Daumantas

La réalité est-elle trop douloureuse ? Les "littéraires" sont aujourd'hui, pour la plupart, des élèves qui ne sont bons nulle part et qui veulent à tout prix abandonner les mathématiques et les sciences, leur niveau dans les matières littéraires tournant aux alentours de la moyenne (cela se traduit par un illettrisme avancé et une haine des accords).

Bon, je pense que je vais me diriger vers Python qui me sera utile en CPGE et qui me permettra, d'après ce que je comprends des messages, d'apprendre à coder proprement même s'il n'y a pas de gestion de la mémoire. Merci beaucoup pour vos conseils avisés chers liborgiens.

Non, pas là, j'ai honte de le dire mais j'ai fait une tonne de coquilles qui vont me coûter bien les deux-tiers des points le pire étant que j'ai relu ma copie et que l'exercice était facile (je l'ai refait le soir chez moi sans aucun problème)... Heureusement la Physique-Chimie s'est super bien passée, je suis sûr d'avoir dix-huit tant tout m'a semblé être une application directe du cours.

Sympa le GIF, j'aimerais avoir vingt mais c'est impossible, je me suis bien foutu dedans en géométrie (erreur incroyablement bête qui m'a couté les deux-tiers de l'exercice), la sélection sera naturelle pour moi...

Selon vous, combien de temps reste-t-il à la France avant que ça ne devienne trop invivable (Socialie délirante, communautariste et délires "inclusifs" avec repentance obligatoire) ?

Comment dois-je le prendre ??? Apprécies-tu de remuer le couteau dans la plaie ?

Je cherche à apprendre un langage informatique pour préparer un projet d'expatriation à très long-terme (15-20 ans), est-ce qu'il vaut mieux commencer par un langage de haut niveau, je pense particulièrement à Python, ou commencer plutôt par un langage de bas niveau comme le C ?

Est-ce que les confinements successifs à Shanghai pourraient être une forme de guerre économique contre les entreprises occidentales à forte valeur ajoutée de la ville (je pense notamment à BMW) ?

Mauvaise journée, l'épreuve de Mathématiques (baccalauréat) s'est passée décemment mais j'espérais mieux, j'aurai au mieux seize ou dix-sept alors que je visais un vingt... Plus qu'à espérer que je réussisse mieux demain la Physique-Chimie... En plus il fait chaud.

Pauvre jeune fille, comme le dit Pélerin Dumont "politique des services publics" est tellement vague et polysémique qu'on peut y mettre peu ou prou ce qu'on veut.

Concernant l'expatriation en Estonie, est-ce que c'est si avantageux que ça car dans le cas d'un travailleur indépendant, il doit quand même donner 40 % de ce qu'il gagne à l'état estonien (33 % de contributions sociales et 8-9 % d'assurances chômage, de retraite etc.). Du coup c'est une bonne affaire de s'expatrier là-bas ou non ?

Je grossis le trait mais mes parents ont toujours été plus proches de l'Espagne que de l'Allemagne et ils m'ont fortement incités à prendre l'espagnol en seconde langue, par contre pour travailler dans des secteurs qui rapportent (Silicon Valley par exemple) l'anglais doit quand même toujours être indispensable, non ? Je vois mal ce que j'irais faire sur la côte ouest ou en Floride si ce n'est pas pour travailler dans l'informatique ou ce genre de choses. Après on ne va pas se mentir, d'ici à ce que l'espagnol remplace l'anglais aux Etats-Unis il y a encore du chemin à faire, et hormis ça l'espagnol ouvre surtout des portes sur l'Amérique du Sud, qui n'est pas la destination qui fait le plus rêver pour entreprendre (peut-être l'Argentine), et sur l'Espagne qui est un pays en perdition avancé, peut-être même au même niveau que la France...

J'étais jeune et la propagande hispanique se fondant sur : "Tu pourras parler avec 200 millions de personnes alors que l'allemand c'est à peine 80 millions", a eu un effet (délétère). Mais bon, grâce à mon niveau en espagnol je pourrai commander ma paella à Barcelone et coucher avec une prostituée pour presque rien à Bogota. Je reconnais bien volontiers l'intérêt du français et de la littérature (Lautréamont a été une véritable révélation) mais je reproche à l'instruction scolaire un carcan étouffant visant à empiler le maximum de figures de style en un minimum de temps même si elles n'existent tout simplement pas. Cette vision quasiment mécanique de la poésie gâche, à mon sens, une grande partie de la beauté du texte qui se retrouve caché par la quête de ces précieuses figures de style, garante d'une bonne note. Quand on voit le niveau pitoyable de l'orthographe de la jeunesse on se demande s'il faut encore essayer de leur apprendre des courants littéraires ou s'il ne vaudrait pas mieux leur enseigner les règles basiques pour s'exprimer dans un français à peu près intelligible pour autrui. Certains de mes camarades de classe apprenaient par cœur des procédés stylistiques qu'ils recrachaient lors des commentaires de textes et avaient finalement une note décente (douze ou treize) alors que je devais m'y reprendre à deux ou trois fois avant de comprendre certaines de leurs phrases ("L'auteur constatent que les fruit represente une exhutoire", phrase véridique)... Mon jugement est sans doute péremptoire et cela est sans doute lié à ma jeunesse mais j'en veux profondément à ces chantres de l'égalitarisme républicain de tirer vers le bas pour ensuite se plaindre de conséquences prévisibles.

Et j'ajouterai qu'il y en assez de voir ces glandeurs se plaindre alors qu'ils sont une bande de fainéants congénitaux, tous, il n'y en pas un pour rattraper l'autre (peut-être le professeur de Philosophie), le reste que ce soit en Mathématiques, en Physique-Chime ou en Histoire, un livre d'exercices (avec les corrigés) et Internet font bien mieux, surtout que ces planqués te donnent des cours qui sont déjà en libre-accès sur Internet (Yvan Monka en Mathématiques par exemple). En plus ils n'hésitent pas à glorifier le "j'menfoutisme" tout en se plaignant des conséquences : "Attention je veux des élèves qui suivent en cours mais qui surtout ne me posent pas de questions à la fin de l'heure, je risquerais de ne pas pouvoir prendre mon café.", voilà les exigences du professeur lambda...

Que c'est triste de ne pas être passionné par la recherche d'assonances et d'allitérations fictives dans un poème abscons... Pour l'exemple, à l'épreuve anticipée de français j'ai dit qu'il y avait une triple allitération en "r" évoquant la rouille d'un train, cette triple allitération n'existait pas et mon correcteur ou ma correctrice a émargé "Très bien". Le désintérêt pour l'éducation se fait dans les matières inutiles et qui ressemblent à de l'onanisme intellectuel, ne vous en faites pas en philosophie (pour les littéraires) et en mathématiques (pour les scientifiques) les élèves suivent les cours. Par contre les professeurs sont de moins en moins exigeants...

Là où on peut facilement réfuter les délires des déconstructionnistes c'est en utilisant l'exemple de la famille. Certes ses limites sont floues (est-ce que mon cousin au septième degré fait encore partie de ma famille ou non) mais ça n'empêche pas de raisonner sur les implications qu'a l'existence de la famille, les conflits, la solidarité etc.

L'Afghanistan (du moins la république afghane) comme tous les pays du tiers-monde n'existent que dans la capitale du pays et sur les cartes. Ailleurs les gens s'en remettent aux tributs, aux structures locales et surtout pas à un Etat totalement absent. C'est sans doute pour ça que le golfe de Guinée ne résistera pas longtemps face aux coups de boutoirs des islamistes maliens (dans certains milieux on donne quinze ans avant que les radicaux n'atteignent l'océan Atlantique).

Comment fait-on pour les femmes ayant une forte poitrine ? À titre personnel je trouve que ces pauvres femmes sont discriminées par cette décision onusienne qui les prive d'une représentation en accord avec leur morphotype. Encore une fois l'ONU se montre réactionnaire et grossophobe, il va falloir éduquer ces mâles blancs hétérosexuels à leurs privilèges qui leur permettent de légiférer pour empêcher la représentation de groupes discriminés. C'est honteux !

L'Union Européenne, son histoire, sa culture, ses forêts et son patrimoine, sans oublier sa technocratie qui apprécie d'organiser des manifestations culturelles dignes du Marais lors de la marche des fiertés.

J'admets bien volontiers mon ignorance et m'empresse de retourner lire Bastiat, Contrepoints et Hayek... Mais du coup, pour toi @Rincevent, les allocations familiales et l'incitation à la natalité des autochtones sont-elles des maux nécessaires ? Bien sûr merci pour ta magnanimité et pour ta future réponse qui m'éclairera à coup sûr !

Je me suis essayé au Go quand j'étais plus jeune mais j'avais un sens stratégique très médiocre (alors que je suis plutôt bon aux échecs) depuis peu je m'y intéresse de nouveau et je compte bien m'y remettre après les épreuves de spécialité du baccalauréat (c-à-d dans une semaine), j'espère m'améliorer et pouvoir être vingtième kyu d'ici la fin de l'été.

En quoi ? Comme le dit Pélerin Dumont, rien ne garantit qu'une récession temporaire conduise à une chute inéluctable. Je ne vois pas en quoi dans un système libéral le fait que les gens fassent moins d'enfants pourrait poser problème. Surtout que la baisse de natalité est en partie enrayée dans les pays baltes et que tôt ou tard le taux de 2,1 enfants par femme sera atteint, peut-être dans dix ans ou dans cinquante ans mais ce sera quand la conjecture sera favorable et quand ils auront atteint une situation économique qui se maintient voire se développe (ce qui fera augmenter la natalité). Sans compter qu'il est nécessaire que la population diminue pour éviter un chômage impossible à résorber (l'ouvrier sans qualification sera toujours au chômage si son entreprise décide de robotiser/automatiser son poste). La baisse de population est aussi une aubaine car cela forcera les entrepreneurs à se concentrer sur l'essentiel et à ne plus embaucher des "gestionnaires bonheur" ou autres "gestionnaires à l'égalité homme-femme"...

Les chutes démographiques commencent peu à peu à se stabiliser, de plus à l'heure de la robotisation, la réduction de la population ne devrait pas être vue comme la catastrophe si souvent annoncée. Partout où il y a trop d'enfants (Afrique, Asie du Sud-Est...) ce sont des problèmes à n'en plus finir, une criminalité rampante, des problèmes pour permettre à ces enfants d'aller à l'école etc. En bref la qualité est supérieure à la quantité (on le voit bien dans les opérations militaires récentes où quelques soldats peuvent venir à bout de cinquante ou soixante insurgés sans aucun mort ou blessé), je pense que l'anxiété autour de la natalité est surtout liée au réflexe pavlovien développé par les états socialistes, à savoir : il faut plus de gosses pour assurer les retraites et ce pour l'éternité.

Merci beaucoup.

Merci beaucoup pour le conseil. Au fait comment s'appelle l'artiste de ton image de profil ? Son coup de crayon m'avait marqué il y a un ou deux ans mais je ne me souviens pas de son nom.