Tiens cela me rappelle le jour où, étant adolescents, ma mère nous demande à mon frère et moi, de supprimer les pigeons que nous avions dans le parc de la demeure familiale parce que c'était beau. Nous pouvions enfin utiliser sans scrupule nos belles carabines à air comprimé que le père Noël, dans son infini bonté, avait offert aux deux trous du cul, toujours prompts à faire des conneries, que nous étions à l'époque.
Et je peux affirmer que même s'il faut penser aux petits n'africains qui n'ont rien à manger, au bout d'un mois, à raison de deux repas de par jour, le pigeon, c'est pas bon.