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Tout ce qui a été posté par José
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	Bon, tu en connais beaucoup, toi, des êtres humains qui ne sont pas des "personnes humaines" ? Et si tu me dis que le foetus est un être humain, mais pas une "personne humaine", permets-moi de dire que ça pue à mille lieues l'argumentation ad hoc, précisément postulée pour justifier a posteriori le meurtre d'un être humain. Et le nouveau-né, c'est une "personne humaine" ? Par quel processus devient-il une "personne humaine", alors même que quelques secondes avant sa naissance - selon toi - il n'était qu'un être humain ? Parce qu'il aurait ouvert les yeux ? Poussé un cri ? Et les pédés, d'amas de cellules.
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	Les pédés sont aussi des amas de cellules ? Car il est clair que ce ne sont pas des êtres humains. Quelques photos d'amas de cellules… À 8 semaines de gestation : À 10 semaines de gestation : À 22 semaines de gestation : À 24 semaines (pour mémoire, en Espagne, on peut légalement éliminer ce "tas de cellules" jusqu'à cette date) : Non, il suffit d'avoir la capacité potentielle de penser - chose inscrite dans le développement de tout embryon humain. D'ailleurs, c'est quoi la "pensée" d'un nouveau-né ? Ou même d'un bébé de 2 semaines ou plus ? Nada, nibe , que dalle. Ergo, on peut liquider ces "amas de cellules". Cette distinction est purement arbitraire et parfaitement ad hoc, seulement établie en vue de légitimer a posteriori le meurtre d'êtres humains. En suivant la même logique, on peut parfaitement dire qu'une personne doit être capable de se reproduire. Comme les enfants ne le peuvent pas avant la puberté, il serait donc légitime de les liquider avant cette date.
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	[nanarcap timurisé à mort] Je ne reproche à personne de considérer le fait de chasser le jeune pédé à l'arbalète en automne sur mes terres comme immoral, mais criminaliser ce sport sain et viril est une façon d'imposer sa conception de la morale à tous. Et ça, je m'y opposerai toujours. [/nanarcap timurisé à mort] Voilà bien un problème qui se règle très facilement : on évite d'empoisonner ou de réduire en bouillie des êtres humains en gestation.
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	Aux abris : les cons veulent nous refaire les remakes d'Allemagne 1923 et de Chili 1973. http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=206…&refer=home
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	Tu peux le prendre mal, mais axpoulpe pointe très justement la profonde débilité de la thèse qui veut que la grossesse se résumerait à inviter un foetus sur sa propriété privée.
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	  Réchauffement climatiqueJosé a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société 
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	Héhé, même pas mal : cet article wikipedia dit n'importe quoi de chez n'importenawak - mais, bon, c'est wiki. Alors, certes, le droit romain parle très peu de l'avortement car ce problème entrait dans le cadre du "secret dans le secret", c'est-à-dire l'intimité des femmes au sein de la famille, double barrière interdisant l'intromission du droit (ouais, c'est ça le droit romain : on fait pas chier les gens chez eux). Ce qui fait que ce problème était réglé par le pater familias - qui à l'époque héroïque avait droit de vie et de mort dans sa gens. Toutefois, chaque fois que le droit romain s'est occupé de l'avortement, ce fut pour le condamner : Lex de sicariis et veneficiis condamnant les avorteuses, un témoignage de Cicéron rapportant la condamnation d'une femme ayant avorté, un rescrit impérial du 3e siècle qui condamne à l'exil la femme qui a provoqué son avortement ; mais surtout le principe de droit romain encore partiellement d'application aujourd'hui, à savoir Infans conceptus pro nato habitur, de quoties comodis agetur, l’enfant conçu est réputé comme né dès lors qu’il y va de son intérêt. Et quel plus grand intérêt pour le non-né que la vie ? Voili voilou… c'est pas grave, pankkake, quand tu sais pas, tu me demande hein…
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	  Allez Javier Milei, à la tronçonneuse ! Argentine socialiste, bientôt libertarienne ?José a répondu à un sujet de José dans Europe et international Aujourd'hui. Mais il y a deux ans encore, The Economist arrivait à trouver des bonnes choses dans le modèle "kirchnerien" de développement.
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	Ángel rebelde, Cristal, Doña Bárbara, Estefanía, Estrambótica Anastasia, Gata salvaje, Juana la virgen, La dama de rosa, La intrusa, Mi gorda bella, Por estas calles, Ser bonita no basta, Topacio…
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	Bien fait pour ta gueule, man ! Non, mais lire une revue féminine !? Tu regarderais pas des soaps vénézuéliens en cachette, petit érotomane vicieux ?
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	Tout à fait : l'État et l'avortement sont bien deux activités criminelles qui existent depuis l'aube des temps.
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	Chacun sa merde. Une femme qui avorte est dénoncée par son mari, son frère, la concierge, le docteur, n'importe qui. Depuis l'aube des temps, l'avortement a été poursuivi et condamné sans création d'un corps de fonctionnaires curateurs au ventre des femmes vivant dans le pays.
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	Parce qu'il faut un fonctionnaire pour repérer une femme enceinte.
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	C'est comme ça qu'on t'a buté dans ton sommeil. Parce que bien sûûûr, le père compte pour du beurre. Ou même les grands-parents. Sinon, encore une fois on ne détermine pas la nature criminelle d'un acte par rapport à la possibilité de défendre ou non la victime potentielle.
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	Passe toi d'abord :
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	Laisser un crime impuni ne rend pas celui-ci légitime ni ne l'exonère de sa nature criminelle.
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	Je sais pas dans quelle dimension tu vis, mais dans le monde réel, la police s'occupe du meurtre d'un clochard, et - plus dingue encore - les tribunaux condamnent les assassins si on les chope. Unbelievable !
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	http://www.romandie.com/ats/news/090518112931.20kl3dz5.asp
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	Un crime ne se détermine pas par la capacité à défendre la victime. À t'entendre, un clochard seul au monde, sans plus aucune attache serait légitimement butable. Nanarcaperie, quand tu nous tiens !
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	Bah, si elle doit être noyée par les pompiers.
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	Et s'occuper du mec qui bute sa femme dans sa maison, ça te paraît compatible ? Oui, je connais cette théorie.
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	De grosses fumées noires s'échappent du toit du bâtiment (genre plastique brûlé) et c'est le bal des pompiers autour.
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	Cool ! Le Berlaymont - siège de la Commission européenne à Bruxelles - est en train de brûler.
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	Que de finasseries. Pourtant, c'est simpe à comprendre : avorter, c'est empoisonner ou découper en petits morceaux un être humain en gestation. Y en a qui trouve ça libéral compatible.

