Dardanus

En moyenne quotidienne ?

Il est vrai que d'autres postent à tout va. Cela fait une juste moyenne. Bienvenu cher Julien.

Quand c'est moi qui l'utilise mais si c'est le méchant d'en face, c'est très mal.

Pour les baleines blanches, s'adresser à Moby Dick & Co ou bien H. Melville and son.

Avec les éléphants, les baleines, voilà des arguments de poids.

Si je suis libéral c'est parce que j'aime la nuance et les scrupules. Et surtout j'apprécie la rigueur intellectuelle.

écologisme et non fascisme surtout quand le fascisme est assimilé aux khmers rouges ! En matière scientifique, on ne doit pas utiliser n'importe quelle notion n'importe comment. Hélas, dans d'autres domaines c'est le n'importe quoi. Je rappelle à tous les libéraux de ce forum que l'utilisation à tort et à travers du mot fascisme était une spécialité des communistes pour discréditer le libéralisme et détourner ensuite l'attention du mot nazisme (qui contenait le mot très saint socialisme). Aussi, moins on utilise le mot fascisme, mieux on se porte.

J'ai connu le Grand Sémaphore sur l'écran NB de l'Unique chaîne de télévision de l'époque. J'étais lycéen sous Giscard. Et j'ai voté naturellement Mitterrand en 1981 (bien que j'ai jamais apprécié le personnage mais Giscard était horripilant). J'ai toujours été anticommuniste et je n'ai jamais apprécié les extrêmes. L'échec rapide de la gauche au pouvoir (qui était une nouveauté pour les gens de ma génération) a joué un rôle dans ma prise de distance vis à vis du politique. L'effondrement de l'URSS ne m'a pas surpris : l'aveuglement des soviétologues davantage. Quand j'ai vu ce que faisait Gorbatchev j'ai tout de suite compris ce qui se passait, contrairement aux spécialistes patentés qui croyait le communisme réformable : c'est la seule fois où j'ai montré une vertu prédictrice. Je suis resté de gauche (de centre-gauche serait plus juste) mais j'ai lu dès les années 80 Les libéraux de Manent, une anthologie qui m'a marqué et fait découvrir les noms de Say et de Bastiat par exemple. J'ai découvert aussi dans ces mêmes années Du Pouvoir de Jouvenel qui m'a fortement marqué. Je suis libéral au fond depuis longtemps et historien je n'avais guère d'illusion, de toute façon. Je n'arrivais plus vraiment à trouver sur la scène politique des personnalités ou des partis dont je puisse me sentir proche. Mais j'ai toujours été d'accord avec les textes des grands auteurs du libéralisme depuis que je les lis. Je suis arrivé sur ce forum par Catallaxia à la suite d'une recherche Internet et mon libéralisme a pris sa forme actuelle. J'y ai découvert la tribu des Anarcaps et ses rituels d'affrontement si curieux pour l'anthropologue que je ne suis pas.

Ce n'était pas Judas, c'était Satan (=S=) évidemment venant nous tenter. Si vous croyiez vraiment dans le marché… Voilà qui me fait penser tout à coup qu'une certaine personne consacre un temps précieux à une certaine encyclopédie en ligne : n'est-ce pas du bénévolat ? Si (=S=) se fait payer, j'exige à mon tour une rétribution !

Certains sont vraiment prêt à tout pour avoir le dernier mot. Comme l'a dit le poète : Hollande ! ô désespoir ! ô PS ennemi !

Nous voilà mis au pied du mur par Judas qui croit en la perfection du marché. La charité, un vieux débat du XIXe s. : elle handicape plus qu'elle n'aide, certainement. Quelques remarques : faire ce que l'on sait faire, pour certains c'est aider les autres. Quid du bénévolat, celui qui souhaite utiliser son temps disponible en se payant de satisfaction intérieure ? Vouloir aider les autres est peut-être anti-libéral mais c'est humain. Pour certains l'égoïsme prend la forme de l'altruisme : faut-il leur conseiller une thérapie (suffisamment coûteuse pour qu'il n'ait plus les moyens de leur générosité) ? (mais je vois que jabial m'a précédé) Que faire en cas de catastrophe, comme déjà dit plus haut dans ce fil ? On laisse le marché s'en occuper ? Pour les maladies non médiatiques type paludisme (qui tue à petit feu depuis la nuit des temps et a plus de victimes au compteur que la Peste et le Choléra réunis) et qui ne suscitent guère de recherche faute de profits : on attend que le marché ait rendu ceux qui en meurent solvables ?

Je suis l'affreux libéral du lycée. Mais certains de mes collègues sont persuadés que je suis donc un UMPiste ou quelque chose d'approchant, ce qui m'amuse. Il est loin le temps où les staliniens imposaient leur loi dans une salle des profs.

C'est vrai cela, construire des palaces, on aurait du y penser plus tôt pour lutter contre le paludisme. Après tout, Versailles a été construit sur un marécage.

Bienvenu ! Les patrons de PME sont les héros méconnus de notre temps.

Voilà en tout cas un débat où les esprits se seront échauffés et, selon les analyses de l'Institut Morituri, qui a contribué pour le moins à une augmentation de 0.005°C de la température mondiale.

J'ai simplement repris la liste proposée par le Petit Robert. Une cause aussi juste soit-elle est mieux servie par un ton courtois et égal. Il ne suffit pas d'avoir raison, il faut mettre le public de son côté.

Dieu merci, le savoir-vivre est absolument absent du cursus de certains scientifiques. Où irions-nous, s'il fallait être convenable, correct, décent, délicat, honnête, poli et séant.

Je parlais des pôles pas des Alpes (j'ai repris la citation telle quelle) car il me semblait de mémoire que c'était effectivement l'inverse (et l'avoir dit à mes élèves en abordant la question du réchauffement).

J'ai trouvé le contraire sur ce site http://www.climat-sceptique.com/categorie-507632.html

S'il y a une bataille de lobbies pourquoi faire confiance à l'un de ces lobby plutôt qu'à un autre ?

C'était de l'humour. Lire la réponse du SCM.

Je ne pense pas, non, j'habite au deuxième étage d'un immeuble urbain sur une avenue en pleine ville. La chasse fait partie des plaisirs de la campagne.

Je ne présume pas de la réponse. Mais l'invention du chemin de fer, due à l'activité humaine, a fait perdre leur capital à un certain nombre d'activités (type relais de poste, maréchaux-ferrants). Donc je ne comprends pas bien. La chasse procure, semble-t-il, des émotions intenses aux praticants : il n'y a pas que l'argent dans la vie. (Je ne suis pas chasseur)

Je ne sais pas si la question est posée correctement : le libéralisme ne gère rien du tout, par définition.

Il vaut mieux effectivement l'écrire en japonais.