Flashy

Je ne sais pas. Faute d'avoir approfondi la psychologie des personnages, ou parce que je n'ai pas suivi, je suis incapable d'apporter une piste à ces questions.

Je n'ai pas dit qu'il n'était pas bon, ou mauvais, j'ai dit qu'il était décevant : c'est très différent ! Je m'attendais à une grosse claque ; je ne l'ai pas eu. Je l'ai lu 30 ans trop tard, je pense.

ça me rappelle un peu la Cité des Permutants (Permutation City) de Greg Egan... Un roman est conçu pour avoir des personnages auxquels on ne peut s'attacher, une action confuse et une intrigue entortillée? J'entends bien le parti-pris pour l'intrigue ; elle est plutôt sympathique, une fois qu'on a bien avancé et qu'on y voit plus clair. Par contre, je ne comprends pas la démarche de créer des personnages qui laissent indifférents et de décrire des actions de telle façon qu'on ne peut pas se les représenter.

J'avoue que j'ai l'âme d'un nerd.

J'ai lu le Neuromancien, de William Gibson. C'est un ouvrage écrit en 1984, fondateur du Cyberpunk, lauréat des prix Hugo, Nebula et P.K. Dick, rien que ça. Je suis déçu, profondément déçu. Je l'ai acheté (et lu) car il s'agissait d'un classique du genre. L'histoire, en bref : Case est un hacker de génie, un maestro de la Matrice (univers virtuel sur lequel on peut se connecter directement grâce à une interface neuronale). Un jour, il double son employeur ; ce dernier se venge cruellement en lui endommageant le système nerveux, le privant de tout accès à la Matrice. Voilà donc que Case erre dans un ghetto japonais, noyant son amertume dans un bar miteux, dans la drogue et dans les combines sordides. Quand soudain, tout bascule : on le trouve pour un job à haut vol (et à haut risques) qui lui permettra de retrouver un système nerveux (et un foie) intact, un accès à la Matrice et une chance de se tirer du trou dans lequel il végète depuis trop longtemps. Je ne vais pas en dévoiler plus, mais vous avez saisi l'idée. Dans ce roman, on y trouve des augmentations cybernétiques, des intelligences artificielles, de la chirurgie de pointe, des virus super-évolués, des répliques de personnalité etc... Et pourtant, pourtant, ce roman sombre dans deux écueils : 1/ Il a mal vieilli. Sans doute très novateur à l'époque (très sombre, violent, dans un futur plus proche, avec pour protagoniste principal un junkie que je trouve un peu con sur les bords), il ne l'est plus de nos jours. On ne retrouve pas l'émerveillement devant des idées très originales : ces idées ont été surexploitées ces trente dernières années, et pour certaines sont devenues notre réalité. 2/ le style est incompréhensible, l'action confuse, les personnages ne sont pas assez approfondis à mon goût (il est impossible de s'y attacher ou de comprendre les mécanismes de leur psyché). Les choses vont en s'améliorant vers la fin, mais le début est difficile, quasiment indigeste (où est-on? Pourquoi ce personnage agit-il comme cela? Que fait-il? Que se passe-t-il?...). Je suis le seul de cet avis?

Je me répète, mais en France, il apparaît que certains sont prêts à s'indigner, à se révolter, à voter FN et à foutre le bordel suite à un débat sur la répartition des risques mutuelle/Sécu. L'état d'urgence, la surveillance généralisée, les propositions d'enfermer des moins-que-suspects (les fichés S n'étant pas suspects, juste "à surveiller") sans procès ni juge, là, par contre, on n'entend que pouic. Juppé proposait l'enfermement préventif : il est formidable, bien au centre, contrairement à cet infâme Fillon qui touche aux mutuelles et à la Sécu (et à des règles relatives à l'adoption plénière) ! Bande de nuls.

Première option, mâtiné de la seconde. J'ai besoin de savoir que je vais être lu pour m'imposer d'écrire. C'est d'ailleurs pour ça que je n'arrive pas à me motiver à écrire des articles techniques en droit : je n'arrive pas à me convaincre que j'apporte fondamentalement quelque chose au sujet. Faut vraiment que je sois énervé pour réussir à surmonter ma répugnance à écrire sur un sujet juridique. Cette répugnance, je la ressens moins en SF, fantasy, worldbuilding, histoire, JdR : j'adore ça. Je ne vais pas faire un blog de spécialiste : je n'en suis pas un. Je suis un amateur à tendance obsessionnelle. EDIT : félicitations NicolasB !

http://www.lepoint.fr/politique/emmanuel-berretta/presidentielle-2017-francois-hollande-regrette-son-renoncement-21-12-2016-2092048_1897.php François Hollande s'épanche, regrette et fabule, à en croire cet article.

Jamais lu, j'en ai entendu dire du bien.

Non. Je ne comprends pas l'intérêt. Oui, pour ça que je veux me créer un "stock" d'articles avant de me lancer. Ce ne serait pas fondamentalement libéral, ni sur le libéralisme. Un truc au confluent de ça : http://www.projectrho.com/public_html/rocket/ ça : https://www.youtube.com/user/Artifexian Mais aussi des développements sur la science-fiction & la fantasy, le JdR, notamment francophone (j'ai très envie d'écrire sur Jaworski, rôliste aguerri, auteur de JdR et qui a écrit son livre "Gagner la Guerre" en réponse à un troll sur un forum de JdR expliquant qu'ADD était puéril (source : Casus Belli)). J'ai aussi envie d'écrire sur Alain Damasio, Pierre Bordage, commenter l'intégrale de Wul, faire un état des lieux des librairies spécialisées à Paris et en proche banlieue (puis, peut-être, ailleurs), faire des aides de jeux pour Shadowrun pour la France et l'Europe (le parent pauvre, je trouve...), une présentation de ce que sont les différents prix, les différents festivals, mais aussi explorer le monde (des civilisations peu connues, des réalisations humaines oubliées, des religions en train de disparaître ou d'émerger, expliquer ce qu'était la vie d'un romain, d'un marchand du Moyen-Âge, ou d'un paysan, ou d'un chevalier, exposer les différents ordres monastiques & les moines-guerriers etc etc), les jeux-vidéos qui font des efforts pour dépasser le stade de simple divertissement (j'ai un article de prêt sur le retour du RPG à l'ancienne, le charme de la 3D isométrique & le crowdfunding). Bref, une approche transversale que je n'ai pas encore trop trouvé sur les blogs français (les blogs de lecture ne se consacrent qu'à la lecture & aux critiques, avec un peu d'actu éditeur/librairie ; mais pas ou peu de worldbuilding ou d'infos autres).

J'ai posté des graphiques sur l'état d'urgence, dans le topic sur le terrorisme.

Pas mal de chaînes très, très, très intéressantes ! Merci !

Difficile de convertir un article en gif Quoiqu'y a de la matière à créer des memes :

Ah? Quelles sont les medias "hype"?

J'ai bien envie de créer un blog. Une envie tenace, que j'ai toujours reporté au lendemain...j'ai des morceaux d'articles, de billets, voire quelques billets entiers, qui s'accumulent sur mon disque dur. Quelqu'un a des conseils? Sur la plateforme? Comment la gérer? Quand publier? Dois-je faire quelque chose de thématique pour espérer être lu?

Mariton, NKM, Berger et Lesquen. Ils ne sont peut-être pas nombreux, mais on a un échantillon de qualitaÿ.

Une belle Ray.

Tu oublies Karine Berger.

Sommer Ray a un fessier parfait.

Quel est le taux de sans-abris? L'espérance de vie ouvrière? La dépense moyenne par ménage des CSP -, poste par poste?

N'exagère pas. Ne mets pas tous les camions dans le même sac.

Je ne vais pas y voter. Par contre, ceux qui veulent s'y intéresser ne trouveront aucune info. A mon avis, cette primaire sera mal préparée, ce qui conduira à une participation médiocre.

La primaire est dans un mois, on ne sait toujours pas où on peut voter. A droite, c'était prêt deux à trois mois avant la primaire.

J'ai comparé Tolkien à Hayek pour rigoler Pour ma part, je ne pense pas que le SdA soit un manifeste anti-communiste, anti-socialiste ou une parabole religieuse, écologiste ou que sais-je. Ce n'était pas le but, je pense. Par contre, on trouve du Tolkien dans le récit, sa construction, les sujets abordés. Et il est aisé d'en déduire qu'il aime bien la Nature, la campagne, les choses simples (rigoler avec des amis autour d'une bonne bière et d'un bon tabac), la liberté. On peut aussi en déduire qu'il est conservateur (toute l'histoire de la Terre du Milieu est une longue chute, si on regarde bien ; le présent n'est que l'ombre du passé). On peut aussi en déduire une aversion pour le Pouvoir, ie la coercition sur autrui (dans un but noble ou non), l'ambition d'avoir un tel pouvoir, les grandes abstractions. Les figures de Sauron, Saroumane, Langue de Serpent, les Nazguls, le Régent de Minas Tirith, Boromir...elles pointent toutes cette aversion. On me dirait que Tolkien est fan d'Edmund Burke, je n'en serais pas du tout surpris.

Librekom, tu valides?