-
Compteur de contenus
93 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
1
Profile Information
-
Gender
Not Telling
-
Lieu
-
Visiteurs récents du profil
-
Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
poincare2 a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
Tu en dis trop et en même temps, pas assez (même si je pense que dans le fond, personne n'a vraiment envie de savoir) -
Judiciaire, exécutif, législatif et séparation des pouvoirs
poincare2 a répondu à un sujet de Lameador dans Politique, droit et questions de société
Il y avait de sacrés droitards tout de même au Cercle philosophique d'Ainay -
Le féminisme
poincare2 a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
Je savais qu'elle était teubée, mais à ce point -
Bitcoin et autres cryptomonnaies
poincare2 a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Cryptomonnaies & Co
Le Congrès des Hackers, c'est terminé Paralelni Polis is no longer what it was ten years ago, as well as the crypto industry and the society in which we evolve. Crypto is no longer a tool for financial rebels, but has become a shiny toy for rich kids. It's mainstream and there's practically nothing left of its underground builders. Times have changed and I think we are no longer able or willing to adapt to it. https://www.wired.cz/clanky/paralelni-polis-po-deseti-letech-konci-kryptoscene-jsme-se-odcizili-rika-tyc -
Merci! Liborg a une chaîne Youtube ? Je connais celle de Contrepoints mais pas celle du forum et j'ai beau chercher, je ne trouve pas.
-
Pour l'instant c'est Free to choose qui l'emporte. C'est quoi le projet ? Vous comptez les publier sur quelle chaîne ? Je peux aider.
-
Des articles à charge continuent d'être publiés sur la panne Microsoft. Est-ce que des forumeurs compétents seraient d'accord pour relire un article qui consiste à expliquer que ce n'est ni "lafoteàlUE", ni la faute du capitalisme ultralibéral ?
-
Je vais arrêter de suivre l'actu "sale" je crois. https://www.lejdd.fr/societe/val-doise-une-octogenaire-passee-tabac-et-traitee-de-sale-juive-147101
-
Dissolutions et législatives de 2024
poincare2 a répondu à un sujet de PABerryer dans Politique, droit et questions de société
ça donnerait presque envie de voter RN -
Le libéralisme, rationalisme et le socialisme
poincare2 a répondu à un sujet de Paperasse dans Philosophie, éthique et histoire
Sur la démocratie, les experts et le libéralisme : une jolie tribune de N. Jutzet publiée dans la newsletter du Temps (je n'ai pas vu de copyright, auquel cas je supprimerai) Quel est le prix de vos valeurs? Comment expliquer que la population ne suive pas toujours l’avis majoritaire parmi les experts? Plutôt que par l’ignorance, cette différence s’explique par le fait que les individus ont des valeurs morales pour lesquelles ils sont prêts à en payer le prix Certains dimanches de votation, à la découverte des résultats, vous glissez sans doute dans le camp de ceux qui, comme Churchill après une rencontre désespérante sur un marché avec un badaud, pensent que «le meilleur argument contre la démocratie est un entretien de cinq minutes avec un électeur moyen». Evidemment, dans ce genre de moment de misanthropie, l’irrationnel est toujours l’autre. Celui qui n’aurait pas compris les nuances de la réalité et la pertinence des arguments que vous jugez irréfutables. C’est à ce sentiment qu’Augustin Landier et David Thesmar, deux économistes de renommée internationale, s’intéressent dans leur ouvrage Le Prix de nos valeurs. Pour mieux comprendre pourquoi les avis majoritaires parmi les économistes ne sont pas toujours partagés par la population, ils se sont intéressés plus en détail aux mécanismes de choix dont le citoyen se sert pour trancher des questions complexes. Car si les économistes sont en général favorables à l’immigration, la mondialisation ou encore la concurrence, la population est plus sceptique. Face à ce fossé, il n’est pas rare d’entendre que cette différence de jugement s’explique par le fait que le citoyen lambda ne comprend pas le problème dans sa globalité et qu’il cède à des peurs, ou qu’il s’appuie sur de fausses informations. Séduisante, et sans doute véridique de façon isolée, l’explication s’avère en réalité paradoxalement réductrice. La raison avancée par Landier et Thesmar est plus intrigante: «Les gens ont des valeurs qui ne rentrent pas dans l’analyse économique standard, et pour lesquelles ils sont prêts à payer le prix.» Au moment de répondre, par exemple, à la question de savoir s’il est souhaitable d’accueillir plus de réfugiés au risque de saturer les services sociaux et l’équilibre culturel d’une société, les gens intègrent la dimension non pécuniaire de leur existence (l’identité, l’altruisme, la justice, la culture, la liberté…) à leur analyse froidement économique. Ne pas se tromper de diagnostic C’est ce qui explique que dans le cadre d’un sondage sur un thème comme l’immigration, même en expliquant en détail les enjeux aux participants et l’état des connaissances économiques, favorables à l’immigration, leur avis reste sensiblement le même, voire ne change pas du tout. Leur position sceptique ne s’explique pas par l’ignorance, mais par l’acceptation de «payer le prix» de leurs valeurs morales. Ils préfèrent sacrifier un peu d’efficacité économique pour maintenir ou atteindre une société qui satisfait mieux d’autres de leurs préférences. Toutefois, les gens ne sont pas des fondamentalistes sur le plan moral. Leur soutien à un choix guidé par la morale baisse quand il entraîne des coûts plus élevés. Au vu de ces éléments, il semble que les voix critiques qui regrettent que les gens votent «faux» ou contre «leurs intérêts» par ignorance dévoilent plutôt leurs propres angles morts et le fait qu’ils peinent à comprendre les préférences de leur prochain. Cette tension entre efficacité économique et valeur morale s’observe sur de nombreux autres sujets. Ainsi, je ne suis pas libéral parce qu’une organisation sociétale qui repose sur la liberté de ses membres est plus efficace que les autres, mais parce que pareille société me semble moralement plus souhaitable et juste qu’un régime qui donne le droit aux foules de maltraiter les autres en fonction de leurs humeurs. Heureux hasard, il se trouve que les sociétés qui confient davantage de responsabilité aux individus, aussi celle d’apprendre de leurs erreurs, sont également celles dans lesquelles il fait bon vivre. Ce qui prouve que la dimension non pécuniaire de notre existence et la rationalité économique peuvent aussi faire bon ménage. David Thesmar et Augustin Landier, «Le prix de nos valeurs. Quand nos idéaux se heurtent à nos désirs matériels», 2022, Flammarion. -
Etonnée d'entendre Bruno le Maire décrire la France comme une monarchie technocratique.
-
Je suis passée à côté de ce film de Contribuables Associés : 2 millions de vues sur Youtube
-
Dissolutions et législatives de 2024
poincare2 a répondu à un sujet de PABerryer dans Politique, droit et questions de société
Dans mon arrondissement c'est Glucksmann qui l'a emporté pour les européennes, juste avant LFI. Ce n'est pas du tout indécis, ce sont des bourgeois-bohème coupés de la réalité des Français. Des socialistes champagne, la gauche caviar. Conceptuellement, ça n'a aucun sens de considérer le vote comme un droit et un devoir en même temps. Si c'est un droit, alors on peut considérer que tu es libre d'en faire usage ou non. Tu peux décider d'abandonner toute notion de propriété privée dans ta vie personnelle et vivre dans une communauté communiste. Si c'est un devoir, et donc une obligation, il faut être cohérent et sanctionner ceux qui ne votent pas. C'est un slogan de moralisateur qui ne tient pas debout. -
Dissolutions et législatives de 2024
poincare2 a répondu à un sujet de PABerryer dans Politique, droit et questions de société
C'est sûr qu'il en changera rien, et le mien non plus : je connais bien les bases de l'analyse économique du vote. Après, chacun a son propre rapport à la citoyenneté. -
Dissolutions et législatives de 2024
poincare2 a répondu à un sujet de PABerryer dans Politique, droit et questions de société
Blanc premier tour, probablement RN au second (ou blanc, je ne sais pas encore). C'est la première fois que les deux extrêmes ont autant de poids électoralement. Elle a raison. Quand je dis aux gens que je ne vote pas par conviction (et non par je m'en foutisme), ce n'est pas très bien compris. Surtout quand s'intéresser à la vie politique est au coeur de ton métier.