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Tout ce qui a été posté par Gio
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Où sont les femmes ?
Gio a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Tu y es déjà allé ? -
Où sont les femmes ?
Gio a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Tu parles comme une femme... -
C'est sûr que si tu fréquentes des forums de libristes...
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Où sont les femmes ?
Gio a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Parce que tu crois que ça les fait fuir ? Tu n'as rien compris aux femmes ! -
Où sont les femmes ?
Gio a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Pourquoi ? -
Le propos de ce passage est de dire simplement que ce n'est pas le mouvement (en tant que tel, en tant que mouvement) de la boule A qui est la cause de l'effet sur la boule B. Sans quoi on pourrait mettre n'importe quoi à la place des boules que ça ferait le même effet. C'est la boule A (avec ses caractéristiques physiques spécifiques, c'est à dire son identité) qui est la cause du mouvement sur la boule B (qui elle a aussi a son identité) par certains moyens. Bien sûr, cela n'explique pas grand chose, mais ce n'est pas l'objet de ce passage d'expliquer le mouvement, il ne fait pas de la physique justement. Autrement dit, les choses agissent et réagissent d'une certaine manière d'après leur identité. Le but ici n'est pas d'expliquer pourquoi le feu brûle, mais de poser déjà que le feu a une certaine identité, c'est-à-dire des caractéristiques propres. Le feu brûle, il ne peut pas être mouillé. Même si on a rien expliqué en disant que le feu brûle (parce qu'il a une identité, c'est le sens de "A est A") on ne peut pas le nier. Certes on ne sait toujours pas pourquoi il brûle, c'est-à-dire pourquoi telle chose particulière a telle identité (mais justement c'est plutôt l'objet de la physique que de la philosophie), mais on sait que l'identité d'une chose sera la cause de certaines actions / réactions particulière.
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Tu as oublié un passage :
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Où sont les femmes ?
Gio a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Oui, mais c'était pas le sens de ma remarque. Tu parles de l'implication dans le mouvement. Or si on suppose (ce qui est probablement faux en fait, mais supposons) qu'il n'y a pas plus d'implication des femmes dans n'importe quel mouvement politique, alors cela n'est pas un problème particulier du libéralisme ou du mouvement libéral. -
Cela ne change absolument rien. Même si elle avait été exclusivement romancière, cela n'aurait pas changé le fait que l'objectivisme est une philosophie et rien d'autre. Tu associes obligatoirement la philosophie à des essais, mais quand Rand écrit des romans, elle présente aussi sa philosophie, qu'elle a appelé objectivisme. Et s'il y avait eu une Rand exclusivement romancière, ne présentant pas de philosophie dans ses romans, il n'y aurait tout simplement pas eu d'objectivisme. Parce que l'objectivisme, pour Rand comme pour les autres objectivistes, c'est une philosophie précise, et non pas "tout ce qu'a fait Ayn Rand".
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Non, l'objectivisme est une philosophie. Qu'elle a présenté notamment à travers des romans. Des romans qui ne sont que des "prétextes" à présenter cette philosophie. (On pourrait dire, en un sens, que c'est de l'art conceptuel.) Ses romans ne sont pas déconnectés de sa philosophie, bien au contraire. Le type (un saint-simonien par exemple) qui lit un roman de Rand en n'y voyant qu'une apologie des industrieux est passé à côté du livre. L'intérêt de ces livres c'est la philosophie. On peut trouver que cette philosophie n'a aucun intérêt, mais on ne trouvera pas grand chose d'autre dans ces livres. Et donc ça ne me semble ni plus ni moins approprié à un saint-simonien qu'à n'importe qui d'autre. Il est douteux d'affirmer que l'objectivisme "croit que le génie des hommes d'élite est universel" sur cette base là. L'ambition de Rand est, d'après sa manière de comprendre le romantisme en tant que mouvement artistique, de présenter l'homme idéal. C'est à dire, selon elle, l'homme tel qu'il peut être et tel qu'il doit être. Ce n'est pas exactement la même chose. Elle ne croit pas que tous les hommes d'élite sont des Howard Roark, mais que tous les hommes d'élite devraient être comme lui. "Être comme lui" non pas au sens d'un talent universel, mais au sens où chacun devrait être capable de suivre de façon conséquente l'éthique de l'égoïsme rationnel ou intérêt bien compris. Et quand elle montre Roark en ouvrier de qualité, c'est pour montrer précisément cela : qu'il aime travailler, qu'il s'applique toujours bien dans ce qu'il fait, conformément à l'éthique objectiviste. D'ailleurs, on ne peut rien déduire à partir des principes de l'objectivisme qui permettent d'affirmer que les hommes d'élites ont un génie universel, or tous les principes de l'objectivismes sont reliés entres eux.
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Où sont les femmes ?
Gio a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Où est-ce que je peux trouver un gif ou un mème avec quelqu'un qui fait un regard malicieux ? En plus il y a une double-blague à faire avec le "droit des armes à feu". -
Où sont les femmes ?
Gio a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Y a t-il proportionnellement plus de femmes impliquées dans les autres mouvances politique ? Bon, à la réflexion, il doit probablement y avoir plus de femmes dans les mouvements qui sont basés sur la sensiblerie, comme le socialisme, le conservatisme, l'écologie, les droâdezanimos, etc. En terme de sentimentalisme, je crains que le libéralisme ne puisse pas lutter. -
L'objectivisme n'est pourtant pas autre chose. Retire la philosophie de l'objectivisme, il ne reste rien. Ses aspects politiques et autres conséquences sont dénuées de sens si elles ne sont pas reliées à la philosophie. Donc je vois pas pourquoi un saint-simonien y trouverait un intérêt en tant que saint-simonien, si ce n'est dans quelques vagues ressemblances sur certains points superficiels que tu peux retrouver aussi ailleurs. Tu as vu ça où chez Rand ? Tu dis ça juste en pensant aux personnages de La Grève ou bien tu as vu ça ailleurs ?
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Où sont les femmes ?
Gio a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Je pense qu'on trouve peu de femmes sur les forums politique en général, je me trompe ? (Sauf sur les forums féministes, si on range cela dans la politique.) Ma copine est libérale (sans être non plus à fond dedans), pourtant elle n'est pas sur le forum... Les femmes sont simplement moins portée sur la politique que les hommes j'ai l'impression. Les femmes qui sont à fond dans le libéralisme ça donne Rand ou Thatcher. Alors si c'est pour se taper ça... -
J'ai lu Le communisme jugé par l'histoire d'Adolphe Franck, texte de 1848 qui eut du succès à l'époque (il fut réédité plusieurs fois sur plusieurs décennies). Très bon texte, on dirait un peu du Bastiat. (Il est même bien probable que Bastiat l'ait lu.) Il semble à cette lecture qu'Adolphe Franck était clairement libéral. Il n'est pourtant pas connu comme tel. Il devrait être présent au palmarès. J'ai mis le texte sur Wikisource (Bien qu'intéressante, la lecture de l'avant-propos n'est pas indispensable).
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Et même des libéraux.
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Celui qui a popularisé l'open source. (C'est pas l'inventeur du terme, mais presque.)
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De l'avis de tous les libéraux classiques (enfin je veux dire plutôt tous les auteurs libéraux du XIXe...à part peut-être Michel Chevalier n'a t-il pas changé d'avis justement ?) le saint-simonisme est du socialisme. Les premiers écrits critiques du socialisme dans les années 1830 étaient beaucoup contre Saint-Simon (puis contre Blanc et Proudhon dans les années 40). Hayek aussi dit que Saint-Simon est socialiste, ainsi que Marx dans le Manifeste. (De mémoire, c'est l'un des socialistes dont il dit le moins de mal.) Sinon le lien entre Saint-Simon et Rand, il me semble que bof. Le côté "vive l'industrie" dans la philosophie objectiviste est un aspect quasiment superficiel, fondamentalement ce qui intéresse Rand c'est la métaphysique et la rationalité.
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Sinon comme lecture, moi je conseille souvent Bastiat pour commencer. C'est facile à comprendre, très agréable à lire, on rentre directement dans le vif du sujet, ce n'est de la seconde main, son propos n'a pas vieilli (au contraire), ça couvre aussi bien l'économie que la philosophie politique ou la philosophie du droit, on apprend des trucs (on comprend un peu mieux l'économie quand on y connaît rien) et c'est un auteur qui fait à peu près l'unanimité parmi toutes les tendances libérales. Rendez-vous compte : ce type a réussi à mettre d'accord Mises, Rand et Hayek. Le truc normalement impensable.
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Un partisan des logiciels libres.
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Salut Carotte ! Puisque tu es libriste, tu savais qu'ESR était libertarien ?
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En faisant des recherches sur les premières critiques du socialisme j'ai lu un texte de 1848 d'un prêtre qui s'appelle Jean-Joseph Gaume. Certains de ses arguments étaient tellement moisis et le ton tellement insupportable qu'à la fin j'avais envie d'être socialiste. La caricature du curé moralisateur. Il m'a un peu rappelé certains légitimistes actuels. Je l'ai mis sur Wikisource (pour tester des trucs techniques, en fait c'est en faisant ça que je l'ai lu).
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C'est pourtant un classique du forum. (Source.)
