et les acteurs du système boursier gagnent autant d'argent qu'il faut dénoncer, tant mieux, c'est qu'il sont doués, donc bravo à eux. C'est bien plutôt qu'il manque de monnaie en circulation dans bien d'autres rouages et ce manque, manque justement au premier principe de l'échange qui consiste à ce que personne ne se sacrifie et que personne ne soit sacrifié. Nous avons besoin de repères pour reprendre confiance et si le système de spéculation règne en maître, au point que la planche à billet ne sert plus à rien, puisque 1000€ ne vaut pas 1000€, puisque plus aucune matière ne peut être réellement quantifiée en valeur monétaire, la monnaie et la matière étant trop fluctuantes, il est normal que la confiance soit en berne. Comme il est normal que cette perte de confiance provoque par ricochet un affolement des marchés, au profit de la spéculation. Dans ces conditions, le seul repère sur lequel l'individu comme la collectivité puissent miser, c'est l'humain. Parce que l'humain n'a aucun intérêt, ni à se sacrifier, ni à être sacrifié. Parce que l'humain a toujours un projet et qu'il est capable de le mettre en contact entre son besoin individuel et le besoin collectif. Parce que l'humain est doté le plus souvent d'un caractère généreux et juste. Parce que l'humain si on l'y sollicite est capable d'identifier ses besoins et de les mettre au coeur de sa problématique. Parce que l'humain n'est jamais un être isolé, il est un être social. Concrètement, l'humain n'a pas de prix, alors puisque c'est le principe de la spéculation de fluctuer et croître, spéculons sur les valeurs humaines ! Pourquoi ne pas créer une valeur boursière des idées ? Pourquoi ne pas créer une valeur boursière des inventions ? Pourquoi ne pas créer une valeur boursière des créateurs ? Pourquoi ne pas créer une valeur boursière des philosophes ? Pourquoi ne pas créer une valeur boursière des autodidactes ? Pourquoi ne pas créer une valeur boursière des bénévoles ? Pourquoi ne pas créer une valeur boursière des arts ? Bref, créer une valeur boursière de tout ce qui n'est à ce jour pas ou peu reconnu, pas assez valorisé, qui reste en marge dans le système actuel, qui reste inexploité, en friche. Défrichons, il y a encore à faire ! Un trader, un actionnaire, une banque, l'état, n'importe quel acteur du système spéculatif et économique pourrait parrainer un ou plusieurs porteurs d'idées, porteurs d'inventions, porteur de créations, porteur de philosophie, porteur d'expériences, porteur d'aides, d'art… Et se charger de créer la valeur boursière que chaque filleul, indépendant ou groupé, représente. Ainsi, une partie des récompenses attribuées aux seuls bénéficiaires de la spéculation pourraient être remises en circulation, selon un schéma dispensé de tout versement fiscal, afin d'en favoriser la libre circulation. Il ne s'agirait pas d'un mécénat comme il en existe déjà, parce que le mécénat n'est pas une valeur boursière spéculative et demeure trop élitiste. Il faut faire entrer en bourse de vraies valeurs humaines, pour regagner la confiance et par ceux-là mêmes qui sont aujourd'hui montrés du doigt, pour que les deux parties, individuelles et collectives soient gagnantes. Le tout pourrait être favorisé par le WEB, qui est capable de mettre en relation comme on peut l'observer via les sites de rencontres amoureuses. Si deux personnes d'univers complètement différents peuvent se rencontrer par l'intermédiaire d'un site de rencontres, elle peuvent tout aussi bien le faire dans un cadre strictement économique, hors des réseaux sociaux qui finalement n'ont pas véritablement de vocation hormis s'afficher, bavarder, s'amuser et en substance s'enrichir d'informations comme sur TWITTER et sans que cela soit non plus une plate forme virtuelle avec des personnages fictifs. Il faut que cela devienne réel !
  11. Lol de lol, bon alors on se repose jamkan ;-) Je pense que c'est très très mal d'écraser le crâne d'un bébé et même mieux, c'est horrible et monstrueux. Mais je pense surtout qu'une fois que j'ai dit ça, rien n'est résolu et donc retour à la case départ. Là, ça va mieux comme ça ? En aparté : M'enfin qui a mis sur le tapis cette histoire de crâne de bébé écrasé ? En voilà une drôle d'idée quand même…
  12. Tu parles, depuis le temps qu'on l'exerce cette loi du Talion, cette dualité, si c'était eficace, on n'assisterait pas en permanence aux pires horreurs. Le problème est que tous les jours il se passe des trucs horribles, que nos prisons sont pleines et que ça n'a pas l'air de vouloir s'arranger. Alors franchement, ça va améliorer quoi exactement que je déclare que c'est mal d'écraser la tête d'un bébé ? Ca va te rassurer et t'éviter de m'envoyer à l'asile, mais pendant ce temps les écraseurs de tête de bébés continuent toujours. C'est sûr on est hyper doués pour juger et papoter sur ce qui est bien ou sur ce qui est mal. Mais pour réfléchir au-delà et chercher des solutions en remontant à la source, c'est bizarre, il n'y a plus grand monde…
  13. C'est surtout que ça fait souffrir inutilement et qu'on se demande d'où vient cette hargne et comment on pourrait l'éviter du fait que ça ne présente aucun intérêt. Parce que décréter que c'est bien ou que c'est mal, vous donnera peut-être l'âge du capitaine, à partir duquel vous pourrez débattre sur la peine à attribuer selon la loi du Talion, mais n'empêchera certainement pas qu'une autre fois le crâne d'un autre bébé sera cette fois écrasée dans un étau. Chacun son truc, mais moi la loi du Talion, j'aime pas, parce que ça ne résout rien et que j'aimerais bien par contre qu'il y ait un peu moins d'écraseurs de crânes, ça me ferait bien plaisir ! Ah ça, c'est terrible ;-)
  14. Vous avez raison de souligner l'apartheid. Mais enfin, cette déplorable et regrettable expérience n'a pas tenue plus de 50 ans et n'a certainement pas abouti à anéantir la population d'origine. L'oppression a donc flanché, même si elle a exercé toutes ses nuisances et toute sa bêtise trop longtemps. Et je rappelle que sans le soutien d'une majorité d'autre pays, cette oppression n'aurait jamais pu avoir lieu. Alors, on voit bien là encore que le plus écrasant s'opère toujours par une majorité qui utilise toutes les ficelles de la manipulation, y compris se faire passer pour une minorité qu'elle n'est en réalité jamais.
  15. Vous appelez ça une minorité, mois j'appelle ça une ex-croissance d'une majorité qui veut se faire passer pour une minorité, mais qui n'en est vraiment pas une, vous le soulignez vous même. Même histoire avec la montée en puissance du nazisme. Le nazisme n'a été possible que grâce à une majorité et non du fait d'une minorité. Il était latent, tout comme il l'est toujours encore aujourd'hui, parce qu'il y a toujours un monstre quelque part qui sommeille et qu'un concours de circonstances appropriées peut toujours réveiller. Observez du reste combien le nazisme et le communisme se rejoignent à bien des égards. Tout ça c'est le réveil du monstre ! C'est l'histoire de l'expérience de Milgram, où vous avez toujours une majorité prête à appuyer sur le bouton et une minorité qui jamais n'appuiera sur le bouton. Les manipulateurs connaissent bien le point faible de la majorité, parce qu'ils font parti de cette majorité. En revanche, ils ne comprennent absolument pas le fonctionnement d'une minorité sur laquelle ils n'ont aucune prise et cela pour la simple et bonne raison qu'ils n'ont jamais fait parti d'aucune minorité et ils n'ont jamais pour ambition d'en faire parti d'ailleurs. Mais je sais, ma perception est un peu particulière, je vois des bulles et des ex-croissances, là où une grande majorité n'y voit qu'un duel entre une majorité et une minorité. C'est un peu comme pour le film Brazil, si vous l'avez vu, il se pourrait que vous trouviez que ça finit mal, ben moi je dis que ce qu'il faudrait surtout retenir est juste la petite phrase : "On l'a perdu" !!!
  16. Euh non je ne crois pas. Une minorité à elle seule ne peut pas être oppressante comme peut l'être une majorité. Une minorité peut paraître oppressante, mais c'est juste une impression, parce que pour réellement oppresser il faut peser lourd, très lourd. Si bien que l'on ne peut pas parler de minorité oppressante. On peut parler d'un clan qui manipule la majorité pour se servir de cette majorité pour oppresser. Mais ce clan, dans tous les cas n'est qu'une ex-croissance d'une majorité oppressante, il n'appartient pas à la minorité qui elle se distingue nécessairement de la majorité. Prenez par exemple les cas de génocides. Il ne s'est jamais produit de cas de génocides où une minorité élimine une majorité. C'est toujours l'inverse qui se produit. Une population inférieure en nombre est sévèrement éliminée jusqu'à son extinction ou presque, ce qui n'arrive jamais pour une population supérieure en nombre. Pourtant le génocide n'est pas nécessairement une volonté majoritaire au départ, la volonté peut ne provenir que d'un clan, d'une ex-croissance de la majorité, un peu comme une bulle à l'intérieur d'un ensemble qui veut se gonfler telle la grenouille qui prétend devenir ainsi un boeuf !
  17. Dans tous les cas, toutes les idées pour contourner les interprétations et dérives de la démocratie sont intéressantes à étudier, parce qu'il va bien falloir en sortir ! Des dérives bien sûr !
  18. Bon alors, j'ai beau être toute nouvelle ici, je ne partage pas ces valeurs dualistes du bien et du mal, parce qu'à mon sens la dualité enferme et enfermer ça heurte l'idée que je me fais de la liberté. Donc, si je répondais à ce questionnaire, je me soumettrais à ce diktat de dualité permanente et je ne peux m'y résoudre. Pour autant, je considère disposer de réelles valeurs, sauf qu'elles s'appuient sur autre chose que la dualité et davantage sur les sens et le vivant…
  19. Bonsoir, En effet, je me demande si en politique un parti libéral pourrait ne pas être minoritaire sans être contradictoire ? Mais je ne suis pas certaine de pouvoir avancer une affirmation ou pas à ce propos… Qu'est ce qui vous fait, vous l'affirmer ? Bonsoir, Même question qu'à Aurel. Pourquoi ben non ?
  20. Bonsoir,A mon sens, dans notre système nous disposons de la liberté d'expression, mais certainement pas de la liberté de penser et d'agir comme l'on pense. Si bien que les mots se perdent, la parole se perd, la pensée aussi et la liberté d'expression ne nous sert pas à grand chose. Enfin, chacun voit midi à sa porte, le principal étant de ne pas perdre de vue que quoiqu'il arrive, une large majorité se soumet toujours au diktat d'un vainqueur par la force ou la corruption ou la paresse d'esprit, tandis qu'une faible minorité refuse toujours de se soumettre et élève ainsi nos savants et nos héros à l'infini dans cette masse opaque.
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