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Tout ce qui a été posté par frigo
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Mais même si je me trompe en donnant à untel ou untel , je veux avoir le droit de me tromper .
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Non mais j'ai envie de faire ce que je veux de ma ferme, c'est le fruit de mes efforts , ça ce comprend non ?
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Disons que j'aime pas l'idée d'être forcé de négocier avec elles, et je voudrais pouvoir donner mon bien à qui bon me semble même si cette personne n'a aucun argent pour racheter des parts. C'est purement théorique pour l'instant. Oui, la charité publique ou bien un "minimum social", question que je n'ai pas encore tranché personnellement.
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A mon avis ca devrait être pareil, tu aides tes parents par choix pas par obligation.
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Non mais les trucs sentimentaux c'est bien joli mais c'est informel et incodifiable, encore heureux,.
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Je pense que je préfère le système de succession us, les enfants n'ont aucuns droits spéciaux , on lègue à qui on veut, ça me paraît logique. Tiens moi par exemple , j'adore mes filles mais elles n'ont pas envie d'être paysannes, je préfèrerai léguer ma ferme à un jeune ayant cette vocation.
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En tous cas ils savent faire de la musique, eux.
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Bref.
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Tu meprises les gitans ?
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Ils n'ont pas de passé colonial ou imperial, jamais agresseurs dans une guerre, ils peuvent être fier.
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C'est de l'alter cartesianisme ?
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Les gitans brûlent les biens du mort, ça me plait en fait.
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L'épouse récupère selon le contrat qu'elle a passé avec son mari, peut être rien si il ssont sous le regime de la séparation de bien. C'est dur de se faire jeter par son père mais pas plus que de se faire jeter par ses gosses, c'est les aléas de la vie. Tiens ce serait une bonne proposition pour un programme liberal que d'en finir avec ces règles de succession, l'héritage va où le défunt l'a voulu, si pas de testament ça va pour les orphelins.
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Non c'est des fans de Dick Rivers. Blague à part tes gosses peuvent très bien être de parfaits connards , il n'y a aucunes raisons à priori qu'ils héritent automatiquement, Et puis çà leur donnera envie d'avoir envie.
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Alors ressortir un post de 2013, chapeau ! . Il faut savoir qu'on a maintenant le même climat ici que ce qu'on avait en Bourgogne il y a 20 à 25 ans "
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The cincinnati kid, recommandé pour les amateurs de new Orléans, de poker et de diablesses.
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Pour moi le libertarianisme vient clairement de l'anarchisme individualiste et plus précisément de sa proposition positive le mutualisme. Lisez Lavigne, Belleguarrigue, Tucker , Armand , on y trouvera peut être des différences dans le bout des branches, mais le tronc et la charpente principale est la même. http://comedieus.blogspot.fr/2013/06/benjamin-r-tucker-socialisme-detat-et.html?m=1
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Vichy et collaboration, les carottes sont cuites
frigo a répondu à un sujet de poney dans Philosophie, éthique et histoire
Tiens c'est marrant en regardant les participants au colloque lippmann je vois qu'il y avait encore une place pour le cooperativisme avec la personne de Bernard Lavergne. Et pendant ce temps Armand listait les principales revendications des anarchistes individualistes, on peut y trouver à redire mais comparé aux tentations autoritaires de l'époque c'est peut être là que battait le coeur de l'idée de liberté. Règlement des rapport qu’ils peuvent entretenir entre eux (intellectuels, économiques, éthiques, récréatifs, etc.) au moyen de contrats passé sans recours à une forme d’État quelconque. Ces contrats sont résiliables. Possession à titre inaliénable du moyen de production par le producteur, association ou isolé, dès lors que c’est l’isolé ou l’association qui le fait valoir par ses propres moyens et à ses risques et périls. Le produit au producteur — association ou isolé — et liberté absolue d’en disposer à sa guise sans passer par une filière administrative imposée ou un organe central. Emission libre d’une monnaie-valeur d’échange ayant cours uniquement parmi ceux qui veulent s’en servir. Pleine et entière faculté d’association volontaire dans tous les domaines. Garantie de non immixtion d’un individu quelconque ou d’un pouvoir central dans la vie privée des personnes ou le fonctionnement intime des associations. Toute liberté de concurrence entre les personnes et les associations, avec équilibre garanti au point de départ, de sorte que le producteur ne tombe pas au rang de manœuvre et que le consommateur ne soit pas contraint d’accepter une utilité de qualité inférieure. La garantie de non intervention dans le fonctionnement des associations d’ordre sentimental ou sexuel, quelles que soient leurs modalités et pourvu qu’on y adhère et qu’on s’en retire à son gré. Pleine et entière faculté d’expression, de diffusion, de publication de la pensée et de l’opinion, par l’écrit ou la parole, en public ou en privé. Autonomie, intégrité, inviolabilité de la personne humaine, — de l’unité sociale, — de l’Individu-homme ou femme — comme la base, la raison d’être et la fin des rapports entre les terriens, où qu’ils habitent et quelle que soit leur race.- 200 réponses
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Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
frigo a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Et du coup il y a une histoire derrière ce choix? Pure admiration de Dali ? Une symbolique?.... -
Vichy et collaboration, les carottes sont cuites
frigo a répondu à un sujet de poney dans Philosophie, éthique et histoire
Constatant la faillite du liberalisme manchesterien des liberaux se reunissent en 1938 , colloque lippmann, pour y réfléchir. On voit bien , si on en croit le journaliste, qu'une partie de l'héritage liberal se trouve alors a gauche . Un drôle de colloque s’est tenu à Paris entre le 26 et le 30 août 1938. Des participants, les noms de Friedrich von Hayek, Ludwig von Mises, Jaques Rueff ou Raymond Aron sont les plus connus aujourd’hui. Autant dire que cette réunion est souvent considérée comme le moment fondateur, en pleine période keynésienne, d’une reconquête libérale qui s’achèvera par la domination du néolibéralisme sur la scène intellectuelle et politique des années 80-90. Totalement faux, rétorque le philosophe Serge Audier dans un livre passionnant et remarquable d’érudition - même s’il n’échappe pas à quelques longueurs et répétitions. Deux libéralismes. A lire l’ouvrage (introuvable, réédité pour l’occasion et inclus) présentant les contributions au colloque et, surtout, ceux de tous les participants, on s’aperçoit qu’il existait alors deux libéralismes. Disons, pour aller vite, un libéralisme de droite et un libéralisme de gauche, et que Hayek a volé l’ensemble de l’héritage, confinant le libéralisme à la droite de l’échiquier politique. La gauche française, en mal de projet, devrait retrouver le libéralisme de gauche pour se rebâtir, suggère Serge Audier. Un libéralisme qui n’a rien à voir avec ses faux continuateurs adeptes de la troisième voie et autre social-libéralisme. Il " ne se réduit pas à l’apologie de l’omniprésence du marché et d’un individualisme asocial " ; il offre des outils pour " mettre en cause ou critiquer les groupes et les individus qui prospèrent sur des situations de domination et d’inégalités ", argumente Audier. Le libéralisme de gauche pourrait lui aussi revendiquer le colloque de 1938 comme moment fondateur. Car il est organisé en l’honneur du journaliste Walter Lippmann, dont l’ouvrage La cité libre a fait alors grand bruit des deux côtés de l’Atlantique. Lippmann est sans aucun doute un libéral au sens européen du terme, comme le sont tous les participants au colloque qui se réunit autour de ses idées. Mais pour une bonne partie d’entre eux (Wilhelm Röpke, Alexander Rüstow, etc., et même Aron, qui se démarquera fortement de Hayek), il s’agit d’abord de faire une autocritique du libéralisme historique, tel qu’il s’est développé en Angleterre au XIXe siècle. Un libéralisme qu’ils condamnent, car il a érigé le laisser-faire en principe politique absolu, en particulier sous l’influence néfaste des économistes. Il a oublié que l’économie de marché n’était qu’une petite partie de la vie en société. Et il est devenu un défenseur conformiste des classes dirigeantes, indifférent aux dégâts sociaux qu’il crée. On est bien loin de l’image du néolibéralisme actuel !- 200 réponses
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Vichy et collaboration, les carottes sont cuites
frigo a répondu à un sujet de poney dans Philosophie, éthique et histoire
Il écrit. « Dans mon milieu, imprégné de hégélianisme et de marxisme, l’adhésion au communisme ne faisait pas scandale, l’adhésion au fascisme ou au PPF était simplement inconcevable. De tous, dans ce groupe, j’étais le plus résolu dans l’anticommunisme, dans le libéralisme, mais ce n’est qu’après 1945 que je me libérai une fois pour toutes des préjugés de la gauche. » Il conçoit néanmoins pour le philosophe Karl Marx une admiration qui n'a d'égale que son mépris pour le courant « marxiste-léniniste ».- 200 réponses
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Vichy et collaboration, les carottes sont cuites
frigo a répondu à un sujet de poney dans Philosophie, éthique et histoire
Oui l'opposition parlementaire. Aron était déjà liberal pendant l'occupation ? Parce que j'ai vu qu'il avait fait sa formation politique à gauche. D'ailleurs je me suis intéressé au profil de deux penseurs liberaux de l'après guerre, Aron et Jouvenel, tous deux ne viennent pas des partis liberaux de la troisième république .- 200 réponses
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Vichy et collaboration, les carottes sont cuites
frigo a répondu à un sujet de poney dans Philosophie, éthique et histoire
C'est pas croyable quand même que les liberaux de l'époque y s'en aient fait une jaunisse de la semaine de 40 heures au point d'en tourner à moitié facho. J'ai appris aujourd'hui que Ford l'avait introduite dès 1920 dans ses usines. Faut pas être sorti de saint Cyr pour comprendre qu'a faire tourner des gars en usine des 14 heures par jour tu finis par créer de la rancoeur. J'ai aussi appris que Blum n'avait pas tourné bolchevique enˋparti a cause d'un certain attachement aux principes du liberalisme , l'auteur parle de liberalisme juridique ??. A vrai dire j'ai comme l'intuition qu'a ce moment là une part de la tradition libérale s'était réfugiée chez les Blum et Jean Moulin plus que chez les partis officiels du liberalisme . Extrait de l'article. Aussi, quand il aborde la crise des années 1930, on peut considérer qu'il a finalement constitué une éritable " culture économique ". Cette culture reste cependant marquée par un certain attachement au libéralisme à la fois politique et juridique. Blum occupe ainsi une position ambiguë et critique à l'égard du concept nouveau de politique économique, synonyme d'une emprise de l'État sur la marche de l'économie et qui séduit pourtant la nouvelle génération socialiste. En tout cas moi ça me questionne que se soit la bande à Blum qui forme le gros des opposants à Pétain.- 200 réponses
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Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
frigo a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Le tatouage
