Barem

N'oubliez pas de préciser qu'il est vivement préférable de manger des viandes de qualité. Une viande bovine grasse élevée à la farine de maïs par exemple, c'est loin d'être top... Pour moi la problématique est que je ne peux, à cause de contraintes familiales, que manger certains jours paléo et d'autres pas. Je me demande si cela n'a pas des effets délétères à long terme.

La plupart des régimes sont des absurdités où la seule règle est de se priver de manger à sa faim. (je me rappel d'avoir vu un reportage sur des mannequins dont l'une d'elle mangeait un yaourt le matin, une salade sans vinaigrette le midi et une soupe le soir. Je me demande dans quel état elle sera à 40-50 ans...)

Après ce qui est contraignant c'est le côté financier.

Puisque l'on est sur le fil où l'on peut parler de sa vie, je pourrais vous évoquer ma propre expérience d'une course poursuite avec un chien : je me rendais à mon entrainement d'athlé en courant (à l'époque j'étais sprinteur). Sur mon chemin, je vois un chien, sans laisse, accompagné par son maitre, faisant très racaille. Le chien, une sorte de batard, commence à me poursuivre alors que son maitre lui ordonne de revenir à ses côtés. Surpris et apeuré, et certainement sous l'effet de l'adrénaline, j'ai couru comme un cinglé vers une barrière de maison que j'ai enjambé pour me protéger de la bête. Les propriétaires de la maison sont aussitôt sortis de leur logis, en ayant vu la situation. Le fait que je sois rentré ainsi chez eux ne leur a pas posé problème et le maitre a finalement récupéré son chien. Le pire dans toute cette histoire, c'est que le petit c** ne s'est même pas excusé pour cet accident, j'étais vert...

Cette video tournant pas mal sur les réseaux sociaux, je vous demande qu'elle est voir avis concernant l'attitude des policiers : La légitime défense est elle valable dans ce cas ?

SI tes paroles sont vrais, cela prouve comment les anti-américains du net extrapolent à leur aise des faits de société marginaux pour dénoncer "l'impérialisme" américain. (c'est toujours mieux que de créer des scénarios)

Sans avoir des connaissances approfondies en la matière, je crois que les relations entre la Bolivie et les EU n'étaient déjà pas très bonnes avant le déroulement de cet événement. Par le passé, il semblerait que le gouvernement Bolivarien n'est pas respecté les demandes des EU visant réduire leur production de coca, ingrédient indispensable à la production de cocaïne. A vrai dire, de ce point de vue je les comprend : une baisse de la production de coca ne ferait qu'accroitre consécutivement le prix de la cocaïne, ce qui va dans l'intérêt des trafiquants au lieu de les dissuader de continuer leur commerce. De plus, la production de coca est important dans le secteur agricole bolivarien. Remettre en cause cette production revient à mettre pas mal d'acteurs économiques dans le pétrin pour une lutte contre les stupéfiants qui s'avèrent, comme d'habitude, pas efficace et couteuse. Pour aller plus loin, j'ai trouvé cet article.

Quel gouvernement de mauviette. Même si, grâce à Snowden, les autorités françaises savent que les agences d'espionnage américaines les surveillaient, elles continuent à se plier aux demandes d'un gouvernement américain de plus en plus autoritaire et violant depuis le 11 septembre 2001.

Je comprend mieux ton point. Dans ce cas, prenons le seul cas de ceux qui quittent de façon pur et simple le système éducatif en cour de route. (car c'est finalement de ces jeunes là dont je pense dans ma réponse postérieur)

Je n'en sais pas plus. Les articles de presse en la matière (si ce n'était qu'à ce sujet...) sont assez flou.

Sachant que chaque année, près d’un jeune sur cinq sort du système éducatif sans diplôme ni qualification, comment expliqueriez vous ce phénomène ? Je crois au fait que le système éducatif propose une formation générale pour la majorité des étudiants beaucoup trop longue et lourde en terme d'enseignement. Comment peut on enseigner sur 3 années de lycée des mathématiques, du français, des sciences naturelles de la vie et en physique/chimie, de l'histoire et géographie, de la philosophie, du sport, deux langues vivantes et d'autres enseignements spécifiques aux différentes filières ? On fait des étudiants des cerveaux dispersés et surchauffés... A long terme, les plus courageux réussiront cette étape et intégreront l'enseignement supérieur mais les autres, "décrocheurs", sortiront du système non pas qu'il soit fainéant (raison trop souvent utilisé par ceux qui ne savent faire la différence entre un travail productif à tous les sens du terme et le labeur qui est proposé aux étudiants actuellement) en majorité mais frustré par un système qui ne répond pas à leurs attentes. (raison pour laquelle je crois beaucoup en un système éducatif totalement libéralisé) Le problème vient aussi des nombreux préjugés que font la majorité des parents et consécutivement élèves sur la valeur des formations professionnels accessibles dès le collège. Filière de tocard ? Certainement pas. J'ai un ami qui est devenu jardinier paysagiste grâce à ce genre de formation et il vient dernièrement de monter sa boîte de jardinage...

IBM il me semble ?

Regarde du côté des romans d'anticipation, les anti-modernes, la poésie. (je mise sur mes préférences)

Projet totalement inapplicable et gaspilleur d'argent. Je vois déjà pointer les services publics qui géreront le travail de vérification et d'octroie des labels s'affairer pour des clous. De plus, je pense que seulement une infime partie des consommateurs veilleront à ce que les sites qu'ils fréquentent aient le label étatique. Enfin c'est du réchauffé tout ça.

Quand la lutte contre la fraude fiscale aveugle ses défenseurs : Source : http://www.charriere-bournazel.com/la-terreur-fiscale-et-la-nouvelle-loi-des-suspects/

Pour ceux qui apprécient les instruments orientaux : http://www.discogs.com/Jordi-Savall-Hesp%C3%A8rion-XXI-Orient-Occident/release/2050274 Un exemple :

hispter annulé

source : http://www.liberation.fr/medias/2013/07/01/interpelle-pour-avoir-deverse-un-seau-d-excrements-sur-claire-chazal_915080 Certainement en réaction aux "informations" qu'elle présente.

La réponse de La Boétie à la question de ce file est que l'obéissance, condition inévitable et indispensable pour la création de toute société humaine, n'est accepté dans sa forme la plus avilissante (son sujet étant la tyrannie ou l'oligarchie) qu'à cause de l'intérêt que certaines personnes trouvent dans l'établissement d'un pouvoir aussi méprisable. La tyrannie devient le centre des convoitises et des avantages que les complices du régime se feront une joie d'acquérir. En parlant de complicité, l'auteur en vient à démontrer également pourquoi un tyran ne peut avoir d'amis, car l'amitié ne peut reposer que sur une mutuelle estime entre gens de bien, et que ces relations ne sont que des complicités éphémères. Le tyran devient peu à peu un individu fort malheureux (Néron par exemple avait tué l'une de ses femmes et sa mère...) mais qui doit en toutes circonstances se montrer satisfait et charismatique pour que ses partisans n'aient pas de doute sur la solidité de sa personne. L'auteur instruisant moins qu'il n'invite à penser, je me demande à partir de quand peut on parler de servitude et non plus d'obéissance ? (notamment dans nos sociétés démocratiques)

Le fait que le peuple s’auto-soumet aux pouvoirs en place.

Le choix des contraintes plutôt que son imposition. D'où la notion de liberté contractuelle, etc... (peux tu enlever ton commentaire vide plus haut stp ?)

Cela ne rentre pas en contradiction avec le fait que l'homme soit par nature libre ?

Ce sujet de conversation me fait penser au peuple Nord Coréen. Comment une population peut elle encore accepter de telles conditions d'existence à notre époque ? La Boétie développe l'idée de l'habitue. En effet, avec le temps, la restriction de la liberté devient une norme pour la majorité des personnes voir, chose surprenante, les oppressés finissent par défendre les oppresseurs.

Bonjour, un passage de l'ouvrage principal de La Boétie, qu'une bonne partie d'entre vous connait certainement, m'a suffisamment marqué pour vouloir vous faire partager ses pensées. L'auteur, dans son étude des rapports entre le pouvoir et le peuple, se demande : Comment s'est enracinée si profondément cette opiniatre volonté de servir dans l'esprit de la majorité ? (Autrement posée, la question pourrait être : Pourquoi, en dépit des droits naturels que chacun possède à partir de sa naissance, l'homme accepte majoritairement de vivre sous le joug d'autrui ?) Tout en poursuivant la lecture de ce livre, j'aimerais pouvoir obtenir votre réponse à cette interrogation. Rare portrait de l'auteur :