Ronnie Hayek

Toutes les contraintes et règles n'ont pas besoin d'être librement acceptées. Plusieurs s'imposent et ont force de loi, qu'on le veuille ou non.

La contrainte est nécessaire à toute vie en société. Ainsi, l'obligation de respecter les droits d'autrui est indispensable à l'ordre convivial.

Erreur lourde de conséquences. Sinon, bienvenue sur le forum.

Signe que tu n'as pas beaucoup fréquenté son blog : http://chroniquespatagones.blogspirit.com/…9/citation.html Honte sur toi ! Pour ta peine, tu sera convié au prochain cycle de conférences de L. Peikoff.

Et les chantres de la bien-pensance gauchiste de s'écrier : "COnfray-moi tous ces réacs !"

Dès que ce plumitif entend parler en bien de la foi, il pousse des cris d'Onfray.

En tout cas, Onfray bien de continuer à le tourner en ridicule, ce palotin !

Mon film de SF préféré.

Sans oublier José-Jack Uhlay.

… Et Tex Willer : http://www.peres-fondateurs.com/forum/viewtopic.php?id=3136

C'est le moins que l'on puisse dire.

Tournée générale. Jupiter, les hommes savent pourquoi !

Je n'ai pas pour habitude de mater le cul des bagnoles, moi, môssieur ! Plus sérieusement, et au risque de me répéter, la religion n'est pas un bien économique. Ton interprétation de l'apostasie comme du protectionnisme aplatit complètement les problèmes. C'est plus digne d'A.B. que de toi.

Sans doute est-ce pour faire table rase afin d'y déposer le service athée.

Pourquoi cette question un peu bébête ?

Non, ce n'est pas un service, du moins au sens où tu l'entends. Misère du matérialisme hystérique…

Libre à toi de ne pas prendre position, je ne te l'ai pas demandé et personne ne t'y contraint. Comme je l'ai écrit hier, ce type de sortie tombe un peu à plat dans la mesure où les porteurs de dreadlocks et autres riants altermondialeux considèrent comme une marchandise ce qui n'en est pas, mais refusent de reconnaître ce qui en est vraiment une. Eh oui !

Non, mais tu poses une question, et quand je t'y réponds, tu as l'air de t'en foutre. En quoi sont-ce des monopolistes ? Ensuite, une dernière fois, la religion n'est pas un produit de manufacture mis sur le marché.

Non, mais vu le contexte, c'est forcément au niveau planétaire.

Je crois surtout que tu caricatures mon propos.

Faudrait savoir. On se demande alors pourquoi tu as fait ta remarque initiale.

Puisque tu mentionnes brièvement Posner, je ne résiste pas au plaisir de citer Roger Scruton (philosophe conservateur que Melo m'a fait découvrir) :

Qu'est-ce que ça veut dire "démonopolisation du marché de la religion" ? J'ignorais qu'il existât un monopole d'Etat mondial sur la religion et que celle-ci fût un bien économique. Ensuite, comme je l'ai déjà indiqué me semble-t-il, les millénaristes comme les auteurs de "Left Behind" peuvent sans doute paraître très conservateurs, or leur logique est celle d'hérétiques - mais je te rassure : je les laisse à leur égarement. De surcroît, en l'occurrence, le millénarisme n'a rien de conservateur, mais se veut révolutionnaire. Plus généralement, tu pars du principe que, pour moi, le conservatisme est une fin en soi, et que plus ce serait conservateur plus je serai ravi. Or tu te trompes. A tout hasard, je rappelle que mon but politique n'est pas de voir institué un remake de l'Estado Novo de Salazar (bien que le personnage fût certainement, et de loin, le moins pire des dictateurs que l'Europe ait connus). De même que le libéralisme n'est pas une fin en soi non plus. Ce qui m'intéresse, ce sont la vérité, la justice, et l'articulation entre ordre social et liberté individuelle.