Wali

Quel livre ? Edit : L'Amour Impossible, I presume.

Moi j'avais bien aimé. Dans la même veine que Bittermoon, un cran au-dessus dans les relations homme-femme à la limite. Prestation de M. Amalric impeccable.

Les 4 saisons de Vivaldi recomposées par Max Richter : un documentaire disponible encore 2 ou 3 jours sur le site d'Arte. Je ne suis pas musicologue ; parfois mes oreilles étaient surprises mais il y a quelques passages qu'elles ont trouvés vraiment beaux. La pièce dans son ensemble :

Série excellente jusqu'à présent. L'épisode final sera toutefois déterminant pour l'appréciation finale du produit.

La fin de la saison 2 n'est pas assez "réaliste" ou "crédible" à mes yeux. Mais la série se laisse dévorer avec plaisir. Attendre un an maintenant.

Merci à vous pour vos réponses. J'avais vu Taxi Driver l'an dernier et en avais un peu parlé dans le fil des classiques. On m'avait exposé la notion de Zeitgest pour m'expliquer le succès du film (que je trouvais fort lent et sans histoire, disons, marquante). J'espère donc que dans les autres réalisations que vous me conseillez Scorsese s'est plus attaché à raconter qu'à décrire. Car elles sont sur ma liste.

J'avoue avoir eu très peur en voyant le visage de Cameron Diaz en début de film, mais sa prestation fut plus que correcte. Il n'y a pas eu une seule scène où elle m'a fait sortir du film en me faisant dire "mon dieu qu'elle est mauvaise" -- gageure que réussissent la plupart des actrices françaises. +1. C'est le film que je comptais initialement voir hier mais les sous-titres en français merdaient.

Nous avons décidément des goûts très différents. La scène finale en pleines émeutes new-yorkaises, quand l'Histoire prend presque le pas sur l'histoire, j'adore.

J'avais aussi été agréablement surpris par la prestation de Jonah Hill, que je découvrais. (Et nous sommes probablement d'accord sur le fait que, sans Di Caprio, le film se serait effondré et aurait fait un four.) J'ai revu hier Gangs of New York ; je l'avais vu jeune et en avais gardé un bon souvenir ; cette seconde vision a confirmé tout le bien que je pensais des associations Scorsese - Di Caprio (même si la personnalité d'Howard Hughes dans Aviator était un peu pénible -- je n'ai par ailleurs pas encore vu The Departed). Vous conseillez quoi chez Scorsese avant les années 2000 ?

Coïncidence : je l'ai découvert il y a trois jours. Gros +1 avec gio. Pas d'histoire, personnages vraiment pas sympathiques, jeu de Miou-Miou désastreux par moments. Je me suis ennuyé. (Et la fin initialement prévue, qui n'est plus que sous-entendue, on la sent arriver depuis le début.)

OK : Gravity est un film où effets spéciaux, clichés, suspense à la con et absence de scénario font bon ménage.

+1 sur ce qui est en gras. Gravity est une oeuvre de fiction au scénario rachitique. The Wolf of Wall Street a porté à l'écran la vie d'un type sur le mode de la comédie. (Je précise que je m'étais rendu au cinéma avec énormément d'appréhensions concernant les deux films ; il n'y a que dans le deuxième cas où je n'ai pas regretté le coût de ma place.) Gravity est le genre de blockbuster typique du ciné hollywoodien : effets spéciaux, clichés, suspense à la con et absence de scénario y font bon ménage. On a même droit à la traditionnelle scène (revisitée) de la voiture, sur les rails, qui ne peut démarrer alors que le train arrive à pleine vitesse. Je peux toutefois concevoir que certains apprécient ce type de film, parce qu'ils se basent sur des critères différents des miens. Après tout, dans un autre registre, une immense majorité des spectateurs avait préféré Inception à Shutter Island -- pour reprendre des films où LDC et/ou Scorsese sont impliqués.

Rien de tel qu'une édition XIXème siècle...

La merditude des choses (De helaasheid der dingen comme on dit par chez nous), en tout cas, je me rappelle que c'était chiant à mourir. J'en attendais la fin avec impatience. (Allez, pour être honnête, je dois reconnaître que le film aurait été bien ou passable s'il s'était arrêté après 60-70 minutes.)

Gravity est une bouse au scénario rachitique et aux personnages clichés. C'était plat et sans saveur. The Wolf of Wall Street n'était peut-être pas le film de la décennie, mais au moins a-t-il réussi la gageure de beaucoup m'amuser pendant 1h30-2h. Le type à côté de moi, qui n'avait pas dormi de la nuit, ne s'est pas endormi durant la séance... ce qui relève de l'exploit pour un film de trois heures.

Non : http://www.atlantico.fr/decryptage/famille-durable-mariage-homo-gay-aurelien-veron-148699.html

NKM dégage Aurel de sa 2ème place. http://lelab.europe1.fr/Info-Lab-NKM-vire-sa-tete-de-liste-dans-le-2e-arrondissement-apres-une-tentative-de-passage-en-force-13175

Aurel perd sa place visiblement.

h16 m'ôte les mots de la bouche. Ce n'est pas aussi boring que du Dardenne, non, mais c'est très clairement lent et décevant.

Je l'avais bien compris mais je préférais donner quelques détails concrets afin de rendre la chose plus intelligible pour vous, Français. Par ailleurs, toutes les critiques formulées sont notées par l'équipe, soyez-en sûrs.

+ 1. Pour moi, les libertariens doivent s'attaquer aux jeunes àpd 15-16 ans. On les gardera libertariens pour la vie, ceux que l'on convertit. Edit. Ce sont des cibles rêvées. Cf. cet article en France, très certainement valable aussi pour les jeunes Wallons.

Le cadre n'est pas une voiture. Ce n'est pas un bar non plus. C'est un fond blanc. Bref : impossible de caser ces scènes là. Il faut comprendre que nous sommes un petit parti, à peine né, qui ne dispose pas de grands fonds. Nous n'avons pas fait appel à un photographe et à des figurants avec costume, non. Les coûts auraient été disproportionnés pour un résultat peut-être décevant. Nous avons cherché pendant plusieurs heures des photos sur fond blanc, et achetables, qui pouvaient symboliser le slogan et un point de notre programme. Alors, oui, il est possible que certains croient déceler un ou deux clichés sur l'affiche. C'est un noir qui joue le rôle du rasta fumeur, par exemple. (On ne disposait pas de meilleure photo : il était sympa et souriant.) Et ? Tous les noirs sont des rastas fumeurs ? Non. Aucun noir n'est un rasta fumeur ? Non plus. Or, ici, il s'agit d'un et un seul individu, pas d'une communauté. (BTW, je trouverais ça triste qu'un noir néo-entrepreneur s'identifie plus au rasta qu'à la business-woman : la couleur de la peau avant tout, réellement ?) Ce qui arrive est la première campagne du PLib. Pour beaucoup de citoyens, ce sera un premier contact avec les libertariens. Il s'avérera donc primordial. Vous n'avez pas idée de la diabolisation ambiante, en Wallonie et à Bruxelles, des partis que les médias se sont empressés de qualifier d'extrême-droite -- parfois à tort. Nous devons à tout prix éviter cet écueil. Notre première mission est de nous rendre respectables. Comme l'a très certainement dit ou écrit Patrick quelque part, nous devons nous attaquer au monopole de la morale que s'arroge la gauche depuis des dizaines d'années. Il me semble que nous sommes en bonne voie. Notre communiqué de presse "ni de gauche, ni de droite, libres tout simplement" a été repris en partie par un grand quotidien francophone voici six mois. Cette campagne consolidera le message que nous faisons passer depuis la naissance. J'ose espérer que, à l'avenir, le public nous verra comme des radicaux plutôt que comme des extrémistes.

La femme voilée n'est pas arabe à mes yeux. D'où le "laisser vivre" à côté du "vivre".

Je pense que là aussi c'est au bon vouloir des médias. Mais le PLib ne saura probablement pas participer à ce scrutin. 5000 signatures d'électeurs sont nécessaires pour ce faire -- le tout en deux mois de temps.

Si un abonné pouvait partager, fût-ce par MP, je lui en serais reconnaissant.