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Tout ce qui a été posté par Esperluette
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C'est fort aimable à vous et je m'empresse de relayer tous azimuts après avoir félicité l'auteur par mél.
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Ah oui, Eusèbe est splendide ! DO WANT ! Raaah merci, j'en suis d'autant plus motivée pour arpenter ces magasins que hantent les bédévoraces de notre espèce.
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@Skeggjöld Tiens, cette affiche m'inspire d'aller voir s'il existe quelques illustrations de bon goût pour décorer mes murs. J'ose et ris, moi aussi, de juxtaposer nos héros avec Blacksad, l'Habitant de l'Infini et une oeuvre maison de mon comédien (qui était plasticien). @Arn0 : Précisément, la crasse et la laideur jusque dans les situations vaguement sacrées. J'aime bien ce trait chez Bilal, même si bien entendu le Caravage avait + de gueule, en peinture comme dans la vie. @john_ross Je n'ai pas mesuré. Je sais seulement que dans son logis, les BD forment des piles précaires. Partout, sur l'étagère, par terre, sur les meubles, sous le lit et même en guise de siège de bureau d'une hauteur convenable. D'ailleurs, nous utilisons le même système avec la télé chez moi. Yoko Tsuno en intégralité et quelques bafouilles du même tonneau soutiennent la table où trône cet engin.
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Je surveille assidument les nouvelles sorties dans certaines séries. Toutefois je me méfie des effets d'annonce : à maintes reprises, il m'a fallu attendre des mois ! Mon comédien va vider son logement, dont environ 3 mètres cubes de BD. Nous sommes effarés à l'idée de caser tout cela chez moi et plus effarés encore à l'idée de ne pas le caser chez moi.
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Oui, je les ai tous. Ce qui nous motive, mon homme et moi, à engranger des BD au lieu de les emprunter : pouvoir les relire et picorer dedans à notre gré. [mylife]Mon homme est comédien et, lors d'une pièce, il devait faire semblant de convaincre une collègue en chuchotant un plaidoyer. L'important était de chuchoter, pas son propos, aussi lui débitait-il toutes sortes d'absurdités. Et un jour, il a récité la fameuse tirade d'Armand lors de la rixme. L'actrice a eu toutes les peines du monde à conserver l'air grave qui seyait à la situation. [/mylife]
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Merci. Je la connaissais. Avec tout ça, je suis en train de relire Cyrano de Bergerac. Je me régale, je me bidonne. Et quelqu'un a égaré mon tome de Polyeucte.
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Coucou, les nouveaux : présentez-vous !
Esperluette a répondu à un sujet de Copeau dans Forum des nouveaux
Tss tss. Zut. J'espérais découvrir de nouveaux terrain, j'en bavais déjà. -
Coucou, les nouveaux : présentez-vous !
Esperluette a répondu à un sujet de Copeau dans Forum des nouveaux
* aggro * Y'a des BD arabes traduites vers le français ? -
J'aime bien ses anciens albums cra-cra où tout le monde est laid et sale. Et moi j'aime le Caravage, histoire de patauger plus avant dans la crasse.
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Quand je préviens les gens que les mots rendent fous, sourds à mes avertissements ils plongent des deux pieds. Les imprudents se glissent partout : "Féminin trop singulier" http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/…25876_3238.html
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Zut, il se doute de quelque chose. Le complot est éventé. ;–;
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Dans le port d'Amsterdam Y a des marins qui chantent Les rêves qui les hantent Au large d'Amsterdam Dans le port d'Amsterdam Y a des marins qui dorment Comme des oriflammes Le long des berges mornes Dans le port d'Amsterdam Y a des marins qui meurent Pleins de bière et de drames Aux premières lueurs Mais dans le port d'Amsterdam Y a des marins qui naissent Dans la chaleur épaisse Des langueurs océanes Dans le port d'Amsterdam Y a des marins qui mangent Sur des nappes trop blanches Des poissons ruisselants Ils vous montrent des dents A croquer la fortune A décroisser la lune A bouffer des haubans Et ça sent la morue Jusque dans le cœur des frites Que leurs grosses mains invitent A revenir en plus Puis se lèvent en riant Dans un bruit de tempête Referment leur braguette Et sortent en rotant Dans le port d'Amsterdam Y a des marins qui dansent En se frottant la panse Sur la panse des femmes Et ils tournent et ils dansent Comme des soleils crachés Dans le son déchiré D'un accordéon rance Ils se tordent le cou Pour mieux s'entendre rire Jusqu'à ce que tout à coup L'accordéon expire Alors le geste grave Alors le regard fier Ils ramènent leur batave Jusqu'en pleine lumière Dans le port d'Amsterdam Y a des marins qui boivent Et qui boivent et reboivent Et qui reboivent encore Ils boivent à la santé Des putains d'Amsterdam De Hambourg ou d'ailleurs Enfin ils boivent aux dames Qui leur donnent leur joli corps Qui leur donnent leur vertu Pour une pièce en or Et quand ils ont bien bu Se plantent le nez au ciel Se mouchent dans les étoiles Et ils pissent comme je pleure Sur les femmes infidèles Dans le port d'Amsterdam Dans le port d'Amsterdam.
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J'aime bien. J'aime bien aussi le "moralement trouble".
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C'est pas mal du tout, Sambre. J'aime bien ces sagas familiales complexes avec des méchants pitoyablement névrosés et des gentils pas si gentils. Coup de crayon très regardable. Bon, pas la BD du siècle, mais franchement agréable. Sempé, une merveille d'ironie tendre, comme toujours. Et encore quelques splendeurs sous le coude, pas fini. *** Je suis en train de prospecter à quelle oeuvre refiler mes BD surnuméraires. Y'a des gens qui me conseillent de les envoyer dans des écoles ou autres centres pour mômes. "Tiens mon petit, c'est une bande dessinée, alors c'est pour les enfants".
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Quelqu'un vient de me coller cette scie dans le crâne. J'en ai pour la journée.
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"Au Nom de Dieu, le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux, Dis : je cherche refuge auprès du Seigneur des hommes, Le Souverain des Hommes, Dieu des hommes, contre le mal du mauvais conseiller, furtif, qui souffle le mal dans les poitrines des hommes, qu'il [le mauvais conseiller] soit démon, ou être humain". Coran, 114, "les hommes". Et en version originale par un récitateur chevronné : MP3 ici.
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Au programme de lecture ce week-end, les derniers achats : - Sempé : quelques médias et médiatisés - Sambre (tout !) - Masquerouge - Complainte des landes perdues, les chevaliers du Pardon, tome 2 - Coeurs sanglants
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Steak-patates + crème fraîche, sel, échalote. Une valeur sûre. Miam. Un petit verre de sirop d'orgeat pour agrémenter.
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Ce verbiage textile n'avait d'autre objet que relaxer les muscles entre deux tâches velues, suantes et musculeuses, voyons.
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Chaussettes en synthétique de couleur sombre, lavées à 30°C, lessive parfumée + assouplissant : macérations des panards et pommades à prévoir. Chaussettes 100% coton blanc, lavées à 60°C au savon de Marseille : glamour nul, certes. Mais de satisfaction, les dermatos te pincent la joue.
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On pourrait en dire autant de n'importe quelle partie autant chez les messieurs que chez les dames. Certains hommes décident se laisser pousser les tifs : il y en a pour qui cela réussit. A condition d'avoir une belle nature de cheveux. Itou pour les tee-shirt résolument voyants (bedaine gonflée de bière). Itou pour des mains tachées ou négligées (montre clinquante qui attire le regard). Etc etc.
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Voilà. De jolies sandales sur de jolis pieds, ça le fait, mais rares sont les pieds méritant une mise en valeur.
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Ah tu tombes bien, je n'ai jamais compris le port de tongs à Paris : dès qu'il y a un peu de monde, on se prend des gnons sur les pieds + les rues sont tellement dégueu qu'on doit ramasser sur la peau plein de poussière suspecte. Non ?
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Ces élégants brodequins seraient pourtant du meilleur effet dans les rencontres professionnelles.
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Pas de viril bermuda de scout plutôt ?