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Neuron

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Tout ce qui a été posté par Neuron

  1. Donc tu veux créer une législation qui va contrôler tout cela ? De mon côté, c'est bien pour gagner tous les avantages de la libéralisation de la drogue que je la promeut. Pourquoi créer des salles quand les moyens d'administration peuvent être sur le même lieu de vente ? C'est parce qu'il interdiction qu'il y a des salles de shoot.
  2. Non. Tu rentres ici dans le cadre de l'aéro modélisme. Et tu fais ce que tu veux. Or, il y a deux contraintes : - décollage : la plus part de ces jouets sont des avions aussi leur faut-il une piste ; - contrôle : les autorisations commencent quand l'aerodyne va au-delà des vues. Ce qui n'existe pas en aéro-modélisme. Le manipulateur doit avoir le contrôle permanent de son engin. En conclusion, chez toi, tu fais ce que tu veux. Pour terminer, la bulle d'interdiction de vol donne deux choses : le rayon de la zone interdite et son altitude. Ces zones sont généralement permanentes et sont marquées sur les cartes de vol à vue. Quand il y a une bulle temporaire de mise en place, il y a publication des arrêté. Ceux-ci sont consultés par tous les professionnels et clubs.
  3. Quel est le rapport avec les cathos ? J'en suis et je suis pour la légalisation de toutes les drogues que ces grosses merdes de droguer aillent se shooter dans des décharges. Ça fera ton sur ton. Combien de pays ont libéralisés ? Pas beaucoup sinon la Corée du Nord.
  4. Ce n'est pas business as usual. Le survol des CNPE a toujours été interdit sur une bulle assez vaste. C'est sur toutes les cartes aéro. C'est pas plus compliqué. De toute façon, les gendarmes ont maintenant l'autorisation d'ouverture du feu dans ce cas depuis quelques jours. Donc, certains drones vont faire du hard Landing.
  5. J'ai travaillé sur ce genre de chose mais il faut être explicite : on touche là à un domaine sensible. Et je ne connais personne en open source qui va commencer à expliquer comment faire. C'est comme les discussions sur les armes à feu, je ne prendrai jamais la responsabilité de la diffusion d'information rendant pénible le quotidien de la police. Que certains fassent des conjectures n'est pas un problème mais que l'on développe certains points intentionnellement, ça l'est.
  6. Neuron

    Armageddon économique ?

    Mon argent a de l'allure.
  7. Un copain qui travaille dans la police ferroviaire m'expliquait qu'on ne met pas de portique dans les gares car les voyageurs ont comme culture de pouvoir prendre le train à la dernière seconde.A l'époque ma question ne portait pas sur le risque d'attentat mais sur l'intérêt des portiques pour améliorer le respect du cadence ment des trains et limiter certains types de vol. Les aéroports ont toujours connus le principe du contrôle à l'embarquement.
  8. Il fait savoir que c'est techniquement faisable de couper l'électricité sur des zones immenses et à cheval sur plusieurs pays.
  9. Car avec les avions :- les conséquences sont tout de suite plus radical ; - il est possible de faire ce genre de contrôle.
  10. Le site d'origine est celui-la : http://vpourvalek.com/videos.php?v=16442
  11. Rien de plus dérangeant que de montrer des évidences.
  12. Remarquable, ce montage.
  13. http://video.lefigaro.fr/figaro/video/barrage-de-sivens-johnny-blanc-ce-ramassi-de-cloportes-nous-emmerde/3864976647001/ Bah oui.
  14. Le gros problème n'est jamais le tir ou l'abordage en vol.Le point bloquant est la responsabilités de l'autorité qui provoque la chute.
  15. Ce n'est pas si long que cela.Les événements ont eu lieu fin 2005. Leurs enseignements ne peuvent être connus avant la 1er janv. 2006. Le décret est signé le 30 juin 2011. Imaginons au minimum 6 mois de rédaction du seul décret. 31 décembre 2010, on est à 5 ans. Quand commence le processus d'analyse (RETEX pour RETour d'EXperience), il faut au minimum 6 mois pour l'équipe qui va analyser la totalité des événements. C'est à dire tout ce qui s'est passé heure après heure et dans tous les domaines (juridique, relève des unités, maîtrise de la com' dans les médias, armement adverse...). Une fois que tu fais ce découpage, tu le confrontes à tes capacités et tu cherches à voir si tu as des lacunes ou si cela n'aurait pas pu mieux se passer. Ensuite, quand tu as les failles, tu cherches à savoir comment les combler. Ici, la faille était : des individus tirent sur les forces de l'ordre à distance au milieu d'individus non armés. Comment faire ? Le comment faire doit arriver en juin 2006. La solution est vite trouvée : une arme de précision est nécessaire. A ce moment là, il faut faire une étude : quel calibre, quel fusil... pour un gendarme moyen pas du GIGN. Il faut définir le cycle de sélection des gendarmes qui seront autorisés à devenir des "contre-tireur". Il faut définir la formation, la mettre en place, la tester, l'améliorer.. la valider définitivement. Et c'est une fois que tout est en place, que tout est rodé, que l'on peut répondre à toutes les questions des cabinets ministériels, des embûches des juristes, que l'on a commandé et reçu les armes que l'on peut dire "Monsieur le premier ministre, vous pouvez signer." Ça prend 5 ans.
  16. Pour l'emploi de la force par les gendarmes : http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071307&idArticle=LEGIARTI000006539986&dateTexte&categorieLien=cid
  17. Le fameux décret du 30 juin 2011 : http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000024287129&dateTexte&categorieLien=id
  18. Tout d'abord, n'ayant pas été gendarme, j'ai certaines lacunes et je ne peux me prétendre exhaustif sur certaines questions mais le principe est le suivant : Depuis une loi (ou arrêt) de 1943, les gendarmes ont une dérogation quand au cadre de la légitime défense. Ils n'ont pas besoin d'être menacé ou de constater une menace réelle et immédiate pour un tiers pour ouvrir le feu. Le gendarme avait la possibilité d'ouvrir le feu sur un criminel recherché sans sommation et sans que l'individu ne représente de menace au moment du tir. Cette possibilité a été progressivement réduite par la jurisprudence mais pas annulée. Les mauvaises langues disent que c'est une loi de Pétain pour s'assurer du soutien des gendarmes contre la police. Il peut y avoir de cela. Dans l'histoire de France, il y a souvent eu le jeu de l'une des forces contre l'autre par certains gouvernements. Aujourd'hui, ce principe d'un recours à la force par le gendarme de sa propre initiative existe toujours car on considère que le gendarme départemental, en cas d'affrontement, est isolé en campagne. Il ne peut, à la différence du policier, recevoir des renforts pour lui prêter main forte. Il faut savoir que pour bénéficier de cette dérogation, le gendarme doit être en tenue. Il doit être identifiable comme étant celui qui a ce droit. Un gendarme en civil est strictement tenu par la légitime défense. Il est exactement soumis au régime des policiers. Dans les faits, les gendarmes sont formés comme les policiers. Ils savent leur privilège mais s'efforcent de ne pas y avoir recours. Les gendarmes mobiles n'ont pas cette dérogation puisqu'ils interviennent en nombre. Leur armement et leur règles d'engagement sont régis par un décret qui défini exactement le modèle de leur matériel en maintien de l'ordre puis en rétablissement de l'ordre. La dernière modification a eu lieu en juillet 2011. Elle a autorisé l'emploi d´un fusil à lunette et une grenade à main de nouveau modèle. L'identification du fusil à lunette pour le rétablissement de l'ordre est lié aux événements de 2005 où pour la première fois il y a eu l'usage régulier d'armes à feu par des émeutiers.
  19. Les gendarmes ont un droit dérogatoire en marier de légitime défense.Plus de détail plus tard.
  20. Il rejoint tout à fait ce que je propose. Sa présentation de la bascule chilienne est très intéressante. Maintenant, le système français est de toute façon condamné. Et ce quelque soit le taux démographique ou de croissance économique. Il me semble qu'il y a un levier sur lequel on peut jouer en France : la sécurité sociale. Si j'ai bien compris, passer au privé provoquerait une baisse de 30% des cotisations pour un remboursement de 100%. Donc, en récupérant une partie de cette hausse de revenu, on peut financer une partie du surcoût.
  21. C'est vrai et je ne doute pas qu'un labo trouve une solution.
  22. Réponse, ici : http://www.liberaux.org/index.php/topic/51879-retraites-organiser-le-passage-de-la-répartition-à-la-capitalisation/
  23. BHL.J'ai bon ?
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