Hayek's plosive

Ah, moi j'ai trouvé la fin complètement neuneu avec des plot holes énormes. De manière générale les Daniel Craig ressemblent plus à des Jason Bourne qu'à des James Bond.

J'ai tout lu, je vois bien comment tu changes le goalpost. Ca me rappelle le débat liborg "je préfère lire un livre à voyager".

@Waytotrouve que tu fais de l'essentialisme. C'est notre Floride à nous.

Mouais. Dans ton premier extrait c'est défini comme "unprovoked desire of producing evil"

Malveillance, je dirais, mais l'un ou l'autre ce sont des actions.

C'est intéressant, meme si je trouve plus pertinent de comparer les nuances entre envie et jalousie plutot qu'envie et malice (qui pour moi n'est pas une passion).

Donalepen est aussi terrifiant que Jean-Marald Leprump a l'air fun.

FUCK YEAH YOU GO KIDDO

C'est aussi une des raisons pour lesquelles le porc est impropre a la consommation dans certaines religions. Mais tu nous diverges.

mind blown

Ouah. Impressionant... Mais pourquoi donner un spin? Qu'est-ce que cela apporte? Chercher un effet de Coriolis qui faciliterait la mise en orbite?

Non. C'est les deux en même temps. C'est une réalité d'enculade profonde dans les faits ET un déni complet de la filsdeputerie que les générations futures se prennent dans le cul. Je fais un diagramme de Venn, mon expérience c'est 90% en commun. Fuck'em. Tous les clodos de 60 balais qui sont là à applaudir le staff de la NHS comme des teubés mais qui prennent leurs bagnoles pour aller chez leurs potes dans leurs maisons de campagne tous les weekends, je les avais en bas de chez moi. Me me me.

Les Boombers sont des bénéficiaires illégitimes d'un système corrompu, au même titre que les fonks. Qu'ils n'y peuvent rien, soit. Certains ont trimé toutes leurs vies et auraient tout aussi bien réussi sans le système. Mais le fait est que même eux ont largement bénéficié de pouvoir s'acheter une maison sur l'ile d'Oléron une bouchée de pain dans les années 80 et de faire x10 x30 parce qu'on leur a gentiment mis de la sauce NIMBY dans leur plan d'urbanisme. A partir de là, ce que je critique, c'est l'hypocrisie complète dans laquelle 90% de cette génération baigne et refuse d'admettre qu'ils vivent aux dépens des générations futures qui l'ont dans le cul.

Si, plus que d'autres populations. Les artisans n'ont pas comme moteur de pensée de vivre sur le dos des autres. A contrario des fonks qui sont payés à faire des boulots de nuisance. C'est dans l'intérêt de Bob de l'ARS de s'arc-bouter sur la gloire éternelle de la Sécu que le monde entier nous envie. Les Boomers refusent de comprendre parce que c'est précisément dans leur direction que va le pognon. Un autre exemple de la putasserie générationnelle: les Boomers une fois arrivés à la retraite sont massivement pour repousser l'âge de départ à la retaite. Mais ceux qui ont encore 5 ou 10 ans à tirer sont massivement contre. Les boomers c'est moi moi moi. Est-ce que les Millenials ce sera pareil? Si le système qui consiste à faire vivre les uns au crochet des autres survit jusque là, probablement. Mais en attendant, les Millenials se font enculer à sec avec du gravier.

Donc tu mets sur le même plan des fonds de problème comme "les Boomers ont profité des transferts de richesse" et "les hommes sont tous des violeurs"? Ok. Et non je fais pas de l'essentialisme, je fais de l'économie de base.

1- tous les Boomers ont bénéficié en masse du transfert de richesses des générations futures via la dette. A différents niveaux, mais tous en ont plus ou moins profité. 2- la grande majorité des Boomers est absolument complètement incapable de faire son auto critique et d'accepter le point ci-dessus Ceux-là méritent de crever la gueule ouverte au même titre que les musulmans qui font l'apologie des casseurs de pédés (ou de juifs). Ca ne veut pas dire qu'il n'y a que les Boomers qui ont profité du système en enculant le reste du monde, comme ça ne veut pas dire que seuls les musulmans aiment casser du pédé. Mais il y a un moment où ça devient un problème de société inévitable. Alors on peut se boucher le nez ou faire le constat.