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frigo

Yabon Nonosse
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Tout ce qui a été posté par frigo

  1. frigo

    Qui a dit ?

    "Pour remédier à cela, un seul moyen. Se grouper dans la rue et démontrer à ces immondices de la Chambre des députés que le peuple ne consent plus à se laisser subjuguer sans résistance. Manifester . C'est tellement facile. Le peuple est le plus fort. Les forces armées et la police ne pourraient rien contre lui […]Être dominés par des hommes serait une chose insupportable. Pouvons-nous persister à nous laisser dominer par des impuretés, des matières excrémentielles !
  2. frigo

    Qui a dit ?

  3. frigo

    Qui a dit ?

    Un chanteur.
  4. frigo

    Qui a dit ?

    L'inégalité est une donnée irréductible, qu'il faut accepter, et ne point trop combattre, sous peine de créer un monde assez fade, et oppressif pour ceux qui ne sont pas semblables à l'individu moyen.
  5. C'est juste une petite vidéo qui montre des maçons spécialement habiles ou ingénieux. A 2'35 par exemple il y a une chinoise qui construit un mur en jetant les briques d'au moins deux mètres.
  6. C'est là qu'on voit l'hypocrite, si il.veut que les techniciens de surface gagne plus il devrait faire une caisse, un tron, pour recevoir les pourboires et les donations des utilisateurs des lieux. En fait là il veut que ce soir la nation qui pourvienne a l'entretien de sa domesticité.
  7. C'est les motivations de l'investisseurs que tu évoques alors ?
  8. Tu veux parler de l'inflation ?
  9. frigo

    Et La Poésie?

    Je viens de découvrir l'abbaye de Thélène de Rabelais, considéré comme une des premières utopies anarchiste, savoureux.
  10. Je ne résiste pas à une autre citation tirée du même aticle, cet extrait est inclut dans une démonstration ou Proudhon distingue les notions de nation et d'Etat. ncipe fédératif : « La nationalité n'est pas la même chose que l’unité : l'une ne suppose pas nécessairement l'autre. Ce sont deux notions distinctes qui, loin de se réclamer, bien souvent s'excluent. Ce qui constitue la nationalité suisse, par exemple, ce qui lui donne l'originalité et le caractère, ce n'est pas la langue, puisqu’il se parle en Suisse trois idiomes ; ce n’est pas la race, puisqu’il y a autant de races que de langues : c'est l’indépendance cantonale » (Proudhon, 1863, p. 143). 11 Ibid.
  11. Ce que Proudhon appelle progrès de la civilisation c'est, et il le dit expressément, le progrès de la liberté et du droit, un peu les fondamentaux du liberalisme quand même.
  12. Ce genre de phrases me soutient le moral.
  13. Toujours dans ma recherche sur les territoires naturels , la fragmentation spatiale et toutes ces choses dont je vous bassine de temps en temps , je viens de lire un article tout à fait passionnant dans une revue géographique sur les idées de Proudhon dans ces domaines. Un extrait : En résumé, j’appelle frontières naturelles la circonscription assignée par la nature à un groupe de familles, habitants d’une même vallée, formée ordinairement par un cours d’eau et deux lignes parallèles de hauteurs. Si le cours d’eau est d’une étendue considérable, parcourant des sols divers, sous des latitudes plus ou moins élevées, alors, les cultures et les climats changeant, la race des hommes varie à son tour, et leurs institutions avec eux ; la longue vallée se partage entre plusieurs groupes. L’État primitif peut se réduire à un simple hameau, et ne dépasse guère en population quelques milliers d’âmes. Telles étaient naguère la République de St-Marin et la principauté de Monaco ; tel est encore aujourd’hui le canton de Zoug, en Suisse, qui ne comptait, il y a quelques années, pas plus de 12,000 habitants. Lorsque les cités s’unissent, et que la réunion, par traité ou par conquête, commence, le principe ne cesse pas pour cela d’être respecté : ce n’est pas comme en Amérique, où l’on voit des vastes États séparés les uns des autres par des lignes droites. Une vallée se réunit à une autre, un groupe à un autre groupe, un système à un système. Ainsi le canton de Neuchâtel, qui compte 50,000 âmes, est formé des vals de Travers, de Rue, de St-Imier, de la Chaux-de-Fonds ; ainsi s’est formée la Confédération helvétique ; ainsi s’est formée la France elle-même, où l’on comptait, avant César, plus de quarante états indépendants, dont les nationaux eussent été fort étonnés, si on leur avait dit qu’un jour viendrait où leurs territoires composeraient un tout unique. Parcourez le Jura, les Alpes, tous les pays nettement caractérisés par les bassins et les montagnes, partout vous entendrez les habitants se distinguer les uns des autres par la vallée qu’ils habitent. Mais un jour viendra où, par le progrès même de la civilisation, par la généralisation du droit, la pratique universelle de la liberté et la simultanéité du progrès, le lien politique, qui servit à constituer les grands états, se relâchent, le despotisme aboli, la décentralisation opérée, ses groupes primitifs reviendront à leur indépendance naturelle. C’est ce qu’affirme implicitement le fédéralisme, et ce dont la civilisation de l’Allemagne, de la Suisse, des Pays-Bas, de l’Italie avant la conquête romaine et au Moyen-Âge, de la Grèce antique, peut donner une idée. Là, point de dynastie cumulant tous les pouvoirs ; point de bureaucratie enchaînant l’autonomie des cités. Là surtout point de militarisme dévorant l’épargne, opprimant le travail et entretenant la corruption. Mais la liberté, l’instruction, le bien être, partout répandue ; le patriotisme d’autant plus ardent qu’il n’a plus d’idoles à servir et se sent de toutes parts appuyé, et le génie trouvant des plus hautes expressions dans l’association libre de toutes les originalités. D’après ces principes, j’appelle Pologne l’État qui, fondé il y a plus de mille ans sur la Vistule, probablement entre les deux confluents de ce fleuve avec la Nida et le San, s’étendit d’abord en amont et en aval, s’accrut ensuite des provinces que lui ouvraient les affluent. Puis, s’épandant par-dessus les plateaux comme une mer qui passe sur ses rives, escarmoucha avec les Bohémiens, les Sibériens, les Poméraniens, les Prussiens ; toucha la mer à Danzig, sans pour cela devenir un état maritime ; fut au contraire constamment refoulé du côté de la mer par les races germaniques et scandinaves, et ne fit de conquêtes sérieuses que du côté de la Ruthénie, de la Podolie, de l’Ukraine, de la Woknie et de la Lituanie, dont l’état social, moins avancé, offrait des facilités plus grandes ; qui, enfin, travaille d’une dissolution intérieure, ayant perdu avec la conscience de lui-même le sens politique, pressé, de droite et de gauche, par des voisins plus puissants, fut dépouillé de ses annexes, et finalement incorporé dans d’autres états. Voilà ce quefut la Pologne : quant à présent, réserve faite de ses droits à une réviviscence, elle n’est plus. Le lien: http://journals.openedition.org/cybergeo/27639
  14. Ah je pensais que ton plus grand rêve était l'art. Autrement puisque tu es dans le droit, que penses tu de la fin des propriétés indivises par le code Napoléon ? ( nul n'est tenu de rester dans l'indivision, ou un truc comme ça ). Je dis ça par rapport au documentaire que j'ai posté plus haut, le code Napoléon a grandement participé à fin de ce "communisme" paysan. Dans une optique common law ou simplement liberal comment juger du bien fondé de cette mesure ?
  15. Je voulais dire débarrassé des contingences d'argent parce que tu en as énormément Là il se forme une image très proche du paradis des croyants. Bon je ne pousse pas plus loin dans la psychanalyse de quatre sous
  16. Après on analyse le fric froidement, rationnellement, comme outil propice à la division du travail ect. . Mais je crois qu'il y a bien une dimension , et là je ne sais pas trop l'exprimer n'étant pas un spécialiste, disons fantasmagorique ou archetypale, libidinal peut être. En tous cas pour moi ,des le plus jeune age , le fric a pris une dimension speciale dans mon imaginaire, aujourd'hui encore il m'arrive de rêvasser a une vie complètement débarrassée des contingences financières.
  17. Dans le reportage que j'ai posté ils en peignent un portrait moins noir que le tiens. Du moment que c'est volontaire après c'est l'histoire du goût et des couleurs. Quand je discute avec des anarcho coco et qu'ils me parlent de prise au tas je leur dis qu'apparemment c'est la mise au tas qui pose problème, des tas il n'y en a pas.
  18. Eux oui,mais quand tu croises un menteur suit le jusqu'à sa porte ( proverbe marocain).
  19. Peut être un peu, surtout quand je regarde les actus. Mais en rapport avec le petit poème anti fric que tu as posté je voulais surtout souligner que ,pourquoi pas, soyez libre de trouver des formes d'existence sans monnaie ( ou sans monnaie personnelle) mais portez en toute la responsabilité.
  20. Pas contradictoire, historiquement la capitation était proportionnelle au nombre de domestiques sous l'ancien régime.
  21. Alors quoi, même si t'as pas d'idée tu es taxé comme une bête de toutes façons.
  22. Mon idée niveau impot c'est la capitation proportionnelle, donc tout à fait compatible avec les individus voulant vivre sans argent.
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