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Je ne suis pas d'accord. Par exemple ne fais tu aucune distinction entre Desert-Eagle et un taser ? Entre des balles étudiées pour se mettre à tourner et causer le plus dégats possible lors de l'impact et une cartouche au gros sel ? A part un sophiste sous LSD crois tu que tu peux trouver quelqu'un pour qui il n'y a pas de différence fondamentale entre une hache (qui peut servir à couper du bois ou je ne sais quoi) et un fusil d'assaut (avec lequel on sait que la chasse au lapin est plus aisée) ? Il faut revenir sur terre : une arme est faite pour blesser ou pour tuer. On peut jouer sur les mots et, dans un sens dire qu'on se sert de la crosse pour planter des clous et du canon pour fumer du hash, et dans un autre que si je fournis à un chamallow suffisamment d'énergie cinétique je peux tuer avec, mais excuse moi je ne trouve pas ça trop crédible… Tout ça simplement pour dire que le cas des armes est spécifique, circonstancié (la pente savonneuse a bon dos) et mérite une réflexion un peu plus approfondie que de simplement balancer: "il s'agit d'un outil comme un autre" et de traiter d'une mitrailleuse lourde comme d'une débroussailleuse.

Je me rattrape avec les jours fériés : Iron Man et Rec. Gwyneth est à tomber dans Iron Man (un film transhumaniste très étrange, très mécanique qui tranche un peu avec les approches plus 'bio' des autres super-héros). L'intrigue est basique, tout se résume finalement a un combat pour montrer celui qui a la plus grosse … armure. A noter qu'il n'y a pas la dichotomie/dualité habituelle qu'on retrouve chez les super héros : entre Batman qui fait la gueule et le Joker qui se marre, Daredevil l'aveugle contre Bullseye. En fait il n'y a pas de "vrai méchant" et l'intérêt est surtout dans le ton du film qui ne se prend pas trop au sérieux, et évite assez bien le préchi précha habituel, avec un Iron Man qui a du Serval dans les veines (pas trop contrôlable). Pour Rec je trouve le scénario bien ficelé et l'économie de moyen impressionante : avec une chemise de nuit déchirée, trois pots de jus de tomates et une caméra numérique, le résultat tient la comparaison avec nombre de grosses productions hollywoodiennes. Belle illustration de l'efficacité classique dramaturgique au cinéma (unité de temps, de lieu et d'action).

Le fait que la seule utilisation d'une arme soit de provoquer une coercition, autrement dit l'exact opposé de ce que prône la philosophie libérale, mérite peut être que ce cas soit distingué. On peut par exemple discuter de quand, comment, pourquoi et dans quelle mesure la coercition appliquée avec une arme est légitime ou non. Il me semble en tous cas que c'est de rattacher les armes (et là je pense précisément aux armes) au tout venant qui est un déni de réalité.

Ce ne sont pas plutôt des simplophobes ?

C'est un peu trop "exercice de style qui s'affiche" pour moi. Mais c'est bien fait, d'ailleurs on ne voit quasiment rien (d'ailleurs je me demande la signification du réalisme dont Bastiat parle dans ce contexte, ça soulève des problématiques intéressantes). L'amoralité et l'absence totale de justification (même si c'est un peu surjoué sur ce thème) sont intéressants et tranchent avec les films lambda. Pour faire court je dirais que c'est une sorte d'"Elephant", mais en version réussie.

Prenons un exemple : Nicolas S. Beau parleur, politicien de son état…

Ce soir nouvelle sortie roller : la piste cyclable de l'isère a été étendue jusqu'à Saint-Gervais : ça nous fait plus de 50 k de billard accessible du centre ville ! En plus on passe entre le Vercors et la Chartreuse dans le parcours : quand je pense qu'il y en a qui (sur)vivent dans des villes tentaculaires… Je recommence à mieux me sentir sur mes patins (c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas) et ça permet de faire des sorties longues peu traumatisantes. Et puis on peut dire ce qu'on veut le plaisir de la glisse en roller est inégalable : ni en ski, ni en VTT on ne peut retrouver ça. Le côté magique est qu'on oublie très vite les rollers (en plus j'ai des moulés qui me vont aux pieds mieux que des gants aux mains), ce qui n'est pas le cas dans les autres sports de glisse.

J'ai peur que tu ne projettes malheureusement. Son speech était plus tourné dans le sens : "c'est con de lutter contre le progrès qui est inéluctable" (le parallèle entre l'électricité et les chandelles), et je doute qu'un auditeur sans connaissance du texte réalise ce que la pétition des marchands de chandelles dénonce… Mais bon c'est vrai que c'est une première d'entendre parler de Bastiat sur un grand média national.

C'est beau comme du Beauchamps dans le texte…

Une nouvelle preuve de la chute du dollar comme monnaie de référence mondiale : les derniers grands prix d'échecs sont dispensés en euros ! A noter que le chèque est libellé aux "Winners" qui sont trois (Wang, Gashimov et Carlsen qui fait la gueule alors qu'il vient d'exploser Bacrot), j'aimerais voir le banquier à l'encaissement

Ce matin j'ai entendu parler de la pétition des marchands de chandelles de Bastiat … seulement c'était à propos de l'introduction des photomatons "gratuits" dans les mairies pour le nouveau passeport biométrique. Le commentateur faisait le lien avec la concurrence de l'électricité par rapport aux chandelles et le fait que les possesseurs de photomatons fassent un peu la gueule. Il a tout compris

Aujourd'hui je fais des dessins au boulot. Je suis sûr que Napoléon ne pensait pas à la théorie des catégories quand il disait qu'un bon croquis vaut mieux qu'un long discours.

Petit tour de VTT au saut du moine. Histoire bien particulière d'ailleurs quant à la toponymie de ce lieu : au XIII ème un moine qui se jette dans le vide car il ne pouvait pas rester fidèle … à son engagement religieux. La belle marie était trop belle

C'est rès exactement pourquoi je n'ai pas mis sécessionisme tout court, mais sécessionisme transnational pour indiquer qu'on fait sécession ne serait ce que des Nations unies pour qui les eaux internationnales ne peuvent appartenir à aucun état en particulier !

Il faut lancer le Moonsteading/Spacesteading : il y a plus de place là haut Sinon pour une traduction française il faudrait s'adresser à l'accadémie (il paraît qu'il faut se remettre à faire bosser les séniors). En attendant je propose le terme de sécessionisme transnational.

En roller jamais de problème de ce genre : les bras sont dans le dos et ne bougent pas. Y a pas à tortiller : si la course à pied est la mère de tous les sports d'endurance c'est aussi la plus traumatisante pour nos petits corps.

Ah non ! Moi je veux une garde avec une casquette, des bottes en cuir, des menottes et … oups je m'égare.

Finalement 52k, il y avait du gratton ça ma fait mal aux pieds. Mon manque d'entraînement m'a empêché de pousser sur les rollers (faut que je bouffe du steak).

J'entend les manifs du premier mai passer en bas : les revendications sont intemporelles. J'espère qu'ils ne vont pas bloquer tout le quartier. Cet après-midi j'ai une course de Roller à Sassenage : deux heures en individuel (ça me fera un peu bouger les patins), je vise entre 55 et 60K (mais le parcours est technique, ce qui m'arrange pour la course elle même mais pas pour la distance).

Aujourd'hui j'ai fait mon dernier cours de l'année universitaire Je vais enfin pouvoir réfléchir tranquillement à Diophante et ses équations.

Oh my god ! c'est de l'ultra lourd, c'est si lourd que ça ne peut provenir que d'une étoile à neutrons

Souvent je pondère mes réactions à l'opinion d'une personne par l'importance qu'elle lui accorde. En clair : beaucoup de gens n'ont pas vraiment d'opinion contstruite (parce que dans le fond ils s'en foutent) et se reposent sur la vulgate dominante (bon ça me fout les boules aussi) et pour ceux là ça me braque moins. Par contre un militant qui dit n'importe quoi et appelle la terre à témoin s'expose à une riposte thermonucléaire de ma part.

Parler la bouche pleine est impoli C'est parfois difficile mais la diplomatie est la base de la vie en société. Et les femmes font comment avec leurs boyfriends collectivistes ?

Pankkake serait il le conseiller occulte de Boris Johnson ? http://www.lemonde.fr/europe/article/2008/…39706_3214.html

Pour les allergies je ne sais pas, mais ce fut clairement le cas pour la poliomyélite qui n'est devenu un problème de santé (normalement ça filait juste une chiasse) qu'avec l'hygiène : elle a réduit le nombre de contacts durant l'enfance ; le système immunitaire était graduellement préparé à rencontrer ce virus dont il croisait des quantités faibles de manière régulière. L'hygiène a réduit ces faibles expositions ce qui fait qu'il ne restait plus que des contaminations conséquentes qui dans quelques pour-cents se répandaient dans le système nerveux.