poincaré

oui alors bourge c'est pas le terme approprié, disons : les citadins des grandes agglomérations qui votent pour des politiciens favorables à ce genre de politique vs. ceux à la périphérie et les urbains qui y sont plus hostiles. Les premiers s'en sortent généralement mieux face à la mondialisation et ne connaissent pas la peur liée au déclassement, le communautarisme, le chômage et la perte de leur capital social. Les seconds représentant un poids politique trop faible pour qu'on se penche sur leur cas et qu'on sacrifie du temps pour récupérer leurs voix, non pas parce qu'ils ne représentent personne mais parce qu'ils votent de moins en moins.

C'est trop tard, l'écologie est déjà profondément ancrée dans les esprits à force de répéter la même chose pendant des années, c'est LE combat officiel en occident maintenant. La seule manière d"éviter que ça finisse en fascisme c'est de créer une force contraire aussi puissante qu'eux. Il y a déjà des petits cercles qui sont en train de se créer avec des passionés de la science et de la technologie tout domaine confondu, certains avec des expertises bien précises sur des domaines donnés type nucléaire ou ingénierie. On fait déjà du bon boulot avec le débunkage de propagande d'organisations influentes sur twitter, dans la presse française et ailleurs. Je pense qu'on a une porte de sortie, il faut allier nos forces et continuer à proposer aux gens une autre vision de l'écologie, et surtout leur expliquer ce que les politiques décroissantes impliquerait concrètement sur leurs vies parce que j'ai l'impression que beaucoup n'en ont pas conscience hormi le fait que le concept leur paraisse sympa.

Ils ont déjà imposé leurs conclusions à l'administration, mais leur sphère d'influence reste moindre en dehors de leurs petits cercles habituels. Et je persiste à dire que notre culture politique et juridique est un frein à l'instauration d'une nouvelle forme de ségrégation raciale à l'université comme on le voit aux US. C'est pourtant l'une des pires situations à laquelle on pourrait arriver concrètement.

C'est certain. Personnellement je n'ai pas de temps à perdre avec ces conneries. Qui s'intéresse aux études de genre, aux théories décoloniales à part une infime minorité de gauchistes et d'intellectuels ? Leur pouvoir d'influence est relativement minime, autant les laisser dans leur petit microcosme à continuer d'écrire des études que personne ne lit parce que globalement, ça reste un délire d'intellectuels sociologues. Il y a un monstre bien plus grand et bien plus dangereux à l'heure actuelle : c'est le décroissant collapsologue. Lui est déjà présent dans le milieu académique, journalistique, politique. Lui a déjà ses lois et ses idéologues prêts à entraîner une récession économique dans les années à venir et à remettre en cause les fondements de la civlisation occidentale basés sur la propriété, l'innovation, le progrès technique. Tout mon entourage est contaminé. Question de priorité.

Fac de sociologie à la Sorbonne, fac de sciences-politiques à Lyon 2... Ces gens finiront au mieux dans une administration publique ou dans une université à répandre leur propagande qui n'intéresse personne. En tout cas je note que les délires dans certaines facs commencent à se faire voir. Au moins les étudiants sont prévenus.

Je ne sais pas

Bah il fait référence à cette chaîne youtube sur l'implantation des SJW dans les universités : https://www.youtube.com/results?search_query=Liberté+Académique Sauf que ça ne change rien à mon propos, ça reste un phénomène marginal. Dans des facultés de production de futurs chômeurs quoi.

Les institutions et syndicats d'agriculteurs ne représentent pas les agris, et défendent encore moins leurs intérêts

J'attends avec impatience la révolte des agri

Très largement appréciable oui Un allié indéniable.

C'est bien ça lui fera gagner des political points

Oh bien sûr, le problème existe et il est déjà là. C'est une résurgence de ce néo féminisme vague 3.0 Mais la question est de savoir si ce problème doit être traité en priorité et si on ne se focalise pas sur une petite vague quand derrière on est à deux doigts de se prendre une marée dans la gueule (que sapelerio l'écologisme)

Et pourquoi sont-ils en train de fusionner ? Parce que les SJW se sont rendus compte qu'ils n'étaient pas suffisamment rentable politiquement dans la mesure où leur message ne s'adresse qu'à une petite catégorie de la population... C'est donc bien ce que je disais !

La grande majorité des conf en France sont protégées des délires SJW, et cela s'explique par notre culture et notre histoire politiques (toi qui connais bien la culture US). Que cela arrive une fois par-ci par-là dans des facs de sciences humaines ou sciences exactes reste tout à fait marginal. Nous n'avons pas de terreau favorable à leur implantation. En revanche, les décroissantistes et écolo ont déjà un pied dans nos institutions politiques et universitaires. C'est plutôt sur eux qu'il faut s'attarder.

De la nécessité de créer une nouvelel symbolique autour du nucléaire https://medium.com/generation-atomic/nuclear-power-needs-new-dreams-8c8154915f56?source=rss----5781865f892f---4

Personne n'a dit que c'était cool D'acc

Encore une fois, uniquement dans les milieux intellectuels, le privé et les centres urbains. Ils sont certes dangereux à un petit niveau, mais notre culture politique est imperpéable à ce genre de conneries. Et nos institutions fonctionnent.

Ça prouve qu'ils ont un relatif pouvoir d'influence sur nos institutions, mais ça ne veut pas dire qu'ils finiront à long terme par les dominer. Les délires SJW et autres communautarismes de gauche ne sont pas suffisamment rentables sur le marché politique, et il y a toujours un frein culturel lié à notre tradition universaliste. Et puis, ça touche qui à part les centres urbains ? Bref, une infime minorité de français. La perte de notre civilisation ne sera pas causée par eux

La France périphérique de Christophe Guilly : bien pour comprendre partiellement les causes du vote "populiste" contre les "élites" ; termes dépassés dans la mesure où la véritable fracture sociale ne se trouve plus entre ces deux concepts suffisamment abstraits pour englober des catégories différentes. Finalement assez intéressant à lire quand on vit dans un microcosme parisien et autre grande ville mondialisée. Ça peut aussi vous donner un argument supplémentaire à l'impertinence de la dichotomie gauche/droite pour représenter les classes populaires. Poke à mon petit @Rincevent sur la nécessité de préserver le capital social. Bref, ce livre peut se résumer en une phrase.

Problèmes internes.

On a organisé hier une manif pro-nucléaire devant les locaux de Green Peace Si parmi vous certains sont intéressés pour participer au prochain happening, me contacter en MP! https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/06/30/fessenheim-happening-pro-nucleaire-devant-les-locaux-de-greenpeace_6044637_3244.html

Je te taquine, hein

J'en parlerai à la communauté objectiviste de mon quartier Tu veux une médaille ?

C'est quoi cette photo de profil? ...

On est juste dans une époque où la supériorité de notre civilisation a tellement fait ses preuves que cela a éveillé les consciences de certains bourgeois primitivistes anti-science, anti progrès-technologique, anti-occident, soucieux d'expier nos pêchés face à une mère nature personnifiée, culpabilisant de leur confort matériel. Est-ce que ces bobos parisiens ont seulement déjà mis leur nez dans du fumier?