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Tout ce qui a été posté par Wali
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À partir du moment où n'importe qui peut taper de la pâte à gaufre dans son gaufrier et vendre le fruit de son labeur dans la rue sans devoir requérir la moindre autorisation gouvernementale, imagine ce que le monde du travail peut devenir, notamment chez ceux qui ont de vrais projets en tête. N.B. Je précise qu'il existerait ce qu'on appelle un chômage frictionnel. Voir aussi : http://www.wikiberal.org/wiki/Ch%C3%B4mage
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Les réponses fournies ici le sont à titre personnel. Pour info, je ne fais pas partie de l'équipe dirigeante du PLib. Il est certain que si certaines écoles souhaitent embaucher les meilleurs profs qui soient, elles devront payer le prix fort et le répercuter en conséquence sur leurs "clients". Je souhaite toutefois tempérer la vision apocalyptique que pourrait déclencher cette remarque chez certains par les observations et réflexions suivantes : 1/ Dans la deuxième moitié du XIXème siècle, bien avant que l'État n'eût interdit le travail des enfants de moins de douze ans et instauré l'obligation scolaire pour les susvisés, il existait un enseignement tout à fait gratuit pour les enfants d'ouvriers (et quand je dis "gratuit", c'était totalement, pas comme maintenant où derrière ce terme se cachent la multitude d'impôts que nous connaissons). Moralité : plus l'État s'est occupé d'enseignement, moins celui-ci fut gratuit. 2/ Mettons un monde où l'enseignement est libéré. Il est certain que certaines écoles/universités coûteront plus cher que d'autres. Cela signifiera-t-il forcément que les écoles les moins chères seront les moins bonnes ? Non ! Pourquoi ? Les jeunes enseignants. Ceux-ci, à peine sortis de leur formation, devront faire leurs preuves. Hormis peut-être les meilleurs d'entre eux qui pourront se permettre de sauter cette étape, la plupart d'entre eux devront transiter par la case "petit salaire" afin d'engranger de l'expérience et de pouvoir se vendre par la suite dans des collèges qui paient mieux. Ils seront même contraints d'être performants s'ils veulent "progresser" socialement. 3/ Enseignement à domicile : il tend de plus en plus à être interdit par l'État dans l'état actuel des choses. Or, il se révèle parfois bien plus efficace que le système traditionnel. Certains parents ont le temps de s'occuper de l'apprentissage de leur progéniture. J'ai un cousin qui, formé à domicile, a pu accéder à l'enseignement supérieur à l'âge de 14 ans. 4/ Retraités et passionnés : ceux-ci ne demanderont pas forcément un salaire mirobolant pour transmettre leur savoir à des personnes motivées. 5/ Bourses : ce système permettra à des associations avec ou sans but lucratif de financer les études des jeunes individus qui disposent de haut potentiel. Échange win-win. En tout état de cause, 1/ L'État de l'enseignement actuel est catastrophique. Il ne vaut certainement pas mieux que l'enseignement le plus pourri que produira un monde libre. Or, l'enseignement étatique est généralisé : le moindre élève risquera d'être mal formé. Le risque existera toujours dans un système libre, mais il concernera bien moins d'étudiants. 2/ Le PLib n'obtiendra jamais la majorité absolue en Belgique et, même si un miracle divin la lui attribuait un jour, il ne pourrait passer du noir au blanc sans transition. Cette transition impliquerait un pouvoir accru pour les pouvoirs organisateurs et l'instauration d'un chèque-éducation. 1/ Nul ne sera obligé d'être employé. Être indépendant sera peut-être plus intéressant pour l'individu économique, notamment du point de vue que tu soulèves ici. 2/ L'employeur pourra toujours s'entendre contractuellement avec l'employé pour que celui-ci travaille des week-ends, des nuits, des jours fériés, etc. (Dans notre société actuelle, il y a déjà des gens qui travaillent lors de ces moments spécifiques.) Si l'employé n'est pas satisfait du régime qui lui est offert, il aura toujours la possibilité d'aller voir ailleurs -- et je ne dis pas ça méchamment : dans un marché libre, la concurrence s'exacerbe, il n'y a pas de chômage, et par conséquent les employés ont plus de poids dans la négociation avec le patron. S'ils ne sont pas satisfaits et qu'ils sont compétents, ils trouveront forcément mieux ailleurs. Je ne serais pas choqué de voir des paquets de cigarettes canna-flavor dans le Supermarché du coin à côté de ceux à l'arôme plus traditionnelle.
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Ne serait-il pas intéressant d'indiquer en fin d'article, comme sur certains sites, les Twitter, Facebook, etc. des auteurs ? Cela leur permettrait de gagner en visibilité sur les réseaux sociaux.
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CMB. Ça fait plaisir d'avoir des retours positifs Jean. Si tu as des questions à propos de certains points, que ceux-ci te semblent bizarres ou que tu ne parviens pas à trouver la logique interne de pans du programme, n'hésite pas à poser des questions dans le présent fil ; il y aura toujours bien l'une ou l'autre personne pour te répondre ou t'orienter.
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Belgique, garnaalkroketten, stoemp & mitraillette
Wali a répondu à un sujet de poney dans Europe et international
La Flandre et Bruxelles s'allient avec des corporations professionnelles contre la concurrence bon marché. Le service de taxis amateurs "UberPop" interdit à Bruxelles sous peine d'amende de 10.000 euros pour les chauffeurs contrevenants. Le couchsurfing sur le point de l'être de facto en Flandre : l'administration oblige ceux qui offrent publiquement une chambre aux touristes à se faire connaître auprès des autorités et à respecter les règles d'hygiène et de sécurité du décret relatif au logement touristique. -
Je n'en ai encore que deux à mon actif, donc de mon côté je ne peux offrir des conseils aussi pointus que ceux de Lucilio. Néanmoins, je recommande chaudement le premier que j'ai lu, La Guerre de la fin du monde -- un roman fleuve basé sur des faits historiques. J'avais dû m'accrocher lors des trente premières pages mais après je fus plongé dans l'histoire. C'est l'un des meilleurs romans qu'il m'ait été donné de lire. Avec en toile de fond l'État brésilien qui lutte contre l'émergence d'une ville autonome (et religieuse). Vraiment un coup de coeur personnel.
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Quelle clairvoyance. Moi, plus j'avançais dans l'histoire, plus je me disais "ce n'est pas possible que ça continue encore comme ça sur 400 300 200 100 pages, il va se passer qqch de gigantesque qui justifie le statut d'oeuvre du roman". Et, forcément, plus je lisais, plus la déception croissait. Je crois que je n'ai rien lu dans le mois qui a suivi cette m*** tant l'effort auquel elle m'avait contraint m'avait dégoûté de la lecture.
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Livre le plus chiant que j'ai lu.
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[modéré]Hollande, le départ du comique français
Wali a répondu à un sujet de Chitah dans Politique, droit et questions de société
J'adore particulièrement la stupeur d'une seconde en position accroupie, moment lors duquel on peut facilement imaginer une bulle avec écrit dedans "m'enfin" qui s'échappe de sa tête (d'abruti). -
[modéré]Hollande, le départ du comique français
Wali a répondu à un sujet de Chitah dans Politique, droit et questions de société
La nouvelle BOURDE de Hollande. Que je dédicace à Chitah. http://info24.fr/quand-hollande-veut-soulever-gerbe-alors-quil-faut-simplement-se-mettre-cote-pour-la-photo/ -
Le fil des séries (dont beaucoup trop se bousémotivent)
Wali a répondu à un sujet de Brock dans Sports et loisirs
Pff. Se faire spoiler la fin de l'épisode trois minutes avant de le commencer. Je crois que je vais arrêter Facebook. Je demande au PLib de trouver une autre plateforme comme espace de discussion. -
Interview d'Alexis Grabinszky sur Contrepoints. Il revient sur son passage au Talk Élections de RTL-TVI.
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Faute d'orthographe dans l'article suivant : http://www.contrepoints.org/2014/04/12/162677-exclusif-le-parti-libertarien-se-presentera-aux-elections-belges Dans le dernier paragraphe, il est marqué "vœu pieu" : il faut rajouter un "x" à "pieu". Tant que vous y êtes, si vous pouviez transformer le "jusqu'à ce que les niches fiscales s'évanouissent" en "jusqu'à ce que les niches fiscales s'évaporent", ça me ferait plaisir. C'est un passage qui se situe +- à la moitié de l'article, dans le paragraphe relatif à la fiscalité. Merci d'avance à l'équipe.
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L'avantage de la feuille blanche est qu'elle ne fait pas perdre de temps à combattre les idées reçues. Je pense que c'est un débat qui a certainement travaillé l'esprit des fondateurs du PLib et qu'ils l'ont tranché en faveur de cette solution.
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La seule différence notable avec l'UdL, c'est l'allocation universelle. C'est leur dada ; ils en parlaient déjà lors du congrès fondateur du PLib et ont été en minorité lors du vote. Ça leur a servi d'excuse pour monter leur mouvement sur le côté. Maintenant, s'ils ne présentent réellement aucune liste (je demande à voir car Didier Vanderbiest a tout de même quelques contacts au Luxembourg et y avait obtenu un bon résultat aux dernières élections sous les couleurs du PP), il me semble évident qu'ils devront rentrer dans le rang. Dans l'état actuel des choses, avec des formations comme le MR (social-démocrate), le PP ou le VLC (wacistes) qui se réclament du libéralisme, il me semble préférable que le terme libertarien soit celui employé par les troupes qui partagent nos idées.
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L'idéal serait que Christian Coppe mette son orgueil de côté et qu'il nous rejoigne, quitte à créer un GLA favorable au revenu universel au sein du PLib. La division n'a jamais été utile, et le plus gros mange le plus petit, c'est comme ça.
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Présentation aux élections belges.
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Je viens d'envoyer à la rédaction une brève à publier aujourd'hui. Merci à celui ou celle qui s'en chargera.
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Et le journaliste invite la co-présidente du Mouvement de gauche...
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Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres
Wali a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Je propose ceci, sans pouvoir le traduire moi-même et sans savoir si l'auteur est OK. http://www.christophercantwell.com/2014/04/08/top-10-reasons-libertarians-arent-nice/ -
Les gens de RTL avaient dit qu'ils voulaient du "jeune" ; ils ont donc refusé la candidature de Patrick. Or, après Alexis, ils ont fait passer un socialiste de 56 piges en chaise roulante... Bref. Du côté du parti, la stratégie est de mettre une figure en avant, celle du président, un peu comme le PTB fait avec Raoul Hedebouw. Ça nous aurait donc arrangé que le passage médiatique aille à Patrick. Enfin, ce n'est que partie remise : nul doute que l'actuelle campagne électorale lui offrira l'une ou l'autre occasion de se frotter à l'antenne avec quelque adversaire. (Et puis, ça a permis à Alexis d'engranger de l'expérience -- et au parti d'en engranger aussi sans mouiller Patrick.)
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Le fil des séries (dont beaucoup trop se bousémotivent)
Wali a répondu à un sujet de Brock dans Sports et loisirs
Je viens de voir la fin d'How I Met, les quatre derniers épisodes d'un coup. Je suis déception. Je n'imaginais pas qu'il était possible de tomber si bas. Quel scénario nullissime. Ça bousille pas seulement la saison 9 (qui était déjà la pire sans ça), mais toutes les précédentes également. Gros +1 avec toutes les critiques émises en spoiler ci-dessus. Et concernant HoC, je suis plutôt d'accord avec les critiques avancées. La saison 2, tout en restant d'un bon niveau, était en-deçà de la 1. La fin est trop brutale pour être crédible. Quant au truc avec Meechum, je ne peux que subodorer qu'il y aura une suite à cela par la suite. -
Hollande plus socialiste encore que Sarkozy
Wali a répondu à un sujet de pankkake dans Politique, droit et questions de société
C'est clair que le débat : — Le Roi a des habits. — Non il n'en a pas. Ça m'a totalement désintéressé du fil. -
Le fil des séries (dont beaucoup trop se bousémotivent)
Wali a répondu à un sujet de Brock dans Sports et loisirs
Voilà, j'ai regardé hier soir le dernier épisode. (De légers spoilers suivent.) Fin typiquement américaine, ai-je envie d'écrire, même si Pizzolatto y a inséré -- avec une certaine audace peut-être ? -- deux scènes plus psychologiques, à mettre en parallèle avec le second épisode de la série. Le coupable faisait partie de la short-list que le web avait dressée ; et, vu la comparaison de son physique avec celui du dessin, vu la fin de l'épisode 7 aussi, on se doutait de son rôle dans le carnage. Ce qui m'a moins plu : -- l'indice qui sort de nulle part pour arriver jusqu'au serial-killer ; -- l'exagération visuelle autour de la scène finale ; -- la fin un peu trop heureuse compte tenu des événements. De façon générale, les deux derniers épisodes ont quelque peu perdu en qualité narrative, vu qu'ils se déroulent entièrement, ou presque (je ne sais plus), en 2012. Le schéma passé-présent qui avait si bien fonctionné au cours des six premiers épisodes n'était plus là pour soutenir le récit. Cela ne gâche en rien la série dans son ensemble, qui restera certainement parmi les meilleurs crus de 2014. Ainsi que l'illustre l'épilogue, la série tournait autant, voire plus, autour de ses personnages et de leur psychologie/philosophie que de la trame policière. McConaughey et Arelson ont placé la barre très haut pour cette première saison. Comme beaucoup de personnes, je crains que la suivante ne puisse pas soutenir la comparaison. N.B. Mon petit regret restera d'avoir dû attendre une semaine avant chaque épisode. Ç'aurait été plus sympa, pour avoir une vision globale de l'intrigue, de regarder le tout d'une traite. -
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